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des excuses et des explications s'impose PV AIDAN

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JACKIE-ELIE STEVENSEN & AIDAN L. NORRINGTON
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Mes problèmes avaient causé bien des dégâts, il était temps pour nous de ne plus penser à cela. Aidan n'était pas rancunié et bizarrement il acceptait assez facilement mes excuses. J'en étais ravie. Nous étions parti sur un sujet beaucoup moins sérieux. Même si une once de mystère se cachait dans nos paroles. " Je sais pas. " Je n'étais absolument pas convaincu par cette réponse. Aidan était le genre d'homme à obtenir ce qu'il voulait. Je ne doutais d'ailleurs pas de ces performances en séduction. Son palmaraisse parlait pour lui. Mes yeux se plissaient attendant une autre réponse de sa part. Il ajouta : " Je te sais pas malheureuse non plus ma chère Jackie. " J'affichais un beau sourire et mon regard se plaça à nouveau sur lui. " Je n'ai pas à me plaindre monsieur Norrington ". C'est vrai que je ne me plaignais pas. Mon secret était bien gardé et marchait. Aidan s'approcha de moi doucement et se plaça derrière moi. Je ne comprenais pas ce qu'il manigançait, du moins pas tout de suite. Il déposa ensuite ses mains sur mes yeux. " Ne bouge pas " une petite démo ? peut-être. J'affichais un sourire malicieux et tournai légèrement la tête sur le côté. Je ne disais rien. Aidan me susurra quelques belles paroles " Peut-être que ce qui rend les filles folles, c'est le son doux de ma voix ". Mon attention lui était totalement consacrée, mon corps était en alerte et figée. " Je doute que ce ne soit que ça " dis-je en le provocant un peu. Aidan poursuivit son petit manège. La cruauté même de l'homme. Il posa ensuite délicatement ça sur ma nuque en continuant : " ou bien ce sont mes doigts assurés, ils savent toujours comment faire frissonner un corps féminin ". Je ne doutais pas de cela. J'étais muette, je profitais de l'instant tout simplement. Il se rapprocha encore un peu plus de mon oreille pour me dire : " Finalement, c'est peut-être bien mon caractère d'enjouer un peu crétin ". Je me mis à rire, finalement son caractère devait y être pour beaucoup. Aidan était quelqu'un de séduisant et de libre. Il s'écarta et s'installa sur la chaise qu'il avait quitté quelques minutes avant. Il était fort, très fort même. " Et toi, ton secret c'est quoi . " Mon regard se plongea à nouveau dans les yeux de monsieur Norrington. Nous allions donc jouer. J'avais conscience que ce jeu pouvait être dangereux et risqué mais finalement l'envie de faire mieux qu'Aidan prit le déçu. J'affichais un sourire et m'avançai vers lui. Je lui pris le cols de sa veste et l'entraînai vers un mur non loin du lit. " Tu veux toujours savoir mon secret ? ". Je le poussais encore un peu pour que son dos touche le mur. Je m'avançais doucement pour déposa ma joue contre la sienne et lui dit tendrement : " ma détermination est un de mes plus bel atout ". Tout ceci pouvait paraître très sérieux surtout que finalement nous ne faisions que jouer. Sans grande gêne, je m'approchais encore plus près de lui. Mon visage recula quelque peut. Je rapprochais dangereusement mes lèvres des siennes sans pour autant les toucher. Je pouvais sentir son souffle, je finis alors par dire en chuchotant : " et ces lèvres plaisent beaucoup " dis-je en haussant les sourcils avec un petit sourire narquois. " mais tu ne sauras jamais mon secret Norrington, il est beaucoup trop précieux ". dis-je en lui faisant un bisou sur la joue pour ensuite me desserrer de lui. Je m'asseyais sur son lit, je le regardais alors : " fait gaffe tu vas finir par gober les mouches " dis-je ironiquement fière de lui avoir montré que je pouvais être très dangereuse aussi.

Haaaaaaaaaaaan désolé pour tout ce que j'ai écrit  des excuses et des explications s'impose PV AIDAN - Page 2 2157042859 
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C'est un petit jeu dangereux auquel ils s'adonnaient tous les deux. Mais concernant le risque, ils avaient un tempérament similaire. De ceux qui aiment à jouer avec le feu. Ce fût bientôt l'heure de la revanche de Jackie, puisque celle-ci plaqua Aidan contre le mur. Ne mentons pas, il avait l'air un peu interloqué. Un sourire néanmoins ne disparaissait pas de ses lèvres. « J'aime les femmes qui savent ce qu'elles veulent. » lui répliqua-t-il d'un regard taquin. Ses lèvres s'approchèrent ensuite des siennes, et elle jouait carrément avec lui. En même temps, c'était un peu leur façon d'être depuis le départ. Ses prunelles azurées fixaient obstinément les siennes, puis elle le planta là en lui collant un bisou sur la joue. Elle retourna ensuite s'asseoir et bien entendu le charria. Il ne s'était même pas rendu compte qu'il était resté la bouche ouverte.  « C'est que j'attendais. »  lui dit-il en la regardant d'un air dédaigneux. Il fit ensuite le tour de la jeune femme et passa une main provocatrice dans ses cheveux. « Tu aimes faire des cachotteries, petite allumeuse ! » et il se rassit face à elle, en se servant une nouvelle part de pizza. « En tout cas, tu amènes de bons plats, alors je te pardonne. » dit-il en croquant allègrement dans sa part. « Bon et sinon, quoi de prévu à part venir recueillir mon pardon méchante enfant ? » lui demanda-t-il en se moquant encore un peu d'elle. Il se rendait compte alors qu'elle lui avait manqué. Faut croire que dans les roses, ce qu'il préférait c'était les épines.

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« J’aime les femmes qui savent ce qu’elles veulent. » Je ne doutais pas d’Aidan. La détermination était en général quelque chose qui plaisait aux hommes. J’en étais persuadée. Au final, je ne savais pas qu’elle était mon secret. J’avais beau vouloir garder ce secret pour moi. Je ne savais pas ce qui plaisait temps chez moi. Pour moi, mon côté mystérieuse et enfantine y étaient pour beaucoup. J’aimais être une énigme pour les autres. J’adorais ça. « C’est que j’attendais. » je me mis à rire. J’étais contente de savoir que mon pouvoir de séduction marchait encore. « Tu aimes faire des cachotteries, petite allumeuse ! ». Aidan s’était rassis en face de moi. Je lui fis un petit clin d’œil et lui dis : « toujours ».

Le jeune homme prit une nouvelle part de pizza. Ce qui me donna envie de faire de même. Je pris un morceau de pizza et le portai à ma bouche. « en tout cas, tu amènes de bons plats, alors je te pardonne ». J’affichais un joli sourire content de l’entendre de sa bouche qu’il me pardonnait. J’avalais ce que j’avais dans la bouche pour dire ensuite : « et tu n’as pas goûter à ma vraie cuisine. » je cuisinais ou du moins j’apprenais à faire de bon petit plat et j’aimais ça. « Bon et sinon, quoi de prévu à part venir recueillir mon pardon méchante enfant ? » je fis une petite grimace encore coupable de ce petit incident. C’était surprenant comme les choses pouvaient être simple entre moi et Aidan. Quelques minutes avant, nous étions dans une position assez délicate et proche. Voilà que maintenant nous étions deux parfaits amis en train de manger. « et bien, je pensais que tu allais m’en vouloir plus longtemps. Alors disons que j’avais préparé de bon argument pour que tu ne m’en veuilles pas longtemps » dis-je avec un sourire.

 :loukas: :sifle: 
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Ah Jackie, la fameuse Jackie, elle et ses petits jeux, ses mystères enfantins, Aidan prenait conscience que la présence de la petite peste à ses côtés devenait chaque jour plus indispensable. Son sourire s'étira lorsqu'elle lui fit confidence de ses talents de cuisinière. « Tu cuisines toi ? T'as pas un larbin pour ça ? » lui dit-il en se mettant à rire. Oui, il se moquait de ses origines plutôt aisées et de son côté petite fille gâtée. Mais il était ceci dit tout à fait possible que Jackie sache cuisiner, voilà un point commun qu'elle avait avec June et qu'elle ignorait. Le Peintre haussa ensuite les épaules. « Je ne suis pas très rancunier. Enfin disons que c'est tout ou rien. » lui dit-il tandis que son regard se perdait légèrement dans le vague . Quand il prenait la décision de tirer un trait sur quelqu'un c'était définitivement terminé et là vous pouviez avoir autant d'arguments que vous vouliez, vous ne vous confronteriez qu'à une belle indifférence. « Mais c'était quoi comme genre d'arguments Indiana ? » lui demanda-t-il tout à coup moqueur. Il aurait peut-être mieux fait de la laisser un peu mariner finalement...
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C’était étonnant de voir comme nous nous ressemblions parfois. J’avais beau prétendre que j’étais unique. Aidan me ressemblait sur de nombreux point. « Tu cuisines toi ? T’as pas un larbin pour ça ? » mes yeux se plissèrent et je me mis à sourire ensuite. Il est vrai que je ne manquais de rien, mon père avait un compte bancaire bien rempli et ma mère ? Ma mère n’en parlons pas. Je ne travaillais pas, mon père m’aidait à payer les finances de mon appartement et de l’université. Je lui fis alors : « Figure toi que je sais me servir de mes mains. Bon je suis loin d’être une grande chef hein mais je me débrouille ». Je ne pensais pas avoir de point commun avec June, sa petite amie. « Je ne suis pas très rancunier. Enfin disons que c’est tout ou rien. ». Pour tout vous avez cette révélation m’effrayait. Je n’étais pas parfaite et il était fort probable qu’un ces jours je dérape une nouvelle fois avec Aidan. J’étais comme ça, maladroite et parfois impulsive. Je ne répondis rien, je ne savais pas quoi répondre à cela pour être plus claire. « Mais c’était quoi comme genre d’arguments Indiana ? ». Comme si j’allais lui dire surtout qu’en soit l’idée était original mais vraiment nul. Je lui fis : « Une prochaine fois peut-être Norrington. Le devoir m’appelle ». Il était temps pour moi de partir sachant pertinemment qu’Aidan pouvait être insistant quand il n’obtenait pas ce qu’il voulait. Je me levais et me dirigeais vers la porte : « Pense bien à moi hein ! » dis-je amusé avant de lui faire un clin d’œil et d’ouvrir la porte pour partir.
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