If this is to end in fire ✗ Wyatt.

Putain mais c'était quoi le problème en ce moment ? C'était quoi que cette épidémie qui était en train de ravager tout le campus ? C'était carrément très flippant. J'avais déjà passé pas mal de temps à l'hôpital, y bossant plus principalement mais et si en temps normal j'y aurais passé mon temps pour oublier tous mes soucis quotidien et principalement mon mariage avec Torrey, j'y était le plus resté parce que je savais qu'Elia était enfermée en quarantaine avec vingt autres personnes. Alors lorsque j'avais appris que c'était aussi le cas de Wyatt, mon sang n'avait fait qu'un tour dans mes veines, il avait fallu que j'aille le voir. Notre amitié était encore toute fragile à cause de ce que j'avais fait mais je ne voulais pas le perdre. Il était un peu comme tout pour moi et je voulais à tout prix me faire pardonner. J'étais justement à l'hôpital afin d'enchaîner les gardes en Physiothérapie et je n'en ratais jamais une pour me rendre dans l'aile dédiée à la quarantaine. C'est donc en tenue d'infirmier et avec ma blouse blanche que je me dirigeais au second étage pour le voir. Il y avait du monde et avait tous l'air de ne pas être très franchement dans leur assiette. Nous allions bientôt assister à un remix de The Wlaking Dead. Je repérais mon meilleur ami assit non loin et j'enfonçais mes mains dans les poches de ma blouse assez nerveux. « Wyatt. » J'avais prononcé son prénom d'une voix forte pour lui affirmer ma présence. « C'est à ton tour d'être enfermé dans un bocal à ce que je vois... » Je ne savais pas s'il avait envie de me voir ou pas et ça me préoccupais légèrement. Mais nous n'allions pas non plus nous éviter définitivement. Sauf, si c'était ce qu'il souhaitait, ce que je comprendrais parfaitement.

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Cela faisait plusieurs heures que j'étais coincé ici. En temps normal, je détestais rester enfermé plus de quatre heures sans rien faire et là, ça faisait plus de dix heures que j'étais dans cette salle avec d'autre malade. Pour en rajouter plus à mon malheur, je me retrouvais avec Feldt. Dieu merci, il y avait mon autre meilleur ami Aaron et une jeune femme que j'avais rencontré à l'anniversaire de ce dernier. Je me demandais si mes proches avaient été averties. Sans doute. J'espérais que mes parents ne se déplaceraient pas ici. Je ne voulais pas qu'ils soient contaminés et que cela empire. La plupart des personnes présentes étaient allongés dans leur lit. Quant à moi, je me trouvais assis contre un mur. Même si j'étais nauséeux et fiévreux, je ne voulais pas rester dans ce lit comme un mec qui attend la mort. Non merci. Pas loin de là, il y avait une autre pièce dont la porte était ouverte. Dans cette autre pièce, il y avait une salle de visite séparer par une immense vitre. La même salle du premier étage, celle où j'avais vu Maëlys peu de temps avant ma contamination. « Wyatt. » J'avais une hallucination ou quelqu'un venait de m'appeler ? Je tournais la tête et apercevais la silhouette d'un de mes meilleurs amis. Celui que je considérais comme mon frère. Je me relevais difficilement et m'avançais dans la pièce. J'avais mal partout comme si j'avais fait trop de sport. Depuis cette bagarre à Las Vegas, notre amitié avait connu une renaissance quoi que légèrement fragile. Il était marié à ma petite amie. Même si je savais qu'ils avaient voulus se venger en pensant que ce serait un faux mariage, sur le coup, je l'avais très mal pris. Encore aujourd'hui, j'avais un peu de mal avec cette idée. « C'est à ton tour d'être enfermé dans un bocal à ce que je vois... »Enfin, quelqu'un qui comprenait ma souffrance ! Jamais je ne prendrais un aquarium avec des poissons. Je comprenais leur douleur maintenant. D'un oeil rougis par la grippe, j'observais Théo. Il devait être en service, car il était vêtue de blanc. « T'es venue voir les bêtes de laboratoire. C'est sympa de penser à nous. Je suis sûr qu'ils doivent être heureux d'avoir quelque chose à faire là-dedans.» D'un mouvement de tête, je désignais la porte derrière lui. Une porte qui menait à la liberté et aux docteurs. J'avais parlé d'une voix rauque affaiblie par cette merde qui se baladait dans mon corps.

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Je ne pus instinctivement m'empêcher de tourner la tête dans la direction qu'il avait indiqué avec un mouvement de sa propre tête. Et si l'on pouvait appelé ça une tête...Comme si la tronche du nain de Blanche-Neige, appelé Atchoum, avait prit possession de son propre visage. Il fallait à tout prix que je me retienne de rire, parce que sinon il n'allait pas bien le prendre du tout. « T'es venue voir les bêtes de laboratoire. C'est sympa de penser à nous. Je suis sûr qu'ils doivent être heureux d'avoir quelque chose à faire là-dedans. » Quelle basse estime il avait des médecines celui-là. Mais je pouvais parfaitement le comprendre, se retrouver ainsi enfermé derrière une vitre avec d'autres personnes dont des personnes que tu ne connaissais pas, ça devait être horrible. Je ne m’imaginais certainement pas derrière, j'allais péter un fichu câble. Je dus quand même prendre en compte le fait qu'il s'était avancé vers moi et qu'il me parlait. Un poids s'effaça de ma poitrine mais le doute persistait néanmoins. « Mais allez t'inquiètes Bobby, je suis sûr que tu vas vite sortir d'ici. » Ils allaient pas tous non plus mourir ici à ce que je sache. « Et je sais de source sûre qu'ils s'activent pour tenter de vous sortir de là. Sauf si ce sont des psychopathes sadiques et qu'ils kiffent vous savoir là. » Je me grattais le menton perplexe. Je déconnais bien évidemment. « Sinon comment tu t'sens ? » Comme une grosse merde, pas besoin de lui demander ça se voyait. « Et c'est pas Aaron là-bas avec toi ? »

(Invité)

« Mais allez t'inquiètes Bobby, je suis sûr que tu vas vite sortir d'ici. » Ce n'est pas ce que j'appelais de vite. ça faisait au moins dix ou douze heures que j'étais coincé ici. Je n'avais jamais aimé les hôpitaux et encore moins y dormir. « Et je sais de source sûre qu'ils s'activent pour tenter de vous sortir de là. Sauf si ce sont des psychopathes sadiques et qu'ils kiffent vous savoir là. » J'avais l'impression d'avoir attérie dans un mauvais film annonçant la fin du monde. Je ne savais même pas quoi lui répondre, si ce n'est qu'ils avaient intérêts de remuer leur popotin ou sinon, j'allais péter un câble. Ce matin, ils nous avaient donnés des cachets pour éviter les écoulements de nez. Cela avait fonctionné, mais ça n'avait pas enlevé les rougeurs au niveau des narines ni les brûlures que cela m'occasionnait. Je mettais mes mains dans les poches de cette ridicule blouse blanche. J'avais l'air ridicule avec ce haut long. Heureusement, on avait un pantalon blanc. Le top du top, attention ! « T'es venu pour me voir ou te moquer de moi. Me dis pas le contraire, je vois que tu te retiens de rire.» Ce n'était pas drôle, mais je pouvais comprendre. J'aurais fait la même s'il se serait retrouvé à ma place. « Sinon comment tu t'sens ? » Il voulait faire la conversation, mais il commençait mal. « Je me sens super bien ! Franchement, j'ai pas la classe dans cette blouse ?» Je n'étais pas pudique, mais là, j'avais l'impression d'être à poile. Allez venez tous matter Wyatt Guerin ! « Et c'est pas Aaron là-bas avec toi ? » Je me retournais lentement comme un pépé. « Si, y a Emrys aussi. Manque plus que toi et on fera le quator parfait !» J'essayais de déconner, mais j'avais perdu mon sens de l'humour.

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three hotties sick ...

© Kaiji
J'avais ouvert les yeux, pour me rendre compte que mister perfect ass avait disparu. Comment j'allais faire pour rester seul moi qui supportait très mal d'être malade, dieu avait vraiment quelque chose contre moi, j'ai du faire un mariage blanc, j'ai du supporter le fait d'avoir de la famille cachée, et maintenant j'attrapais la maladie du siècle, sans compter qu'on m'avait habillé comme un cadavre et que je n'avais aucun contact avec le monde extérieur.

J'avais perpetuellement envie de vomir, j'avais chaud, mais ce n'était pas encore la fièvre que j'avais ressenti au début en arrivant.

J'entendis des bribes de conversations, un peu plus loin.

Je retrouvais mister perfect ass et Jamie.

"Te voilà enfin !" j'étais vraiment content de le voir, ça voulait dire que l'infirmière avait fait son boulot et qu'il avait ramené ses petites fesses aussi.

"on m'a demandé un numéro, j'ai directement pensé à toi, en même temps t'es un des seuls numéros que j'ai réussi à retenir, mais bon.

Apparemment je sentais que j'avais raté des trucs entre mes deux bff.

"Ben alors tous les deux, bon toi t'es malade c'est normal que t'es une tête de constipé, mais qu'est-ce qui se passe Jamie ? Tu m'as ramené un magasine ?"

Oh oui pour un malade je parlais beaucoup, histoire d'évacuer mon stress, bordel, mais je voulais savoir ce que je savais, si j'allais devoir mourir, que quelqu'un fasse les démarches, pour mon cercueil, qu'on creuse ma tombe en Namibie.

"sauve moi d'ici JAMIE.

Je lançais un regard de chien battu, mais de tout façon qu'est-ce qu'il pouvait faire ?

"on va mourir, tfaçons je savais que j'allais mourir jeune" dis-je d'un air totalement naturel.

« T'es venu pour me voir ou te moquer de moi. Me dis pas le contraire, je vois que tu te retiens de rire. » Je perdis instantanément mon sourire. Je prenais un peu ma revanche sur le coup de poing qu'il m'avait collé, je devais le reconnaître. « Pardon, mais dans le cas contraire, nie pas que tu ferais la même chose. » Ce n'était pas méchant. C'était juste une évidence. « Je me sens super bien ! Franchement, j'ai pas la classe dans cette blouse. Si, y a Emrys aussi. Manque plus que toi et on fera le quator parfait ! » Oh bah au moins il était bien entouré celui-là. Si jamais mon tour venait, j'allais finir tout seul. « Te voilà enfin ! » Tiens Aaron venait de se ramener et je lui fis un grand sourire. « On m'a demandé un numéro, j'ai directement pensé à toi, en même temps t'es un des seuls numéros que j'ai réussi à retenir, mais bon. » Je fis un signe avec ma tête. « Je suis là pour ça, ne t'excuse pas d'avoir donné mon numéro, au contraire. » Je ne savais pas pourquoi mais les voir tous les deux enfermés comme des chiens battus ça me donnait limite envie d'chialer. « Ben alors tous les deux, bon toi t'es malade c'est normal que t'es une tête de constipé, mais qu'est-ce qui se passe Jamie ? Tu m'as ramené un magasine ? » Je ne pus m'empêcher de rire en lui montrant mes dans les poches de ma blouse blanche. « Désolé, j'y ai pas pensé, mais dés que je repasse j'y penserais. » Je sautais volontairement la partie "qu'est-ce qui se passe entre vous". Si jamais Wyatt voulait lui raconter, je n'allais pas l'en empêcher mais c'était encore trop frais entre nous. « Sauve moi d'ici JAMIE. On va mourir, tfaçons je savais que j'allais mourir jeune. » Je fis un mouvement de tête avec un grand sourire. « Mais allez arrêtes. Il ne va rien vous arriver c'est qu'une mauvaise passe mais personne ne va mourir et surtout pas vous, manquerait plus ça ! » Je marquais une pause, adoptant pour un sourire taquin. « Ne vous transformez pas non plus en zombie pour nous refaire un remix de The Walkind Dead, hein ? »

(Invité)

Aaron venait d'entrer dans la pièce des visites. Il pouvait pas se passer de moi celui-là (a). C'était étrange d'être réunis et séparé par une vitre. « Ben alors tous les deux, bon toi t'es malade c'est normal que t'es une tête de constipé, mais qu'est-ce qui se passe Jamie ? Tu m'as ramené un magasine ? » Attention mesdames et messieur : la question qui gâche. Théo faisait comme s'il n'avait rien entendu. Je lui jetais un regard. Pourquoi parler de ça ? D'ailleurs, j'étais assez mal comme ça et je ne voulais pas remettre cette histoire sur le tapis. Cela allait entrainer des frictions entre lui et moi. Si jamais il m'arrivait un truc, je ne veux pas que l'on soit en mauvais terme. « Sauve moi d'ici JAMIE. On va mourir, tfaçons je savais que j'allais mourir jeune. » J'esquissais un sourire tandis que Théo essayait de rassurer Aaron. Je fixais mon meilleur ami à travers la vitre lorsqu'une crampe assaillait mon estomac. J'avais atrocement mal, mais je tâchais de faire bonne figure. « Ne vous transformez pas non plus en zombie pour nous refaire un remix de The Walkind Dead, hein ? » Mon dieu pas cette série. Je ricanais, mais cette action restait difficile étant donné les douleurs que je ressentais. Je restais en recule derrière Aaron pour que Théo ne devine pas mon état. «Dit, tu pourrais pas nous ramener un poste de musique ? C'est morbide ici, on a même pas de télé. Même pas de bière !»

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three hotties sick ...

© Kaiji
Pourquoi est-ce qu'on me cachait des choses ? Bon d'accord, je n'avais pas été le meilleur ami rêvé, mettre barré pendant trois mois et demi, et j'avais raté ce qui semblait comme cent épisodes de la série Harvard community.

J'avais vraiment chaud, est-ce qu'il pouvait au moins me donner un truc pour me calmer ? Je détestais l'hôpital, traumatisme d'enfance, j'avais fait une mauvaise chute d'une colline quand j'étais petit et j'étais tombé dans le coma. Et la prochaine chose que j'avais vu c'était des mecs en blouse blanche en train de me regarder, le traumatisme, le gros choc, si au moins ça avait été une jolie infirmière.

Je lançais un regard à Wyatt du genre "toi-t'as-des-choses-à-me-raconter-sinon-gare-à-tes-fesses"

"Jamie vu qu'on a pas de réseau, et qu'on est au courant de rien, tu peux nous dire ce qui se passe un petit peu dehors ? Tu vois un peu d'espoir." le suppliais-je pratiquement.

Je ris à sa blague sur les zombies, mauvaise idée, mon ventre s'était remis à danser un chacha digne d'un carnaval antillais.

"Si on commence à baver et à vouloir te manger le cerveau un conseil... vise les burnes, moyen efficace de nous mettre K.O mais pas trop fort, je veux avoir des enfants...."

Oulala, est-ce que j'aurais des enfants ? Pourquoi est-ce que je vire psycho comme ça ? Le bon dieu me haïssait au point de rendre toute chose dans mon esprit incertaine. Je n'allais pas mourir, du moins pas dans les prochaines minutes.

Mais bon, ça m'embêtait en même temps de pas savoir tout ce qui se passait entre Wyatt et Jamie.

"Bon sérieusement les mecs, j'ai raté des choses, je sais que je suis pas le mieux placer pour parler, mais vous me cachez quelque chose ?"
fallait pas me prendre pour un sourd et aveugle non plus.
Bingo, la prochaine fois je viendrais habiter à la Winthrop House, comme ça je ne manquerai rien du touut.

C'est dingue ce qu'on pouvait regretter les choses simples quand on avait plus l'occasion de les faire.

« Dit, tu pourrais pas nous ramener un poste de musique ? C'est morbide ici, on a même pas de télé. Même pas de bière ! » Je ne pus m'empêcher de me retourner vers mon meilleur ami en fronçant les sourcils. Il était pas sérieux tout de même ? Oh si, il en avait tout l'air. « Pas besoin de télé, vous créer votre propre film d'épouvante à vous tout seuls ! » Je riais un peu avant de me reprendre et de le menacer avec l'index. « Et pas de bière ! Avec les médocs et tout l'bordel. Il est hors de question. Par contre, j'vous rapporterais des revues pornos. » J'eus un grand sourire entendus alors que Aaron reprenait la parole. « Jamie vu qu'on a pas de réseau, et qu'on est au courant de rien, tu peux nous dire ce qui se passe un petit peu dehors ? Tu vois un peu d'espoir. Si on commence à baver et à vouloir te manger le cerveau un conseil... vise les burnes, moyen efficace de nous mettre K.O mais pas trop fort, je veux avoir des enfants.... » Je me mis à rire un peu, parce que comme je passais toutes mes journées dans cet hôpital, la vie réelle dehors me semblait bien loin. Mais non, je ne comptais pas viser leurs burnes voyons. « Mais non vous n'allez pas crevés et tu ferais plein de mini Aaron pour notre plus grand bonheur ! » Je secouais la tête avec un sourire. « Bon sérieusement les mecs, j'ai raté des choses, je sais que je suis pas le mieux placer pour parler, mais vous me cachez quelque chose ? » Là je perdis instantanément mon sourire, jetant un coup d'oeil en biais à Wyatt. « Eh bien, s'tu veux tout savoir. J'me suis marié avec sa copine à Vegas et depuis Wyatt m'en veut. » Et il avait toutes les raisons du monde.

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« Pas besoin de télé, vous créer votre propre film d'épouvante à vous tout seuls ! » Haha très drôle. Merci vieux. « Et pas de bière ! Avec les médocs et tout l'bordel. Il est hors de question. Par contre, j'vous rapporterais des revues pornos. » Pas de bière ?! Pourtant, ça ne me ferait pas de mal. D'ailleurs, ça ne me ferait que du bien, car l'alcool me permettrait d'atteindre un état second et de ne pas penser à cette fichue douleur. Je ricanais quand il mentionnait les revues pornos. « Vas y tu peux même pas nous en ramener en cachette.» Je faisais un signe de la main. «Bah laisse tomber. Pour ce qui est des revues, c'est gentil, mais vu notre état, je crains que l'on ne soit pas capable de dresser le capitaine!» Je n'ai pas donné de surnom à mon sex, alors autant dire le capitaine. C'était moins ridicule que de l'appeller par un prénom. Imaginé, certain appelle leur sexe Jean-Paul. Non, mais sérieusement, comment ça pouvait faire fanstamer des nanas ?! « Bon sérieusement les mecs, j'ai raté des choses, je sais que je suis pas le mieux placer pour parler, mais vous me cachez quelque chose ? » Merci Aaron, tu ne nous rendait pas service. Je ne voulais pas en parler. Surtout, que j'allais passer pour un con. Bien sûr, Théo ne réussissait pas à garder sa langue dans sa poche : « Eh bien, s'tu veux tout savoir. J'me suis marié avec sa copine à Vegas et depuis Wyatt m'en veut. » Merci, ma fierté prenait un double coup. Je levais les yeux au ciel avant de souffler. « Je lui ai mis un poing dans la tronche.» disais-je pour rassurer Aaron de ma fierté. J'avais des couilles quand même ! «De toute façon, ils vont bientôt divorcer.»

(Invité)

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