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fight me because I'm going to do something stupid.† koace.

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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace quelques jours depuis le bal de fin d'année, je l'ai ai tous suivis ces putains de soirées mais celle-là à été la pire je crois bien. Deux relations foutues à la poubelle à cause de ce que je suis, un connard, Myara ma meilleure amie ne me veut plus dans sa vie, elle rejette 5 ans de relation et Aaliyah, une fille qui compte plus pour moi qu'une simple plan cul où je ressentais vraiment qu'il y avait plus que du cul entre nous, elle aussi décide de me jarter de sa vie après 4 ans de relation, j'étais mal, trop mal je crois bien, j'avais eu besoin de deux jours seul, dans la déprime total à enchainer les bouteilles de tequila et les pétards et maintenant je reprenais du contact social, d'abord avec Lux puis là avec des potes, particulièrement des potes de défonce, aucun attachement particulier, juste de la défonce, des conneries et des délires et j'avais besoin d'être entouré je crois même si j'y pensais de plus en plus. On s'étaient calé cette aprem, juste derrière le parking, sur ce coin d'herbe ou j'étais posé contre le muret longeant l'immense parking, deux pétards tournaient entre nous, depuis ce matin je dois en être à six ou sept donc autant dire que c'est pas de la déprime de pd, je prenais celui qui arrivait pour le foutre entre mes lèvres et tirer dessus et à ce même moment je voyais Grace venir se pointer, elle aussi voulait m'en foutre plein la gueule ? Etait-elle là pour défendre Mayra ou Aaliyah ou je ne sais qui et venir me renvyer tous les remords possibles ? Je ne disais rien, mon regard suivait ses pas se rapprochant de notre position, mes potes l'avaient vu et ils se mettaient à rigoler et à siffler, vu le regard qu'elle tirait, j'avais un sourire con discret, je la connaissais par coeur, même plus que Jeno je crois maintenant, et c'est pas le regard où il faut qu'on lui sourisse, qu'on rigole ou qu'on la siffle, grave erreur les gars, vous devez pas connaitre Grace St-James.

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Cet après-midi en cours de psychologie, tu avais cru devenir folle. Pour une fois ce n'était pas la drogue qui te montait au cerveau mais bien la discussion des deux pimbêches qui était devant toi. Konrad Sheffield aurait donc replonger comme une merde dans la coke. Mais c'était quoi ce bordel ? Lui il allait t'entendre mais tu n'allais pas le louper pour une fois. Quittant ton cours après la sonnerie, tu te mis à sa recherche, jusqu'à ce que des bruits te parviennent aux oreilles, te signalant qu'il était dehors. Te dirigeant là-bas le visage fermé, le pas franc, tu voyais Konrad qui rigolait puis plus tant que cela lorsqu'il te vit. Ses potes benêts comme à leurs habitudes voulurent jouer avec toi mais aujourd'hui c'était pas le jour. Attrapant le bras de Konrad, ton visage se tournait vers la bande qui rigolaient. «  Vous avez rien d'autre à foutre les puceau ? Allez faire mousser votre spaghettis au lieu de jouer dans la cour des grands.  » Les fusillant du regard, tu emmenais Konrad à l'écart d'eux. Prenant le joint qu'il avait entre les lèvres, tu venais l'écraser sur le sol avec vigueur même s'il en était à un peu plus de la moitié. Tapant ensuite Konrad tellement tu étais nerveuse, tu venais abattre tes mains sur son torse. «  T'as pas le droit, t'as pas le droit, t'as pas le droit.  » Limite tu avais les larmes qui coulaient tellement ça te faisait mal de savoir qu'il avait replonger. «  Maintenant tu vas arrêter tes conneries et c'est moi qui va t'aider !  » Tu le regardais dans les yeux. «  J'ai faillit en crever de cette merde Konrad, de cette coke, de cette héroïne, de la MD, de toute ces drogues dures ! Notre relation de couple en a payer le prix. Je ne suis peut-être plus ta copine, je ne suis peut-être plus qu'une étrangère pour toi mais j'estime qu'on a une amitié un peu perdue certes mais un lien entre nous alors il en est hors de question que tu niques ça à cause de la coke !  » Tes mains s'abattaient toujours sur son torse alors que tu perdais force, tu venais à le regardais.
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koace Je n'aurais jamais replongé si je ne me sentais pas aussi perdu, retoucher à cette drogue, à cette merde, la dernière fois que j'en ai eu dans les narines et que ça m'a retourné le cerveau c'était juste avant cette overdose l'année dernière. Je me suis juré de ne plus jamais en consommer ou en dealer mais là, après tout ce qui vient de se passer, j'ai pas pu résister, après tout j'ai vécu 7 ans avec le nez dedans, où sont les risques pour que ça ne se passe pas comme prévu, que je fasse une overdose après le première sniffage ? J'en savais strictement rien à faire vu que quand j'ai replonger mon nez dedans il y a deux jours, l'overdose était aller se faire foutre. J'étais là avec mes potes, de simples potes avec qui j'ai l’habitude de trainer, de la même classe que moi, les pétards se font passer à la chaine, ils rient, délirent et moi je fais semblant, je fais semblant que tout va bien, ce sourire sur mes lèvres est le plus faux du monde, ils n'y voient que du feu, tant mieux, je ne veux pas qu'ils remarque quoique ce soit et qu'ils veulent savoir pourquoi je vais mal. Je tourne mes yeux légèrement plus loin en tirant sur ce pétard que je viens de recevoir et je la vois, Grace St-James, elle arrive vers nous, le regard qui pointe vers moi et ils la voient arriver, ils veulent se marrer, rigoler, la siffler mais ça ne prend pas, pas aujourd'hui, je sais que je vais me prendre un savon, elle vient m'attraper le bras et m'éloigner plus loin après avoir envoyer chier ma petite bande, je souriais intérieurement, c'est toujours amusant de la voir remettre les autres à sa place avec la répartie qu'elle a. Le joint que j'avais entre les doigts finissait dans les siens pour arriver par terre et que son pied l'écrase, que je sente ses deux mains s'abattre violemment et surtout nerveusement sur mon torse, qu'elle me répète que je n'avais pas le droit, je voyais ses yeux tout scintillant, prêts à lâcher la moindre larme, ça avait déjà fait le tour du campus alors ? Pas croyable. Je devais arrêter cette foutue connerie, elle allait m'aider, j'avais envie de rire, personne pouvait m'aider, je l'écoutais déballer son discours alors que ses mains continuaient toujours de s'abattre sur mon torse, une fois ses lèvres refermées, je venais saisir ses deux mains avec les miennes, pour qu'elle arrête de m'agresser avec puis aussi parce que j'en ressens le besoin, ressentir le contact de ce lien qu'on a tous les deux, elle me regardait toujours avec cette douleur au fond d'elle, et je m'exprimais enfin après avoir écouter attentivement tout ce qui était sorti de sa voix peinée et inquiète vis-à-vis de moi Tu ne peux plus rien pour moi Grace. J'ai fais le con, je t'ai perdu, j'ai fais le con, je l'ai perdu, j'ai fais le con, je l'ai est perdu. Trop de questions se posent dans ma tête, cette question de savoir si ça en vaut vraiment la peine, cette question de se dire si oui ou non je dois me tirer une balle pour que tout s'arrange, cette question de vivre et de tout arrêter, Grace, tu ne peux plus rien pour moi, t'as essayé et j'ai pas su le voir, y a rien d'autre à dire. je lâchais finalement ses mains, des frissons m'ont quand même parcourut le corps mais ça doit être la nervosité de me retrouver de nouveau face à elle, j'en savais trop rien.

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Tu avais beau ne plus être avec lui, ce n'est pas pour autant que tu allais le lâcher. Konrad c'était ton ami bien avant qu'il ne devienne ton amant, ton mec alors même si entre vous cela n'a pas marché, tu te devais de rester son amie. Et en tant qu'amie, tu ne pouvais accepter le fait qu'il est refoutu le nez en plein dans la blanche. Il te prenait vraiment pour une débile. Allant donc l'attraper en plein vol, tu voulais lui remettre les pendules à l'heure mais il ne semblait pas ou peu t'écouter. Et puis ses mains attrapèrent les tiennes, tu te tus et écoutais son petit discours. Quelques larmes roulaient sur tes joues, car il n'avait pas le droit de dire ça, pas le droit de te dire ça. C'est donc pour cela que ta main partie sur sa joue en une gifle mémorable, ta main une nouvelle fois attrapais son col et tu venais mettre son visage à quelques centimètres du tien, alors que tes larmes coulaient. «  Ecoute-moi bien Konrad. Pour une fois dans ta vie, tu vas porter tes putains de couilles et tu vas être un homme un vrai. Pour une fois dans ta vie, tu vas foutre ta fierté de côté et ouvrir ton putain de cœur. Pour une fois, dans ta vie tu vas aller rattraper toutes les personnes que tu as laissées filer et pour une fois dans ta vie tu vas avoir un peu de volonté c'est clair ?  » Tes mots étaient durs, froids, secs mais tu voulais qu'il comprenne, tu voulais qu'il imprime dans son foutu crâne de moineau que maintenant s'en était trop. Qu'il n'avait pas le droit d'avoir envie de se donner la mort comme ça. «  Et oui ! Oui ça en vaut la peine. Quand tu frôles la mort, quand tu pleures tous les jours, car tu as peur de ne pas te réveiller le lendemain. Tu te rends compte que même si la vie est difficile c'est un cadeau donc ne gâche pas ça ! Et puis, je suis là. On va s'en sortir ensemble comme on a toujours fait. A moins que tu ne veuilles plus de moi dans ta vie et là je m'en irais.  » Le relâchant, tu venais marquer une distance attendant sa réponse. Après tout, si c'est ce qu'il voulait c'est qu'il ne voulait plus de toi à ses côtés.
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† fight me because I'm going to do something stupid.†

koace Je n'avais plus rien à espérer pour Grace, elle et moi ça ne marche pas, pourtant dans ma vie j'ai eu trois histoires que je pensais durer pour un temps que je ne voulais même pas limité, Grace fut la plus récente de ces histoires que je prenais très au sérieux. Je suis tombé amoureux d'elle après deux ans de relation à se chercher, se trouver, s'aimer et se détruire et ce fut à la fois la plus belle et la plus douloureuse de ces trois histoires, je n'aurais pas pensé souffrir autant avec elle, encore avec Maydison il y a 5 ans quand nous avons rompu, c'était un accord commun, aucun regrets, aucuns remords mais Madelyn et Grace, les deux plus destructrices alors quelque part je lui en voudrais toujours de m'avoir abandonné pour quitter ce pays et se soigner ailleurs pour revenir 9 mois plus tard, au fond de moi je lui en voudrais toujours mais j'ai su passer l'éponge, laver toute cette peine que j'avais en surface face à elle et là elle revient, toute cette peine essuyée, pas à cause d'elle, non, je la vois, je la vois m'agresser avec ses mains ne cessant de frapper sur mon torse, ses yeux larmoyant et sa voix qui me disait d'arrêter tout ça, qu'elle allait m'aider, j'étais une cause perdue, elle usait de sa salive pour une cause perdue. Après avoir entendu son discours, ce fut un mon tour et une fois mes lèvres refermées, une fois que mes mains ait lâchées les siennes, son regard ne quittait pas les miens, il avait lâcher quelques larmes qui coulaient le long de ses joues et je sentais la force de sa main venir sur ma joue, aurais-je du me taire ? Avait-elle mal d'entendre tout ça ? Ses mains prenaient mon col pour rapprocher son visage du mien à quelques centimètres l'un de l'autre, je pouvais alors voir cette douleur qu'elle avait eue à m'écouter et je sentais toute cette froideur et ce sèchement sortir de sa bouche quand elle me disait d'arrêter de rester tel que j'étais, de m'ouvrir et de cesser de rester borné, d'accepter que je n'étais pas seul, d'accepter qu'elle était là, qu'elle allait m'aider, qu'on allaient s'en sortir ensemble comme on l'a toujours fais. Elle prenait une petite distance relâchant mon col, je le remettais correctement avalant ma salive, je touchais légèrement ma joue puis fixant ses yeux Je ferais pas l'erreur de te dire que je ne veux plus de toi dans ma vie, ce serait un mensonge. je baissais le regard cherchant ce que je pouvais dire d'autre et une fois un brin de réflexion je les remontais sur elle J'ai envie de me tirer une balle à chaque seconde de ma vie depuis que mes parents sont morts, j'ai envie mais jamais je le ferais, j'ai cette même vision que toi Grace, la vie est un cadeau mais la blanche m'a toujours aidée quand j'étais au plus bas, mieux que mes propres amis. Je suis conscients que c'est une connerie que tu ne peux pas tolérer mais je l'assume mais je pourrais pas arrêter.

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La goutte d'eau qui fait débordée le vase tout le monde connaît non ? Et bien, toi tu l'as connaissais avec Konrad. Ce mec qui t'avait sauver la vie en quelques sorte, car il t'avait empêcher de continuer à sombrer à te piquer, ce mec qui t'avait fait arrêter ton «  sale  » boulot selon lui mais ce mec oser te dire que la blanche c'était plus fort, plus aidant que ses propres amis. Mais putain mec ! D'où viens-tu ? Où est ton cœur ? Ton regard tombait sur le sol, tu étais dépité, tu avais juste envie de lui foutre une autre grande claque dans sa gueule mais tu secouais doucement la tête, des larmes coulaient sur ton visage. Lorsque tu daignais le remonter vers lui, il était froid, distant ce regard, tu avais mal mais au fond Konrad te dégoûtait par ses paroles. «  Et bien, tu vas devoir te passer de moi.  » Reculant un peu plus, tu le fixais. «  C'est la blanche est ton seul échappatoire, perds pas ton temps avec moi et retourne voir tes petits copains.  » Tu soupirais, tu t'apprêtais à tourner les talons. «  Je ne pensais jamais te dire ça un jour, car je pensais que tous les deux on saurait s'en sortir ensemble mais tu vas crever au fond d'un caniveau Konrad. Parce que tu ne désires même pas t'en sortir.  » Essuyant ces gouttes sur tes joues qui ne servait à rien, tu le regardais une dernière fois. Mais tu ne pouvais pas, tu ne pouvais pas t'en défaire, t'approchant un instant, tu venais caresser sa joue, déposait un baiser sur cette joue que tu ne reverrais peut-être plus si tel était son choix puis tu tournais les talons sans même un dernier mot pour lui. Konrad venait de gâcher ta journée, tu venais de le perdre une bonne fois pour toute.
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koace Je lui faisais du mal, j'en étais conscients, j'avais replongé dans cette addiction à la coke et en sortir allait être dur mais j'ai fais face à tellement de merdes ces derniers temps que c'était soit la poudre, soit la balle dans la tête, et j'ai peur de la mort, j'ai peur de crever comme un con car je ne suis pas assez fort, je préfère me détruire petit bout par petit bout en sniffant cette merde, recommencer à me détruire pour me sentir mieux et Grace pleurait, oui elle pleurait, pour elle c'était illogique je je fasse une telle chose, pour elle je l'avais sauvé, la faisant arrêter ses piqures, et là je ne trouvais pas mieux qu'à lui dire que je ne pourrais pas arrêter, quel con je suis putain. Je la voyais relever ses yeux si peiné par ce qu'ils voient, un Konrad qui se détruit sans vraiment savoir pourquoi et elle me lance un ultimatum, la garder dans ma vie ou la remplacer par la poudre, j'ai l'impression de revenir 8 ans en arrière quand Madelyn se tenait sur le porche de ma porte, me demandant de la garder elle ou cette merde, je n'avais rien répondu, comme là, et je la voyais partir, comme Grace le faisait, la dernière phrase sortit de sa bouche me foutait une balle, crever seul dans un caniveau parce que je ne voulais même pas m'en sortir, elle avait raison putain, et plus je la voyais 'éloigner plus je regrettais mais elle revenait, je ne faisais rien, je la laissais faire, sa main se posait sur ma joue pour la caresser et ses lèvres y déposer un baiser, j'avais fermé les yeux avant de la setnir s'éloigner de nouveau, putain je devais pas merder une seconde fois, j'allais la choisir elle, arrêter cette merde même si ça allait être dur. Grace attend ! je venais à courir pour la rattraper et m'arrêter une fois devant elle Je te choisis toi Grace. Si je dois crever dans un caniveau, c'est avec toi, pas avec cette poudre. j'avais besoin d'elle, c'est là que je me rendais compte que même si je n'étais plus avec, elle était quand même indispensable à ma vie, on doit s'en sortir ensemble, comme on l'a toujours fais, c'est ça qui fait de Koace quelque chose d'unique et d'intense.

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Tu n'avais pas envie de le voir se détruire, tu n'avais pas envie de le voir finir comme un vieux junkie même pas représentatif des mathers, tu préférais donc partir de sa vie, tu préférais ne plus jamais le voir du tout c'était mieux pour lui mais aussi mieux pour toi, il n'y aurait aucune tentation pour te faire replonger dans la coke ou l'héroïne. Parce que que Konrad le veuille ou non, il serait une tentation pour toi, si tu continuais de le côtoyait alors qu'il se défonce la gueule. Enfin bref, les talons tournés tu sentais une main s'accrochait à ton poignée. Sans un mot, tu attendais qu'il te fasse face. Ton sourire n'était pas dissimulé, car tu étais contente c'était ce que tu attendais et ça avait marcher. «  Promet le moi Konrad. Promet moi sur la tête de Melody que tu vas tout faire pour t'en sortir.  » S'il promettait sur la tête de sa sœur c'était qu'il était vraiment décidé, car même si elle n'était plus là sa sœur c'était toute sa vie, comme ton frère pour toi. Lui prenant doucement la main, tu voulais l'encourager. Alors, que ses potes vous regardez comme des bêtes sauvages lançant des trucs complètement déplacer du genre : «  Konrad arrêtes de la faire pleurer, fais la jouir.  » Tu pinçais des lèvres en regardant cette bande d'abrutis. « Et très clairement c'est quoi tes potes là ?  » Tu regardais Konrad. «  Putain, j'espère ne pas être comme eux parce que vraiment c'est une bande d'abruti Konrad.  » Tu soupirais. «  Allez viens, on va vider ton appartement, je ne veux plus voir une trace de blanche dans cet appartement.  » En réalité, tu ne savais pas si tu allais être capable de revoir le lieu où ta tumeur c'était déclenché, le lieu que tu avais habité. Tu ne savais pas si Konrad accepterais que tu passes le seuil de sa porte aussi. Tout ceci formait une petite boule dans ton estomac.
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koace Elle ne voulait pas me voir me détruire petit à petit à petit avec cette poudre, je l'avais forcé à arrêter de se piquer alors ce n'était pas pour qu'elle me regarde sniffer de la blanche à longueur de journée et me voir me mourir à petit feu. Elle ne voulait rien de ça alors elle préférait me poser un ultimatum, la garder dans ma vie ou garder la poudre dans ma vie, elle me tournait le dos les yeux en larmes, m'entendre dire que la coke me permettait d'aller encore mieux que le soutien de mes proches, ça la détruisait, on étaient plus ensemble oui, mais on étaient toujours liés, et on le sera à jamais je pense, si elle va mal je vais mal et si je vais mal elle va mal, on le sens comme on respirent et là ce n'est même plus respirer, elle le sent comme elle vit, je vais mal et elle a mal et elle ne veut pas s'infliger ça alors elle me tourne le dos et commence à partir. Je reste planté là, quelques instants avant de réaliser que si je garder cette coke, et que je laissais partir Grace, je faisais la connerie de ma vie, je l'avais déjà faite avec Medelyn il y a longtemps, je ne veux pas que cela se reproduise. Je la rattrape pour m'arrêter devant elle et lui dire que j'ai fais mon choix, que je veux la garder elle et laisser la coke, je tenais ses mains dans les miennes, je voyais son sourire et fixant son regard je lui répondais Sur la tête de Melody, je jure de te garder toi et uniquement toi dans ma vie Grace St-James. je me rendais compte que j'avais vraiment besoin d'elle et que sa présence à mes côtés serait cent fois plus efficace que la présence de cette poudre dans mon nez. Mes potes nous regardaient et me lançait des remarques sur elle, des remarques que je ne laissais pas passer T'inquiète, je les considère juste comme des potes de défonces, mais avec ce qu'ils viennent de dire, je crois qu'ils sont juste des mecs qui doivent apprendre le respect. je pouvais être un connard mais un connard qui respecte les filles, et surtout faire en sorte de respecter Grace. Elle voulait aller à mon appart nettoyer toute la poudre, je souriais entrelaçant mes doigts aux siens Allons-y alors. je regadais mes potes une dernière fois leur faisant comprendre que je les laissais là comme des cons sans pouvoir en rouler d'autres et je quittais le campus avec mon ex, pour mon appart, qu'elle m'aide à faire un nettoyage dans ma vie.

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Ce type t'étonnera toujours. Ce type ne savait pas ce qu'il voulait, il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait, ce qu'il fallait faire. Il ne savait pas de qui s'entourer pour devenir la personne qu'il aimerait devenir. Mais peut-être qu'aussi qu'il a toujours été rabaisser, traiter comme un moins que rien, comme un raté alors lui se voit comme ça mais toi tu savais que c'était faux. Tu savais que le Konrad que tu connaissais été un mec fort qui savait ce qu'il voulait. Et il avait a priori décidé que ce serait toi, vous deux, votre amitié et non cette blanche qui ne fait que le tuer. Un sourire s'inscrivait sur ses lèvres. «  Tu me surprendras toujours Sheffield.  » Déposant une main sur son torse, tu venais déposer un baiser sur sa joue alors que ses potes faisaient les malins. Tu les avaient regarder une fois méchamment mais Konrad n'avait pas l'impression de leur porter attention. Il préférait te promette qu'il ne toucherait plus à cette merde, qu'il ne traînerait plus avec ces mecs mais vu leur remarque, tu ne pus t'empêcher de leur adresser un joli doigt d'honneur. «  Bande de puceau lui au moins, il a déjà réussi à faire jouir une fille vous vous chercher encore le trou !  » Tu regardais une dernière fois Konrad avec un sourire aux lèvres avant de le laisser prendre ta main. En effet, allons-y. En étais-tu capable ? Tu allais aider ton ex à faire le ménage dans sa vie. Soit à oublier la drogue, les mauvaises fréquentations, votre relation amoureuse. A vrai dire, tu ne savais même pas s'il avait garder quelque chose de toi. Ça t'étonnerait. Il avait dût tout brûler, tout ce qui pouvait se rapporter à toi, à vous et tu le comprenais très bien mais tu avais quand même un mini tract, une mini boule dans le fond de l'estomac.
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