[HOT] Goodbye mon amour ,des faux espoirs, je n'en veux plus ( konrad.)

Dans un silence religieux, les deux continuaient à consommer leur sale habitude quand le ventre de la jeune Mather brisa leur bulle. Gênée par la situation, elle ne put s’empêcher de rire. « En dirais que les cookies ne suffiront pas à me remplir.», elle se releva et pris son téléphone portable de sa poche. Fouillant dans son répertoire, elle glissa son doigt sur l’écran tactile à la recherche de numéro. « Bon alors tu veux manger quoi ? Thaïlandais, chinois, indien, italien ? » , rien qu’en analysant les numéros de traiteur que contenait son répertoire, elle bavait déjà d’envie en imaginant un bon plat épicé indien devant elle. « Et si on mangeait indien ? J’ai lue quelque part que ça donne une touche d’exotisme de manger les plats indiens avec les doigts. J’ai une copine qu’il la déjà fait avec son mec, elle dit que c’est très aphrodisiaque de nourrir son partenaire avec ses doigts. » Dit-elle sur une note de moquerie sans toutefois penser réellement qu’elle trouvait l’idée idiote.

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† Goodbye mon amour ,des faux espoirs, je n'en veux plus. †

Konavy † J'adorais ce moment partagé avec elle, autre que le sexe bien entendu, la défonce, profiter d'un pétard après les cours, notre rituel, ses cours sont fini, ellle ramène son cul à mon appart et vient fumer. Son ventre gargouillait ce qui la fit rire, et je partageais son rire Faut croire ouais. elle se levait du canapé pour prendre son téléphone dans sa poche et me demander ce que je voulais manger Ce que tu veux, tout me va. lui dis-je avant de l'écouter presque baver en me parlant des plats indiens, comme quoi faire manger des plats indiens à son mec pouvait être très aphrodisiaque, ça m'intriguais et je rigolais Va pour indien alors. je continuais de tirer sur le pétard tout en la regardant passer commande, des fois elle me faisait peur, elle était une grosse bouffe et parfois une plus grosse bouffe que moi.

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Elle téléphona au traiteur et commanda deux plats. Elle fouilla dans son sac pour prendre son portefeuille et l'ouvrit pour prendre l'argent nécessaire pour payer leur commande. Elle serrât le tout dans sa poche et remercia le traiteur avant de raccrocher. « Je vais à la salle de bain, je reviens », elle passa devant Konrad avant de s'enfermer dans la pièce. Elle nettoya ses mains qui sentaient un peu trop à son gout le pote. Davy ne tolère pas souvent cette odeur, il lui arrive même de vider tout le contenue de brume pour le corps sur elle pour se débarrasser de l'odeur. Elle ferma les robinets puis se sécha les mains avant de retourner dans le séjour. « Désolé je devais me laver les mains ». Elle reprit sa place initiale tandis que Konrad terminait de fumer leur joint. Quand il écrasa le reste du pétard dans le cendrier, elle changea de position et se colla sur son torse. De sa main, elle lui caressa la côte à travers son t-shirt en fixant un point imaginaire, laissant le silence retombé.

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Konavy † Davu voulait manger indien, je n'avais rien contre ce type de bouffe, j'étais pas un difficile, tant que je me remplissais l'estomac tout m'allait. Elle passait commande sur son portable au traiteur, venant même prendre des billets dans son porte-feuille, fouillant dans son sac, ça me faisait sourire alors que je continuais de tirer sur le pétard. Elle me disait qu'elle allait dans la salle de bain, je la laissais faire pour souffler un peu pendant qu'elle n'était pas là, et supprimer dans mon portable, le numéro et les messages partagés avec celle qui l'a rendue cocue, assurer le coup, puis je remettais mon portable dans ma poche, juste avant qu'elle ne revienne. Elle reprenait sa place puis une fois que le mégot du pétard, elle venait se coller à moi, caressant une de mes côtes par-dessus mon t-shirt d'une de ses mains, un de mes bras venait l'entourer.

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“ Goodbye mon amour ,des faux espoirs, je n'en veux plus ”

Malgré qu'ils étaient enlacé dans le canapé du Mather, il y avait ce je ne sais quoi qui manquait. En fait, Davy avait remarqué que les choses n'étaient plus comme avant avec Konrad. Comme si la petite étincelle qu'il y avait entre eux c'était éteint. Elle s'était dit que c'était surement normal et qu'être en relation sérieuse avait ses avantages et ses désavantages, mais pourtant, elle doutait toujours de la durée de leur couple. Elle connaissait la vraie nature de Konrad, avant qu'ils ne sortent ensemble, il était du genre chaud lapin. Elle avait même auparavant hésité d'être avec lui, de peur qu'il la trompe à la moindre occasion. Elle fut interrompue dans ses pensées par le bruit d'une main qui cogne dans une porte. Elle se leva de sa place et alla ouvrir la porte au livreur. Il lui donna l'énorme sac brun et elle lui tendit l'argent pour régler la note. Elle renferma la porte et posa le sac sur la table basse et le déballa en déposant les plats d'aluminium sur la table. « Alors, tu veux manger avec les doigts ou des ustensiles ? » demanda-t-elle tout en ouvrant les plats, laissant les effluves des plats emplir ses narines. « En tout cas, tout ça m'a l'air vachement bon »

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Konavy † Davy dans mes bras, je pensais à ces quelques minutes plus tôt où je lui avais mentis sur ce que j'avais pu faire cet aprèm dans la résidence des roses, je l'avais trompé oui mais je ne sais pas pourquoi je lui ai mentis, je voulais passer au moins encore une soirée avec elle avant de sortir la pierre de l'eau. La tromper car c'était plus ce que c'était au début entre nous, je me lassais et j'avais voulu du nouveau, d'où cette cabot, dans sa chambre, à s'envoyer en l'air avant que je rentre ici pour passer ce moment avec elle. On venaient sonner à la porte, c'était le livreur, Davy se levait pour aller chercher notre commande et la payer, et revenir avec le sac C'est toi qui me disais que c'était plus aphrodisiaque avec les doigts non ? un sourire malicieux avant de sentir comme elle la bonne odeurs des plats Grave. je commençais sérieusement à avoir la dalle, presser qu'elle me fasse manger avec ses doigts voir si aussi sensuel qu'aphrodisiaque.

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« Oui t'a raison », elle gloussa devant son erreur et prit un plat au hasard. Elle s'assît sur les genoux de Konrad le plat en main. Ce dernier passa son bras autour de sa taille pour éviter qu'elle ne glisse. Avec sa main droite, elle attrapa une petite quantité de riz, mélange de légume et de viande. « Dit ahhh » , un sourire de gamine s'affichait sur son visage. Une idée saugrenue surgit dans l'esprit de la marocaine. Mais elle s'abstint à la développer, et puis mettre en oeuvre l'une de ses nombreuses farces durant un moment intime avec Konrad serait hors contexte. Qu'elle soit tentée ou non d'étendre la bouché sur le visage du jeune homme que dans sa bouche, elle devait garder son sérieux. Quand Konrad referma sa bouche sur ses doigts, Davy regarda intensément le jeune homme s'afférer à manger et à lécher ce qu'il y avait dans ses doigts. Elle rougit un peu aux images qui traversèrent son esprit à l'instant. Malmenant sa lèvre inférieure de ses dents, elle tendit le plat vers Konrad pour qu'il effectue le même geste qu'elle.

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Konavy † Le livreur venait d'apporter notre repas, après avoir été payer et chercher la commande, elle revenait pour l’amener ici. Manger avec les doigts serait beaucoup plus sensuel qu'avec des couverts, du moins pour moi et pour elle il fallait croire à ce que je pouvais entendre, Elle venait sur mes genoux puis prenant une petite quantité dans le plat elle s(amusait comme une gamine à me dire de dire "aah", je ne le faisais pas souriant, juste ouvrant la bouche et en la regardant dans le profond de ses yeux, venir la prendre en bouche sans manquer de lécher ses doigts, je la voyais rougir, c'était le but après tout, qu'on retrouve cette intimité perdue. Je faisais de même, prenant une petite quantité Ouvre la bouche. lui demandais-je et une fois ses lèvres ouverte, je glissais cette petite quantité dans sa bouche, je frissonnais lorsque lécher à mon tour le bout de mes doigts tout en me fixant, je commençais à regretter de l'avoir tromper tiens, on se retrouvaient là/div>

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Elle essaya de tous ses forces de ne pas éclat de rire quand il lui demanda d'ouvrir à son tour sa bouche. Déconcentré par l'intense profondeur de ses yeux, elle entre-ouvrit sa bouche et avala ce qui lui donnait. Elle attrapa le bout des doigts du Mather pour lécher ce qu'il restait et lui mordilla un peu son majeur avant de le retirer de son emprise. Malgré les saveurs exquises du plat, seul leurs gestes pourtant simple, capturaient son attention en oubliant complètement sa propre faim. Cela faisait bien longtemps qu'ils ne s'étaient pas aguicher de cette manière, ils se bécotaient peut-être, mais rien à voir au moment précis. L'auras sensuel était bien plus intense qu'il y avait été autrefois. Les yeux du jeune homme qui l'a scrutaient dans ses faits et gestes firent naquit un désir soudain chez la Mather. Elle enfonça sa main dans le plat et repris encore une petite quantité. Le regard de Konrad ne quittait pas celui de Davy durant toute la manœuvre. Elle plaça sa main devant la bouche de l'anglais pour le faire avaler sa deuxième bouché.

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Konavy † Je souriais lorsque je lui demandais d'ouvrir à son tour la bouche, elle manquait de rire mais elle gardait une part de sérieux pour avaler cette quantité du plat commandé, je gardais mon regard sur elle, intense et profond alors qu'elle l^échait elle aussi mes doigts, venant même mordre mon majeur légèrement, des frissons me parcoururent le corps avec un petit sourire aguicheur, je commençais à regretter d'avoir fais le con bizarrement, je retrouvais cette force d'intimité qui s'était laissée aller entre nous et ça faisait bizarrement du bien de la retrouver. Elle reprenait une quantité de riz et d'autres accompagnement pour la portée à ma bouche, je l'ouvrais de nouveau, avalant cette quantité puis je venais déposer mes doigts sur sa main , lécher le bout de ses doigts et en le retirant de mes lèvres, je venais embrasser les siennes pour un baiser tendre. Je retrouvais vraiment ce désir de l'avoir pour moi, je l'avais pour moi mais c'était le désir ressentis qui avait disparu et qui venait juste de revenir.

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