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(+ Ana) hope it gives you hell

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Journée plutôt calme s’annonçant pour le beau brun, et pour cause, il n’avait pas de partiels de prévus avant au moins quatre jours et possédait donc tout le temps du monde pour répéter les partitions qu’il jouerait à son prochain concert prévu à New York. Il se baladait donc dans le couloir près du hall principal, se dirigeant doucement mais sûrement vers les casiers, son écrin de violon en main tel le dandy qu’il savait si bien être avec sa touffe de cheveux complètement en bataille. Une belle journée en perspective si et seulement si il ne s’était pas pointé tout près des casiers et n’avait pas croisé au loin le regard d’une demoiselle blonde bien loin de lui être inconnue. Anastasia. Enfer et damnation, malédiction suprême, pourquoi diable fallait-il qu’il tombe sur cette abandonneuse de première alors que sa journée s’annonçait tellement charmante ?! Eventine fronça un instant les sourcils avant de l’ignorer superbement pour ouvrir son casier : le fait de prendre ses partitions et de se tirer sans demander son reste devenait une question de survie désormais. « Pas vrai ça » maugréa-t-il plus pour lui-même qu’autre chose, passablement douché dans son enthousiasme.
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Oh mon dieu, j'étais en retard, superbement en retard si je puis dire. Mon cours d'histoire avait déjà commencé et je venais à peine d'arriver à Harvard. Je pestais contre moi-même, marchant à une vitesse bien trop rapide pour moi. Et merde! Je venais de penser que tous mes cours étaient dans mon casier, et je pestais à nouveau. A priori, quelqu'un de surnaturel ne voulait pas que j'aille en cours aujourd'hui et cette histoire commençait réellement à m'énerver. Bon, le cours était facultatif et me rendant à l'évidence, j'avais déjà accumulé au moins dix minutes de retard et je ne pouvais pas entrer dans l'amphithéâtre après tout ce temps. Je soupirais avant de me rendre tout de même aux casiers pour récupérer mes affaires. Bon nombre de personnes étaient encore là, certainement en retard comme moi ou simplement à l'avance pour le cours suivant. La pièce avait beau être bondée, je l'aurai reconnu entre mille. Bordel, c'était bien lui. Instinctivement, j'écarquillai les yeux, ne croyant pas à ce qui se présentait devant moi. Quand il croisa mon regard, je ne pus m'empêcher de lui lancer un magnifique sourire auquel il ne répondit pas. Il tourna même la tête.. J'effaçai tout de suite cette esquisse de mon visage et malgré les trois années de silence, je voulais lui parler. Je m'approchai de son casier, me faisant toute petite pour une fois. « Ev.. Je suis tellement heureuse de te revoir, si tu savais. » Je me mordillai la lèvre, totalement consciente qu'il devait être très énervé contre moi. Ne pas donner de nouvelles pendant trois ans, ça affecte.
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D’ordinaire, les gestes d’Eventine étaient précis, éclatants, sans hésitation aucune… mais pas aujourd’hui. Ses mains tremblaient légèrement, à l’image de cette vision inattendue venant tout juste de lui sauter aux yeux. Il se surprit presque à vouloir être ailleurs, très loin, à Monaco même pourquoi pas… mais une fois qu’il eut rouvert ses paupières, après quelques secondes seulement de prière, il découvrit avec horreur qu’il se trouvait toujours devant son casier, dans ce maudit couloir de l’université dont il foulait le carrelage depuis maintenant quatre ans. Mais ce n’était pas la fin. Bientôt, une voix qu’il n’avait pas entendue depuis plus de trois ans s’éleva dans l’atmosphère et ne lui arracha rien d’autre qu’un énième soupir. Eventine aurait très bien pu ne pas la regarder, l’éviter, faire comme si elle n’existait pas exactement comme elle l’avait fait pour lui quelques années plus tôt… mais alors il n’aurait pas mieux valu qu’elle. « Ah oui, vraiment ? » lança-t-il d’un ton sec et tranchant avant de croiser son regard sans amabilité aucune. Les deux du beau brun étaient plus noirs encore que d’habitude et dégageaient une telle froideur qu’ils auraient pu glacer quelqu’un en quelques secondes à peine. « Je pourrais très bien te dire que tu n’as pas à t’adresser à moi de manière si familière mais ce serait une perte de temps et je ne suis pas connu pour aimer le perdre justement. J’ai beaucoup à faire et comme il se trouve que tu as trouvé tellement mieux à faire en trois ans que de t’intéresser à mon sort, il me semble que nous nous sommes tout dit » poursuivit-il avant de prendre les premières partitions se trouvant à portée de sa main pour mieux refermer son casier d’un geste rageur et dépasser Anastasia, sans un seul regard. C’était la première fois qu’il agissait ainsi envers elle…
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Son ton était glacial, sans aucune compassion, aucune gentillesse. Je déglutis, rivant mes yeux vers le sol pour ne plus affronter ses yeux aussi noirs que l'ébène. Pour la première fois de toute ma vie, j'avais peur de cet homme que je considérais comme mon meilleur ami. Je m'en voulais tellement de l'avoir abandonné ainsi, mais ce qu'il ne savait pas, c'est que tout était contre mon gré. Je relève mon regard vers lui, sans le regarder dans les yeux, je ne pouvais pas supporter la façon dont il posait son regard sur moi. Je m'en pris, comme je m'y attendais, plein la figure. J'étais décomposée, détruite comme il avait dû l'être quand je n'ai plus donner de nouvelles. Je pouvais ressentir sa peine tant elle était forte, mais bordel, qu'est-ce que j'avais mal moi aussi. Ma gorgée était complètement nouée, je ne pouvais pas dire un mot, j'étais.. pétrifiée. Mes yeux s'embuèrent de larmes mais je me promis de ne pas pleurer, j'étais plus forte que cela. C'est quand Eventine partit après m'avoir injurié que je retrouvai la parole. « C'est pas c'que tu crois putain, je t'en prie il faut que tu me fasses confiance ! » criais-je dans son dos, priant qu'il fasse demi-tour. Je me rendis compte que j'avais vraiment besoin de lui, et que j'avais fait une grosse erreur de ne pas reprendre contact quand j'étais sorti des griffes de ce monstre. Je n'avais pas eu le courage de le retrouver, mes affaires de drogue et mes études ne m'en avaient pas donné l'occasion..
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Eventine n’estimait pas avoir de temps à perdre avec une nénette lui ayant tourné lâchement le dos alors qu’elle comptait énormément pour lui par le passé. Anastasia n’avait-elle pas été son amie d’enfance, et même sa meilleure amie ? Ils étaient comme cul et chemise, se disaient tout, n’avait aucun secret l’un pour l’autre… mais ce temps s’avérait révolu, manifestement. Désormais, il n’y avait plus que l’amertume et les regrets pour combler ses pensées lorsqu’il songeait à Ana. Il n’eut donc aucun scrupule à la dépasser dans le couloir, pensant, naïvement sans doute, qu’elle laisserait tomber l’affaire comme trois ans plutôt mais sa voix retentit néanmoins dans le couloir désert et sans qu’il ne puisse avoir le moindre contrôle dessus, cet état de fait le stoppa dans son élan. Il se tourna en conservant cet air sévère et froid mais il lui offrit néanmoins une nouvelle attention. Celle-ci risquait d’être courte, autant que la belle blonde sache frapper vite et bien sans quoi le portrait se refermerait définitivement sur elle, sans possibilité de retour en arrière. « Confiance… tu me parles de confiance alors que tu rayes tes amis pendant trois ans comme s’ils n’avaient jamais existé ?! Manifestement, nous n’avons pas la même image de l’amitié et bien que je trouve cela dommage, je ne suis pas certain d’être disposé à revenir sur ces coups de fils, ces lettres et autres mails restés tous sans réponse. Mais puisque tu sembles être si sûr de moi je t’écoute, quel épisode j’ai loupé dans ce que je viens d’énoncer ?! »
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Il savait parfaitement quoi me dire pour me mettre dans un état pitoyable. Malheureusement pour moi, Eventine avait raison sur tous les points et aucune excuse ne pouvait être valable. Comment pouvais-je lui dire que j'avais été enfermée pendant trois ans ? Coupée de tout contact avec quiconque. Bien entendu, il m'était formellement interdit d'utiliser un téléphone, sinon j'étais certaine de prendre des coups. Je ne pouvais toujours pas le regarder dans les yeux, mortifiée et dévastée par tout ce qu'il venait de me dire. J'étais à bout et je ne pus m'empêcher de repenser à ce passé que je tentais d'effacer chaque jour. Sans prévenir, une larme roule sur ma joue mais je m'empresse de la sécher. Je ne veux pas paraître faible devant cet homme que j'aime tant. Cette fois-ci, j'essaie à tout prix de fixer son regard, toujours aussi sombre. « C'est pas si simple ! Tu me crois vraiment capable de t'abandonner tout ce temps, de mon plein gré ? Non Eventine, tu comptais beaucoup trop pour moi pour que je fasse une chose pareille bon sang ! Au niveau de l'épisode manqué dans ma vie désastreuse, tu serais surpris en effet ! » Je n'avais pas crié, mais j'avais haussé le ton. J'étais peut-être aller trop loin, et il voudrait surement en vouloir plus après cela. Ou ne plus vouloir me parler du tout..
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La larme d’Anastasia n’échappa bien évidemment pas à Eventine mais si elle pensait l’amadouer avec un stratagème vieux comme Erode, elle se plantait le doigt dans l’œil jusqu’au séant. Il ne bougea pas d’un pouce ni même n’adoucit son expression, attendant la moindre faiblesse pour tourner les talons et ne plus jamais revoir cette blonde ayant révolutionné sa vie. Merde, qu’attendait-elle de lui au juste ? Qu’il rampe après s’être fait soigneusement abandonner puis ignorer pendant trois longues années ?! A ses yeux, l’amitié avait un peu plus de crédit que cela et il était fatigué d’avance de cette confrontation qu’elle l’obligeait à supporter alors qu’en théorie, la journée s’annonçait si belle… « Ta vie désastreuse, hein… » Le jeune prince n’irait certainement jamais jusqu’à prétendre que pendant trois ans elle n’en n’avait pas soupé, mais les énigmes n’avaient jamais été sa tasse de thé, ce n’était pas pour rien qu’il était violoniste et non archéologue. Néanmoins, sa curiosité fut piquée au vif par cette phrase laissée en suspend aussi se rapprocha-t-il, à pas extrêmement lent, tout en sachant qu’il pourrait toujours la planter là si son haussement de ton finissait par lui déplaire. « Figure-toi que je n’aime toujours pas lire entre les lignes ou déchiffrer l’indéchiffrable alors si tu veux me détromper et me prouver que tu n’es pas juste une nénette qui a piétiné notre belle amitié et brisé mon cœur je t’en prie, je t’écoute ! Mais sois claire et concise car ne compte pas sur moi pour aller à la pêche aux indices » lui tendit-il la perche, sûrement poussé par leur belle amitié d’antan, alors qu’il se trouvait désormais planté devant elle, le visage aussi impassible et impénétrable qu’il n’avait été précédemment furieux.
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Certes, peu de monde connaissait le luxe dans lequel je vivais. D'un claquement de doigt, je pouvais obtenir mes moindres désirs et ça, Eventine le savait très bien. Il ne se doutait pas une seule seconde de la vie beaucoup moins glorieuse que j'avais mené quelques années auparavant, et dieu, que c'était difficile de lui en faire part. La honte m'envahissait peu à peu, je ne parlais de ça à personne, mais il ne pourrait pas le comprendre si je ne lui avouais rien. Personne ne pourrait comprendre sans les explications requises, surtout après trois ans de silence. « J'ai tellement honte.. Bien sûr que je meurs d'envie de t'en parler Ev, mais c'est si difficile ! » Je l'implorais presque tant j'étais attristée par le tournant de notre amitié, qui était en parti ma faute. Je ne pouvais pas lui dire que j'étais soupçonnée de meurtre, mais je pouvais tout de même lui faire confiance sur mon mariage arrangé. « J'en parle vraiment à personne tu sais.. En tout cas de mon côté, j'ai besoin de sauver notre amitié car elle compte à mes yeux, que tu le crois ou non. Je.. J'ai.. Je me suis mariée à dix-huit ans. » En y repensant, ce n'était peut-être pas la meilleure manière de dire cela, c'est pourquoi je me repris rapidement - notre proximité était des plus déconcertantes. « J'ai été mariée de force, si tu préfères. » Oh que non, je doute qu'il préfère cette version des faits, mais c'était la simple vérité.


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Que ce soit difficile, Eventine voulait bien l’entendre, un milliard de fois même. Il n’était pas exempt de difficulté dans sa vie, notamment à cause de son insuffisance cardiaque n’ayant de cesse de s’aggraver de mois en mois mais en l’occurrence, le projecteur n’était pas braqué sur lui : le jeune prince avait besoin de comprendre, de savoir que ces trois ans de silence n’avaient pas été vécus pour rien et qu’au bout du compte, Anastasia n’était pas cette bitch de lâcheuse comme il l’avait cru bien trop longtemps. « Commence par une phrase avec sujet, verbe et complément » proposa-t-il non pas en vue de la singer mais parce qu’il ne pouvait guère dire grand-chose d’autres dans ces conditions, pas alors qu’il ne connaissait pas son problème. « Peut-être que tu n’en n’as parlé à personne… en tout cas j’espère que si tu as abandonné d’autres personnes, elles l’ont mieux vécu que moi » reprit-il en haussant les épaules avant de ne se prendre purement et simplement un uppercut en pleine face. De quoi ? Qu’ouïe, qu’entends-je, qu’accoustiquais-je ? « Comment ça mariée de force ?! Même dans les familles royales ce procédé vieux comme mes roses ça ne se fait plus… il va falloir que tu m’expliques parce que là je ne pige pas : tu as tourné le dos à notre amitié parce que tu t’es… mariée ?! » Eventine ne saisissait même pas en quoi c’était un problème. Mais sûrement Ana allait-elle l’éclairer… il l’espérait tout du moins !

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Comme je m'y attendais, il ne voulait rien entendre - du moins pas comme il le fallait. Je soupire, rivant mon regard au sol, lessivée. A cet instant, j'en ai vraiment marre de m'en prendre plein la figure et j'ai juste envie de partir. La seule raison pour laquelle je reste, c'est lui. Pitoyable n'est-ce pas ? Vu de la manière dont il me parle, n'importe qui aurait déjà foutu le camp. « Ouais. » répondis-je simplement, omettant d'ajouter que dans ma vie d'adolescente, seul cet homme comptait. Si j'avais ne serait-ce qu'oser lui dire, je me serai encore faite incendier. Je plongeai mon visage entre mes mains, soufflant d'exaspération, cette situation me dépassait vraiment. Je n'avais pas l'habitude d'être désarçonnée ainsi. « Mon père avait des problèmes avec son entreprise, ça allait couler, y'avait plus personne pour investir sa putain de boîte.. Et il a trouvé ce gars, un grec qui acceptait de relancer son entreprise contre une de ses filles. En l'occurrence moi, car tu connais ma soeur, la prunelle de leurs yeux. » Bien que j'adorai ma soeur, j'avais toujours eu une certaine rancoeur envers elle, mes parents l’idolâtraient tellement. J'en avais trop dit, ou peut-être pas assez qui sait, mais j'étais certaine qu'il ne se calmerait pas de si tôt.. Je m'appuyais sur un casier, fatiguée de tout ça, fatiguée de tout lui expliquer. Je me disais que ça en valait la peine, je l'espérais.
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