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Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw.

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    J'étais juste étourdie, assez pour ne pas me rendre compte de ce que je faisais, qu'une fois réveillée, je n'avais pensée qu'à lui, et heureusement pour moi, je l'avais à mes cotés, lui sautant dessus. Le pauvre, ma joie de le voir était tellement immense, ça me faisait du bien de l'avoir à mes cotés. Je le regardais s'asseoir à mes cotés, je le regardais, ça m'attristait d'un coup de le voir faire cette mine, j'avais peur qu'il me dise une mauvaise nouvelle, qu'il m'annonce quelque chose d'horrible. Il tenait ma main, en même temps. La sienne était si chaude, si brûlante comparé à moi, sûrement parce que j'étais froide, ne pas bouger depuis des heures, c'était horrible. J'avais même mes membres inférieurs et supérieurs engourdies... Mais j'étais beaucoup trop occupée à regarder Edenshaw, droit dans les yeux. « Je m'en veux. Tout est de ma faute ... Si je n'étais pas allé à cette exposition, tu n'aurais pas fait cette connerie ... Si je ne t'avais pas rendue folle en te bombardant de repproches, on en serait pas là. » Je me mis à sourire, et sans vraiment attendre quoi que ce soit, je l'approchais de moi encore plus pour le serrer dans mes bras, je le rapprochais de moi jusqu'à ce qu'il s'allonge sur le lit, me tenant fermement dans ses bras, je voulais le bercer, le câliner, l'avoir contre moi pour qu'il se sentes bien. A mes yeux, ce n'était pas de sa faute, à mes yeux, il n'avait fait que m'aimer, s'il m'aimait encore... Je n'avais pas envie qu'il se reproche quoi que ce soit, je ne voulais plus qu'il souffre à cause de moi, doucement, je posais mon doigt sur ses lèvres pour qu'il ne dise plus rien, avant de déposer un rapide et chaste baiser sur ses lèvres, me retenant d'approfondir encore plus ce baiser, bien que l'envie y était...
      . Ce n'est pas ta faute, Eden. Mais de la mienne, si j'avais su faire face à mes sentiments depuis toujours, on n'en serait pas là. Si je n'avais pas eu peur d'aimer, on serait déjà sur le bord de la plage à siroter un cocktail... en... hm... je n'osais pas dire les mots, je ne savais pas s'il m'aimait, finalement, il ne me l'avait presque jamais dis, mais plutôt sous-entendu... Je ne le regardais plus dans les yeux, je n'osais pas. Je me serrais alors bien contre lui, ne voulant pas qu'il y ai plus d'espace entre lui et moi, je le voulais rien que pour moi. Je... C'est terminé, je vais bien maintenant. Je voudrais qu'on profite du temps qu'on a à passer ensemble, si tu le veux bien...

    Je tenais réellement à ce qu'il oublie les malheurs que nous avions vécus, de l'amour dévastateur, mais penser à ce que maintenant, nous étions réunis, qu'il était là, pour moi, je voulais qu'il reste...
      . Dis moi … Eden, tu vas rester, hein ? A présent... on... je veux dire... tu seras là pour moi? tu... comment dire... Acceptes-tu mes sentiments... Eden ? Accepterais-tu de m'avoir...entièrement ?

    Je venais de faire un pas, un pas que je voulais toujours franchir, mais que j'avais peur. Je voulais qu'il les accepte, qu'il m'aime, que je devienne sa « petite amie », celle pour qui son cœur battait. Je posais ma tête sur son épaule, serrant fort son vêtement, même s'il répondait « non », je ne voulais pas qu'il partes, car moi... je l'aimais... Dans ma demande, j'avais bien sous entendu que je ne ferais plus la même erreur, que cette fois, je ne serais rien qu'à lui... que je deviendrais la femme parfaite, la gentille petite fille qu'on avait éduqué pour être parfaite pour l'homme qui la prendrait en épouse, je voulais être ça pour lui.
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Il devait la laisser. Il ne devait pas la déranger. Il ne devait pas empoisonner sa vie. C'était de sa faute, tout était de sa faute ... Il l'avait conduite à sa perte, avec ses reproches, sa cruauté et ses mots plus douloureux que le plus aiguisés des poignards. Il devait la laisser, et pourtant, il ne le pouvait pas. Lui, avait besoin d'elle. Lui pleurait sans elle. Lui la désirait, d'un désir enflammé, brûlant même. Il la voulait à lui, et que pour lui. Ses mains glissaient le long du dos de celle-ci, avant de s'enrouler autour de sa taille et de la rapprocher vers lui. En réalité, tout ceci faisait partie de sa stratégie pour la renverser sur le dos et ainsi se retrouver au dessus d'elle ... Comme il le faisait depuis maintenant quatre années. Il était à présent au dessus, et, à son tour, se mit à l'embrasser. Dans le creux du cou, sur le côté. Puis, sous les clavicules, avant de remonter vers les lèvres, en passant par son menton. Elle se mit à parler. Il lui caressait la cuisse. Elle s'interrompit. Il se mit à réfléchir. Puis, il se rendit compte qu'il devait dire des mots ... Peu nombreux. Brefs. Explicites. Du moins, s'il ne voulait pas la perdre. Il devait lui dire ces mots que toutes les filles rêvaient d'entendre, ces mots qu'il croyait et qu'il avait envie de dire vu qu'il les pensaient réellement depuis leur première rencontre. Il lui chuchota alors dans l'oreille :

- Je t'aime.

Il l'embrassa alors, encore et encore, augmentant en passion et en intensité à chaque contact entre ses lèvres et sa peau. En faisant cela, il ajoutait :

- Je t'aime plus que tout. Je ne veux que toi. Je n'ai toujours voulu que toi. Tu es celle que je veux. , séparant chaque mot à intervales régulières.

Puis, elle fit son pas à elle. Un pas qui le comblait de joie ... Un pas auquel il devait répondre.

- Je prendrais tout ce que tu as à m'offrir ... Tant que ... Tu en as envie.

Il avait peur d'aller trop loin. Il avait peur de s'emballer pour rien. S'il le fallait, Chuck ne voulait pas de lui comme il le croyait ... S'il le fallait, leur amour n'avait rien de celui auquel il s'attendait. Elle n'avait jamais réellement été fidèle par le passé. Qui lui disait qu'elle l'aimait assez pour renoncer à ses habitudes ? Il n'avait qu'un moyen de le découvrir :

- Qu'en est-il d'Ezra ?

Il avait peur de la réponse. Et afin de se débarasser de cette peur, il la serrait fort dans ses bras. Mais quelque part, il savait que c'était un nouveau départ ... Le début d'une histoire. Magnifique ou romantique, il l'espérait. Et ça ne dépendait que d'elle.
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    J'avais besoin de l'avoir contre moi et lorsqu'il vint à retourner la situation, me retrouvant en dessous de lui, je ne pouvais que rougir, ça me rendait folle de l'aimer, et que je me retenais encore un peu de sortir tout ce que je ressentais pour lui, tout mon amour. Mon cœur battait si fort, cette étreinte était si agréable, ça me faisait tellement plaisir. Il ne se rendait pas compte quel effet ça me faisait lorsqu'il posait ses lèvres sur mon corps, je ne pouvais pas revenir mes petits soupirs, il me faisait frissonner de plaisir, je fermais les yeux sous la douceur de sa main sur ma cuisse, j'aimais cette attention qu'il me faisait. Soudainement, mon cœur faillit s'arrêter de battre. « Je t'aime. » me dit-il soudainement. Adoucis, je passais mes bras autour de son cou pour l'embrasser langoureusement, appréciant cette étreinte, je ne le serrais que plus fort contre moi pour que jamais il ne me quitte. Il m'avouait ces sentiments, il me réconfortait sur ce qu'il ressentait, ça me faisait un bien fou d'entendre ses paroles, je me sentais détendue, bien et même heureuse. « Moi aussi Je t'aime Eden... » Je posais ma tête dans le creux de son cou, cherchant encore plus de douceur, j'avais soif de ses lèvres, de ces étreintes, de son amour. Je faisais mon possible pour calmer l'ardeur de mes sentiments, mais j'avais du mal, ça me faisait du bien d'être dans ses bras. « Qu'en est-il d'Ezra? » me demandait-il alors. Je sentis l'étreinte devenir plus forte, je soupirais. Je l'avais complètement oublié lui, j'avais oublié qu'il existait, je n'avais pensé qu'à Edenshaw. « Je ne l'ai jamais aimé, il n'y a que toi. Je t'ai menti, la dernière fois. Je ne veux pas être sa femme, je ne veux rien de lui. J'ai menti car j'avais peur de mes sentiments, je ne voulais plus te faire du mal. Pardonnes moi mon amour... » Je me mis alors à l'embrasser, glissant ma langue sur sa jumelle, essayant de lui montrer que j'étais sincère, bien que j'avais du mal à lui dire comment. Je posais mon front sur son épaule. « Tu es l'homme parfait pour moi. Tu es le seul avec qui je me sens bien, qui sait comment me faire plaisir. Je regrettes vraiment de t'avoir fais du mal toutes ces années... J'avais peur de m'attacher à toi, j'avais peur car je ne comprenais pas que je t'aimais, et cela... je l'ai compris que trop tard que je t'aimais et... j'ai pas réfléchis, j'ai voulu partir pour toujours, mais j'avais besoin de toi, de ta présence, je ne supportais pas de vivre sans toi, je n'ai pensé qu'à toi. J'avais beau essayé de te dire tout ce que je voulais la dernière fois, je ne les pensais pas, jamais je ne les ai pensé. Ezra n'est rien pour moi, c'est toi qui me faisait l'amour comme je l'aimais, je n'en ai rien à faire de tes origines sociales, tant que tu...es avec moi. Tu es ma raison de vivre. » Un long discours pour lui dire que je l'aimais, que je tenais à lui. Sur le coup, je ne pouvais retenir mes larmes, j'étais touchée par ce moment, et j'avouais que je l'aimais. J'avais envie de l'embrasser, de le câliner jusqu'à ce que mes forces m'abandonnent. Je n'essayais même pas de cacher mes larmes, car je n'étais pas triste, mais heureuse du bonheur qui s'offrait enfin à nous. J'avais peur de sa réaction, je voulais pas en rajouter, je ne voulais pas qu'il me prennes en pitié. « Je devrais peut-être aller me laver... Je dois pas sentir très bon... tu risquerais de tomber dans les pommes si je continue à t'embrasser avec mon haleine de babouin... » dis-je en riant malgré mes larmes.
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Il la désirait. Ses mains parcouraient son corps de manière maladroite, cherchant inconsciemment une prise sur la jeune femme, comme s'il voulait s'accrocher à elle de père qu'elle ne s'enfuye. La passion qui émanait de lui était gigantesque. Tant et si bien qu'il ne savait pas comment la canaliser. Tout cette énergie sortant de lui disparaîssait tout aussitôt, gaspillée, dès qu'elle atteignait la surface. Il n'avait aucune idée de comment il pouvait présentement satisfaire sa soif, sa faim, ses pulsions et ses envies qui toutes, pourtant, étaient clairement dirigées vers Chuck. C'était devenu son épicentre, l'objet de son affection ; le centre de son univers. 5 Mots. Un univers. Crée du néant.

Elle l'aimait.

Et cette nouvelle le comblait de joie. Il souriait, l'embrassant encore, sur le coup, sur les joues ... Partout où il le pouvait, véritablement.

- Tu ne sais pas à quel point j'attendais d'entendre ces mots ... Tu ne peux pas comprendre combien j'ai attendu ces mots ... Je t'aime, je t'aime, je t'aime, et j'avais eu si peur de te perdre ... Tu ne peux pas comprendre à quel point j'espérais que tu te réveilles, et là, tu te réveilles et tu me dis ce que je rêve d'entendre depuis 4 ans. Suis-je mort ? Suis-je au Paradis ? Non. Car au Paradis, tu ne serais pas avec moi : tu serais en vie, et je n'en voudrais pas. Je te préfère au plus somptueux des jardins d'Eden. Je te veux ... À moi et à moi seul. La passion que j'éprouve pour toi me consomme, me brûle, tel une bougie ... Et cette passion, je n'ai qu'une envie : la partager. Tu ne peux pas savoir à quel point ça me rassures, que tu n'aimes pas Ezra ... Quelque part, je m'en doutais aussi, un peu : comment est-ce qu'une fille comme toi pourrait accepter plus bas que ce que tu ne mérites ? Mais je suppose que cette question est appliquable à mon sujet aussi ... Je t'aime, et je ne veux pas te perdre. Je sais que je ne te mérite pas, mais je ne peux pas te perdre.

Il s'interrompit alors, frissonnant, l'émotion s'emparant de son corps et le paralysant partiellement.

- Je ... sans toi, je ne suis rien.

Elle reposa son front sur son épaule ; il frissona. Chaque contact, chaque mot était tellement innatendu et pourtant, lui faisait tellement de bien ... Eden n'arrivait toujours pas à comprendre comment il avait fait pour qu'ils se retrouvent ensemble, ici. Et pourtant. Les voilà. Il se demandait ce qu'il avait fait pour mériter pareil cadeau des cieux, et pourtant, ils le lui avait accordé. Chuck. Une femme, une aventure ... Un amour. Ses mots l'émouvaient. Ses caresses lui levaient le coeur. Il était amoureux, il était allégé, et pourtant, il avait envie de savourer le moment ... Bien que ses paroles étaient magnifiques et qu'il n'attendait qu'elles depuis bien trop longtemps, il sentait qu'un mot bien placé de trop lui ferait couler une larme. Et il ne voulait pas pleurer. Il était trop heureux avec Chuck pour avoir envie de pleurer. Il n'avait envie que de rires, de sourire et de ces trois mots qui pour lui, avaient énormément d'importance. Il déposa sa main sur les lèvres de Chuck.

- Chut ...

Caressant son visage, il lui dit alors ce qu'il avait envie de dire. Il lui dit une dernière fois ce qu'il avait envie de dire. Il ne voulait pas trop d'émotions d'un coup, mais il savait que sans ces mots-ci, il risquait de la perdre un jour. Il ignorait avec qui, il savait juste que c'était une possibilité et que celle-ci lui déplaisait énormément.

- Je t'aime, Chuck. Et malgré tout, je ne voudrais jamais repartir en arrière. Je ne regrette rien.

Il s'interrompit alors afin de l'embrasser langoureusement ; le baiser des vainqueurs ; un baiser doux, tendre, long, comme on en voyait rarement aujourd'hui. Puis, il ajouta finalement :

- Tu es la femme de ma vie.

Vulnérable, il lui avait offert un pan de son coeur. Vulnérable, il espérait que ça les rapprocheraient. Il s'était ouvert à elle dans le but de ne pas la perdre. Il espérait que ça marcherait. Il admirait Chuck pour son discours ... Mais le sien ne viendrait pas en ce moment même : il s'en sentait encore trop faible, incapable ... Il pensait déjà les mots qu'il aurait pu dire. Mais il ne voulait pas pleurer, et, plus important encore, il ne voulait pas qu'elle pleure. Tout ce qui comptait pour lui, à présent, c'était son bonheur. Il ferait tout pour.

Et puis, elle avait besoin de partir. Se doucher. Il n'était pas convaincu : malgré ce moment de passion, elle était encore faible, fragilisée par sa tentative ... Ce serait peut être une bonne idée qu'il l'accompagne afin de vérifier que tout aille bien. Qu'il soit là, près d'elle, en cas de besoin. Après tout, leurs destins étaient à présent liés, leurs lignes de vies, entremêlées.

- Attends. Je viens avec toi.

Descendant alors du lit, il l'aida à se lever. Puis, marchant en direction de la salle de bains, il chuchotta :

- J'ai un truc à t'avouer ... Je n'ai moi non plus pas pris la peine de me doucher depuis qu'ils ton emmenée ici. Je ne voulais pas te rater à ton réveil.

Il l'embrassa alors sur le crâne avant de terminer par un dernier :

- Je t'aime.

Et il était heureux.


HJ : J'espère que la quantité compense pour l'attente. Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. - Page 2 2157042859 Tu as toujours le topic pour l'appel téléphonique ? =D (Tu te sens capable de me donner de quoi faire 1 réponse de plus ? x') On est à 2 réponses des points face )
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Il me déclarait son amour, j'étais sûrement la plus heureuse des femmes à présent. On était bien tous les deux sur le lit, on était bien, j'adorais sentir sa présence à ses cotés, j'avais retrouvé le goût à la vie, j'avais retrouvé le bonheur d'être avec lui, après toutes ces années de souffrance, ça me faisait du bien. Sentir ses lèvres sur les miennes, ses lèvres qui m'embrassaient, j'étais dans un paradis, et sérieusement, je n'avais pas envie d'en décoller.
    CHUCK « Je t'aime aussi mon Eden. »

Heureuse, je lui proposais de nous doucher, je ne me sentais pas mais je me doutais que je devais être horriblement mal odorante. Eden m'aida à descendre du lit, ça me faisait bizarre, mes jambes flageolaient, je me tenais au lit, puis à Eden, je me serrais contre lui. C'est à ce moment là que je sentis vraiment que j'étais faible, ça me faisait bizarre. Eden m'avoua ne pas s'être doucher, et donc de ne m'avoir jamais quitter depuis mon arrivée à l'hôpital. Je me mis à rire un peu, on formait un beau couple, celui qui devait sentir le moins bon. Je rougis à son aveux.
    CHUCK « Moi aussi, Eden. »

Mon cœur était apaisé, j'étais bien, même son baiser m'avait donné un peu d'énergie. Une fois dans la salle de bain, je retirais la nuisette de l'hôpital, me retrouvant déjà nue. Je me tenais à la barre de la douche, celle qui servait pour ceux qui étaient en chaise roulante, j'étais presque aussi diminué qu'eux. Lorsqu'Eden fut à mes cotés, je me posais contre lui, en souriant. J'adorais sentir son corps nu contre le mien.
    CHUCK « Mon Dieu, j'aurais encore des forces, j'aurais trouvé le moyen de te faire l'amour. »

Je me mis à rire et approchait mon visage du sien pour l'embrasser, allumant l'eau de la douche qui était déjà chaude, je me sentais frissonner par cette différence de chaleur. Je posais mes mains sur sa nuque pour me maintenir dans ses bras, des bras puissants, chauds, j'avais pas envie de quitter notre étreinte. Je préférais l'embrasser tendrement, me laissant aimer à l'en embrasser, me maudissant de ne pas pouvoir lui faire l'amour, lui montrer à quel point je l'aimais, lui offrir mon corps en plus de mon cœur. Je continuais de l'embrasser, langoureusement, je n'arrivais pas à quitter ses bras.
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Quatre années. Quatre années que cette créature divine était entrée dans sa vie. Au départ, Edenshaw l'avait confondue avec une démonne ; un véritable fruit du diable, démon de la tentation et cruelle briseuse de coeurs fragiles ... Mais il s'avérait, en réalité, qu'elle était tout aussi fragile que lui ; il s'avérait qu'elle était tout aussi vulnérable et victime de l'amour que lui.

Edenshaw. Chuck. Edenshaw Cartwright. Charlotte Cartwright-Davis. Les mots résonnaient dans sa tête, en répétition prolongée, leur consonance lui plaisant davantage à chaque instant passé. Souhaitait-il l'épouser ? Évidemment ; la question ne se posait même pas. Mais pas maintenant : ils avaient encore besoin de temps, et ils ne devaient en rien brusquer les choses. Il espérait de tout coeur qu'ils se marieraient un jour, oui.

En attendant, ils s'aimaient.

C'était déjà ça, non ? Mais il se perdait dans ses pensées. Chancelante, il l'observait tituber vers la porte de la salle de bains, comme une guerrière mourante sortant d'une bataille à la mort et se levant une dernière fois pour mener à terme sa mission. Se précipitant alors à sa suite, il l'attrapa avant de la porter, de la regarder dans les yeux et de lui demander :

- Tu croyais aller où, comme ça, sans moi, doll ?

Il souriait. Il était heureux. Vraiment heureux.

Elle se déshabilla rapidement, avec une grace fébrile, tandis qu'il avait besoin de plus de temps pour oter la chemise et le pantalon qu'il portait depuis maintenant plusieurs jours, tout ceci après avoir oté ses chaussures. Vinrent alors les chaussettes, pour en finir avec le caleçon. Ils entrèrent alors dans la douche, lui à la suite de Chuck, la soutenant grâce à sa masse corpulante.

Il hésita un instant, indécis de si il devait la brusquer, si il devait lui autoriser tant de perte d'énergie, si peu de temps après l'incident ... Et puis, le plaisir pouvait avoir une valeur thérapeutique, qui sait ?
Au final, c'était un homme, et, malgré tout, il en demeurait un. Un homme aimant et exemplaire, certes, mais un homme quand même. Avec des envies et des besoins, par exemple, le besoin de se nourrir, celui de dormir, ou encore, le besoin de faire l'amour à la femme qu'il aimait. Il referma alors la porte derrière lui et n'hésita plus, vérifiant que Chuck était dans une position à la fois confortable et où elle ne pouvait ni tomber, ni se faire de mal. Puis, il l'embrassa, avant de ...









Nan mais vous croyiez naïvement qu'on allait vous couper vos imaginations, bandes de pervers aux esprits mal tournés ? Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. - Page 2 1153642411 Allez, fiou, c'est fini ici, déguerpissez. (a)

-> Fin du Rp. face <-
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