darkness, it's consume you. (matthew)

Parce qu'elle a l'air d'une cruche. Tout simplement, je n'allais pas chercher plus loin que ça. Je rougissais un peu, ça m'énervait qu'il pense que je puisse être jalouse mais voilà, c'est comme ça. Je me demande maintenant si lui il serait jaloux dans une situation inverse. Je souris, c'est sûr on peut être ami. En plus cette histoire m'émerveille un peu, m'excite. La drogue c'est mal on me l'a dit assez souvent, mais qu'est-ce que c'est excitant d'en prendre, imaginer d'en vendre ? Je ricane avec lui et me décide, enfin, à l'embrasser. Je profite du baiser avant qu'il ne s'arrête et ricane encore, cachant ma tête contre son épaule. On est juste amis, C'est clair ? Je pose mon index sur ses lèvres pour qu'il se taise et après quelques secondes retourne l'embrasse.r

« Probablement que ça en est une. En tout cas on ne parles plus d'elle. » Lui dis-je alors par la suite. J'allais donc évité d'emmener des filles ici en sachant qu'elle sera présente. J'étais certain d'avoir senti de la jalousie vu la façon qu'elle a parlé de la fille, mais celle-ci niait mes dires. Je continuais tout de même à le croire, mais je n'allais pas aller plus loin sur le sujet, sous risque que l'on finisse par se disputer, ce qui ne me tentait guerre. Notre relation amicale avait commencé vu la drogue que je vends. J'avais un peu peur qu'elle soit mon amie juste pour but d'en avoir. Je ne pense pas que ce soit son genre, mais je préfère me méfier un peu au début. Nous nous regardions dans les yeux alors que je l'avais agrippé par les fesses pour l'approcher de moi. Elle décida alors de m'embrasser avant de me dire que l'on était juste amis. Je m'en allais dire quelque chose lorsqu'elle déposa ses lèvres sur les miennes. Je prolongeai alors le baiser avant de la plaquer contre le mur avant de continuer à l'embrasser.

On ne devrait probablement pas. Franchement, on ne devrait pas. Mais il était là, avec son sourire narquois, à me chercher, à me taquiner et moi tout ce à quoi je pense se sont ses lèvres, le goût qu'elles ont et l'effet qu'elles ont sur moi. J'ai craqué, je l'ai embrasser, chose qu'après m'être réveillé à ses côtés et pratiquement sans aucun souvenir de ce qu'il venait de se passer, je m'étais promise de ne pas faire. Je ne m'en souvenais justement pas, de tout ça, et c'est se qui m'intriguais. Je ne cesse de me dire que ça a du être bon, genre vraiment bon, mais ça ne m'encourage qu'à réessayer, retenter le coup. Chose qui je personne normal n'aurait sûrement pas fait, elle aurait fuit, elle aurait fuit au moment même où elle aurait appris tout ce que je savais sur Matthew. Mais je ne suis pas normal je suppose, et savoir tout ça m'attire encore plus. Ca fait de moi la femme qui le connaît le mieux, se qui dans un sens est assez étrange. Attends, attends, attends une minute... Je stoppe le baiser, je suis toujours proche lui la respiration haletante et contre se mur. Un tout petit centimètre nous séparait l'un de l'autre, et je pouvais même sentir son souffle chaud contre mon visage. Un vague souvenir de son corps tout entier me reviens et je me sens fondre, j'avais tellement envie de lui, là maintenant, tout de suite. Empêche-moi de parler. Grommelais-je en un souffle, me jetant de nouveau à son coup.

Il se passait quelque chose entre nous. Mais comment le décrire, ça j'en sais rien. On dirait que c'est bien au dessus de l'amitié, mais aussi en dessous de l'amour. On pourrait évidemment appelé ça amis avec un grand plus, mais c'est beaucoup trop simple à dire. Quelque chose nous attire l'un vers l'autre. De mon côté, j'avais terriblement envie de l'embrasser. Mes envies se sont pousser plus loin vu que nous avions commencé à nous embrasser. Je commençais vraiment à avoir envie d'elle. Je voulais tellement savoir ce que j'avais ressentis de la fois où nous étions complètement partit et que nous nous sommes envoyés en l'air. Subitement, la jeune femme stoppa le baiser en me disant d'attendre. J'y comprenais rien du tout. Pourquoi nous arrêter? Nous passons un bon moment ensemble. « Quoi qu'es-ce qu'il y a? » Lui demandais-je tout bas afin de comprendre sa réaction. Par la suite, la jeune femme me demanda de l'arrêter de parler. Sérieux, j'y comprenais plus rien, mais en même temps, ils ne devaient avoir rien à comprendre. Pour la faire taire, je me mis alors à l'embrasser langoureusement avant de l'embrasser dans le cou. Mes mains se laissent glissés le long de sa poitrine que je caressais avec fougue.