Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJackie & Aidan ☼ I never meant for this to mean a thing


Jackie & Aidan ☼ I never meant for this to mean a thing

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Le lendemain du réveillon était difficile. Le blocus concernant la tempête avait finalement été levé, et les impressions d'Aidan concernant cette soirée laissait comme un goût d'amertume en bouche. Pour plusieurs raisons. De ses déambulations incessantes dans l'espace restreint de sa chambre, l'air appelait plus que jamais sa cage thoracique à se traîner vers l'extérieur. Un seul prénom se murmurait à ses lèvres assommées. Jackie. Voilà qui allait lui redonner de l'allant, du goût à sa terne journée, peut-être même des réponses à certaines de ses questions. Pour la peine, il n'envoya pas de texto à son amie, jugeant qu'il était bien mieux de lui faire la surprise de son intrusion. Le Peintre prit donc la direction d'Innam Square et se rendit jusqu'à l'appartement que le Cabot occupait souvent le week-end. Malgré la superficialité apparente de leur relation, elle était une des rares dont il connaisse les habitudes. Aidan avait acheté un café et un chocolat pour la blonde ainsi que deux bagels. C'est avec son air de parfait crétin qu'il sonna à sa porte. « Bonne Annéeeeeeeee Indiana ! Ne fais pas cette tête, je sais que tu n'attendais que moi ! » dit-il tout à coup enjôleur. Oui elle n'attendait que lui... ou pas !
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Les fêtes s’étaient plutôt bien passée. J’avais passé noël avec mon père et sa nouvelle chérie. Une soirée plutôt calme finalement. Ils s’étaient montrés agréable et amoureux. J’en étais ravie. Pour le nouvelle an, j’étais allez au bal du réveillons. J’avais passée la plupart de ma soirée avec Léo. Bizarre. La personne qui en soit m’énervait le plus. Nous avions discuté et finalement cette trêve m’avait fait beaucoup de bien. Heureusement, j’étais partie juste avant d’être prise au piège, j’avais finalement terminé ma soirée dans un bar branché de mon quartier.

Le réveille fut difficile. J’avais passé le plus clair de ma mâtiné dans mon lit. Après plusieurs heures de flânerie, je décidais de me lever. Une bonne douche allait me faire le plus grand bien. Une fois prête, j’avais enfilé un short, des longue chaussette et un gilet. Mon programme ? Un bon vieux film pour commencer l’année en douceur. J’étais tranquillement installée dans mon canapé lorsque j’entendis quelqu’un frapper. Mon regard se fronça. Qui sa pouvait bien être. J’allais vers la porte et ouvris la porte. Aidan. « Bonne Annéeeeeeeeeee Indiana ! Ne fait pas cette tête, je sais que tu n’attendais que moi ! » j’affichais un sourire et finis par lui dire : « Bonne année monsieur Norrington » je constatais ensuite le chocolat chaud qu’il tenait à la main. J’ouvris la porte un peu plus pour qu’il entre dans mon appartement. « Je t’attendais, tu aurais sonner quelque minutes avant je t‘aurais ouvert en peignoir » dis-je en rentrant dans son jeux et en rigolant. Je fermais la porte et finis par lui prendre le chocolat chaud des mains. « Et bah c’est qu’on commence à me connaitre » dis-je avec un petit sourire.
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La compagnie de Jackie et c'était tout de suite bien plus léger. Elle lui prit le chocolat des mains et leur petit jeu habituel commença. « Mais je suis ravi, tu sais bien l'obsession que je nourris pour les shorts courts et les longues chaussettes. » Tandis qu'il prononçait ses mots, il détaillait légèrement moqueur la tenue de son amie. « Tu commences à ne plus être un mystère pour moi . » Ses prunelles claires se posaient sur les siennes, il aimait la légèreté qu'apportait Jackie à sa vie, ne prêtant guère attention aux conséquences de leur petit jeu d'équilibriste. Il n'était jamais trop venu dans l'appartement de Jackie, à part peut-être une fois ou deux pour venir la chercher, mais il le trouvait complètement douillet. Il posa son café sur la table non loin de l'entrée et attrapa doucement la blondinette par la taille. Approchant son front du sien, il murmura joueur : « J'ai bien le droit à mon bisou de bonne année ? » Son sourire découvrait ses dents, lui donnant des allures de prédateur mais le Peintre lui tendit aussitôt sa joue, espérant que la Cabot répondrait à cette simple faveur.
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" Mais je suis ravi, tu sais bien l’obsession que je nourris pour les shorts courts et les longues chaussettes ". Aidan ne semblait pas difficile, un short et des longues chaussettes semblaient faire l'affaire. J'affichais un sourire amusé et finis par lui dire : " Et bien, il ne faut pas grand chose pour vous plaire monsieur Norrington " dis-je avec un petit clin d'oeil. Par pur provocation je tendis ma jambe. " Pas mal les chaussettes hein ". Des belle chaussettes qui finalement reflétaient plutôt bien l'esprit festif de ces derniers temps. J'étais surprise mais contente de le voir ici. " Tu commences à ne plus être un mystère pour moi ". J'affichais un petit sourire. C'est vrai qu'Aidan commençait à connaitre pas mal de chose de moi. Mes habitudes ne semblaient plus être un problème pour lui. Je le regardais dans les yeux sans rien faire pour finalement dire : " Je suis sur que je peux encore vous surprendre monsieur Norrington ". Je me mis à rire et je m'appuyais sur ma table à mangé. Aidan s'avança et posa son café. Il s'avança encore un peu pour me prendre par la taille. J'aimais notre relation. " J'ai bien le droit à mon bisou de bonne année ? " mes mains se posèrent sur les épaules du jeune homme qui avança sa joue. Je me mis à rire. J'avançais pour lui chuchoter à l'oreille. " Bah alors on manque d'affection en ce premier jour de l'an? " dis-je avec un petit sourire pour finalement déposé mes lèvres contre sa joue. Et lui fis une dernière fois : " Bonne et heureuse année ".
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De ses prunelles amusées, il aimait à se contempler comme dans un miroir. Le jeu dansait sur la réciproque, les échanges de mots et de blagues l'un sur l'autre. « Certes. » Il ne lui en fallait pas beaucoup non, surtout quand la fille était désirable. A partir du moment où une femme lui plaisait, elle pouvait bien être recouverte d'une bâche, cela lui était égal. Jackie avança ensuite le fait qu'elle espérait encore le surprendre, il n'en doutait pas un seul instant, la Cabot semblait avoir adopter la surprise comme lot quotidien et surtout comme crédo. « J'espère bien. » Ses prunelles célestes se posèrent quelques instants sur elle avant qu'un nouveau sourire n'éclaire ses traits. Le jour où il ne serait plus surpris en sa compagnie, c'est que quelque chose aura été brisée. Aidan ne redoutait rien de plus que la routine. La Tempétueuse lui fit finalement un bisou sur la joue sans se départir pour autant de son rire. « A toi aussi. » lui répliqua-t-il en la regardant tout à fait sérieusement. Puis ses épaules se haussèrent. « Oui, ma soirée de nouvel an s'est finie coincé au gymnase, comme la plupart du campus, mais il me semble bien que tu as réussit à t'échapper avant. » Ses dents vinrent marteler sa lèvre inférieure, oui il l'avait vu en compagnie de Léo, et l'envie de lui reprocher lui brûlait les lèvres, mais il essayait tant bien que mal de s'en abstenir. Ça avait beau pas le regarder, il ne pouvait pas s'en empêcher, ça le martelait quelque part à l'intérieur de lui.
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 « Certes ». Je levais la tête toute fière d’être au gout de monsieur puis je finis par rigoler. Aidan n’était donc pas compliquée. J’avais beau être mystérieuse, Aidan l’était tout autant. C’était excitant et plaisant, j’aimais ça. Je ne lui répondis pas mon comportement parlait pour moi. « J’espère bien » j’espérais moi aussi et jusque là je me débrouillais plutôt bien. J’affichais un petit sourire complice pour finalement lui dire doucement. « Tu ne seras pas déçu ». J’aimais venter mes m’hérites quand il était là. Mes mains étaient sur ses épaules. Je n’avais pas bouger de l’endroit confortable ou j’étais. Aidan semblait conquis, j’en étais ravie « A toi aussi ». Elle lui fit un petit clin d’œil en signe de remerciement. J’espérais que l’année soit bonne. « Oui, ma soirée de nouvel an s’est finie coincé au gymnase comme la plupart du campus, mais il me semble bien que tu as réussit à t’échapper avant. ». Mes yeux se plissèrent comme sa il m’avait vu. Moi qui était persuadée de ne pas avoir attirer l’attention du jeune homme pendant cette soirée. Mes mains se levèrent un peu pour être accrocher au coup d’Aidan. « J’ai réussi à partir avant tout ça. Heureusement d’ailleurs, j’ai pu dormir dans un bon lit douillet » dis-je en levant les yeux au ciel conquis par les atouts que proposaient un bon matelas. J’affichais un sourire et finis par lui dire : « J’étais dehors, la fête était pas terrible et puis je n’avais pas de partenaire » dis-je en faisant une petite grimace. Jackie-Elie Stevensen seul, s’était à inscrire dans les archives. « Et toi alors ? Tu n’étais pas avec June ? » dis-je en sifflotant presque sachant très bien qu'il était au bras de cette fameuse Emma.
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Elle restait un mystère et aimait à en jouer. Lui aussi apparemment. Ce n'était rien de bien méchant, juste un petit jeu entre eux. Aucun des deux ne pouvaient imaginer en cet instant le petit goût d'amertume qu'il risquerait de rester aux lèvres de l'un des deux. A défaut d'autre chose. Ses mains se posèrent autour de son cou et Aidan regardait toujours Jackie, le regard soudain malicieux lorsqu'elle parla de lit douillet. Les mots piquaient sa gorge et il ne pouvait pas les empêcher de sortir. « Le lit de qui ? » Pas le sien c'était certain, mais peut-être pas celui de Léo. Il ne s'avouait même pas que sa venue à l'improviste était en partie due à son obsession de vérifier sa solitude en ce premier janvier. Non les œillères étaient bien plus confortables comme ça. « Ce n'est pas ce que j'ai vu. » dit-il un brin narquois. Effectivement, il l'avait bel et bien vu, mais sûrement pas seule. Non, il l'avait bien vu avec l'homme qu'elle s'était appliquée à fuir la dernière fois, celui pour lequel ils avaient faillit se déchirer pour de bon. Elle lui parla ensuite de June, c'était à croire qu'ils s'adonnaient à un ping-pong de jaloux. Il haussa doucement ses sourcils avant de répondre. « Non j'étais avec Emma. » Bingo.
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 J’étais à l’aise et peu perturbée par la proximité que nous avions. Cette situation pouvait paraitre bizarre aux yeux des autres. Et pourtant tout ceci nous semblait parfaitement normal. L’attirance et le désir se révélaient être finalement le fruit de notre relation. J’aimais être proche de lui. Mes mains se posèrent derrière sa nuque. « Le lit de qui ? ». Ma tête se reculait et se penchait légèrement vers la droite. Surprise de sa question. Mes mains retombèrent sur les épaules du Lowell. Je lui fis : « Le mien… » dis-je presque hésitante. Ma soirée avait été parfaite mais banale. Je n’ajoutais rien d’autre à cela, ne sachant finalement pas trop quoi dire à cette petite question indiscrète. « Ce n’est pas ce que j’ai vu. » mon regard se fronçait. Je me retirais et m’éloignais d’un pas pour finalement croisée mes bras. Je lui fis alors simplement : « Moi qui pensait que tu ne m’avais pas remarquer. Et qu’es que tu as vu ? » dis-je en haussant les sourcils et en affichant un petit sourire histoire de rendre cette situation moins tendu. Aidan semblait troublé et quelque peu tourmenté. « Non j’étais avec Emma. » mon regard se fronçait d’avantage. Je n’appréciais pas cette fille. Je ne l’a connaissais pas, je ne lui avais jamais parler mais l’envie n’y était pas. Je finis par prendre mon chocolat qui était sur la table. « Emma hum… je l’a connais pas » dis-je innocemment. J'étais une piètre menteuse. Je la connaissais ou du moins je savais ce qui se passait entre elle et lui. Je reculais pour prendre appuie sur la table et continua de regarder. Je finis alors par afficher un beau sourire et lui dis : « J’espère que t’as nuit a été bonne » dis-je en apportant mon chocolat à la bouche. Petit clin d’œil Norrington.
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Le petit jeu perdait de son humour. Les sourires réjouis s'effaçaient pour laisser place à d'autres expressions. Jackie se recula et Aidan s'en voulut instantanément d'avoir abordé le sujet. Il n'avait pas à se mêler de cela, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Ils n'étaient pas ensemble, n'avaient pas de compte à se rendre, mais voilà, ils en étaient là. « Tu étais avec ce type de l'autre soir, ce mec qu'on a croisé au bar, tu sais ton ex. Léo. » Il connaissait parfaitement son prénom, mais feignait de devoir le chercher. Son prénom était indélébile, aussi bien que cette sensation d'amertume dans son arrière-gorge à chaque fois qu'il voyait sa tête de gosse de riche prétentieux. « Et tu semblais bien t'amuser. » lui dit-il avec un sourire, ironique précisons-nous. Peut-être que ce n'était pas vraiment de la jalousie, mais cette impression d'avoir été pris pour un couillon, de se sentir prisonnier là, de ce truc bizarre qui battait à l'intérieur de lui. Bizarre comme sensation. « C'est la vice-présidente des Mather, pas vraiment le même genre que toi. » lui dit-il légèrement moqueur. En même temps c'était vrai. Elle lui demanda si sa nuit avait été bonne. « Très bonne. » lui dit-il provocateur en posant ses billes délavées sur les siennes.
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 La situation était étrange. Aidan semblait préoccupé par quelque chose qui me dépassait. J’étais appuyée contre la table et je le regardais. « Tu étais avec ce type de l’autre soir, ce mec qu’on a croisé au bar, tu sais ton ex. Léo ». Mes yeux se froncèrent d’avantage. Je n’étais pas habituée à sa. Aidan n’appréciait pas Léo, c’était du moins ce que je pouvais en déduire. Je ne fis rien, du moins pas encore. Je le regardais dans les yeux. « Et tu semblais bien t’amuser. » A la fin de sa phrase, je me mis à soupirer pour finalement lui dire en fronçant les yeux : « Il me tenait compagnie lui ! Qu’es qui t’énerve tant là dedans ? Hein » dis-je pleine de reproche moi aussi. Je me relevais tranquillement. De la jalousie ? Tout ceci était bizarre. A l’image de notre relation finalement. Aidan n’avait pas bougé mais son regard détaillait chacun de mes mouvements.

Emma. Je n’appréciais pas cette fille même si finalement je ne lui avais jamais parlé. Disons juste que les circonstances m’amenaient à ne pas l’apprécier. « C’est la vice-présidente des Mather, pas vraiment le même genre que toi » me fit-il un brin moqueur. Son comportement m’agaçait. Je lui fis : « Et heureusement ! Je ne suis pas une droguée en manque d‘affection ». Je ne voulais pas lui ressembler et je finis par lui dire : « Quoi que sur le manque d’affection on se ressemble ! » dis-je en haussant les sourcils et en affichant un petit sourire. Petit clin d’œil à la partie de jambe en l’air qu’avait eu Aidan avec cette fille. Je finis par allez dans la cuisine et pris un paquet de brownie au chocolat. « Très bonne ». J’étais dos à lui. Je me mis à soupirer et je levais les yeux en entendant cela. Je vins à nouveau vers lui pour finalement m’installer sur le canapé. « Tant mieux ! Comme ça on a tout les deux passées une agréable soirée ! » dis-je sur un ton un peu provocateur aussi. Je me retournais pour pouvoir le regarder. J’étais partagée entre la satisfaction et l’étonnement.
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