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Pamela Georgiana Jenkins fiche; terminée C'est le 14 février 1989 à Londres, que la famille Jenkins m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Pamela Georgiana. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidée de poursuive des études à Harvard en politique, je suis maintenant en cinquième année d'étude. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House. |
Études Pourquoi avoir choisi la politique ? Pour plusieurs raisons que je vais me faire un plaisir de vous citer. Maîtriser l'art de parler, c'est maîtriser l'esprit des autres. Je ne suis pas une future dictatrice avide de pouvoir, détrompez-vous ! J'estime avoir les capacités pour réussir dans ce domaine. Après tout, ce n'est pas parce qu'une Université comme Harvard ne nous accepte pas au départ que nous sommes idiots ! Et puis, quand on y réfléchit, j'en ai assez de voir que la majeur partie des politiciens sont des hommes, du moins les plus influents. Une femme est capable de faire beaucoup de choses, et je sais de quoi je parle. Il y a certaines armes que ces chers messieurs ne disposent pas, alors que nous, nous avons toutes les cartes en mains. Pourquoi ne pas s'en servir pour la « bonne cause » ? Entre guillemets oui, parce que finalement, quand on se lance dans la politique, ce n'est pas par pur amour de sa Nation. Nous avons tous un but précis, qui seraient spécifiquement bénéfique à notre personne. Après cinq années, je suis toujours ici, cela prouve bien que mes compétences ne sont pas des moindres, vous ne pensez pas ? | Caractère Bonjour, je m'appelle Pamela Georgina Jenkins, plus connue sous le nom de Georgina, et Georgy pour les intimes – qui se limitent à Pryam seulement of course – et j'entame ma cinquième année à Harvard dans la politique. Sinon, je suis incontestablement une élève modèle, à l'écoute et dotée d'une gentillesse débordante. Si si, je vous assure ! Vous ne me croyez pas ? Et bien bingo, tant pis pour les naïfs. En réalité, je suis tout le contraire. Je suis intelligente, – même si la raison de mon acceptation est loin d'être catholique – mais pas que pour les études. Je sais faire marcher mes neurones en temps voulu, bien sûr. La ruse est aussi un élément essentiel pour réussir, surtout lorsqu'on est une femme. Vous avez déjà remarqué à quel point mon côté féministe ressort dans mes discours ? Ce n'est que le début. L'ambition me définit aussi très bien, j'en ai tellement à revendre. Sinon, le peu d'amis que j'ai disent parlent de moi comme étant quelqu'un d'extravertie, maligne, jolie, engagée dans ma cause mais aussi directe, honnête, manipulatrice, et le summum du défaut, méchante. Avec mon demi-frère, Pryam, nous formons un duo de choc. Et quand je dis « choc », c'est dans le sens propre du terme. Nos deux personnalités s'accordent parfaitement. Nous nous servons de cela dans un domaine bien particulier, – dans lequel nous excellons soit dit en passant – celui de briser les couples ou alors des vies sociales tout simplement. Une dernière note à prendre en considération, je suis très très modeste. |
Everyone Has Their Own Story
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Ce fut un quatorze janvier mille neuf cent quatre vingt neuf à Londres que je poussai mes premiers cris. Ce qui est censé être une journée joyeuse sous le signe de l'amour, celle des couples, prit une toute autre tournure pour ma pauvre mère. L'amour nous rend aveugle, et là, c'était réellement le cas. Victime d'un homme beaucoup trop immature et fuyant les responsabilités, celle-ci se retrouva face à l'une des plus grandes difficultés : élever un enfant seul. Sans parler de l'adultère de mon géniteur. C'est fou. Notre vie peut être chamboulée en quelques secondes seulement. Un appel téléphonique et c'était fait. Aussi simple que bonjour. Comme si on lui annonçait quelque chose de banal. Au ton de sa voix, ce qu'il avait fait paraissait même normal. Et ce n'est pas entièrement faux : nous savons tous à quel point les hommes ont du mal à contenir leurs pulsions. Dommage pour eux, puisque cela les conduira à leur perte.
Mes expériences commencèrent dans les cours d'écoles. Malgré mon air angélique, je cachais mon petit jeu avec succès. Nul ne se doutait à cette époque que la brunette deviendrait aussi démoniaque quelques années plus tard. Une meneuse, voilà ce que j'ai toujours été. Et avec une personnalité aussi forte et imposante que la mienne, cela n'aurait pas pu se passer autrement. Je n'étais pas non plus la terreur de mes camardes, ils me respectaient, tout simplement. Quand je suis contrariée, je le fais savoir. Dans ces moments, il y a plus d'une personne qui souffre je vous l'assure. J'ai besoin de me défouler, alors on s'occupe comme on peut. Au départ, les médecins pensaient que j'étais hyperactive. C'est tellement simple de donner une « maladie » à un enfant afin de s'apaiser l'esprit. Il faut se rendre à l'évidence, les enfants sont comme les adultes, ils ont leur part de noirceur. Et quoiqu'il arrive, cela leur restera. Des psychologues diront que c'est dû à des événements traumatisants et d'autres qui clameraient haut et fort que l'enfant est dérangé, voilà tout. Je rentre plutôt dans la catégorie une. Enfin, c'est aussi une excuse, et pas des moindres. Il suffisait que je me mette à sangloter, en dénoncer l'injustice de ce monde et le manque d'amour d'un père. La scène durait généralement dix minutes. Dix minutes pour convaincre un adulte. En même temps, quand on se retrouve face à un enfant en larmes, confronté beaucoup trop tôt à la dure réalité de la vie, on ne pouvait ressentir que de la compassion. Tellement facile. Ca en devenait même lassant à la longue. Grâce à ma mère qui multipliait les conquêtes, nous déménagions souvent, même si nous restions non loin de Londres. Nouveau quartier, nouvelles têtes, nouveaux pseudo-amis à duper. La manipulation, c'est un art qui ne s'improvise pas. Ce n'est pas tout d'avoir les cartes en main, il faut savoir s'en servir, chose pas si évidente au départ. Fort heureusement, j'apprenais vite, très vite même quand il s'agissait de ce domaine. Et finalement quand la machine est en route, tout vous arrive sur un plateau en or. La popularité, ça vous dit quelque chose ? C'est grâce à ses petits moutons que j'ai réussi à me faire un nom. Il ne leur manquait plus qu'une bergère pour les guider. Après tout, mon geste est vraiment très noble. Au moins, ils ne se perdent plus. Détruire les couples, ruiner les vies sociales de certains, c'était ça le vrai bonheur. Et dans l'ombre, je jouissais de ma réussite. Tout était tellement parfait. Du moins presque.
« Chérie, c'est bon ! Cette fois-ci c'est le bon, j'en suis sûre. » six heures du matin. Merci maman. Quoi de mieux que d'être réveillée par les hurlements hystériques de sa propre mère ? Si c'était quelqu'un d'autre, j'aurais probablement voulu briser ce bonheur si soudain, mais là, il s'agit de ma mère. Celle qui a lâchement été abandonnée et qui goûte enfin au vrai bonheur, celui de fonder une famille. A ce jour, je ne savais pas que ce mariage me serait si bénéfique. « Tu m'as dit la même chose il y a deux ans, et t'es toujours célibataire si je me souviens bien ? Bonne nuit. » Ma réponse la fit rire encore plus. Elle savait qu'au fond j'étais heureuse pour elle, mais elle ne se rendit compte qu'après qu'exprimer sa joie à une telle heure un dimanche matin n'était franchement pas futé. Mannequin toujours d'actualité, ma mère trouva l'amour en monsieur Jenkins, un riche aristocrate propriétaire d'un bon nombre de musées à Londres. C'est ce que l'on peut appeler la perle rare. Tant que ma mère est heureuse, plus rien n'a d'importance.
« Mademoiselle Jenkins voulez-vous prendre pour époux monsieur Eastwood jusqu'à ce que la mort vous sépare ? » J'avais du rater au moins la moitié du blabla du curé, tellement la cérémonie était ennuyante. Par chance, elle prit une toute autre tournure quand mon regard croisa celui d'un jeune homme tout à fait charmant. A l'époque, j'avais quinze ans et lui en avait dix-huit. En ce jour ensoleillé, destiné à l'union sacrée d'un autre couple encore, je rencontrai Pryam. Evidemment, je n'avais qu'une seule envie : celle de goûter au plaisir de sa chair. Mais très vite, nous primes un choix très adulte pour notre jeune âge. Celui de devenir ami. Et pas n'importe lesquels : les meilleurs amis. LE duo de choc, celui qui détruirait tout à son passage – simple métaphore bien sûr, ou pas – , repousseraient les limites de la méchanceté. Pryam et moi étions fait pour nous rencontrer. C'était bel et bien le seul homme pour qui j'avais de l'estime. En réalité, j'avais l'impression de me voir dans un miroir : à présent, ma vie est parfaite.
« Dîtes cheeeeeeeeeese » et le flash de l'appareil photo en pleine poire. Quand on vient de se réveiller, ça ne fait pas vraiment plaisir. A mes côtés ? Ce n'était qu'un sénateur très influent dans l'Etat. Pas de quoi paniquer. A quelques exceptions près : « Suis-je bête, j'avais totalement oublié de préciser qu'en réalité, je ne suis même par majeur. C'est plutôt dérangeant non ? Et que pensera votre femme et vos enfants quand ils apprendront vos tendances pédophiles ? Un homme de cinquante ans qui se fait une pauvre jeune fille de dix-sept ans sans défenses, c'est … chaud comme on le dit dans notre vocabulaire. » Détruire une vie ou ne pas détruire, telle est la question. « Allons, il ne faut pas faire cette tête. Vous avez passé un bon moment quand même, à vous d'assumer votre imprudence. Mais, comme je ne suis pas dénuée de gentillesse, j'ai quelque chose à vous proposer. Vous devez sûrement connaître Harvard ? Je vais être directe : si vous parvenez à m'y faire entrer, j'oublie tout ça. Je ne porterai pas plainte pour abus, et votre vie reprendra son cours normal. Autrement, adieu votre vie de rêve, tout ce qui vous est de plus cher vous sera enlevé en un rien de temps. Les cartes sont entre vos mains, tâchez bien vous en servir. » C'était un mois d'avril, quelques mois avant les délibérations finales du jury. J'attendais avec impatience ma lettre, celle qui me donne un accès VIP auprès de Pryam, mais qui annonce une nouvelle ère dans l'Université. Mon destin est à maintenant tout tracé. Il ne me reste plus qu'à trouver un homme capable de m'aimer. En usant de mes charmes, ça devrait plutôt bien se passer. Après ? Il n'y a pas d'après pour cet homme en question, il court tout droit vers un gouffre. Bon voyage chéri.
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