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(+ Lilly) surprised to see me that soon ?

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« Tu ne savais pas que j’étais schizophrène mais que maintenant nous allons mieux ? Et je te rassure ma bibiche, j’ai trouvé le principe de la SPED dans mon petit cerveau rien qu’à moi tout seul ! » singea-t-il sa propre connerie car on pouvait dire beaucoup de choses du jeune prince monégasque, mais pas qu’il soit du genre à péter plus haut que son séant royal. Il avait le goût des choses simples, de l’humour simple, n’aimait pas du tout se prendre la tête et Lilly était bien la première à le savoir : il mettait l’ambiance pour deux à chacune de leurs soirées et ce pour le plus grand plaisir de l’un comme de l’autre, car cela lui faisait un bien fou de n’être régi par aucune règle particulière ni protocole à la noix. « Snif, et moi qui adore t’offrir des marrons glacés… tu sais que c’est encore une raison de me plaindre à la société que tu sais ? Non je plaisante, je me débrouillerais pour en chiper et si par je ne sais quel miracle aucune photo de ce genre n’existe, j’en ferais moi-même histoire qu’elles soient encore plus mieux ! » Ça n’allait pas être triste… sa sœur Charlotte allait le prendre pour un dingue échappé de l’asile s’il lui prenait son fils pour faire un photoshoot improvisé en mode gagatage. Mais ça vaudrait très certainement son pesant de cacahuètes en plomb, à n’en point douter ! « Bora-Bora ? Noté dans un coin de ma tête, princesse ! Imagine-nous en maillots de bain sur la plage, cocktail à la fin et moi un chapeau de cowboy sur la tête… bah quoi c’est mon trip j’y peux rien ! Au moins on ne risque pas de se les geler en mode pas classe avec moufles, manteaux fermés jusqu’au front et nez qui coule… nettement moins sympa de suite l’image ! » Sauf que leur plan de nouvel an de l’année prochaine fut bientôt gâché par une nouvelle crise d’Eventine et malheureusement, le beau brun ne pouvait pas blâmer Lilly pour sa réaction : cela faisait des années qu’il gardait cela pour lui… « Je suis né comme ça. Au début ça ne m’a jamais empêché de vivre, j’étais juste suivi, pourquoi t’inquiéter avec un truc qui ne m’empêchait pas de vivre normalement ?! Mais récemment, ça s’est aggravé. Tu as toutes les raisons du monde d’être en colère mais j’avais juste… envie de continuer à vivre normalement. Mais je me leurre… je ne me lie à personne, je fuis la gente féminine, je ne m’autorise jamais d’être proche de quelqu’un hormis de toi et de quelques autres potes. Pathétique, hein ? A vrai dire, je n’en parle pas parce que j’ai juste envie de faire l’autruche, ne pas y penser. Puis je savais que t’en parler te blesserais… j’me suis planté ? » Dans le fond du regard sombre du jeune prince, on pouvait lire la déception, la peur, mais la colère aussi. Celle de ne pas pouvoir avoir une vie normale envers et contre tous les efforts qu’il pouvait bien fournir dans ce but.
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Eventine me faisait toujours autant rire. Je ne m'ennuyais jamais avec lui, j'adorais sa façon de son comportement. C'est à croire qu'il avait plus l'air d'être le bouffon que le prince quand je l'entend dire toutes ces conneries démesurées. "Tu ne savais pas que j’étais schizophrène mais que maintenant nous allons mieux ? Et je te rassure ma bibiche, j’ai trouvé le principe de la SPED dans mon petit cerveau rien qu’à moi tout seul !" Je rigolais encore et encore, presque à en avoir mal au ventre. « Écoutes, j'avais des doutes, mais maintenant je suis définitivement fixée sur tes soucis mentaux. Et justement, c'est ça qui m'effraie... Le fait de me dire que ça vient de toi. » Il avait l'art d'inventer des trucs sur le moment qui me pliaient toujours en quatre. Mais je comptais bien le retenir son SPED et le lui rappeler un jour de l'autre. D'ailleurs en y réfléchissant bien, je le ferai bien bâtir cette société, ça pourrait lui venir en aide psychologiquement. "Snif, et moi qui adore t’offrir des marrons glacés… tu sais que c’est encore une raison de me plaindre à la société que tu sais ? Non je plaisante, je me débrouillerais pour en chiper et si par je ne sais quel miracle aucune photo de ce genre n’existe, j’en ferais moi-même histoire qu’elles soient encore plus mieux !" Il adorait tellement m'offrir des marrons glacés qu'à chaque fois il m'en ramenait. C'est à se demander s'il ne voulait pas me faire devenir obèse. « J'adore aussi en manger, mais à un moment donné tout me retombera dans les fesses. Faut que je fasse attention à ma ligne! » Oh que oui j'en raffolais de ces marrons glacés. D'ailleurs ils partaient toujours à grande vitesse. Ils ne restaient que deux jours dans leur emballage. "Je suis né comme ça. Au début ça ne m’a jamais empêché de vivre, j’étais juste suivi, pourquoi t’inquiéter avec un truc qui ne m’empêchait pas de vivre normalement ?! Mais récemment, ça s’est aggravé. Tu as toutes les raisons du monde d’être en colère mais j’avais juste… envie de continuer à vivre normalement. Mais je me leurre… je ne me lie à personne, je fuis la gente féminine, je ne m’autorise jamais d’être proche de quelqu’un hormis de toi et de quelques autres potes. Pathétique, hein ? A vrai dire, je n’en parle pas parce que j’ai juste envie de faire l’autruche, ne pas y penser. Puis je savais que t’en parler te blesserais… j’me suis planté ?" Je soupirais. J'en revenais pas que je l'apprenais qu'aujourd'hui. Mon meilleur ami avait ça depuis toujours et je ne m'étais jamais rendue compte de rien. Jamais je me serais douter qu'il souffrait d'une insuffisance cardiaque jusqu'à aujourd'hui. « Je suis pas en colère... Enfin si, mais pas contre toi. Je comprends que tu ai voulu vivre normalement, mais tu sais que tu aurais pu me le dire, ça n'aurait rien changé entre nous. Tu n'avais pas à garder ça pour toi durant tout ce temps. Ça ne me blesse pas, je suis juste inquiète. Je n'aime pas te savoir malade, ça me fait peur. » Je baissais les yeux. Ca me rappelait l'histoire avec mon père. Alors forcément que j'avais peur, peur de le perdre. « Mais maintenant que je le sais, sache que je suis derrière toi et que je te lâcherai pas. J'espère juste que ça s'arrangera. »
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Le fait est que le jeune prince inventaient des trucs improbables pour amuser la galerie mais le pire dans tout ça, c’est qu’il ne s’en souvenait pas d’une fois sur l’autre. Ce n’était pas pour lui qu’il prononçait ce genre de choses, comme la SPED par exemple, mais il ne doutait pas un seul instant que Lilly soit parfaitement à même de retenir la chose : en général, cette dernière adorait lui ressortir ses conneries au moment où il s’y attendait le moins. « Pourquoi parce que c’est moi je ne pourrais pas finir maboule ? Hey, je ne suis pas forcément un phénomène à part pour ça je te signale ! Ceci étant… n’importe quoi pour ta ligne tu es parfaite, t’es la plus belle même. Le premier qui dit le contraire je lui refais le portrait façon puzzle avec un club de golf ! » lança-t-il d’un ton certes plaisantin mais qui dévoilait un sérieux à toute épreuve : Eventine pouvait être très gentil avec les personnes chères à son cœur, mais en mode ours protecteur capable des pires folies lorsque lesdites personnes chères à son cœur se trouvaient menacées, en peine, ou bien en difficulté. Aussi, le premier fou qui viendrait manquer de respect à Lilly… et bien il signait purement et simplement son arrêt de mort, il n’y avait guère d’autre mot ! « Je sais pertinemment que ça n’aurait rien changé entre nous mais d’un autre côté je te connais : tu vas t’inquiéter et ce qui va changer, ce n’est pas ta façon de me voir, mais plutôt ton inquiétude envers moi. J’ai pensé, à tort sans doute, que tu avais déjà bien assez vécu de saloperies pour que j’en rajoute une nouvelle qui cette fois viendrait de moi. Je voulais te protéger de ça, c’est tout. Mais je te rassure sur un point au moins, je n’ai pas l’intention de te lâcher de sitôt et tu peux compter sur moi pour me battre rien que pouvoir encore t’emmerdouiller des années durant… » plaisanta-t-il pour détendre à nouveau l’atmosphère, devenue bien étrange subitement. Le beau brun eut aussitôt le réflexe de prendre Lilly dans ses bras, fidèle à son tempérament tactile et avenant, du moins en sa présence. C’était étrange... il était l’homme malade, mais c’était elle qu’il cherchait à rassurer avant tout.
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J'adorais sa personnalité, sa manière de se comporter avec moi. Il vivait pleinement avec moi, laissait les protocoles de côtés et était tout ce qu'il y a de plus simple: un homme qui ne manque jamais l'occasion de délirer. "Pourquoi parce que c’est moi je ne pourrais pas finir maboule ? Hey, je ne suis pas forcément un phénomène à part pour ça je te signale ! Ceci étant… n’importe quoi pour ta ligne tu es parfaite, t’es la plus belle même. Le premier qui dit le contraire je lui refais le portrait façon puzzle avec un club de golf !" Hum, mouais. Il pouvait dire ça pour me faire plaisir, après tout il est mon meilleur ami. Alors même s'il me trouvait parfaite comme ça, c'est justement une raison de plus pour garder cette ligne, et donc exclure les macarons glacés pour mon plus grand désespoir. « Oh que si tu es un phénomène. Un phénomène ambulant qui me sort toujours des trucs comme ça, à la seconde. Mais ne t'en fais pas, c'est bien pour ça que tu es mon meilleur ami! » lui dis-je de mon plus beau sourire. J'aimais sa manière de délirer, de dire des conneries à tout bout de champ. « Façon portrait puzzle avec un club de golf? Et puis tu diras que t'es pas un phénomène... C'est bien la première fois que j'entends ça. » Je rigolais. Sa manière de parler, de décrire les choses me faisait toujours aussi rire. Ce mec est génial, complètement génial. Je ne m'ennuie jamais avec lui. Mais la situation devenait tout de suite moins marrante à l'annonce qu'Eventine était malade. "Je sais pertinemment que ça n’aurait rien changé entre nous mais d’un autre côté je te connais : tu vas t’inquiéter et ce qui va changer, ce n’est pas ta façon de me voir, mais plutôt ton inquiétude envers moi. J’ai pensé, à tort sans doute, que tu avais déjà bien assez vécu de saloperies pour que j’en rajoute une nouvelle qui cette fois viendrait de moi. Je voulais te protéger de ça, c’est tout. Mais je te rassure sur un point au moins, je n’ai pas l’intention de te lâcher de sitôt et tu peux compter sur moi pour me battre rien que pouvoir encore t’emmerdouiller des années durant…" Il n'avait pas tord. S'il me l'avait dit dès le début, j'aurai passer tout mon temps à m'inquiéter pour lui, à en faire une maladie pour moi-même. Peut-être qu'au fond il avait bien fait, si ce n'était pas si grave que ça à l'époque. « Oh Eventine, tu sais que t'es le meilleur de tous? Tu arrives encore à penser d'abord à moi alors que c'est toi qui en a le plus besoin. Et j'espère bien que tu vas encore m'emmerdouiller les années à venir. J'espère même les siècles à venir. Tu verras, ensemble on sera éternel. » Je me laissais prendre dans ses bras alors que je le serrais tout contre moi. Il était si exceptionnel.
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Eventine trouvait la vie tellement morose d’ordinaire qu’y mettre un peu de joie et de piment mélangés s’avérait être un devoir pour lui, il ne pouvait pas s’en empêcher. Qui plus est, avec Lilly, il était bien différent du violoniste se trouvant en compagnie d’un inconnu, ou d’un étudiant qu’il croisait de temps en temps : la jolie blonde, c’était sa bichette, celle qu’il serait capable de protéger envers et contre tout. « Je suis peut-être un phénomène mais tu m’aimerais moitié moins si j’étais tout morose jamais drôle ou qui ferait la gueule tout le temps ! Plein toi, avec moi, tu gagnes plusieurs années vu que tu te marres comme une baleine… elle est pas belle la vie ! Bon je sais plus où j’avais lu que se marrer rallongeais la vie mais suis sûr que c’est ultra scientifique dans le genre ! » reprit-il, imperturbablement, comme s’il n’était pas en train de raconter des conneries plus grosses que lui ou de laisser penser qu’il pourrait être atteint d’un syndrome de la Tourette passager. Qu’importe, Lilly était habituée depuis le temps et puisqu’il ne lisait pas de peur particulière dans son regard, c’est qu’elle n’était pas effrayée mais bien amusée par les conneries qu’il pouvait bien débiter à la minute. Le problème, c’est que l’ambiance bonne enfant ne dura pas face à la petite crise du beau brun et que malheureusement, il avait bien été contraint de lâcher la bombe. Il ne pouvait pas cacher cela plus longtemps à sa meilleure amie, c’était cruel et il ne voulait ni mensonge ni cachotteries dans son amitié avec la jolie blonde. « Éternels ? Hey j’aime l’idée tu sais ! Mais je ne compte pas te laisser de sitôt, sans moi tu ferais que des conneries… ou presque… juste un petit peu ? Ne t’inquiètes pas pour moi, au pire je me ferai opérer et tout ira bien. Je n’oublie pas qu’il y a toujours pire que soi » reprit-il d’une voix aussi rassurante que possible alors qu’il la berçait délicatement dans ses bras, caressant sa chevelure du bout de ses doigts comme si cela pouvait ôter toute l’inquiétude qu’il avait mise sur ses frêles épaules, bien malgré lui.

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Il ne manquait jamais l'occasion de sortir une connerie. A vrai dire, dans chacune de ses paroles se cachait toujours un petit mot comme ça qui a le don de vous faire rire. De plus, je rigolais pour un rien, alors faut pas se demander comment ça se passe les conversations entre nous. "Je suis peut-être un phénomène mais tu m’aimerais moitié moins si j’étais tout morose jamais drôle ou qui ferait la gueule tout le temps ! Plein toi, avec moi, tu gagnes plusieurs années vu que tu te marres comme une baleine… elle est pas belle la vie ! Bon je sais plus où j’avais lu que se marrer rallongeais la vie mais suis sûr que c’est ultra scientifique dans le genre !" Voilà qu'il me comparait à une baleine. Je tirais alors la moue, en le faisant exprès, je savais bien évidemment qu'il ne parlait pas de moi, mais avait utilisé ce nom comme comparatif. J'aimais juste bien le charrier et le voir tout faire pour me rassurer. « Comme une baleine? T'avais pas mieux comme comparatif? J'sais pas moi, un souris, un chat, un lapin, mais pas une baleine! » Je fini pourtant par éclater de rire une nouvelle fois. Impossible pour moi de jouer la vexée avec lui. « Mouai, j'pense surtout que tu as sorti ça de ton imagination débordante une fois de plus. Si tu voulais paraître plus intelligent dans le genre scientifique, c'est raté mon chou. Quoi qu'il en soit, il est prouvé que rire fait travailler les abdos. Voilà pourquoi j'en ai attrapé sans même faire du sport! » J'avais plus efficace comme moyen pour travailler les muscles de mon ventre: j'avais Eventine, le clown ambulant. "Éternels ? Hey j’aime l’idée tu sais ! Mais je ne compte pas te laisser de sitôt, sans moi tu ferais que des conneries… ou presque… juste un petit peu ? Ne t’inquiètes pas pour moi, au pire je me ferai opérer et tout ira bien. Je n’oublie pas qu’il y a toujours pire que soi" Je me laissais bercer par les bras musclés du beau brun. Il savait comment me rassurer. Aussi bien en parole qu'ne geste. Cette marque d'affection était mon remède face aux tracas. « Je te signale que mes conneries, je les tiens de toi. Oui c'est sur, il y a toujours pire que soi. Mais j'ai toujours peur de te perdre tu sais... T'es la seule personne qui me reste, je t'ai toujours un peu considéré comme ma famille. Alors s'il t'arrivais malheur, je pense que je ne tiendrais pas le coup. » J'en avais vu de toutes les couleurs durant mon enfance. Au début je menais une vie parfaite, un enfance joyeuse, mais les choses avaient changer à la mort de mon père. Je finissais toujours par perdre les gens que j'aimais, dans tous les sens possibles.
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« Mais c’est l’expression qui veut ça chaton, j’ai jamais dit que t’étais une baleine… fais-moi penser à t’offrir un dico d’expressions dédicacé à ton prochain anniversaire histoire de parfaire ta culture… ceci dit effectivement, tu donnes plus du chat, de la gazelle ou de la biche que de la baleine, c’est clair, net, précis et sans bavure ! » reprit-il, hilare que Lilly ait pu croire ne serait-ce qu’une seconde que c’était elle qu’il considérait comme une baleine. En même temps, il paraît que le cri d’une baleine ressemble à un rire… un peu comme la hyène, bien que l’animal en question soit nettement plus sournois et bien moins sympathique, les quelques tonnes en moins. « En même temps si j’étais le fils caché d’Albert Einstein, ça se saurait non ? Moi pas avoir de QI qui dépasse celui d’une mouche atteinte de strabisme, et encore, je suis trop sympa envers moi dans le genre ! Mais par contre j’ai un brin d’imagination… j’ai loupé ma vocation, j’aurais dû faire écrivain de gare, suis sûr que j’aurais eu du succès » reprit-il non sans sourire de façon plus tendre à Lilly, tout en remettant en place l’une de ses mèches de cheveux. Eventine avait toujours été très tactile envers elle, il aimait prendre soin de la demoiselle, la câliner comme si elle était son petit trésor. Avec les casseroles qu’elle se trimballait et son passé orageux, la blondinette en avait bien besoin… et s’il devait lui arriver malheur, le beau brun ne s’en remettrait sans doute jamais tant il tenait à elle. « Boudiii que je suis pas un bon exemple pour toi ma biche… va falloir qu’on prenne des cours pour apprendre à être sages comme des images, t’es au courant ? T’en fais pas, va. Je n’ai pas l’intention de ne pas me soigner, au contraire, mon doc est tout le temps sur mon dos et j’essaye de lever le pied autant que possible. Tu n’es pas prête de ne plus me voir t’emmerdouiller… même si je suis très occupé par mes concerts à venir, tu sais que tu peux te pointer chez moi à toute heure du jour comme de la nuit, tu es toujours la bienvenue. Je ne t’abandonnerai jamais, Lilly. » Et cette dernière phrase ne pouvait être plus sincère.

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J'aimais lui tirer une fausse moue juste pour l'entendre dire le contraire. Toute femme aime qu'on la rassure et qu'on emploi des mots plus appropriés. "Mais c’est l’expression qui veut ça chaton, j’ai jamais dit que t’étais une baleine… fais-moi penser à t’offrir un dico d’expressions dédicacé à ton prochain anniversaire histoire de parfaire ta culture… ceci dit effectivement, tu donnes plus du chat, de la gazelle ou de la biche que de la baleine, c’est clair, net, précis et sans bavure !" Je l'écoutais dire. Ses paroles me faisaient toujours sourire. Sa manière de parler en elle-même était délirante. Dans ces cas-là, il n'avait rien d'un prince poursuivit par les protocoles de la bonne discipline. « Hum, je préfère ça! Et ma culture est très bien comme elle est, c'est juste toi qui va chercher des expressions je ne sais où. » lui répondais-je en reprenant une mine normale, toujours avec ce sourire qui illuminait mon visage par sa présence. "En même temps si j’étais le fils caché d’Albert Einstein, ça se saurait non ? Moi pas avoir de QI qui dépasse celui d’une mouche atteinte de strabisme, et encore, je suis trop sympa envers moi dans le genre ! Mais par contre j’ai un brin d’imagination… j’ai loupé ma vocation, j’aurais dû faire écrivain de gare, suis sûr que j’aurais eu du succès." C'est vrai qu'il n'était pas une lumière. Moi non plus à vrai dire. On savait ce qu'il fallait, le strict minimum, ce qui nous maintiendrait à l'actualité de l'histoire de notre planète. Pas besoin d'aller voir plus loin, c'est inutile. « Je ne t'en veux pas pour ton QI. On ne peut pas tout avoir dans la vie. Tu sais bien, c'est soit le physique, soit l'intelligence. Jamais les deux. » Lui dis-je pour le taquiner. Bien que c'était pareil pour moi. "Boudiii que je suis pas un bon exemple pour toi ma biche… va falloir qu’on prenne des cours pour apprendre à être sages comme des images, t’es au courant ? T’en fais pas, va. Je n’ai pas l’intention de ne pas me soigner, au contraire, mon doc est tout le temps sur mon dos et j’essaye de lever le pied autant que possible. Tu n’es pas prête de ne plus me voir t’emmerdouiller… même si je suis très occupé par mes concerts à venir, tu sais que tu peux te pointer chez moi à toute heure du jour comme de la nuit, tu es toujours la bienvenue. Je ne t’abandonnerai jamais, Lilly." Sage comme des images? Pas trop dans mes projets. J'aime bien moi notre côté déviant, mais surtout stupide. Ces quelques mots, cette dernier phrase m'avait fait sourire. "Je ne t'abandonnerai jamais Lilly". C'est fou comme quelques paroles peuvent vous donner chaud au coeur. « Moi non plus je ne t'abandonnerai jamais! Promis, juré, craché. On est fait pour vieillir ensemble, moi je te le dis. Tu sais, je crois que notre destin a toujours été lié. On est fait pour être l'âme soeur amical de l'autre. » Je le serais alors tout contre-moi. J'aimais cette manière tactile qu'on avait entre nous. Je me sentais rassurée, en sécurité.
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Eventine fit aussitôt une moue désapprobatrice en entendant Lilly le traiter plus ou moins de couillon. Certes, elle mettait en avant également le fait qu’il soit beau mais pour un peu, cela passerait presque pour une insulte… presque seulement que la blondinette ne sortait jamais de véritables saloperies du genre, c’était toujours fait avec intelligence et une large dose de second degré. Voilà pourquoi ils s’entendaient si bien et depuis si longtemps : les deux jeunes gens étaient très souvent sur la même longueur d’ondes pour tout, qu’il s’agisse d’humour ou de sujets plus sérieux. « Traite-moi de couillon pendant que tu y es, traîtresse ! » fit-il d’un ton faussement indigné sans pour autant éloigner la demoiselle de ses bras. Au contraire, il la berçait délicatement, la laissant s’apaiser au rythme plutôt régulier des battements de son cœur tandis qu’il continuait à lui caresser les cheveux, avec une douceur qui même lui le surprenait. Il n’était vraiment ainsi qu’avec Lilly et personne d’autre. Elle avait toujours été privilégiée de ce côté-là et cela risquait de continuer encore un long, très long moment… « Vieillir ensemble, ça me va ! Pense à faire le stock de crèmes antirides, ça m’emmerderait d’avoir à t’appeler vieille peau avant l’âge… mais n’aie crainte, tu pourras toujours compter sur ton âme sœur de pote pour les situations désespérées ou pas. Et c’est ça, le plus important. Mais maintenant assez déprimé, on va se goberger joyeusement de chocolats et de marrons glacés parce que ce serait criminel de laisser pourrir tout ça ! » Et cette dernière phrase ne pouvait être plus sincère.

TOPIC FINI.
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