Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility"Someday I'll learn to love these scars Still fresh from the red-hot blade of your words" Dylan
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


"Someday I'll learn to love these scars Still fresh from the red-hot blade of your words" Dylan

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais beau essayer de tourner la page, enchaîner les soirées, reprendre les cours, revivre à peu près normalement, mais quand je me retrouvais ici dans cette pièce vide, j'avais plus rien, si ce n'était mes feuilles, mes cours, mon lit mes quelques fringues une serviette, le nécessaire de toilette. J'avais tout enlevé, même Meeko semblait aussi triste que moi de ne pas retrouver tout ces objets d'avant, mais on allait partir pour une nouvelle vie tout les deux, j'allais bientôt avoir mon nouvel appartement. J'avais ne serai ce qu'un peu besoin de changement, et mon physique n'était pas suffisant, même avec vingt kilos en moins, une nouvelle coupe et couleur de cheveux et un nouveau style vestimentaire ça ne suffisait pas. Il fallait que je quittes ma chambre étudiante pour ça, ça allait faire bizarre mais il me fallait vraiment un endroit rien qu'a moi, où me retrouver, me ressourcer loin du campus. Mais ce n'étais pas pour tout de suite, déjà parce que j'avais pas encore signée de baille mais aussi par ce que je n'avait pas encore les meubles à mettre dedans. Enfin bref j'étais prête à partir d'ici les prochains jours et j'en avais la ferme intention. J'avais mis un peu de musique et je jouais avec Meeko sur le sol, je l'avais un peu délaissé ses derniers temps et il me l'avait bien fait ressentir, mais j'avais eu de la chance qu'il ne soit pas partit. C'est à ce moment là que j'entendais frapper à la porte, je savais pas qui s'était mais si quelqu'un venait dans cet chambre s'était pour me voir tel quel et pas pour quoi que ce soit. "C'est ouvert entre."
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dylan se regardait dans le miroir, il avait une tête à faire peur à un mort. La lèvre fendue, des bleus sur le visage, des égratignures. Il souleva son t-shirt afin de voir son torse, couvert d'hématomes qui le faisait souffrir. Cela faisait longtemps que Gloria ne s'était pas tant énervée. Elle avait attrapé le premier bibelot qui traînait pour le frapper, folle de rage... Tout cela parce que Dydy était rentré un peu trop tard ce jour-là. Elle avait beaucoup bu, n'avait pas avancé son roman et son éditeur lui avait fait des misères. Autant dire qu'elle avait passé une mauvaise journée et que, malgré le fait qu'elle tenait à peine sur ses jambes, elle l'avait pris par surprise, et avait frappé fort. Dylan avait juste voulu la prendre dans ses bras pour la rassurer, mais elle l'avait si subitement poussé à terre. Il ne savait même pas avec quoi elle avait bien pu le battre ainsi... Mais à la fin, elle s'était excusée, en pleurant, alors qu'il avait du mal à reprendre ses esprits. Il s'était écarté d'elle et s'était dirigé tant bien que mal vers la salle de bains, un endroit où s'enfermer. Un endroit pour se faire du mal. Méritait-il tout cela ? Oui, certainement. C'était encore de sa faute. Toujours. Il se laissa tomber sur le sol, les larmes roulant sur ses joues. Il était perdu, à deux doigts de faire une bêtise. Même à un doigt. Il entendit des pas s'approcher, c'était Peter. « Papa ? » demanda-t-il en entrouvrant la porte. Le regard du père croisa celui de l'enfant et Dylan vit son monde s'effondrer. Il ne fallait pas que Peter le voit ainsi, non ! Alors il se releva titubant et traversa les couloirs jusqu'à la porte d'entrée de la maison. Il faillit tomber plusieurs fois, mais il sortit des lieux afin de marcher n'importe où. Dylan ne savait plus où aller... Il avait vraiment besoin d'aide. Au moins pour que Peter ne voit pas ça. Il se perdit dans la ville, ne sachant plus où se guider. Des passants s'écartèrent sur son trajet. Faut dire qu'il faisait pitié à voir, pieds nus, en t-shirt et le visage catastrophique,du sang lui coulant du nez, dans ce froid hivernal. Il se dirigea comme il put et ses pas le menèrent à la Quincy House. Alicia. Elle était au courant de ce qu'il se faisait lui-même subir... Elle pourrait lui offrir juste un peu de chaleur,juste une présence pour ne pas sombrer davantage. Il se faufila vers la chambre de la demoiselle en prenant soin d'éviter les regards. Les yeux au sol, il ne marchait pas fièrement. Et le voici qui frappait à la porte de son amie. Lorsqu'il entendit sa voix, il actionna la poignée et rentra dans la pièce. Et lorsqu'il fut là, il ne dit rien. Il aurait pu appeler à l'aide, faire un signe quelconque. Non, rien. Il ne fit rien car il ne comprenait même plus ce qu'il venait faire ici. Prendre la tête à quelqu'un de déjà si occupé et si... tourmenté.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'étais par terre à jouer, mais finalement quand je me retourner pour voir qui se présentait à moi, le temps s'était comme figé. Je perdis le sourire que je partageais avec mon petit animal, et lui aussi avait compris que quelque chose n'allait pas, et son miaulement résonna comme le fin de la partie pour finalement venir se mettre sur moi. Et moi je faisais quoi, je bougeais pas j'étais là béate à regarder la personne face à moi. Heureusement que j'étais au sol, si non je serai tombée, je savais pas quoi dire, pas quoi faire face à ça. Je détaillais chaque partie de corps, visible bien sûre, des fringues en sang, les lèvres gonflées, pareil pour les yeux, je le reconnaissais pas mais je savais qui s'était, mais pourquoi? Il s'était passé quoi? Pourquoi il était dans cet état. Je secoua la tête, nan je m'étais promis de ne plus me poser de question, de ruminer dans mon coin, il me dira s'il veut sinon tant pis. Mais là franchement, j'étais tétanisée face à mon ami, mais il fallait bien que je réagisse. Meeko s'écarta, et je me redressais sans un mot, pour finalement le prendre dans mes bras, j'me pinçais les lèvres, pour ne pas craquer face à lui pour être forte pour lui, il avait besoin de moi et je me devais de tenir de ne pas flancher. J'avais bien fait de ne pas partir, de rester ici et de ne pas l'abandonner. Mais le voir comme ça, ré-ouvrait des blessures que j'essayais de fermer. Je posais mon front contre le sien fermant les yeux. "Reste là cette nuit." C'est tout ce que j'avais dis, alors que j'aurai pus lui dire que j'allais prendre soin de lui directement, mais nan je voulais qu'il reste ici.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le jeune homme ne savait pas vraiment ce qu'il attendait en venant ici. Une présence ? Une main tendue ? Plus que tout cela ? Il ne saurait le dire, mais son regard était embrouillé par les larmes, et son esprit embrumé et paralysé par ce qu'il venait de subir. Et comme si cet affront, cette souffrance et cette humiliation ne suffisaient pas, bien qu'il l'ait très certainement cherchée et provoquée, son fils l'avait vu dans cet état. La pire des situations s'étaient déroulée ce soir-là. Et son regard s'était posé sur Alicia, qui aurait pu passer une soirée tranquille à jouer encore avec son animal de compagnie plutôt que d'avoir à faire à ce mort vivant. Car oui, il était tel un mort-vivant à traîner dans un monde qui n'était plus le sien depuis longtemps. Mais tous les efforts qu'il fournissait, ce n'était pas pour rendre son père fier, non, c'était pour Peter. Pour que le petit n'ait pas à rougir de son géniteur. Pour que le petit se sente bien, heureux et épanoui.
Lorsque son amie s'approcha pour le serrer contre elle et poser pourtant délicatement son front contre le sien, il ne put s'empêcher de laisser échapper un léger cri de douleur. Son torse couvert d'hématomes n'avait pas apprécié ce contact, qui le rassurait pourtant tellement. L'étudiant en informatique avait le regard vide, très vide, tandis que des larmes coulaient de nouveau. Tant pis s'il avait l'air si faible, si fragile. Cela ne changerait rien de d'habitude. Il était un moins que rien, Gloria le lui avait répété tant de fois qu'il le croyait vraiment. Ce n'était que pour Peter qu'il était un homme, une sorte de héros. Et il désirait le rester aux yeux de son fils. Il n'y a rien de plus beau que de vivre dans les yeux de son enfant. Même si la vérité se trouve dans la mort en réalité. Il ferma les yeux sous les mots prononcés par Ali.
« Je suis désolé... Je... C'est ma faute. Elle s'est énervée. C'est de ma faute, j'aurais pas dû arriver en retard... » dit-il. Ses paroles n'avaient certainement aucun sens aux oreilles de sa chère interlocutrice, mais il bafouillait, tentait de s'expliquer et surtout de se faire pardonner d'avoir troublé la quiétude de la demoiselle. Il hocha la tête de façon négative. « J'ai froid... » conclut-il finalement en se laissant tomber à genoux aux pieds de son amie, ne trouvant plus le courage de rester debout. De toute façon, il avait perdu toute sa dignité il y avait longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je comprenais pas ce qu'il se passait, je comprenais absolument rien de ce que se déroulais là, sous mes yeux. J'avais un ami en pleure, défiguré, plus que tabassé, abattu, et je réagissais pas, si ce n'était que je le prenais dans mes bras. Il était là et j'allais pas le laisser tomber de toute façon, il était là en mauvaise forme, et même si je m'étais promis de ne plus intervenir dans quoi que ce soit, je pouvais simplement pas le laisser à la porte, vus l'état dans lequel il était. Et alors il se mit à parler, je reconnaissais même pas sa voix, il s'excusait pour de je sais pas quoi, me parlait que s'était ça faute qu'il était en retard que une "elle" s'était énervé, le chemin avait été assez direct dans ma tête, cours, retard, maison, femme, c'est tout ce que je voyais, mais dans ce cas là ça voulais dire quoi? Qu'elle l'avait passée à tabac, et si s'était que pour ça, alors ne lui aurait'elle pas fait encore plus de mal par le passé, est ce que s'était pour ça qui se faisait du mal lui même? S'était ça qu'il me cachait depuis tout ce temps? Pour ça qu'il avait peur de rentrer? Puis il avait froid me dit'il, avait que je ne réalise il était au sol, à mes pieds, nan jamais je n'accepterai ça, sans aucune raison. Je parti un instant le laissant là, refoulant tout sentiments qui pourrai arriver, colère, incompréhension, tristesse. Je pris un peu de bazar pour l'installer un peu plus confortablement et de quoi lui tenir chaud, cousins et couvertures. Il devait avoir mal partout, j'osais même pas le toucher, faire quoi que ce soit, vus l'état dans lequel il était il valait mieux le conduire à l'hôpital, mais il y avait un truc qui me retenais, qui me disait que je ne pouvais pas faire ça. Je l'installais du mieux possible lui mettant la couverture sur le dos, caressant doucement son crâne. Je parti chercher du linge propre pour le nettoyer, je n'avais pas une grande trousse de secours, juste le strict nécessaire, de quoi nettoyer au moins et de la glace aussi, ça j'avais ce qu'il faut. Je revenais à ces côtés. "Dylan c'est la dernière fois que tu tombes à mes pieds de cette façon." Je lui fis un léger sourire, s'était pas une reproche mais j'acceptais pas qu'on tombe à mes pieds de cette façon. Je passais un linge humide sur son visage pour l'essuyer un peu, je me doutais que ça lui faisais mal, mais je ne pouvais pas faire mieux. "Ça va aller." Pour le rassurer, j'étais la plus douce possible, pour pas qu'il ne parte dans n'importe quel sens qu'il soit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Lorsqu'elle s'écarta pour aller chercher il ne savait quoi, Dylan restait là, immobile, recroquevillé sur lui-même, le regard baissé, les larmes coulant toujours le long de ses joues, perdu. Il toussa un peu, ce qui lui fit mal à son torse endolori et finit par fermer les yeux. Il devait se calmer, il avait débarqué dans cette chambre avec se gros sabots, remarqué par tout le monde, mais il n'avait aucun droit de faire subir tout cela à Ali et encore moins de lui demander qu'elle veille sur lui. L'étudiant ne lui avait rien demandé, mais il savait très bien qu'elle ne pourrait jamais le laisser dans cet état sans bouger le petit doigt. Elle était son amie, elle pouvait compter sur lui et il pouvait compter sur elle. Dylan bien que l'esprit totalement assombri par la situation et le choc de la dispute violente qu'il venait d'avoir avec son épouse, tourna la tête vers la porte. Il pourrait s'en aller, s'en aller pour ne jamais revenir... Que Peter lui pardonne, mais il se devait de le faire ! Partir à tout jamais. Mais alors qu'il fit un geste dans l'optique de se relever et quitter la chambre d'Alicia, cette dernière se retrouva de nouveau postée face à lui. Il hocha la tête affirmativement à sa remarque tandis qu'elle l'avait gentiment aidé à se lever avant de l'asseoir plus confortablement. Pas sur le sol, en tous cas. Son interlocutrice lui déposa une couverture sur le dos, dans laquelle il s'emmitoufla aussitôt. « Merci »répondit-il simplement, presque comme un automate. Elle entreprit ensuite de lui nettoyer la figure... Faut dire qu'avec son nez qui saignait encore un peu, sa lèvre fendue et ses hématomes, il avait l'air de sortir tout droit d'un film d'horreur. C'était étonnant qu'elle n'avait pas appelé les urgences... Mais heureusement, Dylan ne voulait pas avoir à expliquer toute l'histoire. Ou faudrait qu'il mente et il en avait assez de mentir ce soir. Il aurait voulu que la planète entière le laisse tranquillement se noyer. Il se crispa de douleurs sous les mouvements de son amie, bien qu'elle semblait tout faire pour être la plus douce possible. Mais cela ne suffisait pas, il avait mal. Lorsqu'elle l'eut débarbouillé et qu'il fut bien reconnaissable, les larmes recommencèrent à couler sur les joues du jeune homme. « Peter m'a vu comme ça... » dit-il. C'était, dans toute l'affaire, ce qui lui avait fait le plus de mal. Que son épouse le frappe ou qu'elle le rabaisse psychologiquement sans cesse était une chose à laquelle il avait fini par s'habituer, mais il avait toujours voulu protéger son fils de tout cela. Et cette fois-ci il avait failli. Comment voulez-vous que Peter ne fasse pas de cauchemars après avoir vu son papa comme ça ? Après avoir entendu les cris de sa mère prise de rage ? Peut-être les avaient-il même vus dans l'action de la dispute ? « Je suis un monstre... » conclut-il.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je n'arrivais même pas à décrocher un sourire à son remerciement, parce que même si je faisais en sorte que ça me touche pas, ça me faisait du mal de le voir dans cette situation, s'était encore pire que la dernière fois. Je me retenais de toutes réactions, je me devais d'être forte pour moi, pour ne pas retourner dans cette spiral infernal qu'avait été ces deux trois derniers mois. Mais s'était dure de se retenir de pas pleurer face à ça, de ne pas réagir, de s'énerver de vouloir, mettre un coup de poing dans le visage de la personne qui lui avait fait ça, ouai dans le fond c'est ça que je voulais faire, caser la gueule à la personne qui avait fait ça à mon ami, qu'importe qui s'était, un homme, une femme, un enfant, un balaise ou un maigrichon je voulais sa peau, le mettre dans le même état que Dylan, même si dans le fond je savais qui s'était, ou il me semblait l'avoir deviné. Et il me le confirma quand il me confia avoir été vu par Peter. Je fermais les yeux, déglutissant, il fallait bien que ça arrive un jour de toute façon, il allait pas pouvoir se cacher éternellement de son fils, c'est impossible. Et en grandissant, quand il va prendre réellement conscience que son père ne veux pas faire certaines activités avec lui il va commencer à se poser des questions, et j'ai bien peur que ça arrive plutôt que Dylan ne le pense. Puis il me sortit de mes inquiétudes, avec un conclusion qui me fit par automatisme appuyer plus fort sur ses plaies. "Arrête Dylan..." J'avais monté le ton, n'acceptant pas ce qu'il disait. "... En quoi t'es un monstre? Explique moi je vois pas? Bordel Dylan tu viens de te faire casser la gueule, t'aurai été à l'hôpital, ils auraient appelé la police. Tu dis ça à qui tu veux. Mais tu me le dis pas à moi, je t'interdis de dire ça, tu m'entend?? T'as rien d'un monstre." J'avais finis de lui nettoyer le visage, ça commençait à coaguler, c'est pas une si mauvaise chose. Mais je me devais de regarder le reste de son corps, j'étais persuadée qu'il y avait autre chose, et certainement tout aussi grave, si ce n'est plus. Sans même lui demander son autorisation, j'avais retiré son haut, pas sans mal, et ce que je vis me choquait encore plus que son visage. "Pourquoi..." C'étais sorti tout seul, dans une voix tremblante, il était bleu de partout, je savais plus quoi faire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il se laissait toucher par Ali, bien qu'il avait vraiment du mal avec tout contact. Il se sentait comme cela après chacune des disputes qu'il pouvait avoir avec son épouse. Surtout lorsqu'elle le brutalisait aussi bien physiquement que psychologiquement. Dylan avait la nette sensation qu'il ne méritait pas l'amour que lui vouait son enfant. Il ne savait plus comment être un bon père parmi tout cela. S'il réagissait, s'il poussait gloria à une cure ou à une quelconque façon de « s'améliorer », on enlèverait Peter à sa mère. Peut-être resterait-il avec son père, mais Dylan avait peur qu'on ouvre une enquête et que le pauvre enfant finisse chez d'autres, loin de ceux qu'il aime et qui l'aiment. Il ne pouvait pas lui faire subir cela, même s'il commençait à avoir la sensation que Peter serait mieux s'il avait d'autres parents. Il méritait mieux ce petit bonhomme, mais en même temps, il restait aimé. Très très fort. Soudain, Alicia appuya plus force avec le linge humide, et Dydy laissa échapper un cri.
« Okay okay, je dis plus rien... Je dis plus rien, mais me fais pas de mal... » déclara-t-il. Oui, même face à son amie, il commençait à éprouver de la crainte. Une peur bleue qu'elle lui fasse du mal. Pas après cela. Le jeune étudiant en informatique avait l'air de très bien dépasser les épreuves mais ce n'était pas tellement le cas... Au contraire, il était jour après jour traumatisé par ce qu'il endurait. Et mourrait au fur et à mesure de culpabilité. Il hocha ensuite la tête de façon négative. « Faut pas... faut pas appeler la police. C'est de ma faute... Juste ma faute, je veux pas qu'on lui fasse de mal. » Défendre son épouse contre tout. Certainement Alicia avait compris de qui il s'agissait, du moins elle devait commencer à s'en douter, avoir la puce à l'oreille comme on le dit si bien.
Son amie lui ôta subitement son haut. « Aïe ! » s'exclama-t-il car elle l'avait fait sans crier garer et avec peu de doigté. Elle l'observa, le regard se perdant dans une sorte de désespoir. La question qu'elle laissa échapper enferma Dylan quelques secondes dans un mutisme. Il baissa les yeux. « Je te l'ai déjà dit, c'est ma faute... Je... Je lui avais promis de pas arriver en retard.... » Oui, il était censé rentrer tôt et ils devaient se faire un dîner ensemble, puis aller au cinéma, avec Peter. Mais Dydy était resté travailler à la bibliothèque plus longtemps que prévu, n'avait pas vu le temps passer, loupé deux appels de son épouse qui s'était saoulé en se disant qu'il était avec une autre. Et cela avait donné ceci. Point barre. Y avait qu'un fautif, c'était lui.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je lui avais fait du mal sans le vouloir bien sur, mais ce qu'il disait s'était tellement pas lui, à des années lumières de ce qu'il était réellement à mes yeux. "Excuse moi." Je comprenais pas pourquoi il avait eu peur de moi, enfin si mais j'avais jamais vraiment été violente avec lui à proprement parler en fait. J'avais jamais vraiment eu de geste déplacé envers lui, et si je lui faisais de mal ce n'étais pas volontaire un mauvais geste simplement, mais dans ses paroles je voyais bien que je lui faisais peur. "Dylan je te ferai pas de mal, t'as pas à avoir peur de moi d'accord?" J'avais pas forcement une expression du visage qui tendait à le rassurer, car je comprenais rien du tout, enfin si mais je savais pas comment réagir dans ce cas présent. Et plus les minutes avancer moins je savais ce que je devais faire, mais à ce qu'il disait, il confirmait la réponse que j'avais en mois depuis la dernière fois. Mais pourquoi il ne voulait rien dire pourquoi il voulait la protéger comme ça au détriment de sa propre vie. "Dylan tu peux pas continuer comme ça, elle.... elle va te tuer." S'était sorti malgré moi, mais de toute façon si c'était pas elle, ça ce serai lui qui se tuerai tout seul en se faisant du mal et même si je voulais plus l'aider plus m’inquiéter pour lui, je me remettrait pas si je venais à le perdre. "Pourquoi tu la protège comme ça Dylan? Arrête, tu vas tous nous perdre Dylan, tu m'entend tous, Peter, Swan, moi, c'est pas parce que je veux plus m’inquiéter pour toi, que je te veux plus de ma vie, Dylan j'te veux dans ma vie mais je vais pas toujours être là pour t'aider, mais s'teuh plait arrête ça, arrête Dylan, je t'en supplie arrête de la défendre. T'as rien fait d'autre que de faire tes cours. Elle va te mettre dans quel états si vraiment tu fais quelques choses et que tu le mérites vraiment??" Je savais même pas ce que je disais, non quoi qu'il arrive jamais personne ne mérite d'être passé à tabac, de cette façon, même pour avoir trompé, nan rien ne justifiait un tel comportement et encore moins retard, surtout un retard pour les cours. "Dylan regarde toi merde, j'veux pas te perdre, arrête, arrête pour Peter, arrête pour lui." Mais ça allait changer quoi? Il ne ferai rien, ça ne changerai rien, il se retrouver dans le coma et s'en sortir qu'il retournerai dans ses bras lui dire amen.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dylan avait levé les yeux sur Alicia lorsqu'elle lui promettait qu'elle ne lui ferait pas de mal, un peu comme à un enfant. C'était fou comme il pouvait être fragile ce jour-là. Beaucoup de monde s'était rendu compte que cet étudiant pouvait facilement être ébranlé, mais personne ne pouvait sans doute imaginer que dans l'instant présent, il suffisait de souffler pour qu'il tombe comme un vulgaire château de cartes. Un sanglot s'échappa d'entre ses lèvres closes. « Désolé... » Il s'excusait de tout. Ce n'était plus possible de vivre comme cela, mais il ne connaissait pas d'autre moyen de vivre. Aucun. Les yeux rivés au sol, il écoutait ce que son amie avait à lui dire. Elle savait tout, cela se comprenait aisément à son discours. Elle avait deviné que Gloria était la fautive de son état. Enfin la fautive sauf aux yeux de notre jeune homme qui la défendrait jusqu'à en mourir. « Non non tu dis n'importe quoi... n'importe quoi... C'est faux... » s'exclama-t-il en s'agitant un peu sous la couverture qui lui recouvrait le dos. Il s'enroula dedans pour qu'Alicia ne puisse plus regarder toutes les marques de son corps. Avec ce que sa femme lui avait fait subir dans le passé, ce qu'il se faisait subir lui-même et le passage à tabac récent, il avait l'air de tout sauf d'un être humain. Ou du moins, c'était un être humain douteux. Il n'avait toujours pas relevé le regard, par crainte de rencontrer celui d'Ali, aussi neutre qu'attendri. « Arrête, arrête je t'en supplie arrête de dire du mal d'elle... » continua-t-il. « Faut pas... Elle est malheureuse, je la rends malheureuse.... C'est de ma faute. J'essaye de faire mieux, mais j'y arrive pas... » continuait-il. « Elle m'aime... Elle m'aime, elle me tuera jamais... Elle m'aime t'entends ? » dit-il subitement en regardant alors Alicia intensément. Oui Gloria aimait notre Dunster, mais il ne savait plus trop si la réciproque était aussi juste. Gloria aimait Dylan au point de le posséder. « Ca fait des années que les choses sont ainsi et ça va durer comme ça... Peter a besoin de sa mère. Il l'aime. Elle l'aime. Il a besoin d'elle plus que de tout au monde... C'est sa maman. » expliqua-t-il ensuite en replaçant la couverture sur ses épaules.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)