Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility"Someday I'll learn to love these scars Still fresh from the red-hot blade of your words" Dylan - Page 2
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"Someday I'll learn to love these scars Still fresh from the red-hot blade of your words" Dylan

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Mais merde mais pourquoi tu fais ça Dylan, pourquoi tu viens ici, dans cette état et tu la défend c'est pas possible, putain mais bordel de merde Dylan arrête. Je me retenais de pleurer comme je me l'étais promis, mais je pouvais pas pour autant ne rien faire. Ne pas réagir ne pas avoir de réaction face à tout ça, c'est impossible. Mais je pouvais rien faire même si je le voulais, je ne ferai rien. Je serrai les dents quand il pris avec aplombs sa défense après s'être excusé encore un fois. J'étais près de lui, mais je sentais bien que je l'avais perdu de toute façon, maintenant que j'étais au courant de tout, il ne m'écouterai jamais. J'avais enlevé mes mains de son corps, de son visage tellement il me faisait pitié, à traîner aux pieds devant une femme comme ça. Il lâcha mon regard pour avoir un air plus déterminé, je comprenais plus rien, pourquoi il se faisait tout ça. Fallait que j'évacue, que je fasse quelques chose. Je me redressais d'un coup, c'est donc ça qu'il aimait? Alors se faire battre être au pied de sa femme comme un chien? A répondre comme un chien et rester attacher. "Bien sur que je vais arrête, tu préfère que que je te rabaisse c'est ça? Tu préférerai que je te frappe? Pour te faire entendre raison? Mais nan ça marcherai même pas? Mais tu veux vraiment que je te dises Dylan? T'es pas de couilles, si ce n'est que de venir chez moi pour venir chercher de l'aide, et autre t'en veux même pas? Je vais pas jouer l’infirmière alors que c'est un psy qu'il te faut..." Je tenais plus en place, je tournais autour de lui comme un loup devant sa proie, les poings serraient, les dents lui contre l'autre. Je bouillonnais intérieurement. "Je t'aime peux être pas comme elle, mais je t'aime quand même, tu m'entend? Je tiens à toi? Il faut que je fasse quoi pour te faire entendre raison, sur elle? Que je te frappe autant que je tiens à toi? C'est ça..." Je pris le premier objet qui venais ouai on aurai pus croire que j'allais le frapper avec mais jamais je l'aurai fait. Le verre traversa la pièce pour s’écraser contre le mur plus loin. Je me rendais même pas compte de ce que je lui disais, je me livrais rarement sur mes sentiments amicaux et encore moins par la violence. Plus il avançait et plus je marchait près de lui pour finalement laisser aller mon poing dans le mur. "Putain de merde Dylan, mais réveille toi." Criais je sur lui. Le prenant par les épaules et l’amener à ma hauteur, qu'importe si ça lui faisait mal, qu'il fallait que je le porte du haut de mes quarante huit kilos, j'avais trouvé cet adrénaline en moi, comme l'avaient fait ces mères pour sauver leur enfants coincé sous un objet impossible à soulever. J'avais le cœur qui battait à cent à l'heure, de cette colère qui m'envahissait. "Je t'en pris fait quelques chose, réagis mais arrête de te faire marcher sur les pieds, elle va te tuer." Dis je finalement d'un voix calme, yeux dans les yeux, à quelques centimètres l'un de l'autre. Je lâchais finalement les premières larmes depuis des semaines. "J'en pas envie de te perdre." Dis je faiblement, pour finalement déposer mes lèvres sur ses lèvres, elles étaient froides comme lui, comme le reste de son corps.
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L'étudiant en informatique avait totalement perdu pied, il était comme un être désarticulé, une marionnette dans laquelle on pouvait donner un nombre inimaginable de coups de pieds. Et même cela ne le ferait pas bouger. Il avait commencé à trembler comme une feuille, étourdi par l'émotion, son cœur battait si fort, tellement fort. Il avait l'impression de mourir sur place. Alicia s'était écarté. Il ne comprenait plus ce qui se passait. Il l'avait dégoûté, elle ne parvenait pas à comprendre sa logique. Mais au fond qui pourrait comprendre qu'il était totalement attaché à une femme qui le brutalisait sans cesse. Et c'était normal car personne n'était dans son esprit, personne n'avait entendu les excuses et les pleurs de gloria après chacune de leurs entourloupes. Il n'y avait que lui qui pouvait se rendre compte de tout cela, lui qui avait épousé cette écrivaine de renommée internationale. Et puis, il avait pas le droit de gâcher la vie de cette femme, celle de son fils, celle de son père et de sa mère rien pour lui, ce serait de l'égoïsme total. La famille Keynes comptait sur lui pour porter sur ses épaules le poids de l'image parfaite qu'ils devaient tous renvoyés. Il s'était longtemps battu pour qu'aucun média ne soit mis au courant de l'alcoolisme de son épouse... Et de ce qu'il se faisait subir lui-même. Cela n'avait pas été facile tous les jours. Il ne parvenait plus à parler tandis qu'Alicia plongeait dans une colère certaine. Elle s'était levée, avait attrapé un verre qu'elle lança. Dylan était tétanisé, les yeux écarquillés. Son cœur avait manqué un battement. Il affichait cette crainte intense dans les yeux, cette crainte qu'il avait à chaque fois que gloria entrait dans une colère noire. Les larmes commencèrent de nouveau à couler le long de ses joues pales et abîmées.
« Non... » dit-il à ses questions. Comme s'il pouvait réellement croire qu'elle allait le frapper, elle, son amie qui quelques secondes plus tôt lui avait délicatement débarbouillé le visage. Elle hurlait sur lui. Elle hurlait et il se recroquevilla dans la couverture. Il se recroquevilla comme un enfant se cachant d'une vilaine marâtre aux instincts malsains. Le jeune homme ferma même les yeux, totalement tétanisé. Il n'avait jamais été dans cet état, même chez lui. C'était le summum. Les mots violents d'Ali avaient heurté son cerveau comme des missiles. Il avait envie de hurler, se noyant dans ses larmes de plus en plus présentes. Ce qu'il devait être pathétique : une créature fragile que l'on avait plus qu'à piétiner. Et soudain, il sentit les mains d'Alicia. De son petit corps frêle, elle avait réussi à la forcer à se lever, lui qui devait peut-être faire près du double de son poids. Il la regarda étonné, s'agitant brusquement. « Elle m'a promis qu'elle arrêterait de me faire mal...qu'elle me frapperait plus comme ça... mais elle est colérique. Je tiens à elle, c'est ma femme, je l'ai épousée... »finit-il par chuchoter, tout doucement. Oui, Gloria lui avait promis, cette fois comme elle l'avait fait toutes les fois précédentes. Comme lorsque le couple avait eu cette discussion durant laquelle elle avait dit qu'elle irait soigner ses problèmes d'alcoolisme. Elle l'avait fait, ça n'avait duré qu'un mois avant qu'elle ne sombre de nouveau dans ce vice. Le regard de notre jeune homme se retrouva prisonnier de celui d'Ali et dans la voix de son amie il pouvait reconnaître tout l'attachement qu'elle avait à son encontre. « Je tiens à toi aussi... » souffla-t-il. Oui, il tenait à beaucoup de monde, même à Gloria. Sinon cela ferait longtemps qu'il aurait franchi le pas entre la vie et la mort. Ce pas qui était si faible et qu'il pourrait traverser à chaque fois qu'il se faisait du mal. Il suffirait d'appuyer un peu plus fort sur le lame ou à un autre endroit. Il suffirait d'avoir une seule seconde le réflexe et le courage de le faire. Mais il ne le faisait pas. Car des gens semblaient l'aimer. Gloria, Peter, Ali... Swan aussi. Swan qui le caressait si bien quand il allait mal. Il regardait Ali tellement intensément et lorsque les lèvres de la jeune femme vinrent se poser sur les siennes, il frissonna. Il frissonna de tout son être, mais se laissa faire, profitant. C''était comme un électrochoc, quelque chose avait explosé dans son esprit, il avait la sensation d'être subitement libéré d'un poids, d'un poids très lourd. Lorsqu'elle s'écarta, il passa une main sur la joue de la demoiselle, essuyant ses larmes du pouce. Elle était si belle, elle n'avait pas le droit de pleurer, pas pour lui. Il lui envoya un tout petit sourire, mais un sourire tout de même, avant de déposer un baiser contre ses lèvres, un petit baiser très chaste, mais tout de même. Cela lui faisait tellement de bien.
« T'as raison, j'ai pas de couilles. Je sais plus ce qui est bien ou mal pour moi-même. Y a que Peter qui compte. Tu crois honnêtement que j'ai encore le droit de vivre ? » finit-il par demander. Tout le problème était là. Il l'avait dit. Il n'avait pas le courage de vivre. Il pensait à la mort et à tout ce qui l'entoure. Même s'il ne franchissait pas le pas. Par amour.
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Je faisais n'importe quoi, je lui hurlais dessus, s'étais tant pas plus pour le secouer que pour lui dire que je tenais à lui, à notre amitié, et que dans le fond je savais que d'une quelconque façon je l'aiderai, en bien ou en mal, mais je l'aiderai. Mais pourquoi, j'étais devenue aussi folle que ça? Devant lui qui devait certainement subir ça toute la journée, certainement. Je l'agrippais fermement, contre le mur, là où j'avais tapé de mon poing, un poing qui était devenue rouge, comme le reste de mon corps par la colère que je rejetais entièrement sur lui, alors que s'était à elle que je devrais être comme ça face à elle. Quand il pris encore une fois la défense de sa femme je fermais les yeux pour ne pas l'entendre, ça faisait tellement mal de l'entendre dire ça, mais pourquoi il ne pouvait pas se trouver quelqu'un de bien, quelqu'un de son âge. Et dans le fond je savais que je posais mes lèvres sur les siennes s'était plus pour le faire taire, qu'autre chose, s'était plus dans le feu de l'action que j'avais été poussé à faire ça. Mais ce contact était tellement étrange, j'avais jamais ressentit ça, ce baissé avait beau être innocent pour moi, il était intense, d'une rare intensité, même s'il était une totale surprise et j'étais encore plus surprise qu'il me réponde. J'avoue que ça m'avais beaucoup aidé à me calmer mais ça n'avait duré qu'un instant. Pourquoi j'avais fait ça? S'était totalement stupide de ma part, je m'écarta mais il vint déposé son pouce pour essuyer mes larmes, et finalement déposer un baiser. Il repris la parole et ça me fis l'effet d'une bombe mais pourquoi il disait ça? Il avait tout autant le droit que moi ou que sa femme que vivre. Je pris doucement son visage dans mes mains pour y déposer mon front sur le sien. "Dis pas ça Dylan, arrête. J'essaie doucement de me relever je sais que tu peux le faire aussi." Il n'était pas au courant du pire et je ne voulais pas qu'il le soit comme personne d'autre ici. "T'as Peter et je suis là moi aussi, tu peux pas nous laisser Dylan tu m'entend, tu peux pas." Et de toute façon ça n'arrangerai rien, car un homme qui se suicide avec le corps rempli de bleu et de cicatrice il y aurai une enquête et ils trouveront forcement ce qu'il s'est passé en amont.
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Dylan était si fébrile, tellement que le baiser échangé lui avait fait se sentir mieux. C'était comme une sorte de bond qui avait u lieu dans sa poitrine. Si Ali avait voulu plus, il lui aurait donné plus. D'ailleurs, il rougit un peu en baissant le regard. Il rougit parce qu'il était un peu gêné. Gêné de ce baiser échangé, alors qu'il était un homme marié, mais surtout gêné de d'être ainsi dévoilé. Alicia savait à présent tout de lui : qui il était, ce qu'il vivait, quelles étaient ses craintes. Et bien plus encore. Elle avait le courage et les moyens de l'ébranler. Un mot de sa part et il parlait. Elle avait eu l'audace de jouer franc jeu combien même il avait pu être tétanisé, effaré face à la colère dont elle avait fait preuve. Mais elle semblait s'être apaisée et alors qu'il la regardait laissant échapper un petit sourire, c'était avec détermination, mais douceur qu'elle lui parlait. Elle tenait son visage entre les mains, sans lui faire de mal, juste pour lui prouver qu'elle était là. Elle avait raison, elle était en train de se reconstruire. Mais il y avait une différence entre eux c'était qu'avant de se reconstruire, Dylan devait détruire toute sa vie passé. Et cela lui paraissait impossible. Se séparer de sa femme... Et quoi d'autre... Demander la garde exclusive de Peter ? Non, cet enfant n'avait pas le droit d'être ainsi cerné entre ses parents.
« Je ne le ferais pas... je suis pas assez courageux... Tu l'as dit toi-même. » déclara-t-il. Elle l'avait dit il avait pas les couilles pour vivre, alors pour mourir ! Il poussa un petit soupir. « Je sais plus ce que je dois faire... je veux que tout soit au mieux pour tout le monde, tu sais ? » souffla-t-il doucement, complètement étouffé et fatigué par les émotions qu'il venait de souffrir.
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J'avais beau essayer d'aller de l'avant, d'avancer il y avait toujours quelqu'un quelques chose qui me retenais au passé. Mais pourquoi s'était toujours la même chose? Je savais que s'était une erreur de l'embrasser même si avoir ses lèvres contres les miennes étaient un véritable délice, qui me faisait sentir comme sur un nuage, mais ça me ferai pas avancer pour autant et lui encore moins. Puis je repensais à ce que je lui avais dis mais pourquoi j'avais dit ça aussi? Alors que j'en pensais pas le moindre mots, s'était ignoble comme sensation. "Arrête Dylan, si je t'avais dit que s'était mieux pour toi de nous quitter tu l'aurai fait. Alors arrête de dire n'importe quoi. Mais je t'en supplie fait quelques chose, tu peux pas rester comme ça, ni pour toi ni pour Peter. Même si ça veux dire te couper de Peter pendant un certain, ça sera dure, mais tu peux pas le laisser te voir comme ça, pas de cette façon, Dylan. Et si tu nous quitte tu crois vraiment que Peter sera moins malheureux que si tu partais quelques temps. Je serai toujours là pour m'occuper de vous..." Je fermais les yeux je savais que j'allais rompre une promesse que je m'étais faites, et la pilule avait du mal à passer, je déglutis avant de continuer. "...Je te promet de toujours être là pour vous deux, quoi qu'il arrive." Je voulais qu'il le comprenne et qu'il m'appel s'il avait besoin de moi dans n'importe quelle situation, même si j'allais avoir du mal à me relever avec ça c'est certain, mais j'étais persuadé que j'allais y arriver que je pouvais le faire. Je lâcha son visage pour le prendre par la main, les saignements s'étaient stoppés, mais je ne savais pas quoi faire mis à par lui mettre de la crème ou de la glace sur ses bleus, je l'emmenais faire le lit pour l'allonger. "Allonge toi je reviens." Dis je lui reposant un baisé sur le front pour finalement prendre des glaçons au frigos et la crème contre les hématomes. C'est pas ce qui lui fallait mais c'est tout ce que j'avais ce soir. Il était sur le lit, j'espérais simplement qu'il n'est rien de cassé, pas de côtes, rien, sinon ça serai l'hôpital directement, et tant pis pour Gloria. "Prend ça et met ça sur ton visage." Dis je en lui tendant un gants que j'avais trempé, le froid lui ferai du bien. Puis je posais mon regard sur son torse, il y en avait de pardon, des petits des gros, ça m'arrachait le cœur de le voir comme ça ainsi dévêtue aussi meurtri. Je ne pouvais même pas me mettre au dessus de lui de peur de lui faire mal, nan je m'étais assise à côté de lui pour commencer à lui étaler la créme et poser quelques glaçon sur les parties les plus enflés mon dieu j'étais perdu.
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Dylan ne put retenir encore une larme. Alicia avait raison, si elle lui avait fit qu'il n'avait pas le droit de vivre, il se serait supprimé. Il n'aurait pas hésité, il aurait écrit un mot à ses proches, pour mentir, pour cacher les raisons de son geste. Il aurait trouvé quoi dire avant de partir pour toujours. Avant de quitter ce monde trop incompréhensible où il n'aurait plus sa place. N'importe qui lui dirait de le faire, Gloria par exemple, dans un élan de fureur, et il l'aurait fait. Il serra ensuite très fortement son ami dans ses bras, très très fortement. « Je suis tellement désolé Ali, tellement... Je suis comme ça et je te remercie tant de m'accepter... Même si j'ai du travail à faire sur moi, même si je suis perdu. » Il la serra encore plus combien-même cela lui faisait du mal physiquement, c'était si bon psychologiquement. Surtout après ce doux baiser qu'ils avaient échangé... Ce baiser qui avait produit en lui tout un émoi. « Merci d'être là... » Il aurait voulu la tenir encore longtemps contre lui, mais il se décida finalement à la lâcher, laissant un cri s'échapper de nouveau, comme si quelque chose venait de se déchirer. Il posa une main contre son torse nu -la couverture était tombé depuis bien longtemps sur le sol. « Aoutch... » souffla-t-il. Il ferma un instant les yeux, avant de s'installer difficilement à l'endroit indiqué par la demoiselle. Il tenta de se mettre à son aise le temps que son amie était partie chercher de quoi essayer de le « réparer ». Mais c'était une véritable épreuve. Le Dunster ne bougeait plus, car chaque mouvement était douloureux. Finalement, Alicia revint et il lui obéit, se saisissant du gant humide et froid qu'elle lui avait tendu pour le coller à son visage déjà bien moins boursouflé qu'auparavant. Cela lui fit beaucoup de bien.
Ali semblait ensuite perdue face à son corps tout bleu. Oui, les hématomes avaient de telles tailles qu'on aurait dit un schtroumpf. La demoiselle entama de le recouvrir de crème, très doucement. Ce contact le fit frémir encore davantage que le baiser, jusqu'à ce qu'elle n'appuie malencontreusement plus fort. Il sursauta, comme pris d'une convulsion. Il s'extirpa difficilement du lit avant de rouler sur le sol et de marcher à quatre pattes. « Où sont tes toilettes ? Je crois que je vais vomir... » dit-il, très pâle.
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Il me serrait dans ses bras, j'essayais de faire en sorte d'avoir le moins de contact possible contre sa peau, pour ne pas lui faire mal, parce que un sac d'os contre un corps plein d'hématome c'est loin d'être très agréable aussi bien pour lui que pour moi, il était le premier homme que je serrais contre moi, le premier homme torse nu, à me prendre dans ses bras depuis longtemps, et ça faisait du bien, de se sentir protégé. Je l'écoutais, pinçant un sourire, mais pourquoi s'excuser, ça ne servait à rire. "Je t'ai dis d'arrêter Dylan, ne t'excuse plus, pour quoi que ce soit, pas devant moi, d'accord? C'est la dernière fois? Il n'y a que les faible qui s'excuse. J'en suis et j'essaye de le changer, on changera ça ensemble." Je commençais à délirer, à raconter n'importe quoi. Fallait que j'arrête mais il devait arrêter aussi de s'excuser, je tiendrais pas si non face à tout ça. Je le dirigeais vers le lit pour lui étaler la crème, s'était pas sans douleur, ça s'entendait ça se voyait, je voulais pas l'emmener à l'hôpital, mais s'était certainement le meilleurs choix. Je lui lui étalais la crème, un peu perplexe quand même, ça trottait dans ma tête, comme un truc qui raison de façon interminable, cette voix qui me disais que je faisais un connerie et celle qui s'inquiétait toute seule, celle qui avait pris le dessus ces derniers mois. Non il ne fallait pas pas maintenant, déjà que j'allais me remettre à l'aider, j'aurai pas duré longtemps, même pas un mois, ça devait vraiment être ancré en moi cette putain de connerie d'aide à la personne. Je réfléchissais à tout ça et bien sur je n'avais pas fait attention, j'avais appuyé plus fort qu'il ne le fallait. Il se tordait de douleur pour atterrir au sol, à quatre patte. Je sautais de ma place pour aller chercher un bassine, je devais bien en avoir une. "Putain, putain, putain..." Je cherchais, cette bassine comme une folle, pour finalement trouver un saladier, tant pis ça ferai l'affaire. Je revenais auprès de lui, pour lui mettre sous le visage, j'étais pas la copine qui tenais les cheveux en soirée d'habitude, j'étais plus du genre celle à qui on tenait les cheveux, les vomitos s'étaient pas mon truc, mais là, j'y pensais même plus, ça ne me venais plus à l'idée. Nan en fait j'y arrivais pas, j'avais beau me retenir, ça allait pas être possible. je déposais le tout au sol, s'était ridicule, ouai mais là j'y arriverai pas. Je m'écartais un peu pour ouvrir les fenêtres. Je voyais mon portable, ouai j'avais plus le choix là. Je le saisi pour noter un numéro et prendre la direction de la porte. "Je reviens." Je m'adossais à au mur du couloir, il m'en voudrait c'est certain mais je faisais ça pour son bien, c'est tout ce que je me disais. "Allo, oui bonjour, j'ai besoin d'une ambulance, à la sur le campus, au résidence, vite, j'ai, j'ai un ami mal en point, faite vite je vous en pris...." J'écoutais même pas ce que l'interlocutrice me disais, trop paniqué d'un seul coup, comme si parler à quelqu'un d'autre, m'avait faire perdre tout mes moyens, et même si à l'autre bout du fil elle tentait de me rassurer j'y arrivais pas. "...Au résidence universitaire, je vous attendrais dehors." Je resta un instant après avoir raccroché, elle m'avait dit dix minutes, mais est ce qu'au moins je pourrai tenir? Tenir sans lui dire ce que je venais de faire. Je retournais dans la chambre, une idée m'étais venue rien qu'en passant la porte, t'façon j'avais pas parlé fort, même paniquée, je savais me faire discrète. "J'ai un ami en médecine Dylan, il va venir nous aider,..." Dis je en m'approchant près de lui. "... je peux rien faire, là. Il arrive bientôt je vais aller l'attendre en bas." Je déposa un baissé sur son front, j'avais honte de faire ça dans son dos, mais là s'était trop, j'avais pas le choix. "Tu bouge pas." Je me redressais, pour lui tourner le dos nan il n'allait pas bouger et quand bien même, jamais il n'arriverai à atteindre la porte avant que je remonte, avec l'équipe de secours, dos à lui je fondais en larmes en silence, pour prendre la direction de la sortie de la Quincy, fallait que je fume, tant pis si je devais être à l'hôpital sous Marie Jeanne il me fallait un joint, je fouillais dans mes poches, par chance j'en avait un de roulé. Dehors je faisais les cent pas à attendre qu'ils arrivent tirant comme un folle dessus, ça me faisait mal à la tête, ça m'arrachait la gorge, mais ça me faisait tellement bien. Après quelques taffe, j'en avait fumé déjà les 3/4 en à peine cinq minutes j'étais pied nue dehors, en débardeur en pantalon de pyjama que je voyais les sirènes lumineuse au loin, j'éteignis le joint au sol le balançant un peu plus loin. J'étais dans un état déplorable. Mais ils arrivaient enfin, je les emmenais directement sans parler, je pouvais même pas le faire, jusqu'à la chambre, j'ouvrais la porte Dylan n'avait pas bougé. Je m’effondrais sur le sol du couloir, je pleurais je m'en voulais de lui avoir fait ça dans son dos, même si s'était pour sa sécurité, pour sa vie.
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L'étudiant en informatique avait hoché la tête de façon négative lorsque Ali tenta de le faire promettre que plus jamais il ne s'excuserait devant elle. Il savait que c'était impossible, cela faisait trop d'années qu'il prenait les choses comme si elles étaient toutes de sa faute et qu'il s'excusait sans cesse. Encore un peu, il s'excuserait de respirer, c'était d'ailleurs sans doute ce qu'il faisait de temps en temps. Même souvent au fond. Il y pensait tout en sentant les mains d'Ali lui passer de la crème sur le corps. Jusqu'à ce que la douleur lui donne un sursaut et qu'il ne ressente le besoin pressant de vomir. Il voyait flou, vraiment flou. Certainement la douleur qui le rendait fou, qui le faisait se sentir fiévreux. Ou alors le fait qu'il avait, quelques minutes plus tôt, traversé la ville en t-shirt et pieds nus par ce froid. L'hiver avait commencé et il n'avait pas eu d'intérêt à faire cette bêtise. Mais il était terrorisé, et complètement paumé, il voulait juste fuir. Ce n'était plus arrivé depuis des lustres que Gloria le mette dans un état pareil. Récemment, elle était plutôt du genre à lui hurler dessus et à le pousser à se sentir minable, le tirailler par l'esprit. Mais cela faisait un bout de temps qu'elle ne l'avait pas frappé si fort. Là, elle avait eu un gros boost d'adrénaline sans doute pour se saisir de cet objet et démonter ainsi son cher mari. Il se sentait comme s'il n'avait plus de corps tant la douleur avait dépassé le seuil de la tolérance. Quelque chose avait dû se déplacer à l'intérieur de lui... Il paniquait. « Je vais vraiment le faire... j'ai pas envie de dégueulasser ta chambre... » souffla-t-il en se retenant les tripes, devenant de plus en plus pâle, subitement. Mais Ali eut la bonne et rapide idée de lui tendre un saladier que notre jeune homme eut tôt fait de remplir. L voulut ensuite parler pour remercier la demoiselle et la rassurer, mais il dut se résoudre à remplir de nouveau le saladier à la place. C'était vraiment pas terrible à voir, d'autant plus qu'il ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Il avait froid, de plus en plus froid. Ce n'était pas une sensation agréable, il se sentait sale, nauséeux... S'il fermait les yeux, il s'endormirait, c'était certain. Mais se réveillerait-il ? Il tourna la tête vers Alicia qui avait quitté les lieux. Un ami en médecine ? Bien, okay... Dylan hocha la tête en signe de réponse, avant de venir se placer dos au mur. Ce n'était pas du tout une position douillette et confortable, mais il avait du mal à faire mieux. De toute façon, vu comme il se sentait mal, ce n'était qu'un petit détail. Il ferma les yeux, profitant du silence, se massant un peu le torse pour apaiser la douleur. C'était une douleur étrange car il ne parvenait pas à cibler exactement d'où elle venait.
Il ne pourrait dire combien de temps Ali s'était extirpé au dehors, ni ce qu'elle avait fait, mais il ouvrit les yeux en entendant des voix inconnues. Il n'en croyait pas ses oreilles et ses yeux. Des secouristes venaient d'entrer dans la chambre, l'un d'eux s'était accroupi à côté de notre Dunster, regardant les dégâts sur le jeune homme avec une sorte d'horreur dans le regard. Dydy bougea sur le côté. « Oh non... »souffla-t-il. Son amie avait fait venir les secours... Il ne savait pas s'il lui en voulait ou pas, elle avait fait ce qui lui paraissait être juste certainement, mais... mais il ne voulait pas se rendre à l'hôpital. « Je veux pas... » dit-il. Un des secouristes essaya de le calmer, lui parlant délicatement tandis qu'il l’auscultait. Un des deux appela Ali pour lui poser des questions. Et Dylan eut le temps de lui envoyer un regard plein de désespoir. Fallait qu'elle voit dans quel état elle le mettait, cela risquait d'empirer les choses. Et surtout il avait peur de ce qu'elle leur disait. « Je peux parler vous savez... » dit-il fébrilement à l'attention des deux hommes chargés de s'occuper de son cas. Il savait dire ce qu'il avait et combien de fois il avait vomi lui-même... L'un d'eux lui sourit, toujours dans cette approche stupide de le tranquilliser certainement. « On va vous emmener à l'hôpital, vous devez passer des scanners... » expliqua-t-il à Dylan qui se brusqua, fuyant la situation au risque de se faire plus de mal. D'ailleurs ce fut avec souffrance qu'il se leva pour prendre la porte, mais que l'un des ambulanciers le rattrapa aussitôt, car il n'avait pas fait deux pas sans tomber de douleur.  «J'ai pas besoin d'aller là-bas, ça va passer.... » expliqua-t-il sans qu'on ne l'écoute car il était à deux doigt de perdre connaissance. Gloria l'avait pas loupé.
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Il était au sol à quatre pattes à croire, qu'il ne faisait que ça chez lui je ne le supportais pas de le voir dans cet état, s'était insoutenable, il ne voulait pas salir, mais je m'en fichait pas mal, qu'il salisse tout, au pire je nettoierai c'est pas grave, ça serai pas la première galette ici, mais ça devait être la dernière, oui il le fallait, il fallait que la prochaine soit dans un appartement ou dans ma futur maison mais plus ici, j'en pouvais plus d'être là dans cette pièce de quinze mètres carré à vivre comme un lion en cage. "C'est pas grave." J'avais apporté ce qu'il fallait, mais je pouvais pas rester à ses côté s'était trop dure, de le voir souffrir ainsi, mais pourquoi s'était aussi dure de le voir comme ça? J'avais appelé les secours, je pouvais rien faire d'autre de doute façon, je voulais pas qu'il me claque dans les mains, que je n'ai rien pus faire que je n'ai rien pus fair pour le sauver, c'est pas avec de la crème que j'allais le guérir on est pas dans les conte de fée ici, c'est la putain de réalité. "Putain de réalité de Merde." Je pestais toute seule dans le couloir de la Quincy, j'avais du mal d'attendre d'être dehors pour allumer mon joint, mais déjà que Neva m'avait tout supprimé, j'allais éviter de me faire griller, dans la Quincy, avec autant que j'aille dehors. Même si ça me détendais, enfin s'était censé le faire, mais ça ne faisait rien j'étais toujours aussi tendu, il n'avait même pas d'effet, en même temps depuis le temps qu'il était là celui là, il avait du perdre la moitié de ses effets. Finalement les secours arrivaient trois jeunes, qui semblait bien connaître leur travail, à un truc près il n'avait pas pris de brancard, c'est certainement parce que je n'avais rien dis sur l'état du jeune homme qu'ils n'avaient pas pris le nécessaire. J'étais perdu, je voulais à la fois cogner les murs, et m’effondrer au sol c'est d'ailleurs ce que je fis en arrivant devant ma chambre, j'avais pas pus entré, tellement s'était dure de le voir, dans cet état, je pouvais pas. S'était trop dure. J'avais le cœur qui battait à cent à l'heure, je poussais des gémissement de tristesse, comme jamais il ne m'était arrivé d'en avoir. Un des ambulanciers était là, accroupi à mes coté mais je ne pouvais pas bouger, je n'arrivais pas à me calmer, j'avais le corps de mon ami dans la tête sous les yeux, même si je fermais les yeux, même si je secouais la tête, j'avais cette vision d'horreur sous les yeux, ce corps meurtri, qui me donnais des frison rien que d'y penser. Je me réfugiais dans les bras de l'homme à mes côtés, je pensais même pas que le fait de me poser contre lui, avoir son épaule pour pleurer, me risquait à moi aussi un séjour à l'hôpital, on sentait mes os de partout, il pouvait faire ce qu'il voulait, de tout façon là s'était trop tard pour que je refuse ou que je m'accroche à quoi que ce soit. Après plus de cinq minutes, je réussissais à me calmer, et à me redresser, il voulait me poser des questions je savais même pas ce que je devais dire. Entre temps j'avais croisé le regard de Dylan, ce regard qui vous fait perdre tout vos moyen, parce que vous savez que vous avez fait le bon choix mais que l'autre ne comprend pas, ce regard, qui peut tout changer. Mais s'était pour sa vie, il jouait avec sa vie, j'avais joué, avec la mienne et je ne voulais, pas qu'il soit pire que moi, même si déjà, il jouait beaucoup avec, mais le problème c'est qu'il n'étais pas seul. "Je .... Je sais pas ce qui s'est passé... III.... Il est aaa...arrivé, comme ça... En... Enfin avec du sang et et tout mais, j'ai neeetoyéee ave...c de l'eau, et après j'aiii mis de l...a cré...meee, mais il voulait vomir. Faut le sauver. Faut le réparer." Ouai ça y aie les effet de la beuh arrivaient à présent, et je ne pouvais rien faire pour contrer ça, peu être même que les ambulancier s'en apercevraient. T'façon j'avais pas la force de leur cacher. "Faut, le porter , 'l'peut pas marcher..." Sous entendus il lui faut un brancard, mais j'avais pas remarqué qu'il y en avait déjà un qui été parti le chercher. Bien sur, il y avait toute la Quincy dans le couloir, ils nous regardaient tous. Mais j'avais qu'une chose en tête la santé de mon ami, qu'il revienne comme avant, mais plus rien ne serai comme avant. "Madame vous avez une voiture." "Mais nan j'ai pas de voiture, et j'ai fumé." Je disais n'importe quoi, tout le monde serai au courant, Neva prochainement, enfin fallait déjà qu'ils comprennent tous autant qu'ils sont. "On va vous emmener avec nous. Mais vous êtes de la famille? " J'allais secouer la tête, pour dire non, mais en passant, mes mains sous les yeux pour essuyer les larmes qui coulaient et répondre calmement. "Je suis sa petite amie." J'avais pris une grand inspiration pour dire, ça je savais pas ce qui m'avais pris mais je l'avais dit, tant pis, au pire si Gloria l'apprenais, elle nous tuerai tout les deux. On pris la direction de l'ambulance, une fois que Dylan était prés à être transporté. Je m'installais à ses côtés des l'ambulance, je lui avais pris la main, j'avais pas remarqué que mon autre mienne était en sang, à cause du mur, mais je ne ressentais aucune douleur. Main dans la main les yeux dans les yeux, j'arrivais pas à le lâcher, maintenant, je savais que j'avais la pire erreur de ma vie et que le pire allait commencer. Harcèlement, pression, c'est maintenant que j'allais avoir besoin de mes amis.
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