ANASTASIYA&KENNY • cause i know that´s what you want me to do

Un soupire de plaisir sortait de sa bouche, ils étaient bien là, Kenny fermait un peu les yeux se laissant faire par sa fiancée qui le touchait lentement avec ses doigts. Il frissonnait de tous les cotés, épuisé de cette effort si délicieux, il tournait tout de même la tête vers elle choppant ses lèvres une énième fois en souriant. Dire qu'hier, ils avaient été en proie aux doutes, là c'était carrément autre chose, ça avait été explosif surtout pour lui maintenant au vu de la tête de sa belle, il savait que ce n'était pas le seul. "Comment ça ?" dit il coquin en allant vers son cou. Son nez se frottait doucement contre son dernier jusqu'à ce qu'il retire sa main d'un endroit interdit ou Anya voulait aller, enfin il avait cru. "Tatata..." murmura t'il rieur. "Tu n'as pas répondu à ma question, comment tu veux que je cesse de t'embrasser ?" Et il s'amusait de nouveau, semant des baisers tous un peu près différents dans son cou jusqu'à la naissance de sa poitrine, Kenny était décidément en forme et en feu surement à cause de la réponse de sa chérie au sujet du nom de famille et aussi à la petite victoire de tout à l'heure ou elle avait choisit lui et non pas son propre père. Sa main libre ne se baladait pas comme souvent, il trouvait celle de sa fiancée pour la nouer à la sienne, un geste symbolique sans vraiment s'en rendre compte.

Son coeur battait encore à la chamade, son souffle était saccadé, elle n'arrivait pratiquement pas à la reprendre tellement l'effort avait été intense. C'était si bon de le retrouver de cette manière là, elle en avait eu besoin. Lui demandant d'arrêter de l'embrasser afin de ne pas repartir aussitôt, monsieur s'amusait au contraire à la tenter, à la mettre sur le bout du rasoir. Sa main se posait automatiquement dans sa chevelure brune pour lui retirer le visage de l'endroit mais pour le retenir par la même occasion, deux sentiments, deux envies contradictoires. Elle s'amusait à longer son torse du bout de ses doigts à plusieurs reprise, s'arrêtant toujours à la limite pour remonter aussitôt.  tu le sais très bien et t'en joue dit-elle en le regardant faire , déposer des baisers le long de son buste jusqu'à la naissance de sa poitrine  Bien sur que c'est comme ça  ajoutait-elle en riant avant de se retourner et d'enfouir sa tête dans le cousin C'est fini, monsieur est puni Un regard en biais à son encontre et elle riait contre le cousin tout en laissant ses doigts longer les siens.

"C'est faux je joue pas..." chuchota t'il tendrement. Il continuait ses baisers, lentement, tendrement jusqu'à ce qu'elle riait en le punissant. "Genre tu me punis !" Kenny se redressait faisant tomber le drap de lui en fixant sa fiancée complètement hilare sous le coussin. "Ok mademoiselle se passera de mes services sous la douche alors !" Il levait la tête haute et fier pensant qu'elle allait regretter ses paroles seulement ce fut lui qui les regrettait l'instant d'après. Ses mains commençaient à la découvrir, il avait envie de se venger mais de façon délicieuse surtout qu'il avait clairement comprit qu'Anya raffolait qu'on s'amuse dans son endroit interdit. Kenny déposait un baiser sur son ventre, sur ses cuisses avant de regarder ce fameux endroit. "Et oh...." dit il vers l'entrée. Parfois, il avait des réactions étranges surtout quand il souhaitait rentrer en contact avec sa petite fille après tout elle sortirait par là non ? Haussant les épaules sans voir une réaction, l'anglais commençait un petit exercice qu'il avait commencé tout à l'heure avec ses lèvres comme si de rien était, comme si tout ceci n'était qu'un rêve, un rêve qui prenait court rapidement quand on frappait à la porte. "Monsieur Kovalevski... Vous avez rendez-vous..." Une voix hésitante, féminine, Katarina était derrière, Kenny redressait la tête. "Ouais, j'arrive !" dit il un peu paniqué. "Il est quelle heure ma puce?"

Ce que faisait Kenny la laissait un peu perplexe, étai-il sérieusement en train de d'essayer de communiquer avec Alessia par cette porte là . Légèrement mal à l'aise par ce geste, la jeune femme croisait ses jambes délicatement, espérant lui faire comprendre que tout ceci la gênée amèrement. Certes, son fiancé avait déjà explorer la moindre parcelle de son corps, mais ceci était un endroit privilégié, un endroit synonyme de désir, de plaisir, d'extase, d'osmose ... pas de communication. Autant lui couper la chique pour un bout de temps. Finalement, il se rattrapait d'une bien douce manière. La jeune russe en oubliait ce petit détail qui l'avait légèrement refroidie pour le coup. L'arrière de sa tête contre le coussin, ses cheveux éparpillaient dans tous les sens contre ce dernier, doucement, elle fit glisser ses doigts dans sa chevelure brune pour la serrer légèrement entre ces derniers. Son fiancé était doué, beaucoup trop doué pour l'envoyer dans un autre monde en un rien de temps. Se tordant légèrement sous lui, un bruit sourd se fit entendre. Rapidement, elle posait ses mains contre la tête de Kenny comme pour le pousser, le visage tourner vers la porte et lorsqu'elle entendit la voit de Katarina, la blonde fut extrêmement surprise.  Qu'est ce qu'elle fait encore là ? Mon père l'avait viré ! dit-elle en se redressant, légèrement énervé de cette nouvelle. Que se passait-il ? Elle faisait quoi ? Elle guettait les sorties de Kenny ou bien ?  L'heure de rester au lit avec moi ... dit-elle avec une petite moue divine sur son petit minois, tout en hissant son buste sur le torse de Kenny. Ses lèvres remontèrent sur son torse, dans son cou et jusqu'à son oreille droite J'ai pas envie que tu partes ...

Kenny était bien la a communiqué avec sa petite fille dans le ventre de sa mère mais par une autre parcelle. Souriant, il décidait finalement d'opter pour une version plus adulte de communication. Plus sensuel que jamais et doué, le brun avait les yeux pétillant de malice jusqu'à ce quelqu'un frappe a la porte. Râlant un peu, le brun se laissait aller contre la russe avec douceur en regardant sa femme qui râlait. "C'est moi qui lui ai dit de l'embaucher de nouveau..." Dit il en lissant glisser son doigt sur la naissance de son cou. "Tu l'as viré par jalousie et même si je trouve ça mignon, c'est aussi injuste... Et ton père voudrait éviter un procès pour licenciement abusif !" Les yeux dans les yeux, le brun déposait un baiser sur le bout de son nez en riant a la phrase. "Alalala n'amour !" Ria le brun en se posant sur le coter, le brun n'y pouvait rien mais a cet instant ils étaient tellement connecter qu'il l'embrassait sans ménagement. Tellement qu'Anya ne voulait pas qu'il parte. Cette phrase eu l'effet d'une bombe c'était bien la première fois qu'elle lui disait une chose pareille depuis qu'elle était enceinte. Les yeux complètement amoureux et pétillant, le jeune homme respirait un bon coup en se levant finalement. "Tu sais bien que j'adore quand on passe notre temps au lit... Mais..." Il enfilait son pantalon en même temps qu'il la regardait. "J'ai des obligations comme toi plus tard et..." Et se fut le drame. Complètement perturber par l'instant partager, Kenny fermait son pantalon sans avoir mît de boxer ce qui fut un véritable problème quand Kennytosaure se retrouvait bloquer, coincé saignant un peu vers le bout. "Ahhhhhhhhhh !!!!" S'écria l'anglais en tombant sur le lit. Sauf que son cris ne fut pas un tout petit, il était tellement fort que Katerina et Irina qui parlait de tâches a faire rentrait participant au spectacle. Kenny se tenait le petit bout qui ne fut pas caché quand il sentait le sang. Il gesticulait sous la douleur, tellement qu'il ne faisait qu'aggraver la situation. "Je vais appeler le médecin !" Déclara la mère d'Anya.

Et c'est qui qui lui aurait donné l'idée d'un procès pour licenciement abusif ? demandait-elle, en fronçant légèrement les sourcils. Bien évidemment que c'était lui et la simple idée qu'il se donne corps et âme pour défendre cette femme ne lui plaisait pas. Tu devrait être heureux que je sois jalouse puisque ça prouve bien ce que ça prouve oui, elle n'avait pas clairement dit ce que cela pouvait prouver mais il le savait pertinemment pas besoin de mettre le doigt dessus. Puis de toute manière je peux trouver encore mille et une raison pour la faire virer sans que ça passe pour être quelque chose d'abusif ou alors ... la jeune femme se mordillait la lèvre, elle savait très bien ce qu'elle allait faire. Lui mener la vie dure, l'obliger à démissionner par ses propres moyens. Kenny devait partir cependant, elle n'en avait pas envie. Ce qu'elle voulait, c'est qu'il reste avec elle. Mais non ... allez reste ajoutait-elle en se relevant pour lui attraper le bras et le faire revenir sur le lit. Il déclinait l'invitation en remettant son pantalon et c'est une Anya qui soufflait de mécontentement qui se laissait retomber contre la tête de lit, les bras croisés contre sa poitrine T'es nul, t'as encore tout ton temps pour ça et ... La Russe ne pu terminer sa phrase puisque c'est un écrit qui s'échapper d'entre les lèvres de son fiancé, un cri plutôt alarmant Mon dieu Kenny qu'est ce qu'il se passe ?! Inquiète, elle refermait son peignoir en soie autour d'elle, pour se relever lorsque Katarina et sa mère entraient dans la chambre. Faut pas se gêner, mais non voyons ! Heureusement que par réflexe, la Russe s'était mise devant lui pour le cacher. Aooutch, mais comment t'as fait ? ça doit terriblement faire mal dit-elle avec une immense grimace sur le visage Katarina rendez vous utile pour une fois et allez chercher des glaçons au lieu de regarder Son attention se retournait sur Kenny lorsqu'ils furent enfin seul, tandis que sa mère était descendu appeler les médecins Laisses moi regarder dit-elle en attrapant un mouchoir pour faire un point de compression mais avec délicatesse pour ne pas lui faire mal Je crois que finalement tu vas rester avec moi ajoutait-elle pour détendre l'atmosphère tout en déposant un baiser contre son torse.

"T'es pas possible !" lâcha le jeune homme amusé de la voir si jalouse. Levant les yeux au ciel, le brun commençait à s'habiller laissant sa douce après un bon moment de retrouvaille comme il aimait avec elle, cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas été aussi connecté tous les deux qu'il avait ce maudit sourire aux lèvres. "On ronchonne pas !" dit-il en levant son index vers elle. Le brun se penchait vers elle pour lui voler un baiser tout doux. Prenant son pantalon au sol, le brun l'enfilait en souriait toujours autant. "Faut bien que je me lance car avec toi je sais que tu vas vouloir que je ne quitte jamais ce lit rien qu'en te regardant !" Les yeux posés de nouveau vers elle, c'est là que le drame se faisait entendre. Kenny se mit à crier de douleur tombant sur le coté, mais qu'est ce qu'il pouvait être maladroit celui là ! Gémissant, l'anglais ne répondait pas regardant quelques secondes l'endroit avant de laisser sa tête tomber sur le sol. Tout se passait très rapidement, Irina puis Katarina partait cherchant de l'aide pour l'une, des glaçons pour l'autre. "Ça fait mal…" déclara le brun. Une larme coulait sur sa joue, c'était le pire endroit pour un homme se blesser ici c'était comme recevoir un coup de couteau, Kenny se laissait faire, Anya avait l'air de s'amuser vu sa dernière phrase. "C'est pas drôle !" Il était un peu en colère mais se détendait rapidement sous son baiser. Kenny bougeait les jambes attendant un peu jusqu'à ce que le médecin arrivait rapidement d'ailleurs, ça se voyait que c'était la famille royale. Une femme, petite, châtain clair, à lunette, Irina s'éclipsait pour laisser de l'intimité. Kenny se reculait prenant peur à ce qu'on lui touche, encore Anya ça passait mais une inconnue c'était… compliqué surtout au vu de la jalousie de la russe. "Faite moi voir…" déclara la médecin. Elle avait quel âge ? Kenny n'en savait rien mais pas très vieille en tout cas. "Ça va aller, on va retirer ce bout de chiffon et on va s'en occupé." Passant sa main sur sa tête, le brun la laissait faire découvrant son anatomie avec un peu de mauvaise volonté.

Il avait raison. Elle ne comptait pas le laisser sortir et ce n'est pas parce qu'il était en train de s'habiller qu'elle allait abandonner comme ça. Elle le voulait pour la journée, rien qu'à elle. Qu'ils puissent juste profiter d'un moment de détente à deux. Humhum et tu penses que c'est mal de rester au lit toute la journée ? dit-elle en se penchant vers lui pour qu'il revienne s'allonger, d'une manière assez aguicheuse avant que le drame ne se produise. La jeune femme faisait de gros yeux. Tout se passait rapidement. Sa mère et la bonne entraient dans la pièce alarmées par le cri perçant de Kenny. C'est qu'il criait comme une fille le petit. Après avoir donné ses instructions, elle tentait de détendre l'atmosphère en faisant une petite blague,de mauvais goût aux vues des circonstances, surtout qu'il pleurait ? Oh oui il pleurait. Se pinçant les lèvres la jeune femme le regardait tombant au sol, ayant une folle envie de se mettre debout sur le lit, un pied sur l'épaule de son fiancé et de crier " A terre le gueux " mais elle ne le fit pas, par respect pour son soldat blessé. Rapidement, elle effaçait cette idée pour l'aider. Prenant une serviette propre , elle y mettait des glaçons pour le soulager jusqu'à ce que le médecin arrive. Levant son regard vers celui de Kenny, elle lui fit un petit sourire pour lui insuffler un peu de courage. C'est que ça devait être douloureux quand même. Son regard se portait sur le médecin. Une petite femme, châtain à lunette. Elle n'avait aucun soucis à se faire puisque cette dernière n'était pas du tout le genre de Kenny quand bien même ça ne lui plaisait pas qu'une autre femme le touche à cette endroit. Se laissant tomber sur le lit, elle regardait le moindre de ses gestes se contenant pour ne pas exploser. C'était dur de voir ça, même si c'était pour le bien de son fiancé. Son regard un peu peiné se levé dans celui de Kenny, portant ses doigts à ses lèvres , un peu nerveuse.

Kenny était vraiment entrain de souffrir. Il serrait les dents seulement les larmes roulaient sur ses joues, c'est que c'était affreusement douloureux. Il en revenait pas lui qui avait pour habitude de serrer les dents, qui ne disait rien seulement quand il voulait pas rigole de lui mais Kenny reconnaissait que bien souvent il faisait tout pour qu'Anya s'occupe de lui comme un enfant. Seulement là, Kenny fermait les yeux voyant la tête de sa fiancée qui avait une folle envie de rire, il le lisait dans ses yeux, il la connaissait par cœur sur ce sujet. Se poussant un peu, le médecin ne tardait pas à venir. Elle était petite, brune mais pas moche Kenny le reconnaissait seulement il avait l'impression que sa réaction physique allait être mal interprété. Encore chaud bouillant du au câlin avec Anastasiya, Kenny se laissait faire serrant les dents et la serviette contenant les glaçons. "C'est des accidents qui arrivent..." Lâcha le médecin. "Un endroit sensible comme ça il faut faire attention, un jean un peu trop... Étroit et ça arrive..." Elle était concentré, Kenny se détendait un peu a vrai dire le froid des doigts de la docteur lui faisait du bien comme la serviette de tout a l'heure. Les yeux sur l'endroit blessé son pantalon se retrouvait coupé pour faire apparaître le reste de son anatomie mais avec cette maudite fermeture éclaire encore placé. "Je vais ouvrir la fermeture, ça va faire un peu mal mais c'est normal !" Il serrait les dents, elle était douce et finalement il fut libéré avec une entaille assez importante sur la partie vive. "Merci..." Il avait un peu moi mal mais ça lui brûlait assez.

La situation était drôle il fallait l'avouer. Elle avait l'impression d'être dans l'une de ces scènes de Marie à tout prix. Son regard se baissait sur Kenny, de haut en bas, avec cette folle envie de rire, mais par respect, elle ne le fit pas. Elle se contentait juste de se pincer les lèvres pour ne pas laisser son humeur du moment emplir la pièce. Cependant, elle fit tout de même tout pour le soulager un tant soit peu avant que le médecin n'arrive. Un médecin femme soit disant passant . Bien entendu, cela ne lui plaisait pas. Qu'elle femme digne de ce nom aimerait voir son fiancé se faire tripoter l'ustensile par une autre. C'était vraiment désagréable, mais en vue de la tête de cette dernière, elle savait qu'elle n'avait pas de soucis à se faire. Ce n'était pas le genre de Kenny. Son genre, c'était elle tout simplement.  Regardant la scène tout de même avec une certaine minutie, elle fut surprise de le voir si en forme. Ses yeux se levaient directement vers ceux de Kenny avec cette folle envie de le foudroyer sur place. " Elle a les yeux revolver, le regard qui tue, elle a tiré la première, m'a touché, c'est foutue " Oh que oui, elle venait de tirer la première. C'était tellement déplaisant à voir, elle voulait bien être là pour Kenny mais pas être spectatrice de son excitation pour l'autre mocheté de médecin. Elle ressemblait à  une naine, une naine avec de tous petits membres. Puis ses lunettes qu'elle portait lui prenait la moitié du visage, on ne la voyait presque plus, ses petits yeux de fouines, marrons ... elle était moche et en cet instant, elle la détestait. Baissant le visage face à tout ça, la jeune femme attrapait son téléphone et son sac pour sortir de la pièce sans un regard pour les deux oiseaux qui se faisaient de plus milieux. Claquant la porte, la blonde descendait les escaliers rapidement. On dirait que vous faites exprès dit-elle en regardant ses parents pour le moins écœuré. Premièrement une bonne à tout faire avec comment dire , de gros attributs, qui doit être là pour satisfaire le moindre de ses caprices, lui faire faire le tour de la ville et j'en passe et maintenant une femme médecin qui le tripote ? Vous voulez qu'il me trompe peut être, vous voulez le mettre à l'épreuve à ce point là ? Vous voulez qu'un jour à force de le tenter je me retrouve comme une conne ? C'est vraiment pitoyable ! dit-elle en tournant les talons pour se rendre dans ce petit endroit qu'elle aimait tant étant petite, sous le bureau de la grande bibliothèque. Cette pièce avait quelque chose de réconfortante, de chaleureuse, peut être était-ce dû au bois de chaque meuble, ou au feu de cheminé qui crépité à longueur de temps, ou bien à cette peau de bête au sol ou enfin ces milliers de livre qui racontaient tous une histoire différente. Etre sous le bureau était une carapace de plus qu'elle se mettait sur le dos, c'était assez significatif, c'était son repère, son endroit ou elle se cachait et ou tout pouvait couler sans que cela ne l'atteigne. Elle se sentait en sécurité.