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Arthur Alister Williams fiche; terminée C'est le 14 fevrier 1987 à Paris, que la famille Williams m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) arthur-alister. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Depuis maintenant 1 an je travaille comme professeur de sport & entraineur de football américain à Harvard. Et pour terminer, je fais partie des citizen. |
Études Je n'ai jamais vraiment aimé l'école, je ne supportais pas être enfermé dans une salle de classe. Ce que je voulais ? Courir dehors avec un ballon ovale dans la main, c'était ma plus grand passion et ça le sera pour toujours je pense. J'ai quand même réussi à décrocher mon brevet des collèges en France, c'était limite un miracle pour moi et mon meilleur ami. Je me suis retranché finalement sur sport étude, je ne savais faire que ça à l'époque, jouer sur un terrain. La-bas, j'ai pratiqué plusieurs sport comme le tennis, le rugby, le basket, volley, handball et j'en passe. Mon diplôme en poche, je décidais de quitter la France il y a un an maintenant, par chance un poste s'ouvrit à moi et pas n'importe lequel.. J'allais intégrer la prestigieuse université d'Harvard, non je ne reprend pas les cours, je suis professeur de sport et entraîneur de l'équipe de football américain. | Caractère + drôle, débrouillard, adorable, malin, énergique, accessible, captivant, charmeur, extraverti, original. - gamin, colérique, -je m'enfoutiste-, paresseux, moqueur, cachotier, impatient, râleur, instable, irresponsable. |
Everyone Has Their Own Story
Je préfère vous avouez, je n’ai pas été aidé…
Mes parents se sont rencontrés alors qu’ils n’avaient que dix-neuf ans, sur un grand marché de Paris. Ma mère avait un stand de légumes, pas très glamour tout ça ! Elle me raconte souvent sa rencontre avec mon père, pour tout vous dire je m’en fiche… Il nous a abandonné, je le déteste. Ce jour là, ma mère portait une jolie robe à fleur beige et mon père un beau costard, je l’ai toujours connu habillé ainsi. Un regard, un coup de foudre. Foutaise ! C’est chose la, ça n’existe pas. J’ai toujours pensé que ma mère avait arrangé cette rencontre à sa sauce pour rendre cela plus… romantique. A cette époque, ma mère était encore belle et bien conservé et mon père quant à lui, c’était un homme d’affaire responsable. Il a bien changé ! Ma mère, Leah, a toujours été une passionnée de nature, elle adore tout ce qui vient de la Terre et se promener à la campagne. Quand elle a rencontré mon père, c’était une sorte d’hippie complètement folle. Elle tenait ça de sa mère, qui tenait également ça de sa mère. Une histoire de famille, une famille de fous ! A cette époque elle respirait la joie, tout simplement. Mais ce n’est plus la même femme au jour d’aujourd’hui. Mon père la rendait heureuse, elle n’avait même plus besoin de travailler, le salaire de mon père suffisait amplement. Ma mère pouvait s’occuper de ses petites plantes dans sa petite maisonnette à Paris, elle pouvait parler aux abeilles sans qu’on la dérange et elle participé aux manifestations contre les génocides et tout autre substance qui détruisait sa terre chérie. Mais bon… C’était sa passion, il ne faut pas lui en vouloir. Mon père, lui, se tuait au travail. Il tenait une grosse boîte d’import-export à Paris, une entreprise importante, ma mère avait touché le gros lot.
Deux ans passèrent, toujours pas de mariage en vu. Pourtant le ventre de ma mère grossissait de jour en jour. Oui, j’étais dedans ! Mon père était de plus en plus absent mais ma mère ne sent rendait pas vraiment compte, elle était tellement heureuse d’attendre un bébé. C’était un de ses plus grand rêve, être maman. Neuf mois après, comme le veux le processus, je suis venu au monde. Un beau bébé, trois kilos cinq cent trente et cinquante-deux centimètres. Mon père n’est pas venu à ma naissance, il était trop occupé, c’est ce qui sortait chaque jour à ma mère. Quand il revenait à la maison le soir, il faisait comme-ci je n’existais pas, je me demande même si il m’a prit une seule fois dans ses bras ! Les mois passèrent, ma mère prenait du poids, elle semblait triste. Vous voulez savoir pourquoi ? Tout simplement parce que mon père avait quitté la maison, c’était à s’en douter ! Depuis ma naissance, mon père rentré rarement à la maison, il avait quelqu’un d’autre. Il s’avère que mon père n’a pas trouvé mieux que de s’intéresser à la gente masculine ! Oui, un mec. Quelle horreur ! Ma mère n’arrivait pas s’en remettre et j’ai grandi la dedans. J’ai grandi dans un cadre monotone et triste, j’étais seul avec les pleures de ma mère. Ce n’est pas facile de se dire que son propre père à foutu le camp avec un autre homme, alors qu’il venait de faire un enfant à quelqu’un, qui s’avéré être ma mère. C’est dégueulasse !
J’entrais enfin à l’école, la maternelle. Je n’avais alors que trois ans. A cette époque j’étais un garçon un peu rebelle. J’aimais être loin de ma maison et jouer au ballon avec les camarades de classes, cela me permettais d’oublier les pleures de ma mère et de penser à autre chose. Ma mère n’allait pas mieux, même après trois ans de séparation. C’est qu’elle devait l’aimer ce petit con ! Pourtant à mon âge, je ne comprenais rien à la vie, j’étais bête et indiscipliné. Je vivais énormément chez mes grands-parents, qui vivaient également à Paris. Mais ils étaient méchant avec moi, ils me répétaient sans arrêt que je n’arriverais à rien dans la vie, alors qu’à l’époque je n’avais que trois ans. Je comprends mieux pourquoi ma mère à fini vendeuse de légumes sur un marché minable, avec des parents pareils ! Je me rappelle encore de leurs paroles, c’est gravé en moi.
Premier jour d’école pour moi, je me souviens parfaitement de cette journée. J’étais comme un fou, j’avais pleins de camarades avec lequel je pouvais enfin m’amuser. Je n’étais plus tout seul avec ma mère ou mes grands-parents. J’étais un garçon très sociable, j’avais le don de m’intégrer n’ importe où. Je me rappelle, j’étais tout simplement en train de jouer au ballon avec mes nouveaux amis, quand tout à coup j’ai envoyé le ballon maladroitement dans la figure d’une jeune fille, qui était tranquillement assise sur un banc en bois. A cette époque j’étais déjà un gentleman, donc j’accouru vers la jeune fille en question. « Ah désolé je jouais avec le ballon… » La jeune fille me regarda, sans grande attention. Elle semblait timide, voir mal à l’aise, j’avais vraiment l’impression de la déranger. Pourtant têtu comme j’étais, je m’assis à ses côtés en me présentant : « Moi c’est Alister… Et toi ? » Dis-je d’une voix amical. Elle était seule et je ne voulais pas qu’elle se sente à l’écart. Personne ne devrait être seul dans la vie, c’est triste. La petite fille scruta les autre élèves dans la cour et me lança d’une petite voix : « Ceryse… ». Joli prénom ! La jeune petite blonde avait une voix aiguë, c’était mignon. A cette époque je ne savais pas que Ceryse allait devenir ma meilleure amie !
Sa y est, on ne se quittait plus avec Ceryse. On était comme Starsky et Hutch des temps moderne ! Pourtant on était vraiment de caractère opposé, moi je pouvais parler à n’importe qui à l’école alors que Ceryse, non. J’étais un gros gamin qui ne pensait qu’à s’amuser alors que Ceryse passé son temps libre à des activités ludiques et surtout intelligentes. Elle était calme, moi j’étais toujours en train de courir partout et de me bagarrer pour un rien. Pourtant, on s’adorait ! Je passé toutes mes journées de libre chez elle, Ceryse habitait à quelques pas de chez moi, c’était assez pratique. Ma mère semblait reprendre un peu goût à la vie, mais elle était toujours aussi désagréable avec moi, sans me le dire elle me reproché sa séparation avec papa. Elle était convaincu que s’y je n’étais pas venu au monde, elle serait encore avec papa. Ce n’est pas très agréable de vivre avec ça !
Nous étions à présent au collège, j’étais toujours aussi gamin et immature et Ceryse toujours aussi intelligente et réservée. Plus les années passaient, plus on s’éloignait. J’avais ma bande de pote, surtout un bon pote avec qui je faisais les quatre-cent coups : Nathanaël. Ceryse ne l’aimait pas, je ne comprenais pas pourquoi d’ailleurs. Nate’ me ressemblait énormément, il était drôle, casse-cou, inconscient et immature. A cette époque je pensais qu’elle était jalouse mais au fur et à mesure du temps j’ai compris que Nathanaël n’était pas vraiment une bonne fréquentation pour moi, pourtant c’était mon meilleur ami, Ceryse devait apprendre à partager. Au collège j’étais très populaire, je plaisais beaucoup aux filles et avec Nate’ on accumulé les zéros en Français. Nous étions des sportifs avec rien dans le crâne, pas des intellos plongés constamment dans leur bouquin de Mathématique ou d’Histoire. A l’époque, je voulais être footballeur américain professionnelle. J’avais de l’avenir !
Le brevet en poche, sans mention évidemment. Le principal avec Nate’, c’est qu’on l’avait eu ! Je décidais à faire une petite fête chez moi pour fêter ça. Ma mère avait plié le camp pour le week-end, je ne savais pas où elle était allé d’ailleurs. Je m’en fichais, ça faisais déjà des années que je me débrouillais tout seul et puis si j’avais un problème il y avait Ceryse et ses parents ou encore Nathanaël, je n’étais pas complètement seul !
« Ta fête elle est d’enfer, Gros ! Prêts à choper des filles ? » S’exclama mon meilleur ami. On était tout deux dans mon salon, c’était déjà le bazar alors qu’il n’était encore que vingt deux heure trente. J’avais déjà plusieurs verre d’alcool dans le foie, mais pour l’instant ça allais. Je regardais mon meilleur ami avec un sourire bête. « En plus j’ai de quoi nous détendre, mec ! » Dis-je en sortant un sachet de beuh de ma poche. Il y en avait pas mal, je fumais ça avec Nathanaël de temps en temps, ça nous faisait du bien après un petit coup de stresse. Bien que nous étions rarement stressés tout les deux. « Haaaaah ! Tu gères. » Dit-il en se jetant sur le sachet. Je me mis à rire comme un gamin et je m’avachis sur le canapé du salon au côté de Nate’. Ma copine du moment nous rejoignit pour fumer avec nous, c’était une jolie brune au gros nichon, tout ce que j’aimais à l’époque chez une fille. J’avais invité Ceryse à venir à ma soirée, j’espérais vraiment qu’elle vienne, sa me manquais un peu de passer du temps avec elle. Elle m’en voulait un peu de passer trop de temps avec Nate’, je sortais beaucoup, je me droguais de temps en temps et mes hormones me travaillaient. Vingt trois heure, Ceryse pointait enfin le bout de son nez, j’étais complètement sous l’emprise de la drogue, je ne calculais presque plus rien, je rigolais comme un gogole. Mes amis commencèrent à faire des remarques déplaçais à ma meilleure amie, je ne réagissais pas. J’étais tellement dans la soirée que j’en oubliais mes obligations, celle de toujours défendre et soutenir Ceryse. Ils n’y avaient pas étaient de main morte, Ceryse fit demi-tour sans attendre. Je regardais mes amis avec un regard désabusé : « Qu’est-ce qu’il vous prend ? C’est quand même ma meilleure amie… » Dis-je en me levant. Je soupirais et je partais à la recherche de Ceryse. Une fois dehors, devant l’entrée de la maison, j’aperçu ma meilleure amie qui se dirigeais vers sa maison. J’accélérais le pas, pour lui attraper le bras, me retrouvant face à elle. « Hey ! Qu’est-ce qui se passe? » Dis-je d’une petite voix. Elle semblait en colère, voir triste et blessé. Je ne m’en rendais pas compte, j’étais bien trop con. « Que tu te saoules, c'est ton problème, mais ... mais... QUE TU M'IGNORES LA, JE NE SUIS PAS D'ACCORD !!! » Dit-elle sévèrement. Je la regardais en soupirant, je n’avais pas envie de me prendre la tête le jour de ma super soirée. C’était la fin du collège quand même ! La fin du cauchemar surtout. Je regardais Ceryse droit dans les yeux, prenant un air méchant : « MAIS P*TAIN CE N'EST PAS DE MA FAUTE SI T'ARRIVES PAS A T'INTÉGRER !! » C’était bien la première fois que je lui parlais comme ça. C’est vrai que des fois j’aimerais qu’elle déconne plus avec moi en soirée, j’en avais marre qu’elle reste dans son coin toute timide et réservée. « T’ES VRAIMENT TROP CON !! » Dit-elle en se dirigeant d’un pas déterminé en direction de sa maison. Je la regardais partir, outré par ses mots cruels. Moi con ? Certainement à cette époque… et surement encore un peu maintenant. Je lui criais avant de retourner à ma soirée : « C’EST TOI QUI EST TROP CONNE !! ». Je rejoignis Nathanaël, je n’avais plus envie de boire, de draguer, de fumer ou encore de danser. J’avais juste envie de pleurer. Je me retirais ensuite dans ma chambre, laissant la soirée se défiler toute seule. Je pensais à cette dispute avec Ceryse, je regrettais mes mots…
Quelques semaines plus tard, c’est le drame. Juste après qu’avec Ceryse on se soit réconcilié. Elle tocca à la porte de ma chambre. Je la fis entrer avec mon sourire légendaire. « Alister… Il faut que je te parle ! » Dit-elle d’une voix tremblante. Je la regardais, ne comprenant pas. J’avais l’impression d’avoir fais quelque chose de mal et qu’elle voulait arrêter de me voir. « Oui… Je t’écoute. » Dis-je. Ceryse s’asseyait sur mon lit en bordel et baissa les yeux. Elle prit quelque seconde avant de me répondre, je ne comprenais pas. Elle ne me rassurait pas à vrai dire ! « Bon… Je t’écoute Ceryse ! » M’exclame-je en la regardant fixement d’un regard inquiet. « Je… Je dois quitter Paris Alister. Je pars faire mes études à Cambridge, un petit lycée privé, pour finir par "Massachusetts Institute of Technology". On ne se reverra plus pour quelque temps ! » Dit-elle sans prendre la peine de me regarder. Elle avait fait ça dans mon dos ou quoi ? C’est que maintenant qu’elle me met au courant de son départ ? La rentrée est dans même pas trois semaines… Je ne pris même pas la peine de lui répondre, je ne savais pas quoi trop en penser, je lui adressa un simple baiser d'adieu et retourna près de la cage de mon caméléon, Mistigri, pour le prendre contre moi. Ceryse quitta ma chambre, un peu triste. Elle s'attendait à quoi ? Que je pleure son départ ou quoi? Non j'étais bien trop fier pour c'est chose là! Au début je pensais à une blague mais il s’avérait que non.
« Les amis c’est comme les lunettes, ça donne l’air intelligent, mais ça se raye facilement et puis, ça fatigue. Heureusement, des fois on tombe sur des lunettes vraiment cool ! »
Cela faisait maintenant plus de six ans que Ceryse était parti. Les journées semblait tellement longues, heureusement que Nathanaël était la à mes côtés. J’étais dans une FAC de sport, je touchais à presque tous les sports, ça me plaisais beaucoup pour tout vous dire. Bizarrement ma mère semblait être heureuse, c’était vraiment… étrange ! Elle devait me cacher quelque chose, c’était sûr. Pour tout vous avouer, elle avait rencontré quelqu’un… un fou de d’écologie et de nature ! Sa y est j’étais perdu… Ma mère voulait que je trouve un appartement et que je me débrouille tout seul, j’avais l’habitude de me débrouiller seul sans elle mais là c’était différent, je devais quitter le foyer familial. Pourtant je n’avais que vingt-quatre ans ! Ma mère voulait prendre la route avec son nouveau copain, Noham. Je ne la reconnaissais plus, elle avait remit ses belles robes à fleures, ses bandeaux dans les cheveux, ses longs pendentifs de hippie. Mon nouveau beau père était terriblement chiant et mielleux, il essayait de m’apprivoiser mais j’étais bien trop sauvage pour lui. Je n’avais que deux mois pour trouver un appartement sur Paris, sinon je finissais chez mes tirant de grands-parents, ils étaient encore pire qu’avant. Hors de question ! Je devais absolument trouver une solution… Ma mère préparait ses affaires, les cartons étaient prêts, la maison était vendu, sa y est j’étais fichu ! Nathanaël ne pouvait pas me recevoir, il avait déjà deux sœurs et en plus ses parents. Il ne pouvait se permettre de m’accueillir, pourtant Nate’ avait essayé de trouver une solution auprès de ses parents, mais en vînt. J’étais condamner à dormir sous les ponds… Ou chez mes grands-parents ! Plutôt mourir. Pourtant j’ai eu l’idée du siècle retrouver ma meilleure amie à Cambridge, je savais qu’elle était seule dans son petit appartement et qu’il y avait une chambre de libre. JACKPOT, je pris un billet pour Cambridge, vivre chez ma meilleure amie ! Mais ça elle ne le savait pas encore… Laissant derrière moi ma folle de mère avec son copain complètement barjo et drogué à la mode hippie. Je laissais aussi derrière moi Nathanaël, qui lui me promit de me rejoindre au plus vite, ayant mare de sa vie à Paris, sa famille l’étouffé plus qu’autre chose, a l’inverse de moi. J’avais quand même était abandonné par mon père presqu’à la naissance, il a décidé de se mettre avec un mec ! Ma mère est une maniaco-dépressive, bohême et fleure bleues. Et maintenant j’ai un beau-père identique à ma mère et c’est à cause de lui que j’ai dégagé de la maison. Vive la famille ! Grâce à ma licence de sport, j'ai finalement réussi à avoir une place dans la prestigieuse université d'Harvard, comme professeur remplaçant et entraîneur de football américain, j'étais plutôt de quoi être fier.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - célia. ↬ ÂGE - 19 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - aquitaine. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - bazzart. ↬ TES IMPRESSIONS - ↬ CRÉDIT(S) - tumblr. ↬ AVATAR - dougie poynter, le plus beau **. ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - the end?. |
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