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BLAISHAN × my heart is imprisoned

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J'en avais marre d'entendre parler de cette histoire d'épidémie. A vrai dire, je n'y croyais pas vraiment, c'était un moyen de pression pour nous forcer à ne pas traîner dehors pour étudier par exemple. Mais lorsque je reçus un message du Doyen sur mon téléphone, je tombais des nues. Ethan était malade? Il est fort, basé, ça m'étonnait qu'il ait été touché par cette épidémie. Donc c'était bien vrai, et il fallait que ça tombe sur lui. Je soupirais. Encore une autre histoire qui allait me stresser. Il devait être inquiet de ne pas me voir, en tout cas, moi je l'étais. J'abandonnais mon travail sur mon bureau pour me rendre à l'endroit indiqué dans le message. Je suis pas fan des hôpitaux, mais j'allais faire un effort. L'endroit était sinistre, y'avait rien de drôle, personne n'aurait envie de passer son temps enfermé dans cette prison à microbe. J'étais impressionnée de voir qu'il y avait autant de monde. Je montais au deuxième étage pour arriver dans le couloir des visites Je savais pas trop comment ça se passait, je m'adressai à la première infirmière que je croisais. Je lui avais demandé si un de leur patient s'appelait Ethan De Angelis et directement, elle était partie le prévenir qu'il avait de la visite. Oh mon dieu, j'allais tomber dans les pommes. J'avais peur de voir son état. Une vitre séparait les visiteurs des malades, c'était logique mais c'était cruel à la fois. Lorsque je le vis enfin arrivé en chemise d'hopital, je posai ma main sur la vitre et mon air s'attristait un peu. « Ethan.. sors de là, tu n'as rien à faire ici. » j'esquissai un faible sourire. Il n'avait pas bonne mine. « C'est pas juste. » pourquoi j'avais rien moi? Je pouvais même pas le toucher, ni même l'embrasser.

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Epuisant, c'était le mot. C'était épuisant de rester enfermer dans cette pièce, à huis-clôt, d'être coupé du monde extérieur. Blaise ? Elle allait comment ? Etait-elle touchée elle aussi ? Et si les mecs de Las Vegas avaient décidés de lui rendre une petite visite ? Il ne serait pas là pour la protéger, pour prendre soin d'elle. Minable. Oui, l'italien se sentait tellement minable de ne pas pouvoir être là pour elle, d'être enfermé dans un hôpital mais surtout d'avoir chopé ce virus. Personne ne posait de mot concrets sur ce qui leurs arrivés . La fièvre était de plus en plus forte, il avait des douleurs lancinantes dans toutes les articulations et quelques convulsions depuis hier. Bien heureusement, les médicaments qu'ils leur donnés permettaient d'endormir la douleur mais ce n'était pas assez pour les guérir complètement. Aucun contact avec l'extérieur, c'était rude. Blaise lui manquait, c'est dans des moments comme celui-ci qu'on se rend compte qu'on tient à une personne ... à croire qu'il tenait à Blaise plus que ce qu'il ne pensait, plus que ce qu'il ne voulait se l'admettre. Cette jeune femme prenait une place de plus en plus importante dans son être, sans qu'il ne puisse y faire autrement. C'était dur de ne pas savoir gérer ses sentiments, mais il voulait bien lui laisser cette part. Une infirmière était venue le chercher en quarantaine pour lui dire qu'une personne était venu pour lui. Il ne savait pas qui, mais cela lui ferait certainement du bien de voir un nouveau visage, un visage lumineux et non déprimé et malade. C'était peut être ça le pire. Comment voulez-vous reprendre du poil de la bête quand vous êtes entouré de personne tout aussi mal en point que vous. Sortant rapidement, il passait une main dans ses cheveux, les yeux cernés, le visage blanc et fatigué. Lorsque l'italien levait le visage vers cette vitre en verre qui les séparés de l'extérieur, il vit Blaise. Sa Blaise. Un petit sourire se formait sur ses lèvres, un sourire en coin. Il tentait de garder cette attitude qu'elle avait toujours connu, d'homme fort et un brin prétentieux. Regardant cette main sur la vitre, il hésitait à y poser la sienne dessus. Cela faisait un peu dramatique ... Il n'allait pas mourir, si ? Finalement, il posait sa main sur la sienne en souriant à ses mots Expliques-le à lui dit-il en lui montrant un des gros bras de l'hôpital. Beaucoup de personnes avaient tentés de fuir alors ils avaient engagés des vigiles. C'est rien, je vais bientôt sortir, t'inquiètes pas, mais ça va toi ? Tu n'as rien ? s'inquiétait-il


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J'étais incapable de faire quoi que ce soit pour aider Ethan à traverser cette mauvaise période. Peut être ma présence mais je doute que ça soit suffisant. Je me sentais vraiment nulle devant la vite, en train d'attendre mon copain. J'avais mal au ventre, ça me stressait trop cette quarantaine et plus les nouvelles de la radio arrivaient, plus elles étaient mauvaises. Je n'avais pas peur pour moi, si je devais y passer tant pis, mais j'avais peur pour Ethan. C'était comme s'il n'était plus avec moi. J'avais aucun contact avec lui, ils lui avaient pris son téléphone. Je pouvais juste le voir. L'italien était peut être souffrant, mais il gardait toujours son humour. Je regardais l'homme de la sécurité qui était assez impressionnant puis je regardais Ethan avec un sourire.  « Je crois que je vais passer mon tour. » Mon regard se posa sur nos mains qui se touchaient si cette vitre n'étaient pas là, et je trouvais ça mignon, je n'avais pas fait attention. Je levai les yeux lorsqu'il me dit de ne pas m'inquiéter, qu'il allait bientôt sortir. Il ne savait pas écouter la radio dans ce trou? Les infirmières ne les tenaient donc pas au courant? Ça ne serait pas correcte de faire des faux espoirs aux malades. « C'est ce qu'ils vous on dit? Qu'il ne fallait pas s'inquiéter? Je peux pas le croire. Tout le monde en parle. Et puis, bientôt c'est dans combien de temps pour toi? » je tirais toujours une triste mine. J'haussais les épaules et mon index tapait contre la vitre, comme si mon doigt avait la bougeotte. J'étais nerveuse. « Je crois que ça va, je suis un peu fatiguée et frileuse par moment. Mais c'est surement du au fait de te voir malade. » Ethan restait le plus beau à mes yeux même s'il avait le physique d'un vieux drogué en manque. Je me pinçai les lèvres puis je plantai mes yeux dans ses iris. « Guéris vite d'accord? » Etre séparée de lui était un manque de sécurité pour moi. J'avais besoin de sa présence, autre que celle que j'avais dans mon coeur. En plus, la majorité des mes amis étaient tombés malade et j'étais forcée de me consoler dans mes livres. Comment Ethan avait-il attrapé ça? Pourquoi je n'avais rien? Je ne savais même pas comment cette épidémie était née, ni comment elle se transmettait.

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Voir Blaise en forme était un soulagement, au moins, elle n'était pas enfermé dans cet endroit détestable. Soulagé de la savoir derrière cette maudite vitre, soit disant passant, le jeune italien la regardait attentivement, de haut en bas. Elle avait l'air en forme et c'était le plus important. Le visage pâle, les yeux rougeâtre, lui, ne devait pas être au mieux de sa forme, physiquement parlant, la main sur son front, il se tentait même à une petite blague qui le fit doucement rire. Erreur, puisque suite à cela, une grosse toux qu'il ne pu réprimer le prit. La main posée contre celle de Blaise, il penchait la tête vers le bas pour ne pas postillonner sur la vitre et ne plus la voir, ça serait con quand même. Ce n'était pas chose facile de tenter de la rassurer quand elle voyait de ses propres yeux que son état n'était pas aussi rassurant qu'il aimerait lui faire croire. Une atroce fièvre le submergée toujours, sans parler des cernes et des vertiges qui le faisait parfois tomber. Cependant, Blaise semblait déjà plus informé que lui. Ils nous ont dit de ne pas nous inquiéter ... mais d'après ce que tu me dis c'est plus pour que personne ne tente quelque chose d'imprudent ... puis tu sais, j'écoutes pas trop la radio... je commence à devenir fou enfermé la dedans terminait-il par avouer avant de secouer la blouse qui lui collait à la peau dû à la chaleur qu'il ressentait. Putain de fièvre. J'aimerais te dire que je repars avec toi ... mais il m'semble que c'est pas faisable, mais bientôt Blaise, je vais pas te laisser seule bien longtemps, allez souris princesse, tu vas avoir des rides dit-il avec un petit sourire qui ressemblait plus à une grimace qu'autre chose. Ses courbatures étaient de plus en plus violentes et ne semblaient pas vouloir s'estomper. Il voyait très bien qu'elle n'était pas bien, elle avait l'air nerveuse, du moins, elle l'était à en voir son doigt. Soupirant un peu, Ethan, commençait à penser que c'était une mauvaise idée qu'elle vienne le voir si c'est pour en repartir encore plus dépitée. T'inquiète pas Blaise, je suis pas une petite nature alors arrête de te faire du mauvais sang et pense à toi. Je veux pas que tu sortes ou alors tu te mets un masque , ça traine de partout cette merde et ça me tuerais de te savoir enfermée aussi oui, il voulait bien l'être mais savoir sa petite amie de l'autre côté d'une vitre ne lui plaisait guère. Je suis certain qu'ils vont en sortir des personnalisé, tu pourras même coller ma photo dessus histoire de repousser les mâles de la ville dit-il avec un petit sourire. Tu sais , c'est vraiment la merde ici ... tout à l'heure je me suis pris la tête avec une fille qui venait de vomir, incapable de demander un désodorisant et de virer son sceau , c'était juste dégueulasse un haut le coeur le prit en se remémorant la scène, la main devant la bouche il fermait les yeux pour se calmer un peu et tenter de faire disparaître son mal être Ça me fait du bien de te voir quand même ...  

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J'avais l'impression de ne pas être dans la réalité. C'était un mauvais rêve ou un poisson d'avril avant l'heure. En voyant Ethan souffrir, mon cœur en était malade. J'aimerais faire quelque chose pour le sortir d'ici. J'étais prête à prendre soin de lui et le soigner si seulement ce n'était pas contagieux à ce point. Je soupirais doucement en le voyant avoir trop chaud, cherchant un peu d'air frai. Je n'arrivais pas à garder un visage paisible, d'ailleurs il était tout sauf en paix. Je grimaçai légèrement dès qu'il s'efforçait à parler. « Je vais quand même pas écouter tes belles paroles. T'es malade et tu ne sais pas quand tu sortiras. Désolé d'être rabats joie mais j'aime pas les faux espoirs. » répondis-je en haussant les épaules. C'était comme si je l'engueulais d'être en quarantaine et de m'abandonner. Il fallait que je me détende je sentais au fond de moi que j'étais en colère. Pendant un instant je pensais que la vie n'était pas juste. Qu'est-ce que j'avais fait pour mériter ça? « Je suis désolée. C'est juste que j'ai aussi l'impression d'être enfermée. Tout est vide, c'est comme si j'étais seule au monde. Mais je ne le suis pas car je sais que tu es quelque part en moi. » je souris car je trouvais ça trop mignon ce que je venais de dire. « Et ne t'inquiètes pas pour les mâles de la ville, je sais les repousser toute seule. » repris-je d'un air convainquant. Je plissai mes yeux lorsqu'il m'expliqua qu'une fille avait vomi et que personne n'avait nettoyé. Ils les traitaient vraiment comme des animaux en fait? Je posai ma deuxième main sur la vitre, inquiète de le voir aussi mal. « Ethan, ça va?! » demandai-je pas très rassurée. Je m'attendais à tout moi, qu'il crache du sang, vraiment tout. Je fus soulagée de voir qu'il savait encore parler donc je retirai mes deux mains pour les passer dans mes cheveux. Merde, j'ai eu peur. « Tant mieux si je t'apporte un petit quelque chose. J'essayerais de venir assez souvent, je te laisserais pas pourrir ici, je te le promets. » je rapprochai mon visage de la vitre pour plonger mes yeux dans les siens, fatigués et cernés.

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Blaise était pessimiste et ce n'était pas ce dont il avait besoin. En cet instant, l'italien avait besoin d'être confiant, de se dire que demain il allait pouvoir sortir. C'était juste affreux comme sensation, comme situation. Etre enfermé sans pouvoir s'occuper comme bon nous semble. Blaise , j'ai pas besoin de ça... j'ai besoin que t'y crois ou du moins que tu fasses semblant ... dit-il en fronçant doucement les sourcils. C'était assez étrange comme situation, c'était comme si Blaise l'engueuler d'être malade, l'engueuler d'être enfermé. Ethan tentait tant bien que mal de garder bonne mine, de faire comme ci de rien était et de la faire sourire comme il se plaisait à le faire d'ordinaire. Cette impression que toute son énergie partait dans son rire était affreuse mais tellement bonne qu'il pourrait continuer encore et encore quitte à se retrouver vide. La seule chose de bon qu'il y avait dans cette maladie c'était le fait que Blaise se livre totalement à lui. Plus aucune barrière ne semblaient se dresser entre eux, les masques tombaient et ils se disaient tout. Sans gênes, sans fierté. Je devrais être malade plus souvent .. riait-il doucement en la regardant avant de tousser un bon coup, la main devant la bouche et l'autre contre ses abdominaux. Mon dieu, finalement c'était peut-être pas ce qu'il désirait. J'ai l'impression de faillir à ma promesse... Je t'avais promis que je ne te ferais plus souffrir et j'ai échoué dit-il en baissant la tête. Il n'avait pas envie qu'elle connaisse de mauvais jour, il voulait que tout soit rose à longueur de temps pour sa princesse. J'en doute pas, mais même le simple fait de penser qu'ils peuvent poser le regard sur ... toi , ça m'plait pas dit-il en fronçant automatiquement les sourcils avant d'être prit d'une grosse toux. Le visage tourné, il n'avait pas forcément envie de repeindre la vitre et de ne plus voir sa petite amie, puis quelle image aurait-elle de lui après ? S'enfonçant doucement dans le siège , assez confortable ou il était assis, il posait une main contre sa poitrine comme pour calmer l'irritation Oui j'ai juste avaler ma salive de travers  menti-t-il pour ne pas qu'elle s'inquiète d'avantage. Il la connaissait , elle allait s'en ronger les ongles, elle qui était si fragile et émotive. Non reste loin de l'hôpital Blaise, j'ai pas envie que t'attrape quelque chose ... Suffit juste que tu me fasses passer des photos, tu sais un peu comme les détenus de prison, je te promet que t'auras une belle place au dessus de mon lit ajoutait-il en riant. et tes amis ça va ? Ils vont bien ou ils sont ici ? Y'a Wyatt à mon étage ... et comment faire abstraction qu'il avait aussi Apple, son ex.

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Je n'étais pas à l'aise du tout. J'ai toujours eu cette hypersensibilité depuis ma venue au monde. Je m'inquiétais pour un rien. Tout ce qui m’atteignait me rendait soit plus forte, ou soit plus faible comme dans ce cas. Je m'en voulais aussitôt d'avoir fait baissé le moral de mon copain. Je pouvais pas contrôler ce genre de truc. « Tu as raison, je suis désolée, je sais pas ce que j'ai. » répondis-je en passant ma main sur mon front. Je jurais d'avoir un peu mal à la tête. Nous échangions ensuite quelques sourires et c'était mieux qu'une bonne bouffée d'oxygène. Si cette situation nous aidait à renforcer notre relation, je devais au moins garder le sourire pour lui faire plaisir. Mais le visage d'Ethan s'assombrit un peu lorsqu'il me fit des confidences. Je ne quittai pas ses yeux, même s'il ne me regardait pas toujours. C'était mignon de sa part de repenser à la promesse qu'il avait faite mais en aucun cas il n'avait échoué. Je me pinçai les lèvres. « Je ne souffre pas. Justement, je suis la plus heureuse aujourd'hui car je te vois, et je peux te parler. Je suis juste inquiète pour toi et, c'est bête à dire puisque tu es juste devant moi, mais tu me manques. » lui dis-je d'une voix plus douce en lui souriant pendant quelques secondes. Ethan semblait être quelqu'un de possessif et il me l'apprenait en disant qu'il ne supporterait pas que les regards des mecs soient posés sur moi. Je ris doucement. « Ah les italiens... » je m'amusais de temps en temps à le taquiner avec ses origines. Ces hommes de feu pouvaient brûler à n'importe quel moment. Mon petit ami toussa assez fort et j'ai bien cru qu'il allait cracher ses poumons. Je posai mon regard autre part pour ne pas le regarder souffrir. Une fois la crise passée, j'étais un peu plus rassurée. Je ne m'attendais pas à ce que l'italien m'ordonne de rester loin de l'hôpital. « Tu es sur? Comment pourrais-je avoir de tes nouvelles? » le concept des photos était mignon, mais tout ça était dramatique à mon goût. « Wyatt aussi? Il va bien?... Tu vois, tous mes amis sont ici, j'ai presque envie d'être avec vous. » autant être malade aussi et souffrir avec mes amis.

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Le jeune homme s'en voulait de voir le visage de Blaise aussi triste. Il lui avait promis de ne plus la faire souffrir, résultat ? Il le faisait sans le vouloir. Le bleu de ses yeux se baissait sur ses mains avec lesquels il jouait , cependant,il eut un bref sourire à ses mots. Tu es inquiète pour moi, je te manque alors que nous sommes en face l'un de l'autre ... on dirait que c'est une femme amoureuse qui parle dit-il avec un sourire en coin. Il la titillait juste un peu juste pour le plaisir de la voir rougir. Ah les Anglais, vous êtes bien trop rationnels oui, il n'allait pas se laisser démonter, oui les italiens étaient possessifs et il n'en était pas gêné. C'est normal après tout non ? Garder un oeil sur ce qui nous est cher, tout faire pour le protéger et pour que personne ne nous le dérobe. Blaise était cher à son coeur et il n'avait pas envie qu'on la lui prenne. Une toux virulente s'emparait de lui bien rapidement, la main posé sur sa cage thoracique il tentait de la calmer en grimaçant, parce que bordel , qu'est-ce que ça pouvait lui faire un mal de chien.Après quelques instant, il se sentit mieux, sa gorge s'était apaisé pour son plus grand bonheur. Oh non, il ne voulait pas que Blaise puisse attraper cette merde à son tour, c'est bien pour cela qu'il lui demandait de ne plus venir ici. Ce genre de microbe c'est tenace et il se sentirait coupable si sa douce était contaminé. [color=dodgerblue] Je vais essayer de dresser un pigeons et je t'enverrais des petits mots, tu sais comme dans l'ancien temps Oui il va bien, il tente d'apaiser tous le monde, de nous guider , je suis sûre que ce mec était une hôtesse de l'air dans une ancienne vie, la petite jupe et le bleue de travail dit-il en faisant les geste de sécurité , typique de ce genre de femme, qui était certes sécurisante, mais énervante. Enfin il se croit encore à la Winthrop House  ajoutait-il en levant les yeux au ciel, Ethan n'avait jamais supporter l'autorité alors autant dire que les petites manies je suis l'homme de la situation l'agacer. Ca te dis de jouer à un petit jeu ? dit-il en arquant un sourcil. En effet le brun avait une idée derrière la tête, profiter de cette situation pour en apprendre un peu plus sur la nouvelle Blaise, tout en étant protéger par cette vitre qui les séparait il était conscient, elle allait demander un retour.  Je vais te poser des questions et tu vas y répondre franchement ... C'est quoi la chose la plus folle que tu es faite ici ... avec un garçon ? dit-il rapidement intéressé.

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Un petit sourire gêné se dessina sur mon visage. Mes joues étaient devenues roses foncées. Ethan s'amusait souvent à m'intimider. « Arrête de me faire rougir, ils vont croire que j'ai de la fièvre et je vais me retrouver enfermée comme toi.» avec lui, pourquoi pas, mais autre part, certainement pas. Je lui parlais normalement, comme si j'avais oublié que la vite était là et l'endroit dans lequel nous étions. Mais lorsque l'italien fut pris d'une crise de toux, je redescendis sur terre. Mon visage s'attrista de nouveau pendant un court instant, le temps qu'Ethan reprenne son souffle. Et malgré sa souffrance, il continuait de me remonter le moral. « Non pas un pigeon, c'est moche et ça fait caca partout. Prends une colombe, c'est plus beau. » la colombe était souvent un signe de paix mais Ethan et moi n'étions pas en guerre. On a qu'à l'utiliser pour arrêter la guerre entre les patients et la maladie. J'ai toujours eu une imagination débordante. C'était bon d'avoir des nouvelles de Wyatt, mais j'avais l'impression qu'Ethan ne l'aimait pas beaucoup. Je rigolais lorsqu'il l'imitait. « C'est vrai mais, il est super. C'est lui qui m'a appris comment repousser les mecs en soirée. J'apprends pleins de choses tu sais. » dis-je fièrement dans le but de rassurer mon copain évidemment. Ensuite, Ethan décida de jouer à un jeu, je connaissais bien ce jeu, j'y jouais quand j'étais adolescente. Je ne sais pas ce qu'il avait derrière la tête, mais si ça pouvait le distraire pendant un moment, je le faisais avec plaisir. « C'est quoi cette question? » demandai-je en me retenant de rire. Mais il semblait sérieux. Je réfléchissais. « tu veux dire, sexuellement parlant? » un sourire en coin apparu sur mon visage. J'avais rien d'exceptionnel à raconter, il fallait que je creuse dans mes souvenirs.

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Quoi c'est pas ce que tu voulais ? Puis je prendrais soin de toi ajoutait-il avec ce légendaire sourire en coin qu'il pouvait avoir , même si dans son état prendre soin de Blaise lui était impossible et il n'avait nullement envie qu'elle soit contaminé à son tour. Son petit trésors. Sa bouffée d'air frais. C'est qu'en plus madame est exigeante ! Tu peux pas juste te satisfaire d'un pigeon ? C'est un miracle déjà si j'en attrape un Oui surtout qu'il n'y avait pas de fenêtre dans la pièce ou ils étaient entassés.  Lorsqu'elle lui signifiait que cet homme lui avait appris a repousser les hommes, subitement il se mit à l'apprécier un peu plus ... mais c'était étrange, Blaise ne savait-elle pas se défendre toute seule ?  Dans ce cas, je pense que je devrais le remercier  dit-il en faisant une petite moue.  Finalement, l'Italien, se disait que cette petite séparation pourrait les rapprocher, pourrait leur permettre d'en apprendre un peu plus l'un sur l'autre. C'est vrai qu'ils se connaissaient depuis un certain temps mais 4 ans les avaient séparés et en quatre années beaucoup de chose se passe . Ah j'ai jamais précisé si c'était sexuel ou pas ... tu as vraiment l'esprit mal placé mademoiselle Tunstall, ...

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