Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIt's time to work Bitch ◆ Angel
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It's time to work Bitch ◆ Angel

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Prénom Nom

C'est le 22 juin 1991 à Agrigente en Sicile, que les membres de la famille Massarelli m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Angel Ermes Dante.  Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de d'économie et droit depuis 4 ans. Je ne travail pas, pourquoi faire je suis déjà riche à milliards. Et pour terminer, je fais partie des Eliot.

Caractéristiques physiques
Yeux Marrons
Couleur de cheveux naturel Marrons foncés
Poids 73kg
Taille 1m80
Style vestimentaire Classe/Chic
Piercing Non
Tatouage Sur l'avant bras droit Only God Can Judge Me, il s'en est fait un autre sur l'autre bras également
Cicatrice Une au genou suite à une chute lorsqu'il était tout petit

Angel est grand et élancé, il dégage déjà une certaine prestance rien que dans sa stature. Il se tient toujours très droit et se déplace avec aisance. Il a un physique avantageux ce qui lui vaut de pouvoir en jouer à sa guise. Il n'hésite pas à laisser apercevoir son six pack. Faisant beaucoup de sport on peut dire qu'il est bien bâtit et heureusement pour lui d'ailleurs. Il aime bien qu'on l'appel Dieu vis à vis de son corps de rêve.
En savoir un peu plus sur moi
► D'après le test MBTI, je suis ENTP - L'Inventeur, je suis ce qu'on appel quelqu'un de rare.

Plutôt fêtard ou pantouflard ? Fêtard
Plutôt assidu(e) ou sécheur(se) pro ? Assidu
Plutôt romantique ou réaliste ? Réaliste
Plutôt sympathique ou déplaisant(e) ? Difficile à dire
Plutôt altruiste ou égoïste ? Egoïste
Plutôt extraverti ou introverti ? Un peu des deux
Plutôt pacifiste ou bagarreur ? Bagarreur mais un peu pacifiste, je préfère les manigances

JE CROIS...
Aux fantômes ? non
À l'apocalypse ? non
Aux coups de foudre ? non
À l'amitié fille/garçon ? oui/non
Aux sexfriends ? oui
À une religion ? non
À la magie de Noël ? non surtout pas
Au destin ? non
Aux fins heureuses ? non pas pour moi

J'AI...
Déjà fait un threesome oui
Une voiture oui, une lamborghini
Bois de l'alcool oui, juste à l'occasion
Fume oui, à l'occasion
Prend de la drogue non
Veux me marier oui/non
Veux des enfants on verra
Une maladie grave non
Un lourd secret oui mais je ne vais pas le dire
Mens souvent oui, pour arriver à mes fins
Beaucoup d'expérience au lit oui
Beaucoup d'expérience en amour non
Eu beaucoup de déception en amour non
Eu beaucoup de déception en amitié non
De la facilité à me faire des amis je ne considère pas les gens avec qui je traine comme des amis
Des envies de meurtres non
Peur du noir non
Peur de la solitude oui/non
De bonnes notes oui
Mon personnage avant l'inscription

Angel a été en premier lieu à Yale juste après son obtention de son bac qu'il a eu en France. Il a étudié pendant trois ans à Yale avant de changer pour venir à Harvard il y a 1 an de cela. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'était son père qui avait choisit pour lui, il avait toujours tout choisi dans sa vie et cette fois là Angel a eu envie de choisir. Il a toujours voulu aller à Harvard mais il n'a pas put à cause de son père et bien cette fois c'est encore un moyen de se rebeller contre lui et finalement de lui prouver qu'il peut faire ses choix tout seul et qu'il n'a pas envie qu'on lui dicte sa vie.

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Son caractère


A comme Ambitieux, je sais ce que je veux et je sais où je veux aller, lorsque j'ai une idée derrière la tête je fais tout pour réussir. Je me donne les moyens pour toujours être au sommet, les perdants ne m'intéressent pas, dans la vie je veux être celui qui écrase les autres et non pas celui qui se fait écraser.

B comme Bavard, lorsque je suis soule j'ai tendance à beaucoup parler, je n'ai pas l'alcool mauvais au contraire c'est plutôt l'inverse mais souvent je n'arrête pas de parler. Impossible de m'arrêter.

C comme Curieux, c'est dans ma nature, j'aime fourrer mon nez un peu partout et en savoir plus que les autres. Dès que quelque chose va me mettre la puce à l'oreille je vais aller approfondir. Je ne suis pas uniquement curieux envers les gens que je rencontre, je le suis aussi en générale, j'aime avoir beaucoup de culture.
Caractériel, je peux changer de comportement en un rien de temps, si quelque chose ne me plait pas ne t'en fais pas tu vas l'avoir en pleine face. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Je peux devenir très impulsif si on commence à me chercher

Charmeur, j'aime la gente féminine et ne m'en cache pas loin de là, je profite de tout ce qui m'est offert. J'ai une belle gueule et un beau corps autant en profiter à fond. Les femmes me le rendent bien.

Contrôle, j'aime être le maître de la situation. Rien ne m'échappe. Je veux tout contrôler, les gens, mes relations, mon futur...ect, absolument tout. Je veux être le maître de la situation pour mieux te mener en bateau et obtenir ce que je veux.


D comme Drôle, je le suis qu'avec les personnes que j'aime bien, c'est à dire en gros pas grand monde. Cependant je suis assez blagueur dans mon genre et mes potes m'aiment bien pour ça principalement.

E comme Egoïste, fils unique et riche ça va bien ensemble non ? Je suis égoïste et égocentrique je l'admet volontier. J'aime qu'on parle de moi, qu'on sache que j'existe. J'aime tout ramener à moi que voulez-vous je suis comme ça.

F comme Fourbe, on ne sait jamais comment je suis réellement. Tu ne sauras jamais si je t'aime bien ou non, fait gaffe à toi. J'ai tendance à faire des coups en douce et on ne s'aperçoit même pas que c'est moi c'est ce qui est encore mieux.

Franc, tu ne me plait pas ? Parfait je vais te le dire cash. Je ne suis pas un grand hypocrite, mon hypocrisie se limite aux personnes dont j'ai besoin et uniquement cela. je veux m'élever dans la strate sociale même si j'y suis déjà pas mal élevé. Tu ne me plait pas soit, je vais te le faire comprendre rapidement.


G comme Gentil, je peux l'être, uniquement avec certaines personnes mais sous certaines conditions. Lorsque je veux obtenir quelque chose de toi je vais l'être, lorsque tu m'apportes quelques chose je serais présent pour toi. J'ai toujours quelque chose derrière la tête et je ne suis pas gentil de nature, loin de là.

H comme Hypocrite, je ne le suis qu'avec certaines personnes, bien entendu celles ci me rapportent un intérêt sinon aurevoir. Je suis du genre honnête et je dis ce que je pense seulement lorsque je veux te faire payer quelque chose ou tout simplement te pourrir la vie crois moi je sais être hypocrite.

I comme Indépendant, je n'ai besoin de personne pour prouver qui je suis, je suis beaucoup trop intelligent pour ça. Je fais ce que je veux et comme je le veux, personne ne me dit ce que j'ai à faire. Plus maintenant du moins.

Intelligent, je suis né avec un cerveau, une chance que certains ne possèdent pas. Les mauvais coups vous voyez qu'ils sortent d'où peut-être ? Je ne suis pas n'importe qui.


J comme Joueur, j'aime mener les autres en bateau et m'amuser avec eux. J'aime me jouer des gens, j'ai tellement eu l'habitude étant petit de me jouer d'eux que ça en est devenu une habitude désormais.

L comme Leader, aimant contrôler toutes les situations il est évident que j'aime être le leader d'un groupe, le second plan ne m'intéresse pas. Je veux qu'on ne parle que de moi, la popularité m'intéresse évidemment.

M comme Manipulateur, j'aime me jouer des gens. On m'a toujours appris à manipuler les gens pour avoir ce que je veux alors bien entendu c'est ce que je fais de mieux et puis avec des parents comme les miens c'est difficile de faire mieux.

Mystérieux, je n'en dis jamais trop sur moi. On ne sait jamais vraiment trop ce que je pense. Je me donne un côté ténébreux et mystérieux car c'est ce qui attire le plus l'attention.

 
O comme Observateur, j'observe le monde qui m'entoure pour le connaître au mieux et en tirer le plus d'avantage possible. Je connais les secrets d'à peu près tout le monde c'est plus facile après pour les faire chanter.

P comme Prétentieux, qui dit égoïste dans une famille riche dit forcément prétentieux. Je suis imbus de ma personne mais ça tout le monde le sait ce n'est un secret pour personne.

R comme Rancunier, si tu essaie de me l'a jouer à l'envers fais bien attention à toi car tu vas me le payer très cher. Je n'oublis jamais et ma vengeance sera terrible car c'est au moment où tu t'y attendra le moins que je vais frapper.

S comme Sportif, j'aime le sport, j'ai toujours aimé ça. C'est grâce à ça que je me vide la tête lorsque je ne sais plus vraiment où j'en suis. C'est devenu comme une drogue pour moi.

Souriant, je ne suis pas de ces gens qui te regardent de haut en faisant la tronche. Non au contraire je vais surtout te faire mon fameux sourire en coin pour bien te montrer où est ta place et me ficher de toi.


T comme Têtu, lorsque j'ai une idée dans la tête il est impossible de l'en déloger. Je ne baisse jamais les bras et j'obtiens toujours ce que je veux étant obstiné.

V comme Vantard, je suis riche, beau, intelligent et je sais comment le montrer, je crois que celui qui ne l'a pas encore compris est complètement stupide. J'aime venter mes mérites.


Maître chanteur, j'utilises toujours les informations que j'obtiens à bon escient. J'aime faire chanter les autres c'est l'un de mes passe-temps favoris.


Sûre de lui, je sais ce que je vaux. Je suis très sûre de moi et parfois ça me joue des tours.


   
Ses secrets



  • Pour mon départ à Harvard j'ai voulu marquer les choses en grand c'est pourquoi lorsque je suis partit de Yale j'ai tourné une sextape avec des amis pour humilier une ex que je haïssais (trop collante, ruinait toutes mes futurs relations et colportait des ragots sur moi) et ça a fait le tour du campus. Bien entendu personne à Harvard n'est au courant de ce que j'ai fais étant donné que sur la vidéo on ne voit pas mon visage étant flouté.
  • Lorsque j'étais à Paris un soir où j'étais soule j'ai accidentellement mis le feu à l'entreprise de mon père. J'étais tellement en colère contre lui que j'ai voulu qu'il meurt dans d'atroces souffrances. Seulement je ne savais pas que cet incendie permettrait de couvrir son meurtre.
  • Lorsque j'étais plus jeune, je devais avoir 16 ans, je suis tombé amoureux d'une jeune française. Je ne m'étais jamais autorisé à aimer qui que ce soit, éducation familiale oblige, mais avec elle c'était différent. Je me suis autorisé à l'a laisser entrer sauf qu'en réalité elle s'en fichait pas mal de moi, ce qui l'importait le plus c'était mon argent. Depuis ce jour j'agis encore plus comme un connard avec les femmes, je ne veux pas faire la même erreur deux fois.
  • Il a tenté de faire tuer son père avant de partir pour le Summer Camp, bien entendu il a payé quelqu'un pour le faire mais c'est surtout pour que rien n'arrive à Evanna. Etant amnésique il ne se rappel plus de ce détail

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Sa relation avec son père

Années de mes 5 ans à 10 ans

J'ai toujours considéré mon père depuis que je suis tout petit comme un modèle. Je voulais le rendre fier de moi, je voulais qu'il aime la personne que j'étais. Je faisais ce qu'il me disait de faire, je voulais lui ressembler. Je voulais qu'il soit fière de moi, c'était l'une des choses les plus importantes. Il m'avait toujours appris à rester froid avec les autres, de ne pas laisser transparaître ses sentiments. Je devais le rendre fière de moi, pour cela je devais être le meilleur à l'école, le plus populaire. Ca avait l'air de marcher. Il me regardait toujours ave ce sourire fière sur le visage. Je voulais approcher la perfection. Même si je m'étais fais renvoyé plusieurs fois à cause de mon comportement; il faut dire que je martyrisait très bien les autres, j'étais cruel, beaucoup plus que maintenant; mon père ne disait jamais rien. La plupart des parents auraient déjà piqués une crise, sans doute, mais pas lui au contraire ça faisait partie de son plan. Ca voulait dire que je me rapprochais de ce qu'il espérait pour moi. A cette époque là j'étais près à tout pour lui plaire. Je l'aimais, c'était mon père après tout comment faire autrement.

Années de mes 15 ans à nos jours

C'est lorsque j'ai dut déménager pour Paris et que j'ai découvert en réalité qui mon père était réellement que je me suis réveillé. La vérité ma sautée aux yeux. Il s'en fichait pas mal de moi, la seule chose qui comptait c'était lui, lui et son entreprise, lui et le pouvoir, je n'étais qu'un pion. Il ne m'aimait pas en réalité, il ne m'avait jamais aimé, du moins j'en doutais fortement. J'ai découvert de quoi il était capable, tuer pour avoir encore plus de pouvoir. On ne fait pas ce qu'il dit et bien la mort se rapproche de nous petit à petit, ce n'était pas plus compliqué. Je m'en voulais d'avoir été si dupe, alors j'ai décidé de changer radicalement, prendre un autre chemin que celui qui m'était tout tracé. Je voulais qu'il se rende compte que je n'étais plus manipulable. Au début il tentait par diverses manières de me faire entendre raison, il essayait toujours de contrôler ma vie et me montrer que le combat n'était plus possible. Je n'en ai fait qu'à ma tête et à chaque fois je me suis brûlé les plumes. Lorsque je suis arrivé à Yale par plusieurs fois il a tenté de me mettre en garde, du moins ces mises en garde étaient du genre « Tu ne fais pas ce que je dis ? Parfait ! Tu sais ce qui es arrivé à Johnson la dernière fois, il fort probable que ça t'arrive aussi si tu me désobéis. » Bon je n'avais jamais tenu compte de ces menaces jusqu'à ce que j'arrive à Harvard et que ces derniers mois il tente de me tuer, du moins il l'a fait pour me faire peur.


   
Relation avec sa mère

Années de mes 5 ans à 10 ans

J'ai toujours tout fait pour que ma mère m'apprécie mais j'avais réellement l'impression que c'était une perte de temps. J'avais beau faire tout et n'importe quoi pour l'impressionner j'étais toujours cet enfant qu'elle haïssait par dessus tout. Elle me l'a toujours fait comprendre, dès mon plus jeune âge. J'avais beaucoup de ma à savoir pourquoi elle me détestait autant. Je ne comprenais pas pourquoi elle était comme ça avec moi. Elle me détestait, j'étais celui qui lui avait gâché la vie. Mais pourquoi était-elle comme ça avec moi ? Bon sang je n'avais jamais compris pourquoi elle me détestait autant.

Années de mes 15 ans à 20 ans

Depuis le divorce je m'entendais un peu mieux avec ma mère, c'est fou comme j'avais l'impression d'être beaucoup plus proche d'elle. De temps en temps elle venait me rendre visite à Paris, elle me parlait de ses projets et moi je lui racontais comment je menais la vie dure à mon père. J'étais heureux d'un côté parce que j'étais plus proche d'elle que je ne l'avais jamais été. J'avais peut-être perdu mon père mais j'avais gagné une mère. J'étais des plus heureux, je sentais qu'enfin elle me voyait tel que j'étais et non plus comme celui qui avait gâché sa vie.

Années de mes 20 ans à nos jours

J'avais été dupe, je pensais que finalement elle tenait à moi mais en réalité elle c'est juste servie de moi. Elle me haïssait toujours, ça n'avait pas changé. Elle avait vu une opportunité lorsque j'avais eu cette grosse dispute avec mon père pour partir du pays et demander le divorce. Elle avait saisit la balle au bond. J'avais été son pantin, le fait qu'elle s'intéresse à ma vie était une ruse en réalité, elle se fichait pas mal de qui j'étais. J'avais encore une fois été utilisé.


   
Relation parentale

Mes parents m'ont blessés à de nombreuses reprises. Comment expliquer le fait que je suis devenu tel que je suis avec des parents comme ça ? Simple. Ils m'avaient toujours utilisé depuis ma naissance. J'étais un hérité pour l'un, celui qui avait ruiner sa vie pour l'autre. Je ne représentais rien, je n'étais rien, pour personne, je ne comptais pas. On m'avait formaté telle une machine et on m'avait abandonné. Je me sentais désespérément seul. Es-ce qu'on pouvait me blâmer pour ne rester avec personne ? Personne ne pouvait me comprendre de toute manière. Je resterais toujours ce connard, ce type qui vous martyrise. Je voyais dans la misère des autres un moyen de me sentir mieux, au fond je voulais juste me rassurer pour voir que ma vie n'était peut-être pas si pourrie que ça.

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Naissance


- 22 juin 1991-

C'est le jour où je suis né. Je n'ai pas fait que des heureux ce jour là. Ma mère en voulait à mon père de l'avoir mis enceinte contre son grès. Depuis quelques années déjà il essayait de lui faire entendre raison sur le fait d'avoir un enfant mais elle n'écoutait pas. La vérité est que ma mère est comme mon père et moi, elle est égoïste, sans doute plus que nous deux réunis. Elle ne pense qu'à elle, les autres ne comptent pas ou vraiment très peu. C'est notamment mon cas. Pourquoi ne voulait-elle pas d'enfants ? Simplement parce qu'elle ne voulait pas s'encombrer, elle voulait mener la vie qu'elle avait toujours menée, sans rien ni personne pour l'a stopper. Sauf que je suis venu au monde et elle n'a put l'accepter. Ma mère n'aime qu'elle, et elle n'aimera toujours qu'elle. C'est dans sa nature. Je crois que mon père le sait et l'a toujours sut au fond de lui. Ma mère s'est marié avec lui dans l'unique but d'être marié à un homme riche et puissant, s'il n'était pas le directeur de la plus grande compagnie pétrolière du monde et s'il n'était pas issu d'une famille respectable, il ne l'aurait jamais intéressé. Néanmoins ça ne veut en rien dire qu'elle est issu d'une famille pauvre, au contraire même, elle fait partit d'une famille riche mais peu connut. Quoi de mieux que d'épouser un riche patron. Elle était heureuse à sa manière. Elle était riche, admirée, belle, elle avait le monde à ses pieds. Elle avait tout ce qu'elle avait toujours souhaité. Un enfant ne faisait pas partit de ses plans. Elle n'aimait pas les enfants, elle n'avait jamais aimé ça et elle ne les aimeraient jamais. Elle était trop égoïste pour ça. Mon père avait beau essayer de l'a raisonner pour qu'elle ait un enfant, elle ne changeait pas d'avis. Lorsqu'elle a sut qu'il avait remplacé ses pilules elle est entré dans une voleur monstre. Aucun homme ne lui avait jamais dicté sa conduite, elle l'avait sous estimé. Elle pensait au départ que c'était une de ces lubies d'enfants gâtés, elle ne s'était pas inquiété et pourtant elle aurait dut. Chaque jour elle me haïssait un peu plus, j'étais celui qui avait gâché sa vie, elle deviendrait moins belle qu'avant, elle en était certaines. Dés l'instant où je suis sortit de son ventre elle n'a jamais montré un élan d'amour envers moi. J'étais et resterais celui qui avait brisé sa vie. Elle me vouait une haine sans égale et dés le berceau elle me l'avait fait ressentir.

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- Années de 2 à 5 ans -

Années de mes 2 ans

Ma mère ne s'occupait jamais de moi, mon père était toujours au travail. La seule personne qui s'intéressait un minimum à ce que je faisait était la bonne, Brigida, c'est elle qui me préparait mes repas et de temps en temps elle jouait avec moi. Pour un enfant de mon âge j'étais déjà couvert de cadeaux, les cadeaux couvrant bien sûre les absences de mon père. De temps en temps certains weekend il m'emmenait faire du football ou jouer au baseball mais on pouvait compte les weekend sur les doigts de la main. A cette époque là mon père était mon héros, je ne voyais que lui, ma mère faisant tout pour m'éviter au possible. Alors même s'il n'était pas là je l'aimais quand même. Je n'allais pas encore à l'école à cette époque, j'ai commencé à y aller à l'âge de 6 ans. Je passais mes journée à jouer avec mes nouveaux jouets, j'en avais chaque jour un nouveau, je regardais Brigida faire le ménage et soupirer d'exaspération dès qu'elle passait devant quelque chose qui appartenait à ma mère ou alors je regardais par la fenêtre de ma chambre, qui donnait sur la rue, les autres enfants de mon âge jouer entre eux. D'une certaine manière je les enviaient car eux au moins ils n'étaient pas seuls. Souvent Brigida me disait d'aller les rejoindre mais je n'osais pas, j'étais trop timide, je ne savais pas comment me comporter avec des personnes que je ne connaissais pas. Ma plus grande crainte était qu'ils ne m'aiment pas, j'avais tellement peur qu'ils me jugent et se moquent de moi, je crois que je n'aurai pas supporté. Des fois ma mère venait voir ce que je faisais et lorsqu'elle me voyais regarder ces enfants jouer dans la rue elle me regardait de haut en bas avec un regard dédaigneux et me disait: Tu n'as rien d'autre de mieux à faire que de regarder ces pauvres dans les rues ? Tu n'es vraiment qu'une mauvaise graine. Lorsqu'elle était là je ne disais rien, je l'a regardais et haussais les épaules mais à l'instant même où elle avait passé le seuil de la porte je m'effondrais ne pouvant contenir mes larmes. J'étais tellement vulnérable. Je ne comprenais pas pourquoi elle ne m'aimait pas. Dés qu'elle voulait quelque chose je courrais pour aller lui chercher et lui ramener alors qu'elle attendait telle une reine et moi tel un esclave. J'avais envie qu'elle m'aime et quand elle me disait merci j'étais le plus heureux parce que ça voulait dire que je n'étais pas transparent, que j'existais pour elle. En général la plus part du temps dés qu'elle me voyait elle partait dans une autre pièce pour ne pas me voir. J'étais son plus gros échec, elle me haïssait pour avoir fait d'elle une femme au foyer qui était obligé de s'occuper de moi. Je me faisais tout petit pour ne pas qu'elle s'inquiète, lorsque je me blessais j'allais voir Brigida et l'a suppliait pour qu'elle ne dise rien à ma mère. Elle me méprisait, c'était certain, elle arrivait toujours à me le faire comprendre et chaque fois un crue se formait dans mon coeur, je pleurais tout le temps mais je ne voulais pas qu'elle me voit, elle m'aurait sans doute traité de faible. Et je l'étais surement.

Années de mes 3 ans

Cette année là j'avais décidé de sortir dehors et de jouer avec les enfants dans ma rue. J'avais pris cette résolution. Je ne devais pas avoir peur d'enfants de mon âge, c'était ridicule. Je n'avais pas peur de faire face à ma mère, sachant qu'elle était une vrai vipère, c'est enfant ne pouvaient pas être pires. Je n'étais pas très sûre de moi. J'hésitais encore à aller leur parler. J'avais comme un noeud au fond de l'estomac qui me tiraillait les entrailles. Et puis sous les encouragements de Brigida j'avais sauté le pas. J'étais sur le porche de notre maison à les regarder, j'hésitais encore même si j'étais dehors mais Brigida m'avait poussé vers eux alors j'étais allé à leur encontre. Au début ils n'avaient pas fait attention à moi, ils étaient beaucoup trop absorbés par leur jeu. Puis au fur et à mesure de mon avancée le gardien m'avait remarqué et il avait fait signe aux autres de regarder dans ma direction, ils s'étaient alors tous tournés vers moi et s'étaient arrêtés de jouer. Ils me regardaient avec des yeux curieux, ils ne devaient pas savoir qu'un autre enfant de leur âge était dans le voisinage. Je m'étais alors présenté. Je suis Angel, je peux jouer au ballon avec vous ? Ils s'étaient regardés et avaient acquiescé le sourire au lèvre. J'avais passé l'après midi entière à jouer avec eux au ballon, nous avions fait connaissance et je les considéraient déjà comme mes amis. Nous nous étions bien amusé jusqu'à ce que ma mère arrive en trombe et me tiré de force par le bras jusqu'à la maison en criant: Espèce de salle gosse comment oses-tu trainer avec cette vermine. Rentre tout de suite à la maison. J'avais trouvé ça tellement injuste, elle pouvait faire ce qu'elle voulait, elle ne s'occupait jamais de moi et je n'avais pas le droit d'avoir des amis ? Pourquoi la vie était-elle si injuste. J'étais monté en colère dans ma chambre. Je n'avais cessé de les regarder par la fenêtre entrain de jouer et de rire alors que moi j'étais en larme. Le soir ma mère en a référé à mon père, bien évidement ce soir là elle m'a encore plus détesté. Tu te rend compte que ta mauvaise graine traine avec les délinquants d'en face ? Ludmila ! Cesse de parler de notre fils comme ça veux-tu ! Je ne vois pas où est le mal à ce qu'il joue avec d'autres enfants, au contraire tu devrais être ravis qu'il s'intègre. Et cesse de traiter des gamins de 3 ans comme des délinquants, ils n'en sont pas encore à voler des voitures. Je te signale que c'est ta faute, et entièrement ta faute si nous avons eu ce que tu appel un enfant ! Il n'est même pas capable de jouer tout seul ! C'est un attardé et mou par excellence ! Te rends-tu comptes qu'il doit aller avec ces crapules pour s'amuser ! Comme s'il n'avait pas assez de choses, on a beau le gâter mais il restera une mauvaise graine ! Je vais lui apprendre les choses de la vie moi, tu vas voir ! Lorsqu'il aura travaillé il se rendra compte. Ludmila ça suffit ! Je t'interdis de parler de lui ainsi, c'est ton fils que tu le veuilles ou non et je ne tolérerais pas que tu le traites ainsi ! Tu es complètement inconsciente ma parole ! Il n'a que 3 ans, il est hors de question que tu le fasses travailler. Pendant ce temps là j'étais dans l'escalier, en larme suite aux propos de ma mère. Ma propre mère me détestait à ce point. A partir de ce jour je n'ai plus essayé de lui plaire, quelque chose c'était brisé en moi. Je n'ai plus jamais été le même. Je ne faisais plus confiance. Je n'ai pas que ça à faire que de vérifier ses fréquentations ! Je m'occupes déjà de lui la journée alors... C'est à ce moment là que j'étais apparu, en larme et en colère aussi contre elle qui ne faisais que mentir depuis le début. Pas étonnant que mon père ne faisais rien, il n'étais pas au courant. Menteuse. Brigida s'occu....., tu es....méchante ! Tu...tu...pars...toute...toute la...journée...et...quand...et quand...tu es....là tu es...méchante. Mes larmes avaient redoublées, j'arrivais à peine à aligner deux mots. Et j'avais assisté à l'air déconfit de ma mère, elle ne s'attendait surement pas à ce que je dise la vérité, et à l'étonnement le plus totale de mon père, qui était très vite devenu colère. Il s'était mis à hurler dans toute la maison. Je me suis toujours demandé si les voisins nous avaient entendus ce jour là. Es-ce que c'est vrai ?! Ludmila ! Qu'es-ce que tu veux que je te dises ?! Je déteste ce môme, du plus profond de mes entrailles je le hais ! Ce n'est pas mon fils, c'est le tiens ! Je n'en est jamais voulu et tu le sais ! Espèce de sale connard tu oses faire retomber la faute sur moi alors que tout ça c'est ta faute ! Si tu n'avais pas remplacé mes pilules on en serait pas là ! Tu n'avais qu'à adopter ! Tu ne penses qu'à lui, je n'existe même plus ! Je suis obligé de rester à la maison pour garder cette larve, c'est un bon à rien ! Il ne fera jamais rien de sa vie ! Il m'a tout pris ! Je suis juste bonne à t'attendre ! Je ne suis pas une décoration ! Tu sais quoi à l'instant même où j'ai que j'étais enceinte j'aurai dut le tuer, le tuer pour ne pas subit cet enfer tous les jours et ne pas l'avoir sous mon nez tous les jours ! J'ai cru que mon père allait la frapper, il avait lever la main si vite mais c'était arrêter en plein milieu. Il s'était adressé d'un ton froid envers elle. Prend tes affaires ! Sors de cette maison avant que je commettes l'irréparable ! Ne reviens pas tant que je ne te l'aurai pas dit sinon je demande le divorce et tu perdras tout, absolument tout je t'en fais la promesse ! Après ça ma mère était vite partie non sans m'avoir jeté un regard des plus noir. J'étais toujours dans mon petit coin à sangloter, j'avais vu mon père s'assoir sur un fauteuil du salon en se prenant la tête dans les mains. Et puis avec le silence il s'était souvenu que j'avais assisté à la scène. Il s'était levé et s'était approché de moi. Inutile de dire que j'étais terrifié par son excès de colère, j'avais reculé et il s'était arrêté comme foudroyé. Angel je ne te ferais jamais de mal, je te promet. Viens nous allons nous coucher tu dois être fatigué. Je m'étais jeté dans ses bras en larmes, inconsolable. Mon père tentait tant bien que mal de faire cesser mes sanglots mais je ne pouvais plus m'arrêter. Ce soir là je me suis endormis au côté de mon père et ce même soir ma mère me livrait une haine éternelle.

Années de mes 4 ans

Cette année là a été relativement calme. Ma mère, sous le commandement de mon père s'était excusée de tout ce qu'elle m'avait fait subir. Elle n'était même pas sincère dans ses paroles mais si elle voulait encore profiter de la fortune de mon père elle devait faire profil bas. Mon père passait plus de temps avec moi. Peut être que le fait de savoir que ma mère n'en avait rien à faire de moi l'avait fait réagir. Je ne saurais dire; Toujours est-il que désormais j'avais un père plus présent avec qui les weekend ou même certains soir en semaine j'allais assister à des match de différent sports, que ce sot du football, du baseball ou du basketball...etc. Ma mère quand à elle s'était calmée, pour l'instant du moins. Elle évitait de dire des méchancetés sur moi quand mon père était là, en revanche ses regards voulaient tout dire. Je n'avais pas remarquer cette année là que leur relations étaient tendues depuis que mon père savait. Ils s'arrangeaient pour faire bonne figure devant moi. Je n'avais pas compris que le fait que ma mère doive changer de chambre pour s'installer dans la chambre d'amis voulait dire que leur mariage s'étiolait petit à petit et que c'était en partie ma faute. Si j'avais sut à cette époque ce que tout cela voulait dire j'aurais essayé de faire quelque chose. Même si je n'avais que 4 ans j'aurai peut être dut proposer à ma mère de venir avec nous un soir, même si elle déteste le sport et qu'elle pense que ce n'est qu'une perte de temps, je pense qu'elle serait venue rien que pour surveiller mon père. Je n'avais pas remarquer les regards de mon père pour sa secrétaire lorsque j'étais là, ni comment elle faisait tout pour attirer mon attention et être attentionnée envers moi. Si j'avais put savoir, tout aurait été différent.

Années de mes 5 ans

Cette année là ma vie pris un tournant différent. Je ne saurais dire réellement comment tout avait commencé. Mais je me rappelais d'une chose, c'était que ma mère était entrée dans une colère noir. Je ne l'avais jamais vu ainsi auparavant. Au départ je pensais bien faire en lui disant ce que j'avais vu et entendu dans le bureau de mon père, même s'il m'avait défendu d'en parler à ma mère. Je ne savais pas que j'avais commencé la descente aux enfers de ma famille. C'était un lundi, je me rappellerais de ce jour toute ma vie. Ma nounou m'avait emmenée voir mon père après la fête surprise d'un enfant de notre rue. J'étais tout excité de pouvoir lui raconter comment la fête c'était passée. Je voulais lui dire que je m'étais amusé, que Jared, le voisin, c'était pris un bout de tarte dans la tête. Je voulais lui raconter tout ça et bien d'autres choses. Seulement ce jour là j'étais entré dans le bureau de mon père sans frappé et je l'avais entendu, ainsi que sa secrétaire crier et gémir. Je pensais qu'ils avaient mal, je me trompais. J'étais en larme, pensant bien entendu que mon père était blessé. Il avait tenté par tout les moyens de me calmer. Il m'avait fait promettre de ne rien dire à ma mère. Lorsque j'étais rentré chez moi avec ma nounou j'étais assez secoué et je pleurais encore un peu. Ma mère lorsqu'elle me vit ne put s'empêcher de faire une remarque acerbe sur les voisins qui selon elle étaient la cause de mes pleures. Je n'avais pas bien réfléchit sur le moment mais j'avais accouru vers elle et je m'étais accroché à ses jambes comme à une bouée de sauvetage. Je pense qu'elle était aussi surprise que moi sur le moment. Elle m'a alors pris dans ses bras, la nounou avait dut lui dire et m'avait emmené dans ma chambre non sans avoir lancé une remarque à mon sujet. Lorsqu'elle m'a déposé dans ma chambre je lui avait demandé timidement: Maman es-ce que tu m'aimes ? Parce que moi oui.....Maman...Papa.... Je lui avait tout raconté, je lui avait dit que je pensais qu'ils étaient blessés et que papa m'avait fait promettre de ne pas lui dire pour ne pas l'inquiéter. Elle, elle avait bien compris de quoi il en retournait. Elle savait. Je savais bien qu'un jour où l'autre tu me serais utile. Tu n'es peut être pas si bête que ça finalement. Tout n'est pas perdu. A partir de ce moment là elle commença à m'enseigner comment je devais me tenir en société et comment je devais toujours tout tourner à mon avantage. Cette année là j'avais commencé à gagner le coeur de ma mère.

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- Années de 6 à 10 ans -
Années de mes 6 ans

Cette année là j'entrais pour la première fois à l'école. Mon père avait réussit à me mettre dans la plus prestigieuse des écoles. Comme si à cet âge c'était tellement important. Je rencontrais d'autres enfants de mon milieu, et je me rendais compte à quel point j'étais différent d'eux. J'étais encore le petit à sa maman. Ils se connaissaient tous et on aurait presque dit qu'ils étaient tous fait sur le même modèle. J'étais souvent seul. Lorsque mon père a sut ça il a organisé une fête chez nous en invitant tous les enfants de ma classe. Qu'es-ce que ça changeait ? Je restais toujours le même. J'étais seul à ma propre fête. Seulement c'est là que j'ai vu la tête de ma mère. Bizarrement je voulais l'impressionner, ne pas lui faire honte. Je m'étais rappelé de ce que mes parents m'avaient toujours dit, "Lorsque tu est avec les autres tu dois toujours porter un masque et prétendre que tu es quelqu'un d'autre, ne laisse jamais les gens découvrir ton vrai visage. Lorsque tu es en société fait comme si tu jouais un rôle dans une pièce, il faut que tu sois exceptionnel pour que les autres ne découvrent pas que tu te joue d'eux. Si tu arrives à faire ça, alors ce jour là tu deviendras quelqu'un". C'est à partir de ce moment là que je me suis crée un personnage, je jouais un rôle dont seul moi en connaissait les répliques, j'étais le metteur en scène de ma propre histoire. Je commençais à devenir quelqu'un.

Années de mes 7 ans

Je commençais à gagner des points au près de mes camarades, qui aurait put soupçonner que je me jouais d'eux ? Personne. Et pourtant j'étais parmi les enfants les plus intelligents, ils tenaient de leurs parents, et aucuns d'eux n'avait encore décelé la moindre anomalie me concernant. Ils me voyaient comme ce riche fils d'Antonio Massarelli qui comme son père savait y faire avec les autres. Plus le temps passait plus mon père m'inculquait les rudiments de la vie comme il aimait si bien les appeler. Il m'apprenait à me tenir en société. J'étais devenu égoïste avec le temps. Prétentieux de surcroit. J'étais intelligent, la vie c'est comme une partie de poker il ne faut jamais abaisser ses cartes avant d'être sûre que la partie est bel et bien terminée. Je savais comment m'y prendre avec mes camarades. Ils croyaient que j'étais quelqu'un d'autre, s'ils savaient.

Années de mes 8 ans

Petit à petit mon jeu s'étoffait, j'étais devenu très doué à cela. Je devenais stratège, à 8 ans je savais déjà avec qui il fallait être, qui il fallait éviter et qui, surtout, il fallait martyriser. C'est à cette époque là que j'ai pris plaisir à martyriser les autres. J'aimais ce pouvoir que j'avais sur les gens, j'aimais le fait que les gens me suivent. J'étais le meneur. C'était moi qui décidait. La cour de récréé était mon jeu d'enfant, les autres jouaient au chat et à la souris, mais moi je jouais à un tout autre jeu. Je commençais à jouer dans la cours des grands. Je savais me faire respecter. Néanmoins plus ça allait plus je devenais insupportable. J'étais tellement sûre de moi.

Années de mes 9 ans

Cette année là j'ai réalisé que j'étais craint et bien plus encore. J'étais devenu le petit caïd de mon école, le mauvais garçon. Les gens me fuyaient comme la peste. Il fallait être sympa avec moi si on ne voulais pas s'attirer mes foudres. Je dirigeais l'école avec ma bande de copains, nous faisions la loi. Même les plus grands nous respectaient. Cependant un groupe de jeunes en avait assez que nous embêtions tout le monde, ils voulaient que ça cesse. Nos deux bandes ce sont battues, c'était relativement violents. Je me suis blessé au genou ce jour là. J'étais sacrément amoché et l'autre garçon avec qui je m'étais battu également. Cette année là mon père entra dans une colère monstre après ma suspension, je lui faisait honte, seulement c'est à partir de cette année là que ma mère commença à se réjouir du tournant que je prenais.

Années de mes 10 ans

Les choses ont commencées à s'empirer entre mes parents. J'étais de plus en plus infernale à l'école, enfin mon père entendait parler de moi vis à vis du fait que je maltraitais les autres. Ma mère me soutenais, pour une fois, seulement mon père voulait me changer d'école. Mes fréquentations, selon lui, étaient des plus mauvaises. Il obtenait toujours ce qu'il voulait, et bien entendu je fus changé d'école. J'avais tout à recommencer désormais mais je savais que je pouvais le faire.
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- Années de 11 à 15 ans -

Années de mes 11-13 ans

Je changeais souvent d'école, je causais toujours les mêmes problèmes et bien entendu ça énervait mon père. Avec le temps j'étais devenu encore plus fourbe que ce que je n'étais. Ma mère se réjouissait de ceci, elle disait que je tenais d'elle. Elle semblait fière de que je devenais, seulement je voyais quelque fois ses sourcils se froncer en me regardant comme si elle pensait à quelque chose de désagréable. Je ne savais pas encore ce que c'était. Elle continuait de me dire que j'étais sa plus grosse erreur, que je ne méritais pas d'être là, mais avec le temps je me demandais si elle ne le faisait pas pour la forme et pour que mon père ne se doute de rien.

Années de mes 14 ans

Le mariage de mes parents a vraiment éclaté cette année là. Mon père avait trouvé une maitresse, sauf que cette fois c'était pour de bon, il ne comptais pas la lâcher. Au plus profond de moi j'étais écoeuré. Comment pouvait-il faire ça à ma mère ? Il l'avait déjà fait une fois, sauf que maintenant c'était concret. Ma vie s'écroulait. Je me rendais compte que l'homme que je pensais connaître n'était point. Ce n'était pas mon père. Cette personne n'était pas celle que j'avais idolâtré depuis ma plus tendre enfance. Petit à petit les morceaux se mettaient en place, je me rendais compte que je m'étais coulé la face. Je pensais savoir qui il était, mais au final c'est lui qui m'avait appris à avoir un masque, il en avait un lui aussi. Au fur et à mesure je commençais à voir au travers de cette apparence. C'était un homme froid, sans coeur. Je pensais qu'il se souciait de moi, mais ce n'étais pas le cas. Il s'en fichait. Il voulait créer quelqu'un à son image, quelqu'un d'encore plus monstrueux que lui. Ca n'arriverait pas.

Années de mes 15 ans

Je fis une promesse à ma mère cette année là. Mon père ne devait pas avoir de futur femme. Elle comptait le récupérer j'en étais conscient et c'est ce qui me dérangeait le plus. Désormais je savais à quoi m'en tenir avec mon père. Je le haïssais. Je voulais le faire souffrir pour toutes ses années où il s'était joué de moi. J'étais son pantin pendant toutes ces années. Les choses allaient changées. Je ne deviendrais pas comme il veut que je sois. je serais qui je veux vraiment être. J'allais pouvoir mener mes actions en douce, après tout il m'avait bien appris à en jouer pourquoi ne pas l'utiliser contre lui. Nous étions partis pour Paris, j'avais été obligé de le suivre. Je devenais incontrôlable. Sa pseudo petite amie me tapait sur le système. Elle devait avoir 25 ans et mon père était beaucoup plus âgé qu'elle. Comme je l'avais promis à ma mère, son couple ne dura pas. Le fait de me voir avec sa petite amie et JAMIE au lit n'a sans doute pas aidé. Il était dans une rage folle. J'étais fière de moi. Je commençais juste à jouer avec lui. C'est cette année là que j'ai rencontré SATEEN, elle sait tout à propos de ma mère, elle a bien vu comment on agissait fou les deux. Ce n'était pas une relation mère-fils normal. Elle sait que je n'aime pas en parler et je l'a respect beaucoup pour ça, beaucoup me forceraient à en parler mais pas elle.
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- Années de 16 à 20 ans -
Années de mes 16-18 ans ans

J'étais tombé dans l'alcool, je n'étais pas alcoolique, loin de là. J'avais essayé la drogue mais ce n'étais pas mon truc. J'enchainais les soirées, et les filles surtout. Et surtout j'emmerdais mon père. Il n'en pouvait plus de moi. Chaque jour nous nous prenions la tête et chaque jour sa résistance baissait petit à petit. J'étais à deux doigts pour qu'il craque. Je voulais qu'il me mange dans la main. Je pensais savoir ce que je faisais. "La vie c'est comme une partie de poker il ne faut jamais abaisser ses cartes avant d'être sûre que la partie est bel et bien terminée." Je l'avais oublié. Je pensais avoir gagné. J'étais loin du compte. Mon père me fit payer mes affronts au centuple. Il m'avait rabaissé, humilié, frappé aussi, il avait fait de moi cet enfant de trois ans qui pleurait parce que sa maman ne l'aimait pas. J'allais regretter de lui avoir causer du tord. A ce jeu il était plus fort que moi.

Années de mes 19-20 ans

J'étais entré à Yale. Sans surprise. J'étais le fils de, je devais entrer dans cette école. Je restais relativement plus discret dans cette école. Je devais me faire remarquer le moins possible. Je n'avais pas abandonné l'idée de faire payer mon père. Tout en restant discret j'essayais d'en apprendre le plus sur lui. Il y a certaines choses que je préfèreraient ne pas savoir. C'est en essayant de découvrir les secrets cachés de mon père que je me découvris une "passion" pour les secrets des autres. J'étais devenu le maître chanteur de la fac. Je connaissais les secrets d'absolument tout le monde. Je menais mon petit business secret dans l'ombre, mon père n'en savait rien et c'était mieux ainsi. J'étais redevenu le mec avec qui être en bon terme, le mec craint par tout le monde. J'étais populaire à ma manière.
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- Années de 21 à 22 ans -
Années de mes 21 ans

Mon père ne le savait pas et s'il savait qui sait ce qu'il me ferait. J'avais postulé pour rentrer à la rentrée prochaine à Harvard, je voulais que les choses changent. J'en avais marre de faire toujours ce qu'il me disait. Je devais me mettre en action. Je devais faire quelque chose pour me sortir de cette situation. J'avais envie de changer d'air, de changer de vie. Je voulais qu'il me prenne au sérieux et qu'il voit que je n'étais pas près à céder à ses attentes. Je savais tout ce qu'il avait fait. Ce n'était qu'une question de temps et il paierait. J'avais perdues beaucoup de batailles mais je n'avais pas encore perdu la bataille qui nous opposait.

Années de mes 22 ans

La libération. J'étais un véritable connard et j'étais très connu pour ça à Harvard, j'avais d'ailleurs été élu pire Eliot lors de la remise des prix au bal d'Harvard c'est pour dire. J'étais exécrable. J'étais comme ça. Un connard. Je restais ce mec égocentrique, manipulateur, toujours entrain de rabaisser les autres. Les gens me reconnaissaient, j'avais l'impression d'exister. Ils ne me portaient pas dans leur coeur mais au moins j'existais, j'étais quelqu'un d'exécrable certes mais au moins on savait qui j'étais. J'avais besoin de reconnaissance, seulement cette reconnaissance que j'avais étais merdique. Je voulais exister mais je repoussais les gens qui essayaient de me connaître. Je savais qu'à un moment ou un autre j'allais les décevoir, que j'allais les blesser. Néanmoins j'étais quand même proche de quelques uns comme ROYCE. Je n'ai pas vraiment changé, si ce n'est en pire, je cherche toujours à savoir les secrets des autres et à les rabaisser et les faire chanter, sauf pour ELSY, ce n'est pas vraiment quelque chose que l'on dit. Cette fille m'a profondément touchée, et il en faut beaucoup pour m'atteindre. Les choses commencent à se compliquer avec mon père, le fait que je sois désormais à Harvard n'a rien arrangé, au contraire il est encore plus furieux contre moi. Je ne sais pas comment me sortir de se pétrin dans lequel je me suis fourré. Pendant le Spring Break mon père est venu me rendre une petite visite de courtoisie. Bien entendu il m'a fait amèrement regretter de m'être opposé à lui là dernière fois. Nous en étions même venus aux mains tellement il m'avait énervé à ne cesser de répéter que je devais retourner à Yale, que je n'étais qu'un bon à rien et ce genre de choses. Sauf que maintenant c'était différent, il m'avait menacé, et pas de simple menace, non. Il en avait marre que je fasse comme bon me semble et que je mette mon nez dans ses affaires, parce que oui bien entendu j'étais resté à Harvard pour pouvoir continuer mon petit business et j'avais découvert de sales trucs sur lui et il l'avait appris. Non seulement maintenant il me haïssait corps et âme mais en plus il voulait ma mort et il me l'avait clairement fait comprendre. Lorsque j'en avais parlé à ma mère elle c'était contenté de dire que c'était de ma faute. Au fond elle s'en fichait pas mal s'il mettait ses menaces à exécutions ou non. Au contraire ça l'arrangeait parce que c'était elle qui allait sans doute récupérer tout l'héritage. Je n'en pouvais plus, j'avais l'impression d'être à nouveau ce gamin de 3 ans que j'étais autrefois. J'avais la trouille, dire que je ne l'avais pas serait mentir. J'étais complètement mort de trouille à l'idée qu'un jour ou l'autre je puisse partir comme ça. Je suis sûre que je ne manquerais à personne.
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Mon accident
Je ne saurais vraiment expliquer comme c'est arrivé mais...Ca a tout changé en l'espace de quelques secondes.
Je rentrais juste du Summer Camp, mon gardien m'avait appelé car Alpha n'était absolument pas bien et il ne savait pas quoi faire. Alpha était ce que j'avais de plus cher à mes yeux, ça pouvait sembler stupide parce que ce n'était qu'un chien mais il m'avait aidé dans bien des épreuves de ma vie. Il avait toujours été là et savoir qu'il avait des soucis de santé me minais. Pour tout ceux qui pensaient que je n'étais qu'un mec sans coeur... J'étais rentré en catastrophe et l'avais emmené voir un vétérinaire, il avait été très clair la dessus, Alpha avait été empoisonné. Empoisonné mais par quoi ? Par qui ? Et pourquoi au juste ? Ca n'avait pas de sens. Je ne comprenais pas pourquoi on aurait voulut tuer mon chien, il ne faisait de mal à personne. Il n'avait jamais mordu quelqu'un ou quoi que ce soit d'autre. J'étais rentré chez moi avec des médicaments pour lui, en espérant qu'il irait mieux. C'est là que j'ai compris en voyant le concierge qui ne semblait pas plus surpris que ça. Pourquoi aurait-il voulu tuer mon chien au juste ? Je ne comprenais pas, on avait toujours été en bon terme lui et moi et il aimait bien Alpha, enfin de ce que j'en avais vu. Il s'en était toujours très bien occupé. Je rentrais chez moi en colère, c'est alors que ça se produisit....
J'entendis une détonation dans l'appartement puis le trou noir. Je m'étais réveillé à l'hôpital ne sachant pas qui j'étais, ce que je faisais ici, ce qui m'étais arrivé. D'après les policiers il y avait eu une explosion chez moi, c'est ce qui avait causé mes blessures et mes cicatrices, j'en avais une de plus maintenant, elle descendais de mes côtes jusqu'à ma hanche sur le côté droit. Les médecins m'avaient annoncés que j'avais eu un traumatisme crânien et que c'était ce qui causait ma perte de mémoire, en revanche ils ne savaient pas si c'était temporaire ou définitif mais toujours selon eux la mémoire reviendrait avec le temps. Oui mais dans combien de temps ? Ca bien entendu ils ne le savaient pas. On m'avait également annoncé la mort de mon chien, Alpha, je ne m'en rappelais pas mais j'avais eu un pincement au coeur rien que de le savoir. J'étais complètement perdu et seul dans cet hôpital ou je ne me sentais pas à l'aise, j'avais l'impression d'être dans le corps de quelqu'un d'autre et c'était très étrange.
J'avais pensé que plus personne ne me rendrait visite mais je m'étais bien trompé, une certaine EVANNA était un jour venue à mon chevet pour voir comment j'allais. Nous avions discutés longuement et j'avais découvert que c'était ma petite amie avant que je ne devienne amnésique. C'était un peu difficile au début pour trouver ses marques mais j'étais certains que nous allions surmonter tout ça.
J'étais sortit de l'hôpital quelques semaines après cela, les médecins avaient jugés bon de me laisser rentrer chez moi, du moi me laisser sortir de l'hôpital étant donné que je n'avais pas de toit pour le moment. La Eliot House semblait être le seul endroit où je pourrais rester en attendant bien entendu de pouvoir avoir un autre appartement. Pour le moment mes souvenirs n'étaient pas revenus dans leur intégralité mais je ne perdais pas espoir que peut-être d'ici peu j'allais enfin pouvoir retrouver une vie normal.


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