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Les parents. Toi. Est-ce une blague ?

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    Une soirée qui s'annonçait particulièrement riche en émotion ce jour là. En effet, Luhànn qui ne voyait pour ainsi dire, jamais ses parents dans l'année, eut la merveilleuse nouvelle d'apprendre qu'elle allait bientôt les recevoir au sein d'Harvard. Après tout, ils voulaient voir comment se débrouillaient leur unique fille. Ainsi, nous la retrouvons dans sa chambre, angoissée par la venue de ses parents et par le choix de la robe qu'elle s'apprêtait à enfiler. Celle qui fut désignée fut une robe chic et courte. Toute noir, elle mettait en avant son silhouette et son côté de jeune filles bourgeoise. Luhànn opta pour un maquillage fin et discret ce qui la rendit particulièrement distinguée lorsqu'elle eut fini de se préparer. En effet, la demoiselle se devait de rester distinguée et convenable pour ses parents, ignorant la façon dont elle se comportait, s'habillait..La personne qu'elle était finalement lorsqu'elle n'était pas avec eux. Les voilà enfin arrivés : un couple charmant et charismatiques attendaient devant la porte de la somptueuse maison des cabots. Luhànn respira profondément avant de leur ouvrir la porte. « Père, mère. » Les salua t-elle. Elle les fit donc entrer et Luhànn leur fit montrer la maison. Enfin, ils se mirent à table dans la grande salle à manger des Cabot. Une soirée qui avait pourtant si bien démarrée. En effet, alors que le père de Luhànn, Richard, racontait son succès dans le affaires, un individu fit son entrée..
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Edenshaw savait que Luhànn ne souhait jamais le revoir. Hormis la soirée du bal de la Saint-Valentin, elle avait été une véritable peste avec lui à chaque heure de la journée, sept jours sur sept. Il savait qu'elle avait souffert de leur rupture. Il savait aussi qu'il avait oublié quelques affaires chez elle, et avait profité de l'absence de Chuck (celle-ci étant partie pour des vacances "méritées" suite à leur récente dispute) afin d'aller se rendre à la maison des Cabots. Cabot, Dunster, Eliot ... Il ne comprenait toujours pas pourquoi les confréries avaient des noms aussi ridicules. Les auraient-ils instaurées, il aurait fait en sorte qu'elles possèdent des noms plus imposants, représentatifs de leur importance et originaux ! Mais non. Ils s'étaient retrouvés avec "La maison des chiens", une maison au nom à consonnance allemande et nombreuses maisons portant prénoms (sans nul doute de leurs créateurs). D'ailleurs, pourquoi n'y avait-il pas une maison nommée "La Maison d'Eden" ? Ce nom avait "du punch, du peps" ... Tout ce qu'il fallait pour attirer du monde, en fait ! Sur ce, il s'avança vers le porche de la maison avant de frapper à la porte. N'entendant aucun signe de vie de l'autre côté alors qu'il venait d'apercevoir les cheveux tant recconnaissables de Luhànn à travers la fenêtre, il s'impatientait :

- Luhànn ? Ouvre cette porte tout de suite, s'il te plait. Allez, je sais que tu es ici. Je sais aussi que les autres Cabots, elles, ne le sont pas !

Il savait qu'il avait oublié ses affaires chez elle. Ce qu'il ignorait, c'était que les parents de son ex-petite amie étaient aussi de la fête.
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    Luhànn crut voir passer Edenshaw lorsque son regard se promena rapidement dehors. Toutefois, elle refusait d'y croire. En effet, les parents de la demoiselle avait apprécier ce jeune homme. Bien qu'il ne venait pas d'un foyer riche, appartenait à cette grande école qu'est Harvard ce qui signifiait pour eux : réussite et argent. Son tempérament avait également pas mal plu à Richard, son père. Toutefois, Luhànn avait hormis de dire à ces parents qu'elle n'était plus en couple avec le jeune homme.
    Quelqu'un frappa à la porte. Luhànn jura silencieusement et fit comme si de rien n'était. Richard arrêta son récit et fronça les sourcils. "Adryana, n'y a-t-il personne à ta porte ?"
    « Non père, vous vous mépre.. » Elle fut coupée par Eden qui insista.
    - Luhànn ? Ouvre cette porte tout de suite, s'il te plait. Allez, je sais que tu es ici. Je sais aussi que les autres Cabots, elles, ne le sont pas ! Luhànn ferma ses yeux en jurant silencieusement. « Serait-ce Edenshaw ? » s'écria sa mère. « Eh bien ! Qu'attend-tu, ma fille ? Ne le laisse pas ainsi dehors. » s'écria son père. Luhànn feint la surprise et se força à sourire avant de s'éclipser pour ouvrir la porte. Dès qu'elle fut hors de porté du champ de vision de ces parents, son visage vira à la colère. Elle ouvrit brusquement la porte et au lieu de le faire entrer, elle le poussa en arrière et ferma la porte silencieusement derrière elle. « Qu'est-ce que tu fais là, Eden ? » s'écria t-elle tout avec colère tout en se forçant à baisser le ton de sa voix. Ce n'est pas du tout le moment.Elle jeta des coups d’œil par l'ouverture de la porte de temps en temps, afin de s'assurer qu'aucun de ses parents n'ait la merveilleuse idée de se lever et de venir saluer le jeune homme. Elle roula les yeux en l'air tout en soupirant. « Mes parents sont là et je ne veux pas qu'ils te voient davantage ! »
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Finalement, après s'être égosillé sur le seuil de la porte, il entendit un déclic, suivi par un autre. Le verrou tourna, la porte s'ouvrant, le laissant face à une Luhànn à couper le souffle. Choqué, il ne put qu'admirer la forme que la robe prenait sur son corps, comme si celle-ci avait été tissée sur mesure ... D'ailleurs, connaissant Luhànn, c'était loin d'être impossible. C'était même très probable. Il allait ouvrir la bouche afin de lui demander de le laisser rapidement monter dans sa chambre, lui promettre qu'il ne casserait rien lorsque celle-ci le poussa avec force avant de le suivre et de refermer la porte derrière elle. Curieux, il se tût. Cherchant des explications plus qu'autre chose, la question de Luhànn l'irrita, en plus de le décevoir.

- J'ai oublié des affaires ici dont j'ai besoin là, maintenant, tout de suite, alors, je t'en prie, laisse moi entrer ! Je me fiche des personnes qui te tiennent compagnie et je promets de ne pas te déranger pendant ta scéance de "massage". C'est bon ? Je peux entrer ? hasarda-t-il sans grande conviction.

Il roula alors les yeux vers le ciel. Évidemment, c'était le mauvais moment. À quoi d'autre pouvait-on s'attendre, de la part de la grande Luhànn-Adryanna Bucley ? Elle avait toujours mieux à faire ... Et c'était en partie ça qui avait joué dans leur rupture. Mais il ne baisserait pas les bras aussi facilement : il avait besoin de ses affaires.

- Allez, Luhànn, fais pas ta chieuse ! Tu sais bien que si ce n'était pas important, je ne serais pas venu te voir ! Tu ne peux vraiment pas me laisser entrer ta chambre pendant dix secondes, histoire de reprendre ce qui m'appartient de droit ?

Puis, elle lui dit la raison pour laquelle il ne pouvait pas rentrer, et, épris par le ridicule de celle-ci, ne put s'empêcher de s'esclaffer. Il reprit alors du sérieux :

- Mais Luhànn ! J'ai toujours apprécié tes parents, et eux, moi : où est le problème ?


HJ ; C'était chaud mais j'ai réussi à faire 350 mots pile. xD
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    Le jeune homme s'esclaffa lorsque Luhànn lui avoua la véritable raison. Elle soupira mais le laissa rire. Après tout, elle aurait surement réagis de la même manière. Finalement, il lui fit : Mais Luhànn ! J'ai toujours apprécié tes parents, et eux, moi : où est le problème ?. A ces dires, elle lui fit les gros yeux et secoua vigoureusement la tête en signe de non. « Surtout pas ! » s'exclama t-elle sans pouvoir cette fois-ci contrôler le son de sa voix. « Je.. » Elle se racla la gorge tandis que sa voix se faisait de plus en plus éteinte. Elle avait baissait la tête et jouait sur ses deux pieds, signe évident d'une gêne apparente. « Je n'ai pas encore révéler à mes parents que..nous.. toi et moi.. n'étions plus en couple. » finit-elle par lâcher. Elle se prépara à la réaction de ce dernier, ne sachant pas d'ailleurs pas du tout comment il allait réagir. Luhànn prenait soin à montrer au jeune homme sa fierté habituelle et sa tête haute. Pourtant aujourd'hui, là voilà dans une fâcheuse et il faut le dire, misérable position. Elle risqua un oeil penaud vers ce dernier, tout en gardant la tête basse.


HJ : xD. C'était dur de pas faire plus ! x))
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Elle était décidemment terrifiée : si terrifiée qu'elle ne savait même plus s'exprimer correctement. Edenshaw traduisit d'ailleurs son "surtout pas" par un "il y a un problème et je ne veux surtout pas que tu les voie". Mais pourquoi donc ? Si eux avaient rompus, cela ne voulait pas nécessairement dire qu'il devrait être en guerre contre ses parents, si ? Et, si c'était le cas, pourquoi Luhànn s'agitait-elle ? Elle devrait être contente que ses parents le dégradent en mots et en regards ! Il s'agissait là d'une énigme dont la solution n'était pas facilement trouvable. C'est alors qu'elle l'avoua. Et c'est alors qu'il se mit à sourire, d'un de ces sourires expressifs qui signifiaient qu'on avait bien vu à travers le jeu de l'autre et qu'on en riait bien, étant donné que la situation en elle-même était assez comique : Luhànn n'avait toujours pas annoncé la nouvelle de leur rupture à ses parents. Pourquoi ? Ce serait une question à laquelle il devrait trouver réponse plus tard. En attendant, il vit bien le couple de riches les nez collés à la fenêtre, observant avec passion et attention la scène se déroulant dehors. Il dit alors d'une voix calme, presque inaudible :

- Au risque de gâcher ta journée, chérie, je pense qu'il est un peu tard pour rebrousser chemin à présent : on nous observe. Et puis, s'ils ne me voyaient pas aujourd'hui, ils te demanderaient sans doute quelque chose à mon sujet. Alors tu comptes faire quoi ? Leur annoncer la nouvelle ou jouer la masquarade ?

Ce qu'il avait à faire semblait tout à coup moins important : la suite des évènements semblait très prometteuse.


HJ ; Courage. face (C'est bien, on se contrôle *=* Et comme ça, on a pas trois dialogues simultanés. xD Ma couleur c'est #00CC66. =))
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    "Au risque de gâcher ta journée, chérie, je pense qu'il est un peu tard pour rebrousser chemin à présent : on nous observe. Et puis, s'ils ne me voyaient pas aujourd'hui, ils te demanderaient sans doute quelque chose à mon sujet. Alors tu comptes faire quoi ? Leur annoncer la nouvelle ou jouer la mascarade ?" A ces dires, Luhànn se retourna et vit effectivement que ses parents regardaient la scène avec émerveillement, comme les paroles qu'échangeaient Eden et Luhànn étaient des paroles d'amour. Devant la question d'Eden, Luhànn ne savait que trop peu quoi choisir. «Je ne sais pas Eden.. » Elle soupira et se retourna une dernière fois pour jeter un coup d'oeil à ses parents. Son père surtout puisque elle ne prenait toujours pas vraiment attention à sa belle-mère. « Quoi que je choisisses, tu seras prêt à me suivre ? » finit-elle par demander. Luhànn avait peur de la réaction de son père, car la relation entre les deux n'avaient pas été toujours aussi calme. En effet, toujours en contradiction, ils ne se voyaient que très peu où chaque acte de la demoiselle avait la manie de mécontenter son père. Jusqu'au jour où elle lui présenta Edenshaw. Le jeune homme avait particulièrement tapé dans l'oeil du père malgré le fait est qu'il soit le stéréotype du père fortuné froid et intimidant, très à cheval sur la classe sociale notamment. Alors révéler la rupture de leur relation se révélait être un nouvel échec pour son père et son opinion sur sa fille n'aurait fait que régresser.. C'est pourquoi elle penchait plus pour la seconde option : jouer la mascarade. Malgré tout, elle devait s'attendre à ce que son père se rende compte de la supercherie. Luhànn devrait donc révéler leur rupture et ce, en présence d'Edenshaw. La soirée ne s'arrangeait décidément pas pour la demoiselle mais la présence du jeune homme arrivait à la réconfortait, pensant qu'au moins, elle ne serait pas seule.


HJ : (c'est sûr xDD)
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- Je rêve ? T'es en train de me demander si je veux gaspiller une soirée entière à jouer les tourtereaux avec toi afin de ne pas décevoir tes parents ? répondit-il en riant , Luhànn-Adryanna Bucley, celui qui a dit que tu n'avais pas de sens de l'humour te connaissait mal !

Il n'avait pû s'empêcher de profiter de la situation, comme d'habitude. En même temps, à quoi d'autre s'attendre, entre Eden et Luhànn ? Leur relation avait été faite pour être ainsi, programmée par la Nature, même : lui la taquinait, elle prenait la mouche pour au final comprendre qu'il ne lui voulait pas du mal et lui viendrait en aide malgré tout. Néanmoins, il devait profiter de cette position de pouvoir, ne serait-ce qu'un instant.

- Je dois vraiment y réfléchir, Luhànn ... C'est que, vois-tu, je suis très occupé, ces temps-ci : j'ai promis à Klemens de le retrouver dans dix minutes pile, j'ai encore un essai à rédiger ... Si j'accepte de t'aider, j'y gagne quoi ?

Il prenait un air sérieux afin de faire croire à Luhànn qu'il méditait réellement. En réalité, il n'avait pas de rendez-vous avec Klemens. Quand à son essai ? Celui-ci pouvait bien attendre ! Et puis, Edenshaw adorait le père Bucley ! C'était un véritable homme de pouvoir qui semblait chaleureux au premier regard ... Du moins, avec lui. S'il y avait une chose qu'il savait pertinamment, c'était que sa présence chez les Bucley avait toujours stabilisé la relation entre Luhànn et son père. Quand à sa belle-mère ? N'en parlons même pas. Elle était émerveillée par tous les "dons" qu'Edenshaw possédait, qu'il s'agissait de "l'art de vivre modestement" ou de son goût prononcé pour "la véritable musique" ... Il s'était toujours dit qu'elle n'était pas nette, d'ailleurs. Mais bref. Ne divergeons pas du sujet. Arborant alors son plus beau sourire, Edenshaw dit à Luhànn :

- Bon ! Tu as gagné ! Je blanchis mon calendrier jusqu'à ce soir, minuit, pour toi. J'espère que ça te suffira !

Il souriait toujours : si cette soirée promettait quelque chose, c'était un cours de choses intéressant, voire, même, amusant.


HJ ; J'ai pris des libertés avec la belle-mère donc si ça correspond pas, dis le moi, je peux changer ! =D Et j'ai fait un peu long, désolé. face
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    Je rêve ? T'es en train de me demander si je veux gaspiller une soirée entière à jouer les tourtereaux avec toi afin de ne pas décevoir tes parents ? répondit-il en riant , Luhànn-Adryanna Bucley, celui qui a dit que tu n'avais pas de sens de l'humour te connaissait mal !
    Luhànn ne put s'empêcher de sourire face à cette remarque. Après tout, ce dernier n'avait au final pas vraiment tort. Qui aurait cru voir ces deux là jouaient les tourteraux le temps d'une soirée alors qu'ils avaient fait une telle scène pendant le bal de la saint valentin. Je dois vraiment y réfléchir, Luhànn ... C'est que, vois-tu, je suis très occupé, ces temps-ci : j'ai promis à Klemens de le retrouver dans dix minutes pile, j'ai encore un essai à rédiger ... Si j'accepte de t'aider, j'y gagne quoi ?. Son sourire se perdit presque immédiatement. Elle s'approcha brusquement de ce dernier et posa ses mains sur le torse du jeune homme, prenant un air suppliant. « Oublie Klemmens, j'irais moi même lui parler plus tard et pour ton essai, je pourrais toujours payer quelqu'un pour t'aider ? Si tu acceptes, eh bien.. Elle soupira. Luhànn n'aimait pas céder quelque chose ne échange de quoi que ce soit. Elle préférait recevoir et ne rien donner en retour, que voulez-vous. Si tu acceptes, je supposes que tu pourras me demander ce que tu veux... » La demoiselle était bel et bien désespérée. A tel point qu'elle tombait dans la supercherie du jeune homme. Bon ! Tu as gagné ! Je blanchis mon calendrier jusqu'à ce soir, minuit, pour toi. J'espère que ça te suffira ! Un sourire éclata sur le visage de la demoiselle et, folle de joie, elle ne put s'empêcher de lui donner un baiser sur la joue. Elle prit alors ses mains et le tira derrière elle tandis qu'elle entrait dans la maison. Les deux parents se levèrent lorsque Eden et Luhànn entrèrent dans la pièce. « Père, Mère. Edenshaw a pensé judicieux de venir vous saluer en personne. » « Un véritable Gentleman ce garçon.. » s'exclama silencieusement Ellen, la belle-mère de Luhànn, à l'adresse de son époux. Richard quant à lui s'avança vers le jeune homme « Je suis heureux de te retrouver mon garçon. J'aimerai que tu prennes place à notre table ! Le temps a passé et je suis certain que tu as beaucoup de chose à nous conter.» fit-il de sa voix forte et guttural. Ellen, de son côté, ne cessait d'admirer le jeune homme. Luhànn quant à elle, respira profondément. C'était une longue soirée qui s'annonçait.


HJ : Non non ne t'en fais pas, mon p'tit oeuf, c'est parfait !
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Elle ... plaisantait, là ? Il l'espérait bien. En tous les cas, elle le faisait bien rire, c'était indéniable ! Le priant presque de l'écouter et de l'aider, elle faisait presque mal au coeur à voir, les mains posées sur son torse ... Il disait bien presque : il faudrait être naïf ou alors totalement fou pour être attendri par Luhànn ! Attrapant alors ses mains comme pour les tenir en place, il n'allait pas céder sa position de pouvoir : après tout, il savait à quel point elle détestait ça.

- Ne t'inquiète pas : je m'occuperai de Klemens ... Ensuite, je suis Dunster, Luhànn. Je n'ai pas besoin de payer les autres pour faire mes devoirs à ma place : c'est d'ailleurs plutôt l'inverse ... Aussi, tu seras obligée de faire quelque chose pour moi, quoi que je veuille. Et tu ne pourras pas refuser. C'est clair ? Et si jamais tu refuses ... Oh, je pense qu'on sait tous deux ce qui se passerait en ce cas là.

Il sourit alors, d'une manière inquiétante, intérieurement amusé par le tracas que Luhànn se faisait pour si peu : elle faisait légèrement pitié à voir, quelque part ... Si l'on cherchait loin, biiiien loin, trop loin pour qu'il ne puisse le ressentir. Néanmoins, avoir Luhànn "à sa merci" était une idée qui en soi, était des plus attrayantes ... Et c'est ainsi qu'il s'était retrouvé trainé de force dans l'antre des Cabots. Essuyant avec semi-dégoût forcé la bave se trouvant sur sa joue, il se retrouvait à présent confronté à ce qui autrefois, était ses potentiels futurs beaux-parents ... Bien qu'il appréciait le père de Luhànn presque autant que le sien, sa belle-mère l'effrayait légèrement : il avait toujours eu l'impression que le regard qu'elle lui portait était légèrement malsain, et ça le forçait à souhaiter prendre ses distances le plus possible. Néanmoins, il fit tout avec la politesse et la civilité auxquels les Buckley étaient habitués : il ne voudrait pas causer de la honte à sa "petite-amie". Baisant alors la main d'Ellen avant de serrer celle de Richard, il dit alors :

- Moi, de même, cher monsieur Buckley. Ce serait avec plaisir que je vous rejoindrai ... Du moins, si je ne vous dérange pas : je serais après tout gêné à l'idée de gâcher une si belle réunion familiale !

Beau parleur ? Absolument. Et il ne s'en cachait pas. Cette soirée s'annonçait des plus drôles de sa vie, et, rien que d'y penser, il se mit à sourire. Heureusement, il ne s'était pas habillé de manière trop décadente : "l'honneur" de Luhànn était pour l'instant "intact".


HJ ; Les parents. Toi. Est-ce une blague ?  1153642411
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