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C'est le 12 mars 1993 à Sidney, dans la merveilleuse Australie,, que les membres de la famille White m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Anna Jude-Quinn, en hommage à énormément de gens. Je suis une éternelle célibataire, trop rêveuse pour penser à l'amour et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis plutôt pansexuelle, mais puisque vous voulez me juger, disons que je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale plutôt moyenne, qui se débrouille bien volontiers. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de d'art, avec pour choix majeur la musique, et pour choix mineur, le théâtre depuis trois ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse, animatrice, dans les restaurants. Et pour terminer, je voudrais intégrer les membres de la Lowell House ou les Quincy House. | Malory Looks alot like Lea Michele |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Malory et j'ai 17 ans. Je suis a french girl et j'ai connu le forum grâce à un top-site. J'en suis devenue dingue, et j'ai immédiatement eu une idée de perso alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lea Michele comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par à voir dessus. Je fais environ 500 à 1200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Will you love me ?
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
Mot de la fin ? ▲ Will you love me ?
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
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APRÈS LA BOMBE Ce jour là, ce fameux jour de janvier, Jude se trouvait dans le Sanders Theater. Elle s'inspirait du lieu, n'étant pas seule, évidement répétant avec le Glee Club. C'est alors qu'elle ouvrit la bouche pour chanter, qu'elle entendit un énorme boum dans son dos, et que elle et tous les autres personnes présentes se mirent à sursauter. Le sol trembla, et elle s'éloigna vite du mur, poussant un hurlement d'horreur. La suite se passa à la vitesse de la lumière, alors qu'elle évacuait les lieux, non pas blessée, mais terrorisée. | LOWELL HOUSE La raison est aussi évidente qu'importante, si il y a bien une fraternité dans laquelle Jude doit aller, c'est bien celle-ci. Et seulement en ouvrant la bouche, elle pourrait vous prouver qu'elle mérite vraiment de la rejoindre : la vérité c'est que Jude est une amoureuse de la chanson, une chanteuse qui a du talent et qui vit à travers son rêve de rejoindre la scène, et de chanter pour un véritable auditoire. Mais pas seulement. Elle aime aussi tout ce qui touche au théâtre, surtout aux comédies musicales, et à l'art de la scène en général. Alors, convaincu ? QUINCY HOUSE Par dépit, il a fallut qu'elle étudie chacune des confréries, même si elle savait déjà très bien laquelle lui correspondait le plus, et qu'elle devait à tout prix intégrer. Sur sa fiche d'inscription, elle inscrivit donc le nom d'un second choix : celui de la Quincy House. Bien sûr, elle remplissait globalement les caractéristiques demandées, mais au fond, elle savait bien qu'un caractère aussi bien trempé que le sien, elle ne correspondrait jamais totalement à cette confrérie. Jude aime aider, est toujours à l'écoute mais... C'est une hyperactive qui ne fait plus du tout confiance aux hommes, et qui aurait plutôt tendance à les éviter plutôt qu'être à leur écoute. Ensuite, bien que tolérante, elle est parfois un peu excessive à force de trop vouloir aider. Et puis surtout, c'est une grosse fouineuse qui aime être au courant de tout... Alors, elle ne correspond qu'a moitié à cette confrérie, mais c'est la seule autre qu'elle pouvait citer. |
« Oh, coucou petit ange ! Viens voir tata ! » Cette femme blonde dont la voix ne me semblait pas inconnue tendit les mains vers moi, et ce fut tout naturellement que je grimpais sur ses genoux, mon pouce dans ma bouche. Elle poussa un petit bruit, celui qu'on les grand lorsque je leur souris, et qu'il me trouve trop mignonne. Je me grattais la tête, ne prenant pas en compte mes nattes parfaitement coiffées, et jetant un oeil à ma mère, assise juste en face. Cette dernière me fit un sourire encourageant, et je me détendais un peu. « Tu te souviens de moi, chérie ? Tu sais, je suis la soeur de ta maman, Ophélie ! » Elle bougea un peu les genoux, et je levais les yeux vers elle, affichant une mine aussi sceptique que désolée. Je comprenais bien ce qu'elle me disait, mais j'étais incapable de lui répondre. Essayant tout de même, j'ouvrais grand mes petites lèvres roses, tachant de sortir un son de ma gorge : en vain. « Elle ne parle toujours pas, hein ? » demanda ma tante d'un air gênée, en regardant ma mère qui répondit d'un simple soupir. Ophélie lâcha un soupir à son tour et déposa un baiser sur le sommet de mon crâne, me serrant doucement dans ses bras. « Bof, ça viendra bien un jour... Elle a juste un peu de retard. » Un bébé moyen commençait à exprimer de légères consonne à partir de cinq mois : j'avais deux ans, et j'étais toujours muette comme une carpe.
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Et du retard, j'en avais. Et pas qu'un peu. Si bien qu'a quatre ans, je commençais à peine à interloquer ma mère. Et c'est alors que je prononçais mon premier mot, que je su qu'il y avait quelque chose de différent chez moi. Ma voix me parvenait comme douce, mélodieuse, elle m'apaisait. Depuis ce jour, il fallait toujours que j'essaye de parler plus fort, de tester d'autre tons, et d'apprendre d'autres mots. Née d'un père musicien, je baignais déjà depuis l'enfance dans la musique, et c'est ainsi que je découvrais que je pouvais à mon tour user de cette voix si particulière pour chanter, et m'exprimer autrement. Mais je ne m'exprimais de cette manière, seulement lorsque j'étais seule. Je m'entrainais seule, de plus en plus en grandissant, à l'abri des critiques autres que la mienne, déjà très pesante. J'étais une petite fille souriante, quoiqu'un peu solitaire, qui ne s'exprimais quasiment qu'en chanson.
La première fois que je chantais en public, c'était au remariage de mon père, après quelques années de divorce. J'avais neuf ans à peine, et l'on m'avait demandé de faire une animation. J'avais hésité, puis avais décidé de chanter "We've got tonight", sur la petite scène aménagée de la salle des fêtes. Devant la standing ovation totale, mon coeur de fillette s'était emballé, et j'avais compris ce que je voulais vraiment au fond de moi, depuis toujours. Ma voix avait certes mit bien du temps avant de sortir, mais j'étais incapable de lui en vouloir.
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La suite se passa à une vitesse mitigée. Comme beaucoup j'eus des problèmes bien banals, et concevrais une attitude d'élève discrète en cours, au contraire de sur scène. J'apprenais bientôt le piano, la guitare et la harpe, mais surtout à contrôler ma voix. La puberté me donna quelques soucis, mais je parvenais vite à retrouver le contrôle de ma nouvelle voix. J'étais une élève excellente, on me jugea bien au dessus de la moyenne, et on m'offra une bourse à Havard dans la section musique. Ce fut mon professeur de musique qui me repéra, et qui refusa de me voir intégrer une autre université que celle d'Havard. « Pour ta voix, pour ton talent : il te faut le meilleur. » m'avait-il dit un jour en croisant mon regard. J'avais simplement rougis, et hoché la tête, en le remerciant.
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« Vous chantez depuis longtemps ? »[/color] Juste avant de partir pour l'université, je rencontrais James. C'était un homme très étrange, aux costumes impeccables et aux sourires brillants. Bien plus vieux que moi, il fallait l'avouer. Ce grand brun avait de suite fait chaviré mon coeur de lycéenne, ce fameux soir où il était venu me féliciter après une de mes performances dans un bar de la ville. Il ressemblait à l'un de ses acteurs de cinéma, charmeur et souriant. Et puis surtout, il avait su me dire les mots qu'il fallait, et même réussi à m'inviter à boire un verre avec lui, malgré ma méfiance face à son âge. Nous avions parlé, longuement, et moi j'avais fais comme si je n'avais pas remarqué l'alliance à son doigt. La suite, vous l'imaginez certainement. En grande idiote de dix-sept ans, j'étais tombée amoureuse d'un homme de trente deux ans, marié et père de trois enfant. L'un de ses pauvres types qui cherche à s'amuser le week end. Mais moi je l'aimais, vraiment, et le fait qu'il ne m'appelle que pour le rejoindre à l'hôtel ne m'inquiétait pas. Au fond de moi, je savais très bien que c'était une relation tout ce qu'il y avait de plus immorale et sans lendemain, mais je l'aimais, et pour moi, c'était tout ce qui comptait. Finalement, tout cela se termina sans aucune larme, ni dispute : seulement lorsque je remarquais, qu'il ne m'envoyait plus du tout de messages, et que je me doutais qu'il avait dû se trouver une autre gamine à se mettre sous la dent. Je lui vais donné ma virginité, et beaucoup trop d'amour, mais c'est comme ça les gamines, ce sont des idiotes.
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Malgré tout ce que je pu dire, comme quoi je n'avais aucun séquel de cette expérience avec James, je dois aujourd'hui avouer que c'est avec une certaine méfiance -qui parfois dépasse le raisonnable- que je vois les hommes. Enfin après une telle relation, n'importe quelle fille aurait au moins été un peu bousculée. Enfin, aujourd'hui, je prenais un nouveau départ. Bouclant mes bagages avec difficulté, en amenant trop comme d'habitude, je me préparais à rejoindre la plus belle Université du monde, en chantonnant, bien sûr.
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Et du retard, j'en avais. Et pas qu'un peu. Si bien qu'a quatre ans, je commençais à peine à interloquer ma mère. Et c'est alors que je prononçais mon premier mot, que je su qu'il y avait quelque chose de différent chez moi. Ma voix me parvenait comme douce, mélodieuse, elle m'apaisait. Depuis ce jour, il fallait toujours que j'essaye de parler plus fort, de tester d'autre tons, et d'apprendre d'autres mots. Née d'un père musicien, je baignais déjà depuis l'enfance dans la musique, et c'est ainsi que je découvrais que je pouvais à mon tour user de cette voix si particulière pour chanter, et m'exprimer autrement. Mais je ne m'exprimais de cette manière, seulement lorsque j'étais seule. Je m'entrainais seule, de plus en plus en grandissant, à l'abri des critiques autres que la mienne, déjà très pesante. J'étais une petite fille souriante, quoiqu'un peu solitaire, qui ne s'exprimais quasiment qu'en chanson.
La première fois que je chantais en public, c'était au remariage de mon père, après quelques années de divorce. J'avais neuf ans à peine, et l'on m'avait demandé de faire une animation. J'avais hésité, puis avais décidé de chanter "We've got tonight", sur la petite scène aménagée de la salle des fêtes. Devant la standing ovation totale, mon coeur de fillette s'était emballé, et j'avais compris ce que je voulais vraiment au fond de moi, depuis toujours. Ma voix avait certes mit bien du temps avant de sortir, mais j'étais incapable de lui en vouloir.
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La suite se passa à une vitesse mitigée. Comme beaucoup j'eus des problèmes bien banals, et concevrais une attitude d'élève discrète en cours, au contraire de sur scène. J'apprenais bientôt le piano, la guitare et la harpe, mais surtout à contrôler ma voix. La puberté me donna quelques soucis, mais je parvenais vite à retrouver le contrôle de ma nouvelle voix. J'étais une élève excellente, on me jugea bien au dessus de la moyenne, et on m'offra une bourse à Havard dans la section musique. Ce fut mon professeur de musique qui me repéra, et qui refusa de me voir intégrer une autre université que celle d'Havard. « Pour ta voix, pour ton talent : il te faut le meilleur. » m'avait-il dit un jour en croisant mon regard. J'avais simplement rougis, et hoché la tête, en le remerciant.
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« Vous chantez depuis longtemps ? »[/color] Juste avant de partir pour l'université, je rencontrais James. C'était un homme très étrange, aux costumes impeccables et aux sourires brillants. Bien plus vieux que moi, il fallait l'avouer. Ce grand brun avait de suite fait chaviré mon coeur de lycéenne, ce fameux soir où il était venu me féliciter après une de mes performances dans un bar de la ville. Il ressemblait à l'un de ses acteurs de cinéma, charmeur et souriant. Et puis surtout, il avait su me dire les mots qu'il fallait, et même réussi à m'inviter à boire un verre avec lui, malgré ma méfiance face à son âge. Nous avions parlé, longuement, et moi j'avais fais comme si je n'avais pas remarqué l'alliance à son doigt. La suite, vous l'imaginez certainement. En grande idiote de dix-sept ans, j'étais tombée amoureuse d'un homme de trente deux ans, marié et père de trois enfant. L'un de ses pauvres types qui cherche à s'amuser le week end. Mais moi je l'aimais, vraiment, et le fait qu'il ne m'appelle que pour le rejoindre à l'hôtel ne m'inquiétait pas. Au fond de moi, je savais très bien que c'était une relation tout ce qu'il y avait de plus immorale et sans lendemain, mais je l'aimais, et pour moi, c'était tout ce qui comptait. Finalement, tout cela se termina sans aucune larme, ni dispute : seulement lorsque je remarquais, qu'il ne m'envoyait plus du tout de messages, et que je me doutais qu'il avait dû se trouver une autre gamine à se mettre sous la dent. Je lui vais donné ma virginité, et beaucoup trop d'amour, mais c'est comme ça les gamines, ce sont des idiotes.
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Malgré tout ce que je pu dire, comme quoi je n'avais aucun séquel de cette expérience avec James, je dois aujourd'hui avouer que c'est avec une certaine méfiance -qui parfois dépasse le raisonnable- que je vois les hommes. Enfin après une telle relation, n'importe quelle fille aurait au moins été un peu bousculée. Enfin, aujourd'hui, je prenais un nouveau départ. Bouclant mes bagages avec difficulté, en amenant trop comme d'habitude, je me préparais à rejoindre la plus belle Université du monde, en chantonnant, bien sûr.
The End
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