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Caleb&Thaïs + I couldn't be more sorry but I need your help

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Thaïs était peut-être branchée en mode connerie mais à sa décharge, elle gardait en tête le diagnostic du médecin et le fait qu’il lui avait plus ou moins interdit de faire le moindre effort physique et encore moins de la danse pendant un mois. UN MOIS. La jolie irlandaise ne pouvait pas être égoïste au point de rester un tel poids mort pour Caleb alors qu’il avait ses propres examens et tout le reste… le plus intelligent, dans l’état actuel des choses, c’était de le forcer à se trouver une autre partenaire, quitte à ce que ce ne soit que temporaire. Mais à défaut de pouvoir en placer une, Thaïs se laissa docilement faire et masser même si en l’occurrence, ses attentions ne guérissaient que ses muscles contractés, pas son diaphragme malheureusement. « En théorie si j’avais écouté le doc je devrais être interdite de tout effort physique pendant un mois. UN MOIS BORDEL ! Et tu trouves encore que je suis pas un poids mort ?! Ce ne sont pas des conneries, je suis lucide, même si nom de dieu c’est encore plus douloureux de m’énerver… » Thaïs avait les larmes aux yeux et une envie de hurler qui crevait tous les plafonds. Caleb ne pouvait pas comprendre ce qu’elle traversait puisqu’il ne passait pas par là, mais pourquoi ne voulait-il tout simplement pas saisir qu’elle pensait AUSSI à ses intérêts ? « L’autre qui m’a tabassée ne m’a pas cassé de côtes mais par contre il a endommagé mon diaphragme. Il se bloque tout le temps, comme si j’arrêtais pas de tomber sur le dos en pleine course de rollers… même assise sans rien faire j’ai mal, je peux pas rester allongée sans hurler à la mort ou en tout cas en avoir follement envie, alors pour mes exams je t’en parle même pas… je dois déjà aller bosser absolument ce soir alors là c'est grave la merde ! J’ai pas envie d’être un boulet en plus. Je crois que c’est au dessus de mes forces. T’as bien vu, j’ai à peine danser une valse et ça y est, je crache mes poumons ! Où t’as appris à masser comme ça ? T’es doué de tes mains, si tu me permets la digression. »
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Un mois ce n’était pas rien, il est vrai mais j’étais du genre têtu et si j’avais refusé pas moins de quinze danseuses avant Thaïs, ce n’était pas pour recommencer le même bordel. C’était elle ou personne d’autre. « J’ai dit que nous resterons ensemble alors nous resterons ensemble. Déjà, tu vas tenter de te reposer au moins une bonne semaine après nous verrons au fur et à mesure quitte à adapter notre rythme en conséquence mais je ne suis pas du genre à courir plusieurs partenaires en même temps surtout qu’il faudrait que je reprenne tout depuis le début. Tu connais les chorégraphies alors ce sera toi ou personne d’autre. Je suis en cursus mineur pour la danse, je peux me permettre personnellement d’attendre que tu ailles mieux » répliquais-je sans pour autant cesser mon massage, glissant mes doigts sur sa peau de ses épaules jusqu’au creux de ses reins et vice versa. Toutefois, elle ne comptait tout de même pas aller bosser dans ces conditions ? Elle était inconsciente ou quoi ? En même temps, il était aisé pour moi de me priver de bosser mais je ne perdais pas à l’esprit qu’il n’en allait pas de même pour tout le monde. « Si tu vas bosser, je t’accompagne pour veiller à ce qu’il ne t’arrive rien à nouveau et qu’en cas de problème, je puisse soit te ramener chez les Cabot soit directement à l’hôpital. Ce n’est pas négociable alors inutile d’user de ta salive et de gâcher ta respiration » ajoutais-je en appuyant sur un nœud musculaire pour le faire disparaitre. Bien sûr, Thaïs ne manqua pas de me demander où j’avais appris à masser. « Ma sœur est étudiante en médecine et bien souvent, elle me prend comme cobaye donc j’ai fini par apprendre quelques trucs… Pour être plus efficace, il faudrait que je fasse sauter l’attache de ton soutien-gorge » demandais-je un peu incertain. C’est que je ne voulais pas qu’elle le prenne mal et m’en prendre une par la même occasion. Je préférais me méfier avec les femmes car on ne savait jamais quelle réaction elle pouvait avoir dans ce genre de situation et la prudence était mère de sûreté. « Essaie de te détendre Thaïs » l’enjoignais-je d’une voix légèrement rauque. Décidément, cela commençait à faire un petit temps que je n’avais pas concrètement touché une femme. Une sortie s’imposait un de ces quatre.
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Si Thaïs s’avérait être têtue comme une bourrique, sûrement avait-elle trouvé un adversaire à sa taille. Caleb ne manqua pas de lui renvoyer sa décision dans la tronche de la façon la plus intelligente qui soit, lui arrachant par la même occasion une expression surprise : jusqu’ici, elle n’avait connu quelqu’un qui soit son partenaire ET qui s’inquiète de son bien être avant de ne s’inquiéter des entraînements. Ce n’était pas en soi choquant, bien au contraire, mais la jolie irlandaise n’était pas habituée à tant de bienveillance et plus spécifiquement de la part d’un homme. « T’aime bien les ultimatums en fait, pas vrai ? Faut vraiment que mon style en danse t’ai tapé dans l’œil je présume alors je vais prendre ça pour un compliment » ne put-elle s’empêcher de plaisanter avant de pousser un petit râle de douleur tandis qu’il poursuivait son massage. Il était doué, impossible de dire le contraire mais ce n’était pas pour autant la meilleure partie de plaisir qu’elle ait vécue dans son existence toute entière. « Minute, tu veux jouer les chaperons, pourquoi ? » ne put-elle s’empêcher de lui demander non sans lui faire cesser son massage en attrapant l’une de ses mains dans la sienne, cherchant son regard avec autant de puissance qu’elle le put. Thaïs ne comprenait pas cet élan de protection dont il faisait preuve alors jusqu’ici, malgré les deux câlins qu’ils avaient échangés et le nounours qu’il lui avait si gentiment offert, il s’était toujours conduit comme un foutu con avec elle. « Tu déconnes, tu ne vas pas venir tous les soirs au club et attendre bien sagement que je finisse mon show ? D’une parce que tu vas te faire chier, de deux parce que tu as sûrement d’autres chats à fouetter et de trois parce que ça me gêne, donc non, hors de question que tu sois mon garde du corps, je choisis d’aller bosser comme une grande fille et j’irai toute seule, comme une grande fille, tu n’es pas responsable de moi j’te signale » continua-t-elle en s’armant d’un sérieux à couper le souffle tant elle pesait ses paroles malgré sa douleur et son mal cruel à respirer. « Ça va, fais sauter l’attache de mon soutif, on va pas faire péter la jaunisse non plus ! »
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« C’était un compliment. » lâchais-je avant de me retenir de grogner face à cette tête de mule. Elle n’avait pas encore compris que je ne lui laissais pas le choix ? En même temps pour sa défense, elle n’avait pas l’habitude de m’avoir sur le râble mais quelque chose me disait qu’elle allait regretter le temps où je ne lui adressais pas un mot en trop lors de nos répétitions. Maintenant, elle devait composer. « Parce que tu crois que je te demandais ton avis ? Je ne viens point barre. Tu ne peux pas identifier l’homme qui t’a agressé alors hors de question que je te laisse retourner là-bas sans moi. Je sais que tu as besoin de fric et c’est bien ce qui me retient de pas te demander d’arrêter les frais avec ce club. Alors, tu n’as pas le choix, je viendrais. Si cela te gêne, sache que je n’avais pas l’intention de te regarder durant tes show, je ne suis pas un voyeur et je n’ai jamais rien trouvé de sexy au striptease » avouais-je sans aucun détour. Je n’aimais pas les stripteases. Je crois que je devais être le seul homme sur Terre à ne pas me rincer l’œil devant un effeuillage mais en même temps, je ne voyais rien d’attrayant à l’idée de regarder comme un animal en rut, une femme se déshabiller. J’avais bien plus de classe que cela. « Ecoute, je veux bien comprendre que tu ne veuilles pas que je te materne et c’est franchement pas mon intention mais je ne dormirais pas tranquillement en te sachant dans ce club et peut-être en face de ce malade. Je ne cherche pas non plus à te faire peur mais je veux simplement m’assurer que tu ailles bien. Tu te plaignais de ma froideur, dis-toi que tu vas peut-être la regretter à présent » plaisantais-je sur la fin non sans faire sauter l’attache de son soutien-gorge d’une manière experte pour mieux reprendre mes massages, glissant mes mains en dessous de sa poitrine pour détendre les muscles de son diaphragme. Ce n’était certainement pas une partie de plaisir mais si elle voulait avoir un peu la paix, il fallait en passer par-là. « Essaie de venir t’adosser contre mon torse et de nouer tes mains derrière ma nuque. Il faut que tu sois en extension si je veux pouvoir te masser correctement »
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Thaïs secoua légèrement la tête face aux répliques de Caleb, se heurtant au fait qu’il ne lui laissait pas le choix non plus et ne lui demandait en aucun cas son avis. Il plaisantait ?! Non pas qu’elle ait envie de regretter le temps où c’est à peine s’il lui adressait la parole en dehors des moments où il ressentait l’envie de l’envoyer péter, mais là… c’était surprenant. Qu’il ait ce genre de réactions envers un membre de sa famille, ou même envers un ami elle pouvait le saisir, mais pour elle ? Thaïs n’était personne pour lui, il ne la connaissait pas en dehors de leurs entraînements, bien qu’il lui ait dit s’être inquiété pour elle. « Comment ça tu me demandes pas mon avis ?! » s’étrangla-t-elle à moitié avant de ne froncer les sourcils de plus belle face à ses explications. Le premier réflexe qu’eut Thaïs fut d’esquisser un soupir avant de ne se retourner pour le laisser œuvrer de façon plus adéquate, se laissant guider docilement et sans ouvrir la bouche en prime. Mais en dernier lieu, lui demander de se taire, dans la position où elle se trouvait, c’était quasiment inhumain ! « Je voudrais bien avoir mes yeux ne serait-ce que trente secondes pour nous observer ça doit valoir son pesant de cacahuètes en plomb… » ne put-elle décemment retenir une minute de plus avant de ne pousser un petit cri de douleur, sentant toutefois son diaphragme se détendre très légèrement à force d’attentions de la part de Caleb. « Je regrette pas ta froideur, franchement désolée de ce que je vais dire mais plutôt crever… tu me montres que t’es humain et qu’en prime t’en as pas rien à foutre de moi et je devrais me plaindre ? Tu déconnes ? Bon par contre faudra que tu m’expliques pourquoi tu m’as demandé si je regrettais nos câlins… dis-toi que la nuit dernière, Mister Sweet ne m’a pas quitté d’une semelle, ç’a occupé ma nuit vu que je ne pouvais pas dormir. Mister Sweet, c’est ton cadeau pour info… » Thaïs avait un peu honte de retourner en enfance à ce point mais à sa décharge, elle en avait besoin. Sans ça, elle se sentait telle une coquille vide : sans amour, sans tendresse, sans humanité. « Dis-toi qu’avant que tu ne m’offres un câlin, ça faisait six ans qu’on ne m’avait pas étreinte pour autre chose que mon séant musclé. »
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"Non je ne te donne effectivement pas le choix, il faudra que tu fasses avec. Bienvenue parmi mes proches dois-je dire?" la taquinais-je à froid car j'avais un sens de l'humour assez personnelle voire tordu. En tous les cas, Thaïs prendrait l'habitude de m'avoir sur le râble car j'étais très protecteur voire trop avec les personnes que j'appréciais. C'est peut-être une des raisons qui faisait que je ne voulais pas me lier facilement aux autres car je me transformais rapidement en trop bon trop con quoiqu'il en soit, il m'était impossible de fermer les yeux si je voyais quelqu'un courir un danger et le moins qu'on puisse dire, c'est que Thaïs pouvait en courir un. Alors oui, même si je devais attendre dehors dans le froid qu'elle finisse sa soirée de boulot, je le ferais car c'était dans ma nature d’être aussi loyal que fidèle ou bien protecteur. Pour preuve, je la massais pour la détendre alors que j'aurais très bien pu passer mon chemin et me dire qu'elle était tout simplement un boulet pour le danseur que j'étais. Or, quand j'acceptais un partenariat, ce n'était pas pour le rompre à la moindre des difficultés. Je fus touché qu'elle me confie avoir donné un surnom à la peluche que je lui avais offerte après son agression. J'étais bêtement content d'avoir pu lui offrir ce petit plaisir car j'avais beau être un fils à papa, j'apportais de l'importance à autrui. Et puis, le sourire lui allait si bien.

"Est-ce parce que tu es aveugle que les gens ont tendance à ne pas vouloir de toi? C'est complètement crétin. Pour ma part, je me fiche de ton handicap. Tu es aveugle et moi, je suis un handicapé social, à nous deux, nous faisons la paire." plaisantais-je avant de redevenir sérieux. "Je ne sais pas, ce n'est pas évident pour moi de comprendre les autres et encore moins de me faire comprendre. Tu n'es pas la seule à ne pas savoir sur quel pied danser dans notre partenariat et je ne sais pas. Je me suis dit que je m'étais peut-être montré trop entreprenant ou indélicat. Je sais que je suis une brute néandertalienne quand je m'y mets" haussais-je les épaules avant de rougir quand mes doigts effleurèrent ses seins. "Désolé. Pas fait exprès" marmonnais-je avant de sentir ses muscles se détendre. "Je pense que cela devrait suffire à moins que tu veux que je continue" murmurais-je à son oreille.
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Thaïs éclata de rire. « Ouais je crois qu’il n’y en a pas un pour relever l’autre en fait ! » s’exclama-t-elle en tentant de sourire cette fois-ci car même le fait de rire devenait douloureux au cours du massage de Caleb. Mais il n’avait pas tort : à leur façon, ils étaient tous deux handicapés de quelque chose… lui des sentiments, elle de la vue. Il n’était pas dit que l’un ou l’autre soit plus ou moins confortable… « T’en fais pas pour moi, j’ai l’habitude de la connerie des gens. Je ne te mets pas dans le même sac si ça peut te rassurer, je sais très bien que tu es différent des gens que je côtoie à longueur de journée et ça se sent rien qu’à ta façon de danser. » Mais à vrai dire, face au petit incident qui avait poussé l’allemand à effleurer son sein, Thaïs ne fut pas gênée le moins du monde et laissa échapper un petit rire non sans caresser délicatement sa nuque du bout de ses doigts pour lui faire comprendre qu’il y aurait sûrement pire dans sa vie et qu’il n’était même pas utile qu’il s’excuse. « Je veux bien que tu continues un peu… si cela ne te dérange pas. Tu as vraiment des mains en or » le complimenta-t-elle avant de ne subir une nouvelle séance de massage qui acheva définitivement de la détendre. Certes, elle ne put pas vraiment s’entraîner à proprement parler durant cette après-midi, mais ils purent parler de leurs désidératas sur la chorégraphie d’examen qu’ils allaient danser ensemble et qui s’avérait être un mélange de plusieurs danses… autant dire que l’échange fut des plus vifs et intéressants.

TOPIC FINI.
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