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✖ Crystal Natalya Davis.
22 ans ▲ Relations internationales (M) & Théâtre (m) ▲ Dunster ▲ Célibataire
Dis moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es ! J'ai grandi avec cette phrase en tête, en permanence. C'était la devise de mon père et le considérant comme un vrai modèle pour moi, je suivais tout ce qu'il me disait à la lettre. Ce qui m'a permet d'arriver jusqu'ici.
Mon nom à moi c'est Crystal Natalya Davis née Brown. Je suis née à Los Angeles, dans le bel état qu'est la Californie et je suis enfant unique alors autant dire que j'étais le centre de l'univers de mes parents, si on mets de côté la carrière de mon paternel chéri. Dans mon but dans la vie était de rendre mes parents fiers de moi, d'être première en tout donc autant dire que j'étais très compétitrice. Je dis était car je me suis un peu calmée mais c'est toujours en moi, j'ai ça dans le sang. Dans notre monde, il faut savoir faire semblant, ressembler à des personnes parfaites que rien n'atteint, ne rien montrer. Mes parents avaient très bien compris les règles de ce jeu. On passait pour la famille parfaite, pour la famille en qui il faut avoir une confiance aveugle. Nous étions respectée de tous mais malgré tout, vu le statut de mes parents, ils n'ont pas prit le risque de m'inscrire dans une école, qu'elle soit publique ou privée. Les cours avaient lieu dans un grand bureau de notre immense demeure, avec l'un des meilleurs professeurs particuliers. En effet, je suis suivais des cours à domicile. A côté, j'avais des cours de danse classique, de piano, d'équitation, de natation et de théâtre -selon mon père, le théâtre est très important si on veut faire ce qu'il fait- et je dois bien sûr en oublier je pense mais c'est assez. J'étais surmener mais je ne disais rien, je voulais tellement bien faire, j'avais tellement envie qu'ils soient fiers de moi. Et ils l'étaient, ils n'hésitaient pas à me le montrer. J'étais gâtée et j'irai même jusqu'à dire que j'étais pourrie.
Oui, je le veux ! C'était lui et moi contre le reste du monde. Je l'avais rencontré à mon cours de théâtre. C'était le seul cours que je suivais en groupe et j'eus une chance juste incroyable de le rencontrer là-bas. On s'est tout de suite parfaitement entendu. C'était mon confident, mon binôme lors des répétitions. Je pouvais me défouler sur lui et évacuer toute la pression sur mes épaules sur lui, il comprenait ma réaction. Au bout de 6 mois de relation, j'ai décidé de le présenter à mes parents, qui l'ont tout de suite trouvé à leur goût. Il était issu d'une famille aisée et on ne peut plus irréprochable en apparence et ça suffisait amplement selon eux. Leur avis comptait alors qu'ils acceptent ma relation me comblait. Un an de relation et il me fit sa demande sur la plage de Los Angeles, demande que j'accepta immédiatement. J'allai devenir Madame Davis, rien que de dire ça, j'en frissonnait d'impatience. Mais on ne s'est pas marié immédiatement, on a attendu un an de plus pour officialiser notre amour devant notre famille, à l'abri de certains médias. J'avais 18 ans à cette époque. Certains avaient beau trouvé tout ça trop rapide, moi pas et mes parents non plus alors les autres n'avaient aucun mots à dire sur tout ça. En parallèle, j'étudiais toujours, je me concentrais à 200% sur le monde politique et ma vie de famille alors mon histoire de couple ne regardait personne, j'étais heureuse et c'était le plus important.
How to save a life ? Mon anniversaire, une date que je veux oublier et une fête qui n'existe plus à mes yeux. Je venais d'avoir 20 ans et j'étais inscrite à Harvard, en relations internationales et en théâtre depuis même pas un mois. C'était le jour de mon anniversaire. C'était un lundi froid, glaciale et je dirai même pluvieux. Mes parents m'avaient appelé le matin pour m'annoncer qu'ils avaient organisé une fête ce week-end afin de fêter mon anniversaire. Mais mon mari en avait décidé autrement. Il était à Yale et voulant me faire une surprise et être présent pour moi en ce jour important, il avait prit la route. Après tout, ce n'était qu'à 2 heures environ en voiture alors pourquoi pas. Il avait pour projet de m'emmener dîner dans un bon restaurant italien. C'était simple et donc parfait. J'avais passé l'une des plus belles soirées de ma vie jusqu'à ce qu'au chemin du retour vers Harvard, il ne perde le contrôle de la voiture et entre dans la voiture arrivant en sens inverse. On a beau dire que le côté passager est la place du mort, je suis bien la seule à avoir survécu à l'accident. Veuve à 20 ans. Alors que j'aurai pu déprimer et ne pas m'en remettre, j'ai au contraire décider de me battre d'avancer pour lui, pour nous deux. Il avait une telle joie de vivre qu'étant la seule à avoir survécu à tout ça, je ne pouvais pas me laisser aller et me détruire à petit feu. Et puis, mes parents ne m'avaient pas élevée comme ça, ce n'était pas digne d'une Brown.
Avance... ne te focalise pas sur le passé ! Les conseils d'une mère aimante et avisée, la mienne. Elle était triste pour moi mais tellement heureuse, tellement reconnaissante que je sois encore envie. Surtout qu'elle avait faillit me perdre deux fois. Car en effet, lors de l'explosion à Harvard, j'avais faillit y rester, une seconde fois. Durant mon coma, mon mari m'était apparut et je pensais que c'était la fin, que mon heure était arrivée mais non. Si je raconte ça, c'est que je suis encore envie. Alors je me bats pour nous deux, pour mes parents, pour moi. Je ne laisserai personne m'atteindre et détruire tout ce que j'ai bâtit en 22 ans d'existence. J'ai décidé de vivre ma vie à fond et l'idée de réussir absolument tout ce que j'entreprends et d'entrer dans le monde politique tout comme mon père ne m'a pas abandonné.
Mon nom à moi c'est Crystal Natalya Davis née Brown. Je suis née à Los Angeles, dans le bel état qu'est la Californie et je suis enfant unique alors autant dire que j'étais le centre de l'univers de mes parents, si on mets de côté la carrière de mon paternel chéri. Dans mon but dans la vie était de rendre mes parents fiers de moi, d'être première en tout donc autant dire que j'étais très compétitrice. Je dis était car je me suis un peu calmée mais c'est toujours en moi, j'ai ça dans le sang. Dans notre monde, il faut savoir faire semblant, ressembler à des personnes parfaites que rien n'atteint, ne rien montrer. Mes parents avaient très bien compris les règles de ce jeu. On passait pour la famille parfaite, pour la famille en qui il faut avoir une confiance aveugle. Nous étions respectée de tous mais malgré tout, vu le statut de mes parents, ils n'ont pas prit le risque de m'inscrire dans une école, qu'elle soit publique ou privée. Les cours avaient lieu dans un grand bureau de notre immense demeure, avec l'un des meilleurs professeurs particuliers. En effet, je suis suivais des cours à domicile. A côté, j'avais des cours de danse classique, de piano, d'équitation, de natation et de théâtre -selon mon père, le théâtre est très important si on veut faire ce qu'il fait- et je dois bien sûr en oublier je pense mais c'est assez. J'étais surmener mais je ne disais rien, je voulais tellement bien faire, j'avais tellement envie qu'ils soient fiers de moi. Et ils l'étaient, ils n'hésitaient pas à me le montrer. J'étais gâtée et j'irai même jusqu'à dire que j'étais pourrie.
Oui, je le veux ! C'était lui et moi contre le reste du monde. Je l'avais rencontré à mon cours de théâtre. C'était le seul cours que je suivais en groupe et j'eus une chance juste incroyable de le rencontrer là-bas. On s'est tout de suite parfaitement entendu. C'était mon confident, mon binôme lors des répétitions. Je pouvais me défouler sur lui et évacuer toute la pression sur mes épaules sur lui, il comprenait ma réaction. Au bout de 6 mois de relation, j'ai décidé de le présenter à mes parents, qui l'ont tout de suite trouvé à leur goût. Il était issu d'une famille aisée et on ne peut plus irréprochable en apparence et ça suffisait amplement selon eux. Leur avis comptait alors qu'ils acceptent ma relation me comblait. Un an de relation et il me fit sa demande sur la plage de Los Angeles, demande que j'accepta immédiatement. J'allai devenir Madame Davis, rien que de dire ça, j'en frissonnait d'impatience. Mais on ne s'est pas marié immédiatement, on a attendu un an de plus pour officialiser notre amour devant notre famille, à l'abri de certains médias. J'avais 18 ans à cette époque. Certains avaient beau trouvé tout ça trop rapide, moi pas et mes parents non plus alors les autres n'avaient aucun mots à dire sur tout ça. En parallèle, j'étudiais toujours, je me concentrais à 200% sur le monde politique et ma vie de famille alors mon histoire de couple ne regardait personne, j'étais heureuse et c'était le plus important.
How to save a life ? Mon anniversaire, une date que je veux oublier et une fête qui n'existe plus à mes yeux. Je venais d'avoir 20 ans et j'étais inscrite à Harvard, en relations internationales et en théâtre depuis même pas un mois. C'était le jour de mon anniversaire. C'était un lundi froid, glaciale et je dirai même pluvieux. Mes parents m'avaient appelé le matin pour m'annoncer qu'ils avaient organisé une fête ce week-end afin de fêter mon anniversaire. Mais mon mari en avait décidé autrement. Il était à Yale et voulant me faire une surprise et être présent pour moi en ce jour important, il avait prit la route. Après tout, ce n'était qu'à 2 heures environ en voiture alors pourquoi pas. Il avait pour projet de m'emmener dîner dans un bon restaurant italien. C'était simple et donc parfait. J'avais passé l'une des plus belles soirées de ma vie jusqu'à ce qu'au chemin du retour vers Harvard, il ne perde le contrôle de la voiture et entre dans la voiture arrivant en sens inverse. On a beau dire que le côté passager est la place du mort, je suis bien la seule à avoir survécu à l'accident. Veuve à 20 ans. Alors que j'aurai pu déprimer et ne pas m'en remettre, j'ai au contraire décider de me battre d'avancer pour lui, pour nous deux. Il avait une telle joie de vivre qu'étant la seule à avoir survécu à tout ça, je ne pouvais pas me laisser aller et me détruire à petit feu. Et puis, mes parents ne m'avaient pas élevée comme ça, ce n'était pas digne d'une Brown.
Avance... ne te focalise pas sur le passé ! Les conseils d'une mère aimante et avisée, la mienne. Elle était triste pour moi mais tellement heureuse, tellement reconnaissante que je sois encore envie. Surtout qu'elle avait faillit me perdre deux fois. Car en effet, lors de l'explosion à Harvard, j'avais faillit y rester, une seconde fois. Durant mon coma, mon mari m'était apparut et je pensais que c'était la fin, que mon heure était arrivée mais non. Si je raconte ça, c'est que je suis encore envie. Alors je me bats pour nous deux, pour mes parents, pour moi. Je ne laisserai personne m'atteindre et détruire tout ce que j'ai bâtit en 22 ans d'existence. J'ai décidé de vivre ma vie à fond et l'idée de réussir absolument tout ce que j'entreprends et d'entrer dans le monde politique tout comme mon père ne m'a pas abandonné.
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