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VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.

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C'est le 14 janvier 1991 à Paris, que les membres de la famille Joly m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Valentine et donnée comme second prénom Eden. Je suis en couple depuis un an et demi, crois en l'âme soeur depuis un an et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis attirée que par les garçons et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' arts visuels et d'informatique depuis trois ans et j'entame depuis cette rentrée ma quatrième année et travaille en parallèle de mes études en tant que barmaid dans un bar plusieurs soirs par semaine. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot house ou les Quincy House.
Valentine Eden Joly

Looks alot like Lyndsy Fonseca

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Mélissa et j'ai vingt ans et des poussières. Je suis française et toulousaine et j'ai connu le forum grâce à sa réputation.  Je l'ai trouvé charmant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lyndsy Fonseca comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi même.

Mot de la fin ? ▲ J'vous aime déjà tous. hanwii  VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  73120010 Mon tigrou je t'aime plus que tout.
Je souhaite
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
J'ai du passer quelques jours à l'hôpital suites à mes blessures physique, une ou deux fractures par ci par là, mais c'était psychologiquement que je fus le plus touchée. Je n'avais jamais vécu quelque chose d'aussi horrible de toute mon existence, jamais eu aussi peur pour ma vie et celle des autres, de mes amis, d'inconnus... Je me rappelle que je venais de sortir de mon dernier cours et rejoignais ma voiture sur le parking lorsque les bombes ont explosé. La foule, l'odeur de gaz, l'explosion des voitures... Je ne me souviens plus exactement comment j'en suis arrivée là mais je me suis réveillée à l'hôpital plus tard dans la journée. A mon réveil, je n'arrivais à penser qu'à une seule chose... à lui. Dexter. Il était ce dont j'avais le plus besoin et je ne m'en suis pas séparé les jours suivant l'attentat. J'ai usé de son réconfort et me suis drapée de son amour égoïstement. Je n'avais pas oublié ce qu'il m'avait dit, mais j'avais choisi de faire comme ci rien ne s'était dit, mon besoin de lui était plus fort que tout, rien ne pouvait le faire taire. J'étais dans une névrose où toute force instinctuelle et affective semblait drainée dans un seul sens, s'assurer de l'amour et me sentir en sécurité. Il était le seul être au monde à avoir ce pouvoir, à me faire sentir aimée de tout mon être, à en oublier toutes mes peurs.

CABOT HOUSE.
Pourquoi chez les Cabots? Je pense que c'est la confrérie qui me conviendrait la mieux. Je suis une jolie jeune femme avant tout, j'aime mettre en valeur ma féminité et mes atouts de charmes. Je suis toujours à la dernière tendance mais opte pour mon propre style suivant mes envies et mes goûts du moment, je prends soin de mon apparence chaque jour, il en est presque impossible de me voir trainer sur le campus dans une tenue que je n'aurais pas préalablement mis du temps à choisir, même quand je fais du sport je tiens à être à mon avantage. Il n'y a pas plus fidèle que moi, en amour ou en amitié, je reste toujours honnête et sincère, présente pour écouter ou consoler, je prends soin de tout ce qui m'est cher ou le deviendra. Je fais toujours de mon mieux et aime faire plaisir, mes soeurs de confréries deviendront vite ma famille et je n'aurais aucun mal à m'intégrer ou me faire de nouvelles amies, je suis plutôt sociable, aimant le contact avec les gens, l'échange et la complicité. Evidemment, je n'ai pas que des qualités, je suis aussi très possessive avec ceux que j'aime, impulsive et têtue, j'aime défendre ce qui est à moi et les protéger coute que coute, personne ne touche ou ne doit faire de mal à ceux à qui je tiens, c'est la règle, sinon, je peux devenir votre pire ennemi.

QUINCY HOUSE.
Les Quincy sont mon choix numéro deux, mais ce serait un tout aussi grand honneur de les rejoindre, autant que les cabots. Je ne dirais pas que je suis populaire mais ma réputation est pas mal faite depuis ces trois années à Harvard, je connais ceux à connaitre, sais ceux qu'il y a à savoir sur l'université et aime recevoir les nouveaux arrivants, je peux parfois servir de guide comme d'épaule pour pleurer, aussi bien participer à un gala de charité ou l'organiser. Je suis toujours disponible pour un coup de main, offrir mes services, aider ceux qui en ont besoin. J'ai plusieurs activités périscolaires et ne me lasse jamais d'en ajouter à mon planning. Je suis assez sportive, compétitrice et passionnée dans tout ce que je fais, j'aime avoir de nouveaux défis et les remporter. On dit de moi que je suis parfois trop gentille et naïve, que certaines personnes ne méritent pas d'être aider, mais je pense que les chances sont faites pour être données et que tout le monde mérite d'avoir la sienne. Par contre, une fois que l'on me déçoit ou brise ma confiance, je n'ai plus la même sympathie et vous m'aurez à dos jusqu'au pardon que je ne donne pas facilement.
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Paris, 14 janvier 1991. « C'est une fille! ». A peine arrivée sur Terre que je fus une totale déception pour mon père, ma mère elle, s'impatientait de me recevoir entre ses bras, heureuse de mettre au monde son premier enfant, sa petite fille, Valentine. C'est ainsi qu'elle me le racontait si souvent, rajoutant d'autres détails croustillants afin d'être convaincue que je détesterais mon père autant qu'elle et je crois qu'elle a réussi. Leur histoire dura quelques années, le temps d'avoir deux enfants, un mariage, une infidélité, un divorce. Mon paternel emporta avec lui ma mère s'en sans rendre compte, mais c'était ça, depuis ce jour elle s'est éteinte et je le ne la revis plus, plus sourire, plus rire, plus être heureuse, le plaisir et l'intérêt avaient disparu. Peu importe les efforts, les amants, l'amour de ses enfants, rien ne lui redonna espoir, rien ne lui fit croire à mieux un jour. Et ça n'est jamais arrivé. Elle vivait dans la mélancolie, un état dépressif qui durait le jour et la nuit, il n'y avait pas un moment de répit, pas un instant de lucidité, j'en perdis espoir moi même jusqu'à me résoudre, accepter qu'elle ne changera jamais. J'ai du élever mon petit frère et moi même, tout en prenant soin de ma mère, à en devenir le chef de famille par défaut. Nous vivions de peu et du nécessaire, dans un appartement du dixième arrondissement de Paris que mon père avait du nous laisser par ordre du juge. Dès que j'eue l'âge, je travaillai pour faire vivre ma famille, des petits boulots par ci, par là, tout en restant dans les études auxquelles je m'accrochais. C'était mon seul billet de sortie, le seul espoir que je voyais à cette vie et ce fut avec un travail acharné que j'obtenu toutes mes graduations jusqu'à avoir mon bac et décrocher une bourse d'étude pour l'université de mon choix. Harvard fut mon premier choix, il me fallait la plus plus prestigieuse de toute.  

J'avais beau avoir rêver toute ma vie de la quitter, les adieux étaient déchirants. Le plus dur étant d'abandonner mon petit frère de trois ans de moins que moi, de le laisser seul avec ma mère. Ca va aller, me disait - il toujours avec le même ton calme et serein. Il avait toujours été mon plus grand soutien, mon allié, c'était principalement pour lui, pour nous, si j'en étais arrivée jusque là, voulant amélioré notre vie du mieux que je pouvais. Je lui promettais de revenir un jour et de nous réunir alors que de son coté, il m'assurait que tout irait bien et qu'il serait le premier à me rejoindre. Le jour de mon départ approchait et je n'oubliais pas de dire aurevoir à mes meilleurs amis, ces rares personnes que j'avais laissé entrer dans ma vie véritablement, avec qui je pouvais me sentir moi même et qui je le savais, seront toujours dans ma vie peu importe la distance qui nous sépare. Je n'avais jamais eu de difficulté à me faire des amis, c'était simple d'être ouverte et accueillante, gentille et serviable, je l'étais naturellement, j'adorerais m'en faire de nouveau, de découvrir de nouvelles vies et d'écouter leur malheurs ou bonheurs plutôt que de parler des miens. Etre là pour les autres était ce que je préférais faire, je m'en servais souvent d'excuse pour fuir ma propre vie. Je n'avais pas honte de celle ci et j'étais plutôt fière de mon parcours, mais ainsi je pouvais m'évader et me sentir en sécurité. J'avais bien trop peur d'être mal jugée, mal aimée ou abandonnée. Niveau relation amoureuse, je ne trouvais jamais le temps, entre ma famille, mes études et mon travail... Aucune de mes relations n'aboutie réellement. Pourtant, l'amour avait une grande place pour moi, j'en rêvais. Je rêvais du grand Amour, de l'éternel et romantique, mais il n'en restait qu'un mythe. La réalité m'en avait toujours éloignée.

Cambridge, 31 août 2009. Les premières semaines ici furent longues. Je ne fis que courir à droite, à gauche, tentant de faire ma petite place dans cette immense université, de choisir mes cours et de faire mon emploi du temps. Il me fallut aussi un logement au plus vite et un travail, ma bourse me garantissait la gratuité de mes études mais pas de quoi subvenir à mes besoins. Mes recherches s'éternisèrent et cela transforma mon arrivée en vrai cauchemar, s'était bien plus difficile que ce à quoi je m'attendais, énormément même. Les cours ont fini par commencer et je logeais toujours dans ma chambre d'hôtel, vivant de mes dernières économies. J'en perdais espoir et j'étais presque assez désespéré pour utiliser mon dernier joker, mon ultime chance... « Anya? Tu sais quand tu m'avais proposé ton aide... Je crois que j'ai changé d'avis, on peut se voir? » Et c'est ainsi que tout fini par rentrer dans l'ordre. Cette fille avait des doigts de fée. En peu de temps pour le dire, elle m'avait aidée pour me mettre à mon aise, je ne l'avais pas laissé complètement faire, sinon j'aurais fini dans une petite cage doré pour décorer sa chambre, mais j'avais accepté les bonnes adresses et les bons numéros pour ensuite m'en sortir avec ça et finalement, je trouva un emploi de serveuse non loin de mon nouveau chez moi. Je travaillais plusieurs soirs par semaine dans un bar où l'ambiance était appréciable et étudiante, cela me permis de faire de nouvelles rencontres, d'agréables connaissances qui m'ont bien aidée à me sentir comme chez moi. A coté, j'avais choisi un cursus dans l'informatique et les arts visuels, un ensemble de chose qui me passionnait, je passais mes journées à jouer avec des codes, parfois mes nuits et j'en perdais souvent la tête, mais j'aimais ça, encore plus quand la réussite était au bout de l'effort. Mes premières années à Harvard se passèrent plutôt bien dans leur globalité et le principal était que je passais à chaque année, ce que je faisais avec la même joie qu'à mon arrivée. C'est au début de ma troisième année que je rencontrai mon petit ami actuel, il venait d'arriver à l'université et je m'étais rapidement trouvée entrain de l'aider à se repérer dans les couloirs, nous partagions l'un de nos cours ensemble et l'alchimie qu'il y a avait entre nous n'a trompé personne, au bout de quelques semaines nous sortions ensemble comme un vrai couple et pour la première fois je pouvais le dire, j'avais un petit ami, j'avais une vraie relation et ça me plaisait. Plus que ça, je suis finalement tombée amoureuse et les sentiments étaient réciproques, il avait était le premier à me le dire ouvertement me déclarant sa flamme le jour de Noël. Je t'aime. C'était la première fois qu'on me le disait, que j'y croyais avec tout mon coeur et ces mots, je les avais même attendu, j'en étais complètement aveuglée, bercée par ces tendres paroles et la douceur de ses caresses sur ma peau... C'était bien, tout en étant le mieux que j'avais connu jusque là. Tout se passait bien, tant au niveau des valeurs, de l'intimité, de la famille, des points d'intérêt, à quoi bon chercher ou se mettre dans l'optique de trouver mieux? Puis un jour... c'est arrivé comme ça. J'ai rencontré cette personne, avec qui je me sentais entière, une moitié de moi même qui me comprenait à demi-mot, sans qui je ne m'imaginais plus vivre. En peu de temps, c'était ça, mon âme était tombée amoureuse d'une autre et ce n'était pas celle de mon petit ami. Dexter. C'était son nom et il lui allait de manière charmante, autant qu'il était et oh... je n'avais jamais rencontré un homme comme lui, il était unique.  J'avais la sensation qu'il était mon vieil ami de toujours, l'entente était grandiose et nous ressentions la même chose, c'était magique, inattendu, inespéré. J'étais persuadée que notre rencontre ne reposait en rien sur le hasard, mais bien sur le destin, le notre. Nous nous sommes rencontrés sur le net, il habitait le Canada et cette distance me rappela la réalité, m'empêcha de croire à plus. Et puis il y avait aussi mon petit ami... Je ne leur cacha pas et fut sincère avec eux dès le départ, je ne voulais faire de mal à personne et je préférais que tout soit clair, Dexter était mon ami, le meilleur que j'avais et Kyle était mon petit ami qui m'aimait et avec qui j'étais depuis assez longtemps pour l'aimer en retour. Mais chaque jour... l'osmose était de plus en plus présente et je ne pouvais m'empêcher de ressentir ce besoin incessant d'être avec Dexter plus qu'avec n'importe qui.

Harvard, 17 janvier 2013. J'étais perturbée depuis quelques jours, depuis qu'il m'avait avoué ses sentiments et moi, comme une idiote, je ne lui ai rien répondu. Je ne savais toujours pas quoi lui dire et le silence s'était imposé à moi comme la meilleure des réponses. Je l'aimais, évidemment, mais peut-être pas comme lui, pas comme il le méritait, pas comme je le voulais au fond non plus. C'était d'une complexité hors du commun, j'avais trouvé mon âme soeur et tout me le disait, mon coeur aussi en était convaincu mais celui ci était déjà pris et l'amour que me donnait chaque jour mon petit ami, ne pouvait qu'entretenir celui ci, tout en me tenant éloignée d'une quelconque infidélité. J'étais partagée entre la volonté de mon égo et celle de mon âme, je ne voyais que le temps pour m'aider à y voir plus clair, pour m'aider à être plus à l'écoute de mon être.  Mais aujourd'hui allait être une journée pas comme les autres, je me précipitais à la sortie des cours pour rejoindre ma voiture lorsque que plusieurs explosions meurtrières ont retenti dans tout l'établissement. J'ai du passer quelques jours à l'hôpital suites à mes blessures physique, une ou deux fractures par ci par là, mais c'était psychologiquement que je fus le plus touchée. Je n'avais jamais vécu quelque chose d'aussi horrible de toute mon existence, jamais eu aussi peur pour ma vie et celle des autres, de mes amis, d'inconnus... Je me rappelle encore, la foule, l'odeur de gaz, les explosions des voitures, les cris, les hurlements de douleurs...  Je ne me souviens plus exactement comment j'en suis arrivée là mais je me suis réveillée à l'hôpital plus tard dans la journée. A mon réveil, je n'arrivais à penser qu'à une seule chose... à lui. Dexter. Il était ce dont j'avais le plus besoin et je ne m'en suis pas séparé les jours suivant l'attentat. J'ai usé de son réconfort et me suis drapée de son amour égoïstement. Je n'avais pas oublié ce qu'il m'avait dit, mais j'avais choisi de faire comme ci rien ne s'était dit, mon besoin de lui était plus fort que tout, rien ne pouvait le faire taire. J'étais dans une névrose où toute force instinctuelle et affective semblait drainée dans un seul sens, s'assurer de l'amour et me sentir en sécurité. Il était le seul être au monde à avoir ce pouvoir, à me faire sentir aimée de tout mon être, à en oublier toutes mes peurs.
The End
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Bienvenue sur le forum VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  1365124802
Courage pour ta fiche VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  2511619667
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bienvenue VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  3850463188
lyndsy VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  2488611924
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Bienvenuuuuuuuuueeeeeeeeeee VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  3850463188 ♥️
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Homonyme féminin de prénom avec Lynndsy VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  3850463188 je suis fan VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  1365124802
Bienvenuuuuuue parmi nous :lamalove:
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Lyndsy VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  3850463188
Welcome to youuu ! VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  2109348208 VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  2727399354
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Bienvenue à toi !! VALENTINE EDEN JOLY ► Lyndsy Fonseca.  3850463188
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Oh une frenchie de deux ans de moins que moi et une future Quincy (bon choix de maison) ;)
Nous faudra un petit lien :)
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bienvenueeeeeeeeee (a)
excellent choix :D
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