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Ofelia & Wyatt - Tu as tellement changé.

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feat Ofelia & WyattCette fois-ci, c’était à moi de fuir. Je venais de mettre mon bonnet sur la tête. Je n’attendais plus rien d’elle, car je savais qu’elle allait être muette comme une tombe. En relevant les yeux vers elle, je pus voir de la noirceur s’emparer de son regard. J’avais l’impression qu’elle se métamorphosait complètement. « RAAAAH ! » Tel une furie, elle se jetait sur moi. On ne croirait pas comme ça, mais elle avait une sacré poigne. Je n’étais pas hyper léger non plus. Ofélia me plaquait contre le mur. De la rage se peignait sur son visage. Fée était méconnaissable et limite effrayant. Est-ce que par le biais de la colère, elle voulait me montrer son désespoir et sa peine. Avait-elle l’impression que personne ne l’écouterait ? Aucune fille ne c’était comporté de cette manière avec moi. Jamais personne n’avait osé. « Tu veux savoir ... c'est ça ? tu veux savoir ... Ouais, j'ai changé, ouais, j'ai mal ... ouais ça va pas ... » Elle criait de plus en plus fort comme si je n’allais pas l’entendre. Ses pupilles étaient de plus en plus dilatés. Ofélia commençait vraiment à me faire peur. Elle en devenait presque psychotique. Je n’eus même pas le temps de répondre qu’elle enchainait déjà. Les yeux dans les yeux, elle me dévoilait son lourd secret : « J'ai été violé ... ça te fais bander ? » Sa révélation me laissait sans voix. Soudainement, je n’avais plus de force. Je n’arrivais plus à résister. J’étais comme paralysé parce qu’elle venait de me dire. Violé ?! Elle ?! Non, ce n’était pas possible ! Non, je ne pouvais pas y croire. Tout cela me paraissait tellement irréel. Pourtant, des choses comme ça arrivait tous les jours, mais lorsque cela concernait quelqu’un que vous connaissiez, cela paraissait invraisemblable. Violé ?! L’information avait dû mal à s’insinuer dans mon esprit. Me faire bander ? Depuis quand elle parlait aussi mal ? C’était nouveau ça aussi. « T'es heureux ? ça t'apporte quoi de le savoir ... de savoir que la meuf joyeuse est partie parce qu'elle n'est qu'une pute, parce qu'elle a été salie, qu'elle est sale, qu'elle n'est qu'un putain de putain de déchet qu'on a agressé alors qu'elle demandait juste à ce qu'on la laisse vivre ... ça te fait quoi ? » C’était de pire en pire et je ne savais même pas comment réagir face à cela. Putain, elle avait été violée ! C’était un trop plein d’information à assimilé d’un coup. J’étais à la fois stupéfait et en colère. J’allais détruire le mec qui lui avait fait ça ! Je commençais à bouillir intérieurement. J’étais une bombe à retardement et j’allais exploser. Je me défaisais de son emprise. S’en était trop. « Putain ! Comment est-ce que tu peux parler de toi comme ça ?! Comment est-ce que tu peux penser que cela me fasse bander ! ça me fait mal putain de savoir ça. ! » Maintenant que je réalisais ce qu’elle venait de me dire, la colère ne faisait que s’accroitre. « Tu n’es pas une pu** ! T’es complètement folle ! » Je me retenais de mettre un coup de poing dans un mur. Acte très immature. « Je vais détruire cet enfoirée ! Je vais le démolir ! » Est-ce qu’elle l’avait vu. Je me retournais complètement vers elle. La colère était clairement lisible sur mon visage. Maintenant, je lui crachais presque dessus. « Dit moi que tu l’as vu ce connard ?! » J’avais conscience que ce n’était pas une bonne réaction, mais j’étais tellement en colère et tellement mal pour elle. Je voulais détruire celui qui l’avait rendu comme ça. Je n’arrivais même pas à réaliser pleinement se viole. Cela ne pouvait pas être possible.

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featuring Fée & WyattJe sens qu'il se décompose et moi, je suis folle, folle de rage, folle de tristesse, folle de tout, de désespoir surtout. Je me sens si mal, comme poignardé d'en parler à nouveau et de le voir ainsi comme choqué me trouble pourtant je ne peux pas m’arrêter, c'est impossible. Alors que je me laissais tomber sur le fauteuil à la fin d'une tirade de rage, je continuais dans mes pleures incapable de m’arrêter, le voyant du coin de l’œil entrain de se remettre du petit étouffement provoqué par la petite force quand meme étonnante que je pouvais avoir. Il avait réussi toute manière depuis un petit temps à se débattre, à s'évader de mon emprise et directement, je l'entendais dire avec une rage que je ne lui connaissais pas : « Putain ! Comment est-ce que tu peux parler de toi comme ça ?! Comment est-ce que tu peux penser que cela me fasse bander ! ça me fait mal putain de savoir ça. ! » Je baissais le regard au niveau de mes genoux, restant assise alors que lui restait debout apparemment mal et choqué. Je continuais de pleurer et de me tirer la tête dans tous les sens comme une malade qui ressent des vibrations dans son crane et pense à le vider. Je ne parle pas, je ne fais pas de bruit, je n'entend plus que lui qui semble hors de lui à son tour : Tu n’es pas une pu** ! T’es complètement folle ! » Je sentais que ces mots, ces phrases toute entière pénétrait mon crane, raisonnait en moi comme des sons trop fort, comme la piqure de rappelle de ma journée atroce, de ma soirée atroce, de ce moment inoubliablement gore pour moi. Je me balançais légèrement d'avant en arrière comme pour faire passer la douleur que mon corps subissait alors qu'il m'engueulait de plus en plus presque inconsciemment tant il était hors de lui. « Je vais détruire cet enfoirée ! Je vais le démolir ! » Il se retournait et je pouvais voir encore plus la colère dans son regard lorsque je tentais d'admirer ça. J'étais choqué et à la fois pas plus que ça trop perturbé par l'aveu que je venais de lui faire. Il m'avait trop poussé et maintenant, il savait, lui aussi, mon dieu. Il me cracha presque dessus de rage ; « Dit moi que tu l’as vu ce connard ?! » Là était toute l'histoire, je n'avais pas porté plainte, j'en avais parlé à personne, j'avais juste eu honte et là, je n'arrivais plus à parler. J'avais ramené mes jambes vers ma poitrine, mettant les pieds sur le canapé où j'étais assise et bougeait d'avant en arrière les yeux dans le vague. J'osais plus parlé, j'arrivais plus clairement. Je ne le regardais plus, je ne voulais plus penser mais pourtant, j'entendais sa phrase dans ma tête, sa requête. Je revisitais alors la scène à la recherche de ce que j'avais vu un ombre; une voix qui m'avait semblé connu mais je refusais, je refusais que ce soit vrai, que tout soit vrai, j'avais fait une erreur en pensant à ça, à la possibilité que ce soit lui ; la meme erreur que celle de ne rien dire, de ne pas porter plainte disait Blaise. Je continuais à me balancer et presque dans un murmure, je lui disais ; Non, c'est moi la salope ... il avait raison, j'ai du l'aguicher ... on mérite tous ce qui nous arrive, non ? Je me sentais si mal que je m'embrouillais, que je perdais les pédales, retournant dans mon traumatisme soudainement. Je savais pas trop comment etre, comme me sortir de ma tete, car je me sentais coincée dedans. Je bougeais encore de devant vers l'arrière et il me semble que de longues minutes passèrent avant qu'ils reparlent et que je l'entende à peine vu que je me trouvais perdue et dans mon monde, puis un nouveau chuchotement : j'ai pas changé ... j'ai l'empreinte de ce jour sur moi, c'est tout ... D'une voix pleine d'émotion si traumatisante, une voix si fantomatique, si bizarre.

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feat Ofelia & WyattJ’étais tellement en colère. Je hurlais comme pour extérioriser ce que je ressentais, mais cela ne faisait qu’empirer sa crise. Oui, une crise, car c’est ce qu’elle faisait. Assise sur le fauteuil, elle se balançait d’avant en arrière. Ses mains empoignaient brutalement ses cheveux et des larmes souillaient son visage. On aurait dit une folle et c’était ce salaud qu’il l’avait rendu comme ça. Pourquoi se sentait-elle coupable ? Des psychologues vous diraient, que c’est ce que ressentais la plupart des victimes de viols, mais moi, je ne comprenais pas. Je n’arrivais pas à saisir leur perception. C’est dans un murmure presque inaudible qu’elle continuait à se dénigrer : « Non, c'est moi la salope ... il avait raison, j'ai dû l'aguicher ... on mérite tous ce qui nous arrive, non ? » Ses mots me stupéfiaient. Est-ce que c’est ce que lui avait dit se connard ? Pourquoi se mettait-elle ça en tête. Ma rage retombait. A présent, j’étais tellement mal pour elle et de ne pas avoir été là pour l’aider. Je me mettais à genoux devant et lui prenais ses mains de force, mais avec douceur. « Tu n’as pas le droit de dire ça. Ce n’est pas vrai, tu n’es pas une salo**. Tu es une fille bien à qui, il lui est arrivé quelque chose d’horrible. » J’attendais une réaction de sa part. Je voulais qu’elle s’enlève tout ça de son crâne. La vie était tellement injuste. Ofélia ne méritait pas ça. Pourquoi est-ce qu’une personne bien se faisait violer ?! Alors, qu’il n’y arrivait jamais rien aux salauds. « j'ai pas changé ... j'ai l'empreinte de ce jour sur moi, c'est tout .. » C’était même sûr, mais cela l’avait quand même changé. Sa voix me brisait le cœur. Je ne savais pas comment la réconforter, alors qu’elle allait si mal. D’ailleurs, il n’y avait rien à dire. Doucement, je me rapprochais d’elle et lui faisait comprendre que je voulais la prendre dans mes bras. J’attendais son accord timide. Une fois qu’elle me donnait l’autorisation. Je la prenais délicatement dans mes bras comme si c’était une enfant que l’on devait consoler. « Il faut qu’il paye, mais s’il te plait, ne te dénigre pas. Tu ne méritais pas ça. Tu es une victime et lui le salaud. » Je mettais fin à notre câlin improvisé. Quoi, qu’il venait plus de ma part. Je baissais les yeux tout en murmurant quelques mots : « j’aimerais tellement t’aider… »

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featuring Fée & WyattIl hurlais de colère. Il était choqué. Je l'avais choqué mais après tout, il avait cherché, il voulait savoir, maintenant il savait ! Je m'énervais aussi, j'étais mal et perturbée. Ensuite, je revenais dans mon état de choc, assise sur le canapé comme une boule, me balançant telle une autiste mais je n'y pouvais guère grand chose, j'allais trop mal d'en parler ainsi, d'en parler simplement. Lui, semblait choqué par mes propos encore et soudain, je sentis des mains sur les miennes pourtant je le repoussais mais il réussit à les attraper, je ne le regardais pas mais je pouvais sentir sa chaleur sur mes mains qui commençaient alors à me calmer : « Tu n’as pas le droit de dire ça. Ce n’est pas vrai, tu n’es pas une salo**. Tu es une fille bien à qui, il lui est arrivé quelque chose d’horrible. » Je ne savais pas quoi penser et ces mots, tous ces mots, me firent continuer mon état secondaire, mes mouvements parce que j'étais partie, trop loin oui. Je me penchais d'avant en arrière sans pouvoir m’arrêter comme pour jeter mes sombres pensées qui m'obnubilaient. Ensuite, le jeune homme grimpa à mes cotés sur le canapé de la maison dunster et toucha mon épaule comme pour me prévenir qu'il allait se rapprocher et d'un souffle, d'un regard, je lui fis comprendre que je ne le frapperais pas si il me touchait ce qu'il ne s’empêcha donc aucunement de faire quelques instants plus tard, me prenant avec douceur contre lui, entre ses bras forts mais inconsciemment, je continuais à trembler, à bouger, à cause de mes peurs qui cognaient dans mon crane. Je n'entendais que ses paroles dans des murmures dans ma tête, des murmures incessants. Un écho ; « Il faut qu’il paye, mais s’il te plait, ne te dénigre pas. Tu ne méritais pas ça. Tu es une victime et lui le salaud. » Je pleurais encore, presque trop bruyamment à mon gout mais je compris un peu quelques instants après que c'était mon état qui me donnait l'impression que ça résonnait alors qu'il était moindre. Ensuite, il me lacha et je repris mes secousses quelques instants en respirant fort car je revenais peu à peu de mon état de léthargie. « j’aimerais tellement t’aider… » Je beuguais toujours pourtant, je réussis à déplier mes jambes et à relever la tete exposant mes joues à la vue de tous, heureusement, il n'y avait que lui et alors qu'il avait baissé la tete et murmurait les adorables mots amicaux, je décidais de répondre dans un simple murmure : Je te remercie, mais il n'y a rien à faire ... tu ne me dois rien et tu n'as pas à avoir pitié tu sais ! Je l'avais dit dans une voix dure, dure envers moi mais il pouvait malheureusement croire que c'était contre lui alors je reprenais ; ce n'est pas contre toi que j'en ai mais contre moi surement ... Avais-je à la limite du ton de grosse pommée de la vie. Je levais mon regard plein de larmes vers le plafond et revisionnait dans ma tete les images de la nuit où tout avait commencé puis comme pour un soulagement, je racontais encore une fois comme j'avais avec Blaise, avec Romane, parce qu'inconsciemment d'avoir tout gardé pendant des mois, et des mois faisait que maintenant, je ressentais le besoin de me libérer meme si c'était extrèmement dur ; J'étais dans la rue, je rentrais à mon appartement quand on m'a tiré dans cette rue et violemment collé contre le mur ... A nouveau, les larmes coulaient. Ma voix était brisée. J'ai voulu crié et il a mis un truc dans ma bouche et j'ai tenté de me débattre ... Il a frappé encore et encore avant de me dire que je lui avais fait du mal ... il a commencé à me déshabiller ! J'étais tellement mal, tellement désespérée... J'avais peur, tellement ... Je prenais alors ma tête entre mes mains, si triste de repenser à tout ça mais je ressentais le besoin de le dire, d'en parler, c'était tellement étrange ! Comme la vie l'est. Je regardais par instant derrière et écouter le son de la pièce de peur qu'on entre qu'on arrive. Je le regardais et lui demandais ; on peut aller dans ma chambre ? J'attendais qu'il accepte puis on montait dans ma chambre que je fermais et on s'installait ensuite.

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feat Ofelia & WyattJe te remercie, mais il n'y a rien à faire ... tu ne me dois rien et tu n'as pas à avoir pitié tu sais ! Quoi ?! Elle était sérieuse ? Il y avait toujours quelque chose à faire ! ce n'est pas contre toi que j'en ai mais contre moi surement ... C’est ce qui arrivait souvent au victime. J’avais vu ça dans des séries policières. « Pour ta gouverne, je n’ai pas pitié de toi. Tu es mon amie et il y a quelque chose à faire. Arrête de mettre la faute sur toi. Tu n’as rien fait. » Pourquoi elle se faisait souffrir à ce point-là ?! J'étais dans la rue, je rentrais à mon appartement quand on m'a tiré dans cette rue et violemment collé contre le mur ... J'ai voulu crié et il a mis un truc dans ma bouche et j'ai tenté de me débattre ... Il a frappé encore et encore avant de me dire que je lui avais fait du mal ... il a commencé à me déshabiller ! J'étais tellement mal, tellement désespérée... J'avais peur, tellement ... La voir pleuré rendant son récit encore plus accablant. J’étais encore plus en colère contre cette ordure. C’était dur à écouter. Elle avait été toute seule sans personne pour empêcher cela. Je me demandais comment j’arrivais à supporter son récit. on peut aller dans ma chambre ? Je ne savais plus quoi dire comme si j’avais momentanément perdu l’usage de la parole. J’acquiesçais de la tête et la suivait dans sa chambre. Pendant ce court trajet, j’avais eu le temps d’assimiler ce qu’elle venait de m’avouer. « Ofélia…je ne sais pas…enfin, c’est tellement horrible… Je… » Je passais pour un idiot, mais je ne savais pas quoi dire. J’aurais voulu être là et la défendre avant que ce connard ne la touche. « Comment tu t’en es sortie ? » C’est vrai ça ? Comment avait-elle fait pour lui échapper ? L’avait-il abandonné dans la ruelle ? L’avait-on aidé ?

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featuring Fée & WyattIl tente de me rendre ma bonne conscience de me rassurer mais là, ça me fait si bizarre d'en reparler, d'y penser si fortement que je ne peux pas me retirer mes idées noires de ma tête, rien à faire. Je continue mon histoire, mes lamentations par la meme occasion. Il est en colère, je le sens dans sa respiration dans ce que je vois quand je relève par instant la tête. je suis choqué de voir a quel point il peut être énervé par tout ça mais je sais qu'il est sincère quand il me disait qu'il tient à moi et donc que tout ça est insupportable pour lui. Je propose d'aller dans ma chambre et il accepte me suivant. Je ne parle pas jusqu’à ce qu'on se trouve en haut mais chacun de notre coté, on semble se rendre compte de la situation, lui semble entrain de se perdre dans un méandre de pensée malsaine, je ne sais guère plus de chose. A peine, ais-je réussi à claquer la porte. Je fonce sur mon lit, m'assoir et lui fit signe de s'assoir mais il semble préféré s'énerver debout : « Ofélia…je ne sais pas…enfin, c’est tellement horrible… Je… » Je baisse le regard, honteuse face à ce que je viens de lui raconter mais aussi qu'il soit perturbé par ça alors que ça n'a rien à voir avec lui, que ça ne devrait pas être un truc triste pour lui alors que je ne suis rien pour lui ; apparemment, une amie mais bon, rien en réalité ... Théo, c'est mon frère, il est mon ami Wyatt mais je ne sais pas comment expliquer, ça me fait mal d’être à l'origine d'une telle haine, d'une telle tristesse. « Comment tu t’en es sortie ? » Je revoyais les scène comme des flashback dans ma tête, je repensais à ça et mes larmes ne cessaient pas de couler, elles ne pouvaient que continuer à inonder mes joues. Je relevais la tête, fusillant son regard azur pour joindre nos lueurs différentes et se comprendre à nos signes. Il était entrain de m'achever ... Il me ... surmontait ... Il me faisait presque mal alors que je n'étais pas vierge pourtant puis il m'a prit par ... enfin sans commentaire, je peux pas le dire comme ça et j'ai tenté de crier mais il a remit bien le morceau de tissu dans ma bouche mais il y a ce mec je crois .. inconnu qui est passé et qui m'a sauvé mais j'avais tellement peur que quand il a approché après avoir frappé l'autre que j'ai reculé encore et encore .... Je soupire de déception et pleure encore. Ma voix est tremblante : J'ai vu mon bourreau partir et me menacer qu'il nous retrouverait lui et moi ... L'homme a commencé à s approcher, voulant m'emmener à la police, à l’hôpital, je sais plus, j'étais perdue alors j'ai fui ... j'ai couru à moitié nu ... j'me suis réfugié chez moi, m'enfermant dans ma chambre et ... Je rougis, j'ai tellement honte de ce que j'ai fais après ça, ce que je vais dire, tellement honte que je bloque d'un coup manquant de m'étouffer au passage. J'ai pas porté plainte, j'ai tout lâcher, je me suis allongée pendant une durée qui fut interminable ... c'est ma meilleure amie qui me harcelait les premiers jours qui est venus et m'a découvert traumatisé, je voulais rien dire, je jouais la comédie puis ma seconde meilleure amie est venue d'ici aussi ... c'était les seuls à savoir !

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