KONRY ► Tu ne peux pas te passer de moi en fait...

Samedi soir, l'alcool coulait à flot, dans cette boite de Cambridge. J'avais passé la moitié de ma soirée à fumer joint sur joint avec Léo avant de sortir en ville. On avait atterrit dans ce club qui passait de la musique techno et on avait commandé un mètre de shooters. Léo était toujours partant pour se saouler avec moi. Après avoir ingurgité la moitié des shooters, j'étais enfin dans l'ambiance. On se mit à danser au plein milieu de la salle et il ne fallut pas attendre très longtemps avant que des mecs commencent à me tourner autour. Léo me faisait rire, car il fallait toujours qu'il regarde quels mecs voulaient danser avec moi. Très vite, l'effet de l'alcool se fit sentir et je perdis Léo de vue. Alors que j'allais au comptoir pour recommander un énième verre, mon portable vibra dans ma poche. C'était Konrad. " Ca te dirait de me rejoindre chez moi ? Je t'attend ! " . Ne voyant plus Léo, étant pratiquement sur qu'il avait trouvé une fille avec qui passer la soirée, je sortis de la boite. Il devait être plus d'une heure du matin. Je marchai quelques temps dans la rue, dans le froid, pour enfin arriver chez Konrad. Une fois devant sa porte, je sonnai tout en remettant en place ma robe.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Je m'ennuyais ce soir, j'avais rien à faire, il était 0h00 passé et j'étais toujours là, allongé dans mon canapé à mater un film d'horreur qui ne me faisait même plus peur, c'est pour dire à quel point je me faisais chier. J'avais même fumer deux joints d'affiler pour vraiment ressentir les effets de défonce, Kyron était surement en boîte ou chez une fille qui sait, j'étais seul et je me faisais grave chier. Il me venait à penser que Carly pouvait peut-être être dispo, je souriais en pensant à cette idée, et je tendais le bras pour choper mon tel sur la table basse et lui envoyé un sms pour lui dire de venir, que je l'attendais, je reposais le portable sur la table et je continuais de mater ce film en me roulant un autre pétard. Juste quelques minutes après ça frappait à ma porte, si c'était elle pour venir aussi vite, elle était allée au Republik C'est ouvert ! lui dis-je d'une voix assez forte pour qu'elle puisse entendre, je mettais le joint entre mes lèvres et je commençais à tirer une latte après l'avoir allumé, recrachant la fumée, je tournais la tête légèrement en arrière pour voir qu'il s'agissait bien de Carly, parfait.

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Ps : Je te pique ton code
Ps 2: Moi c'est pas Carly hého

† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Je savais très bien au moment de sonner chez Konrad que j'allais prendre mon pied ce soir. Avec lui, c'était pas compliqué. Il y avait une sorte d'alchimie entre nous, une connaissance de l'autre qui nous permettait toujours de savoir comment s'y prendre avec l'autre. On se voyait assez régulièrement et pratiquement à chaque fois ça finissait dans un lit, ou un canapé, ou une douche, etc. C'est ouvert ! ma lança-t-il alors. J'ouvris alors consciencieusement la porte et la refermai une fois rentrée. Il était assis sur son canapé, et tourna la tête tout en tirant sur son joint. Je me mis alors à lui sourire puis arrivai à sa hauteur. Tu ne peux plus te passer de moi alors ? lui dis-je en l'embrassant dans le cou. Je déboutonnai ensuite mon manteau et le posai sur une de ses chaises avec mon sac. Je me retrouvai alors en robe en soi blanche avec des collants noirs.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Ouais je m'ennuyais et j'avais envie de baiser alors c'est pour ça que j'avais envoyé un sms à Cory, pour lui demander de venir car à chaque fois qu'on se voient on baisent et n'importe où. Elle ne tarde pas à arriver, j'ai trop la flemme de bouger, je suis allongé dans mon canapé avec un joint entre les lèvres, je gueule assez fort pour qu'elle entende qu'elle peut entrer et je l'entendais ouvrir la porte et la refermer et arriver vers moi par le bruit de ses talons sur le sol. Je souriais en tournant la tête et voyant que c'était elle, ses lèvres embrasaient mon cou, un courant de frisson me parcourait le corps Tu serais pas là sinon ou à moins que ce joint puisse te remplacer ? lui disais-je regardant le joint avec un sourire aux lèvres le reportant à mes lèvres une nouvelle fois pour tirer une latte. Je venais la détailler de haut en bas lorsqu'elle déboutonna son manteau, elle était à croquer, j'adorais ça.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † L'odeur de joint était omniprésent chez lui à chaque fois que je venais le voir. Et qu'est-ce que j'aimais ça. Ca devait être une de mes odeurs préférées à vrai dire. Tu serais pas là sinon ou à moins que ce joint puisse te remplacer ? Je voyais son sourire se dessinai à ses lèvres à cet instant là. Je ne répondis rien et m'assis à côté de lui sur le canapé. Je tournai ma tête vers lui Tu m'excuseras d'avoir fais vite, mais ça me démangeais de ne pas pouvoir tirer sur ton joint lui dis-je en ouvrant mes deux doigts dans la direction de son joint, de façon à ce qu'il me l'y glisse.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Elle venait d'arriver, elle venait d'entrer, je venais de sourire la voyant et encore plus lorsqu'elle posait ses lèvres dans mon cou, ce soir j'allais baiser. Je m'amusais à la taquiner avec le joint, qu'il soit plus occupant qu'elle mais elle ne l'entendait pas de cette oreille, après s'être dévêtit de son manteau où je ne me gênais pas pour la reluquer de haut en bas dans sa robe blanche en soi et ses collants noirs qui la rendait craquante, c'était mon avis, elle venait s'asseoir sur le canapé pour me dire qu'elle était là pour tirer sur mon joint, je souriais finissant ma latte et venant mettre le joint entre ses doigts pour qu'elle y goute C'est vrai que tu peux pas te passer de ma weed si je peux pas me passer de toi, ça me revient. je lâchais un petit rire la regardant tirer sur le pétard Alors toujours autant amoureuse de ma weed même bourrée ? ouais je l'avais cramé, la façon dont elle parlait puis son regard, pas la peine de lui demander d'où elle venait, c'était le Republik dans la rue d'à côté.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Je m'étais assise dans son canapé et m'étais totalement détendue. Il faut dire que ce que j'avais bu quelques heures auparavant et tout ce que j'avais fumé me le permettait. Mes bras longeaient le long de mon corps quand je levai le bras droit pour attraper son joint. Il me le glissa entre mes doigts tout en lâchant une certaine remarque qui me fit sourire. Je pensais avoir réussi à cacher ma présente ivresse jusqu'à ce qu'il me dise Alors toujours autant amoureuse de ma weed même bourrée ? Je me mis alors à rire puis tirai quelques taffes sur le joint. Toujours ! Et ça se voit autant que ça ? lui demandais-je d'un air enfantin, comme un enfant peur qui avait peur de se faire gronder...

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Son cul se posait dans mon canapé, elle se détendait et ça me faisait sourire alors que je tirais une latte de plus sur mon pétard puis je la laissais l'attraper entre ses doigts qu'elle y goutte et une fois que je la voyais avaler cette merde, je lui demandais si elle la kiffait toujours autant même bourrée, oui je l'avais cramer, elle me la faisait pas à moi, rien que la façon dont elle me regardait, je le savais. Tu peux pas savoir à quel point. je riais presque alors que je posais mes jambes, allongé, sur les siennes, assise. T'es assez consciente pour comprendre que j'ai envie que tu me suce ? du tac au tac avec moi, elle le savait, j'avais ce sourire qui pouvait la rendre toute chaude, elle savait qu'en venant ici elle ne repartirait pas avant demain matin et d'être passer sous mes draps.

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Si j'étais venu chez Konrad, c'était bien sûr pas pour jouer aux cartes. Tous les deux, on savait bien qu'on allait finir par coucher ensemble. Et en même temps, c'est ce que je voulais quand je suis entrée chez lui. Konrad savait très bien que j'avais bu et en même temps c'est pas quelque chose que je voulais cacher. Quand on couchait ensemble, j'étais bien souvent dans cet état-là. Il posa alors ses jambes sur les miennes et d'un regard pleins de malice me dit T'es assez consciente pour comprendre que j'ai envie que tu me suce ? Je me mis alors à rire ! Je repris son joint et tout en lâchant ma latte je lui répondis Sheffield, le mec le plus fin au monde ! Ca m'étonne pas que tu trouves pas de copines. Lui dis-je, afin de le taquiner. Il savait très bien que moi non plus j'en avais pas, et je savais également qu'il allait lui aussi me vanner. Et puis, tu veux pas boire un peu là ? Tu me paraît trop mignon, pas assez bien là, pour que j'ai envie de coucher avec toi. Je ne sais pas si c'était l'effet de l'alcool, mais j'avais bien envie de le chercher ce soir...

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† Tu ne peux pas te passer de moi en fait...†

konry † Si je l'avais appelé c'était forcément pour qu'on couchent ensemble, c'était comme ça tout le temps entre nous depuis que je l'ai retrouvé au début de l'année et je fais du tac tac avec elle, avec une remarque des moins fines je le reconnais mais je suis défoncé. T'as vu un peu ! Mais si aller j'ai envie là. elle a croire qu'elle voulait jouer avec ma patience, me demandant si je voulais boire, je grognais J'ai pas envie de boire Coco. Juste envie que tu me suce. je rigolais, putain enchainer pétard sur pétard ça m'aidait pas mais elle était chiante à me faire prendre mon pied à chaque fois.

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