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THEOFELIA - We need to talk, bro' ...

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featuring Théo & Fée Je ne sais plus quoi lui dire, comment continuer, je sens que ma respiration est coupée face aux images qui transpercent ma tête, mon cœur et le fait palpiter de drôle de façon. Je suis mal, je me sens mal, mes pleures reviennent au galop pourtant je me suis promis de zapper toute cette merde, de tout changer radicalement. J'avais tenté de tout dire d'une traite et d'ailleurs, le tout semblait lui avoir coupé le souffle. Il s'était simplement permis une insulte, malpoli, mais le choc était là et je n'osais pas le regarder, je ne savais pas pourquoi mais c'était comme ça. Mon éternelle honte surement ! Je pleurais et le bruit que je faisais ressembler presque à des cris parce que je ne pouvais les contrôler. je m'étais pourtant éloignée mais il entendait tout et je le sentis approcher mais je ne voulais pas, je ne voulais pas faire la faible pourtant je l'étais. « Je suis désolé... » Il me prenait dans ses bras et je posais ma tête dans son cou, la logeant là comme par envie de protection ou d'atténuer ces putains de bruits de pleures et de détresse. Mes traits étaient tirés et j'étais si mal qu'on pouvait limite se noyer dans mes larmes. Je ne bougeais pas, restant là dans ses bras tandis qu'il semblait ne pas réaliser mes mots. Il s'en voulait et je pleurais plus encore de cela. Mes yeux étaient vides d'émotion. Je devenais pale de repenser à tous ça et de le voir se sentir si coupable. Je ne voulais pas le regarder, je ne voulais pas voir la vérité : son visage dégouté, dégouté par cette histoire. Et puis, il parla, tentant d'analyser ces sentiments je crois, ces sentiments où l'on se sent inutile et il pleurait, c'était à cause de moi, j'ai tellement honte ! Il caresse mon dos comme pour apaiser mes maux mais ça ne marche pas, meme si ça me rassure. Je me sens coupable de lui avoir dit à présent, tellement coupable et là, je sens la colère en lui car il semble avoir du mal à la contrôler lorsqu'il me dit : « Tu...ne sais pas qui c'est..n'est-ce pas ? » Et là, je repasse en moi ces images tortueuses, ces images affreuses qui me hantent depuis de très longs mois, revisionnant tous cela et puis, ces instants où je dis à mes amis que je n'ai pas porté plainte, que ces un inconnu puis je vois le visage que j'ai souvent imaginé comme étant mon violeur à cause d'indice et je secoue la tête ne voulant pas avouer la possibilité que je le connais, que j'ai surement pas voulu y croire, que j'ai laissé le diable en liberté. Je parle doucement, ma voix est tremblante : je ... non ... non Je pleure, je sens mon coeur qui se serre, mes joues qui deviennent blanche tant je me sens mal, plus blanche que jamais et puis je reprend piquant presque une crise de panique, de honte, de pleure : je n'ai rien fait ...je n'ai rien fait et je me débats pour que mon frère me lâche et je cris encore, encore : Je veux plus penser, je veux plus, je suis venu pour que ça se termine, je veux que ça s’arrête ... désolé désolé je voulais pas ... Je m'éloigne de lui, me recroquevillant en glissant contre un mur pour me trouver au sol et je pleure encore et encore. Je pleure toujours, je ne peux arrêter ça et je secoue la tête comme pour me vider l'esprit.
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The talk
/w Ofélia & Théophyl
Je me rendis subitement compte que j'avais du mal avec cette histoire, avec ce qu'elle venait de m'annoncer, que j'avais soudainement l'impression de perdre pied et de vivre sa douleur avec elle. Parce qu'à voir sa façon de pleurer et de me fuir comme la peste, elle avait du bien souffrir et une enflure l'avait bien traumatisée. Je me sentais mal pour elle, j'avais mal pour elle. J'avais envie de m'allonger, de fermer les yeux et de ne plus jamais avoir à vivre une telle situation. «  Je ... non ... non » Ou alors elle connaissait l'identité de son agresseur et ne voulait rien me dire de peur que je ne m'en prenne à lui d'une quelconque façon. Parce que ma sœur savait parfaitement que j'en étais totalement capable, c'était ça le pire dans le fond il me semblait. «  Je n'ai rien fait ...je n'ai rien fait. Je veux plus penser, je veux plus, je suis venu pour que ça se termine, je veux que ça s’arrête ... désolé désolé je voulais pas ... » Mais je comprenais rien.. « Tu n'aurais rien pu y faire... Il aurait pu te tuer et grâce au ciel, il ne l'a pas fait. Fee... » Je me rapprochais d'elle alors qu'elle gisait recroquevillée contre un coin du mur, jusqu'à toucher le sol. Arrivant à sa hauteur, je me laissais glisser à genoux près d'elle. « Je ne sais pas quoi te dire....À part que c'est fini...qu'il ne te touchera plus, que c'est fini et que je suis là. » Je me passais une main sur le visage, me retenant de pleurer de toutes mes forces. « Écoutes.. tu peux rester ici autant de temps que tu veux. Tu es chez toi. » Je marquais une pause puis repris plus doucement, me sentant cette fois-ci coupable. « J'aurais du mieux te protéger...être là pour toi, surtout quand tu en avais besoin... »
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