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Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw.

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Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. 1001568715 CHUCK A. DAVIS&EDENSHAW D. CARTWRIGHT Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. 1001568715


    Dans ma chambre, j'étais revenue de Cancun depuis quelques jours déjà. J'étais assise sur le balcon de ma chambre, regardant le paysage, regardant quelque chose, une espérance. Je sortais à peine de la douche, je m'étais réveillé à 15h30... après avoir passé une longue nuit à pleurer, encore...rien n'y faisait, j'essayais pourtant de l'oublier. Mais ça n'avait pas marché, je n'arrivais pas à oublier Edenshaw, je n'arrivais pas à me le sortir de la tête. Je sentais une douleur à ma poitrine, comme ci un poignard me transperçait le cœur. Je ne pouvais pas l'oublier, c'était impossible. Il était seize heures quand je lui envoyais un premier sms, j'espérais qu'il vienne me dire des choses gentilles, comme il avait l'habitude de faire depuis tant d'années, mais ce sms fut un choc pour moi. Bien qu'il disait ça, je comprenais encore une fois que ça servait à rien d'essayer de se battre, qu'on ne sera jamais réuni, qu'on souffrirait et voir peut-être lui plus que moi. Je n'arrivais pas à m'imaginer sans lui. Sur ce balcon, on pouvait voir les bouteilles que j'avais prévu pour calmer cette douleur, au fond, je m'attendais à cette réaction, il fallait que j'arrête de le « tuer », je devais quitter sa vie, et cela, j'avais qu'un seul moyen : ne plus revenir. Il ne me répondait plus, il devait aller voir une « exposition ». Je soupirais, jetant mon portable par dessus le balcon, il finissait alors exploser devant le portail. J'attrapais déjà la première bouteille, allongée sur mon transat, captant un peu le soleil. L'alcool n'y faisait rien, vraiment rien. Il était déjà dix huit heures, et je souffrais encore. Je ne savais pas quoi faire. Je partis alors dans ma salle de bain, cherchant à la trousse à pharmacie. Je souris en regardant les bandages, j'enlevais alors mon haut, laissant ma poitrine libérée que j'entourais de ces bandages, espérant que mon cœur arrête de pleurer. Rien, j'avais encore mal. Je vis alors une boite, une jolie boite qu'on utilisait lorsqu'on avait mal... Un comprimé... Toujours rien, deux comprimé... rien. Je me maudissais, je n'arrivais pas à l'oublier, j'en pleurais même. Je pris un verre, et la boite, m'asseyant sur le transat, reprenant alors un troisième... puis un quatrième. Il était vingt et une heure, et j'avais un peu mal au ventre, mais rien qui me faisait oublier Edenshaw. J'en reprenais un, jusqu'à ce que je m'allonge sur le transat, tellement assommé que je n'arrivais plus à tenir. Mon verre s'échappait de mes mains, tombant sur le sol. Il était vingt deux heures trente, les étoiles étaient magnifiques. Je commençais à avoir mal au ventre, et des maux de têtes apparaissaient. Ça faisait mal, pas assez pour oublier, juste assez pour m'empêcher de bouger d'ici.
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Dans l'obscurité de la nuit, seuls quelques insectes nocturnaux se faisaient entendre, décidemment maîtres d'un environnement où tous préféraient le confort d'un lit bien douillet. Tous sauf lui. Frappant avec véhémance contre la porte de côté de la résidence du maire de la ville, Edenshaw Daniel Cartwright tentait d'entrer chez sa dulcinée ... Mais en vain. Pourtant, il ne comptait pas abandonner aussi facilement, inquiet pour celle qui comptait plus que tout à ses yeux et coupable de n'avoir pas reçu son message de détresse. Il avait été froid dans ses propos avant de se fermer involontairement à Chuck. Ça n'avait pas été de sa faute ! Son amie avait désespérément eu besoin de son soutien, effrayée devant cette salle d'inconnus venus admirer ses photographies nettes et originales ... Lui avait accepté de l'aider, sa générosité et sa chaleur habituelle capable d'amadouer le plus féroce des tigres.

Mais du coup, il avait négligé Chuck. Et elle allait faire une bêtise ; il l'avait senti en lisant son message et avait sauté dans sa voiture, ayant conduit à toute allure, brûlant même plusieurs feux sur son passage ; aucun risque n'était en vain lorsque la santé de Chuck était en jeu, il le savait bien. Et pourtant, malgré les lumières allumées chez elle, personne ne venait lui ouvrir. Il s'impatientait : l'heure était grave, le mauvais pressentiment en lui prenant davantage d'ampleur à la seconde. C'est alors qu'il vit un balcon, avec une silhouette allongée sur une chaise-longue ... Étais-ce Chuck ? Il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir. S'avançant vers celui-ci, il prit appui à l'aide de son pied avant de se hisser, tentant de l'escalader ... De toute manière, celui-ci ouvrait sur la chambre de Chuck. Il n'avait rien à y perdre.
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    J'avais mal au ventre, j'avais l'impression qu'on m'enfonçait des couteaux dans le ventre, que l'on essayait de me tuer en me transperçant avec une lame chauffée à blanc, et qu'on s'amusait à entrer et ressortir la lame. Et il fallait ajouter à ça les douleurs à ma tête, lancinante, j'en pleurais tellement j'avais mal, tellement j'espérais que tout s'arrête, mais pourquoi il fallait autant de temps pour disparaître? Ne pouvait-on pas faire sa vite? Je pouvais aussi sauter du balcon, mais je n'avais ni le courage, ni l'envie de me lever, j'avais tellement mal, mon corps s'engourdissait avec la douleur, m'empêchait d'être... Seulement, j'entendis des bruits, j'étais saoul, j'avais pris une sur-dose de médicaments, mais je l'avais entendu. Je regardais vers l'origine du bruit, quelqu'un montait. Je n'étais pas folle, je ne pouvais pas halluciner même si tout ce que j'avais ingurgité me rendait malade. Je tendais le bras vers cette origine, cherchant à me relever mais je ne fis que tomber sur le sol en pierre du balcon. Je vis alors une main se poser sur le balcon, je m'approchais, posant ma main sur la sienne, sentant alors mon cœur s'emballer encore plus lorsque je vis sa tête...
      . Edenshaw...

    Je le regardais, j'avais peur. Je n'étais pas aussi belle qu'avant. J'étais affaiblis par la douleur continuelle que je ressentais depuis la dernière fois qu'on s'était vu, mais aussi par le fait que j'étais complètement ivre et médicamenté, à l'approche de la fin... je ne pouvais m'approcher plus, je ne pouvais pas, j'allais le faire souffrir s'il me voyait. Je posais mes mains sur le bord du balcon, pour me relever, mettant du temps, je regardais l'intérieur de ma chambre, c'était trouble. Tout était flous, je ne voyais rien, j'avais du mal à me tenir.
      . Non... Non...je..v-veux pas...

    Je ne voulais pas qu'il me voit, je voulais qu'il me laisse mourir. Je me laissais tomber sur le transat, attrapant la plaquette de médicaments... Je voulais mourir avant qu'il me voit, qu'il meurt à cause de moi, je ne voulais plus qu'il souffre à cause de moi, et pourtant, qu'est ce que je l'aimais. J'essayais d'avaler d'autres gélules mais je tremblais, ça n'arrivait jamais à ma bouche, ça tombait tout le monde...
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Ses mains brûlaient. Coupées par les roches tranchantes servant de support au balcon, les points d'appui ne lui manquaient certainement pas. Elles étaient jonchées d'ouvertures, comme si chaque contact avec les roches lui laissait des coupures ; comme si elles voulaient l'empêcher de s'approcher de Chuck ... Mais il tiendrait bon. Ce n'était pas la force physique qui le maîtrisait : c'était celle de ses émotions, et elle avait toujours été démontrée comme étant la source d'énergie la plus puissante et inépuisable au monde. Ses doigts parvinrent finalement à saisir une partie du balcon avant de s'y aggriper, une douleur aigüe lui traversant alors les articulations. Il allait lâcher prise : il avait trop mal. C'est alors qu'une douceur vint détendre sa main ... Il s'agissait de celle de Chuck. Elle n'était restée qu'un instant mais avait suffi pour lui redonner force et énergie. Se hissant une dernière fois, il parvint à enjamber la balustrade, se laissant tomber sur le balcon de sa bien-aîmée ... Choqué, ses yeux parcoururent les lieux. Sa dulcinée gisant au sol, bien mal en point ; les cachets de comprimés vides posés près de la chaise-longue.

- Chuck ... chuchotta-t-il alors.

Puis, s'accroupissant, il l'aida à se relever. Son coeur battait la chamade. Tout se passait si rapidement ... et à la fois, si lentement. Comme si chacun de ses gestes seraient décisifs du destin de Chuck ; comme si son sort reposait entre ses mains. Elle était affalée sur le transat', les doigts tremblants, un paquet de comprimés entre les doigts. S'approchant d'elle, il la colla alors à sa poitrine, la berçant dans ses bras. Il ferma les yeux de tristesse, marmonnant dans l'oreille de la blonde :

- La prochaine fois que tu fais une connerie de ce genre, je te tuerai. Tu m'entends ? Tsss'. C'est malin. Comme si c'était aussi facile de se débarasser de moi ... Tu le sais bien, Chuck : quand je veux quelque chose, je suis prêt à tout pour l'avoir. Et là, en l'occurence, ce que je veux, c'est toi.
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    Je ne voulais pas qu'il me voit aussi, j'étais moche, j'étais... je n'étais pas belle, je ne pouvais montrer mon visage, je ne voulais pas qu'il soit encore blessé, qu'il me subisse plutôt qu'on soit ensemble, je regrettais déjà l'idée que j'avais eu de le quitter lorsque Jared était parti. Je me disais que j'aurais du rester et ne pas prendre peur des sentiments que j'avais toujours eu à son égard. J'essayais d'en rajouter, d'en finir, je ne voulais pas qu'il me voit. Je l'entendais arrivé sur le sol du balcon, j'avais peur. « Chuck » Il m'appelait, il me voyait ainsi, telle une larve sur le sol. Je le sentais me relever, me prendre dans ces bras. Lorsque je fus contre lui, je ne pouvais pas m'empêcher de serrer le tee-shirt qu'il portait, je voulais le sentir contre moi... a tel point que j'en avais presque oublié que je souffrais, que mon ventre me faisait mal que ma tête allait exploser. Je le sentais contre moi, ça me rassurait. Il me grondait, me disant qu'il me tuerait si je recommençais ce genre de chose, il ne comprenait pas à quel point je l'aimais. Je souriais, l'écoutant, mais la douleur vint à augmenter alors que le bonheur de l'avoir contre moi s'amplifiait. Devais-je faire marche arrière et ne pas laisser me tuer toute seule ? Je glissais mes mains le long de son torse jusqu'à ses épaules, remontant alors à son visage, et je m'accrochais à lui. J'essayais malgré la douleur de m'approcher de lui et déposer mes lèvres sur les siennes. C'était si douloureux, à la fois si tendre... ce moment me rendait bien moralement, mais toujours aussi blessée physiquement à cause de ce cocktail … Je retirais mes lèvres, murmurant alors...
      . Je... Je...Je t'ai...Je t'aime...Eden...Ne me quittes plus...jamais, pitié. avant de reposer mes lèvres sur les siennes.

    Je puisais dans mes forces, pour le pousser, cherchant alors à me relever. Je ne le repoussais pas par peur de mes sentiments, il était déjà trop tard pour reculer, mais si je calmais pas cette douleur, je ne le reverrais peut-être pas demain. Je me mis à courir jusqu'à la salle de bain, fermant la porte derrière moi, je glissais mes doigts dans ma bouche, essayant d'atteindre un endroit. Je sentais mon estomac se retourner, mon cœur s'emballer encore plus... Je ne mis pas longtemps avant de sentir une marée dégoutante sortir de mes lèvres pour finir dans le fond des toilettes, une fois...deux fois. Ça allait déjà mieux. Je me relevais en me tenant au mur de verre de la douche, me dirigeant alors vers le lavabo pour m'essayer à quelques bains de bouches. Je me sentais affaiblie... Je me maintenais à la porcelaine du lavabo, essayant alors de crier.
      . Ed...Eden !

    J'avais pas tellement de force. Je me laissais tombée sur le sol, m'adossant au mur, mettant mon visage dans mes mains. Je me sentais mal pour Eden. J'avais essayé de me tuer alors qu'au fond... je désirais plus que tout être à ses cotés, et j'espérais que ce soit pareil de son coté. Malheureusement, mon cri avait aussi alerté mes parents, je les entendais se précipiter dans ma chambre.
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Ses doigts se crispèrent contre le tissus de son pull, l'aggripant fermement ... Il fut d'ailleurs surpris qu'une femme si mal en point puisse avoir une telle poigne ... Comme quoi : il était des forces qui défiaient les lois de la nature, et Chuck s'en servait en cet instant même. Il était en colère : elle avait été irresponsable, injuste et tout simplement stupide d'avoir tenté de mettre terme à ses jours ... Et pourtant, la tête contre son torse, elle sourait bêtement. Les filles étaient décidemment bien étranges. Et sans même qu'il ne puisse le comprendre, elle s'était mise à l'embrasser. Il aimait ça, évidemment ... Mais en ce moment même, le geste semblait déplacé. Il l'aurait d'ailleurs repoussée si sa faiblesse n'avait pas fait en sorte que sa tête était immédiatement retombée vers le transat. Elle parlait tandis que lui s'inquiétait. Sur le coup, les mots de Chuck n'avaient aucun poids, ni aucune consistance. Il ne les avaient à peine entendus ... De toute manière, elle délirait probablement.

- Chut, chut ... Ne dis rien ... Tu ne dois surtout pas te fatiguer ... marmonna-t-il d'une voix douce et rassurante.

Et elle le repoussa. Cette fille souhaitait décidemment mourir. Ou alors, elle était tout simplement folle. Peut être un peu des deux, d'ailleurs. Elle courait. Ou plutôt, elle trébuchait en se propulsant à l'intérieur. Cherchait-elle à s'enfuir ? Il l'ignorait. Il la suivait prudemment avant qu'elle n'entre dans la salle de bain ... Fermant la porte à clef avant qu'il ne puisse rentrer. Toquant douceureusement à la porte, son ton trahïssait cependant son inquiétude, celle-ci masquée par un ton autoritaire et presque exigeant :

- Chuck, ouvre cette porte, s'il te plait. commença-t-il en toquant de plus en plus fort. Immédiatement.

Sortant alors son téléphone de sa poche, il commença à appeller le service des secours à une allure étonnante. La ligne décrochait : quelqu'un répondait à son appel. Ne prenant pas le temps de réfléchir, il s'élança, ne prenant même pas le temps de respirer entre ses mots :

- Venez vite à Inman Square : il y a eu un accident ... C'est une urgence.

Il raccrocha alors son téléphone avant de se tourner vers la porte de la chambre et de soupirer : les parents de Chuck étaient arrivés. Et il doutait que la suite se déroulerait facilement.


HJ ; Je te laisse donc raconter tout jusqu'à ce que tu t'endormes à l'hosto, je répondrai parallèlement à ça, et ensuite, tu commences plusieurs jours après, quand tu te réveilles, ok ? *W*
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    Les douleurs revenaient, c'était horrible. J'entendais la voix d'Eden à travers de la porte qui m'ordonnait de lui ouvrir. J'étais pas sur de le vouloir, je ne voulais pas qu'il me voit. Pourtant il m'avait réconforté, il m'avait pris dans ses bras. J'aurais voulu que tout soit différent, j'aurais voulu ne pas décider toute seule, j'aurais voulu...qu'il ne revienne pas, je voulais rester à présent, je voulais rester car il était à coté de moi, proche de moi. Je commençais à pleurer, en plus de la douleur, je souffrais encore, je voulais l'avoir pour moi, rien que pour moi. Je me tenais le ventre tant bien que de mal, je savais qu'il m'attendait derrière la porte, puis je remontais en posant mon autre main sur le lavabo pour être debout, adossée au mur pour me maintenir. Ma main sur la poignet de la porte, je l'entendais appeler les urgences, je baissais la tête honteuse. J'avais bu, j'avais pris des médicaments et je finissais avec un mal de tête à vouloir en crever, et j'avais l'impression qu'on me transperçait le ventre. J'entendais les pas de mes parents jusqu'à la chambre, ils arrivaient. « Daniel? Où est Chuck? Où est-elle ? » je l'entendais derrière la porte, ça faisait mal de l'entendre, une lourde peine qui s'ajoutait à ma douleur. Je descendais ma main sur la poignet de la porte, pour l'ouvrir, voyant Edenshaw d'où j'étais, essayant de lui sourire mais mes parents arrivèrent dans la salle de bain. Mon regard livide, pâle les inquiétaient, se demandant bien ce que j'avais fais. « Ô Chuck, qu'est ce qu'il y a ? Tu as fais quoi? Chuck ! » Ma mère me tenait par les épaules, me secourant, elle était paniquée et me faisait encore plus mal, mais physiquement, elle ne se rendait pas compte que j'étais comme une petite poupée. Mon père la calmait, la tenant par les épaules, me permettant ainsi de me dégager, et de tomber dans les bras d'Eden, j'essayais d'essuyer mes larmes, mais j'étais faible, et je souffrais, tremblait, j'avais froid aussi. Mes forces me quittaient, j'avais peur de céder maintenant qu'il était proche de moi.
      . Eden..je...pardonnes moi...je n'arrivais plus...à vivre sans toi. lui disais-je d'une voix faible.

    Je sentais bien que mes forces s'en allaient, j'avais mal, je souffrais, mes jambes allaient céder. J'entendais alors les sirènes des urgences arrivés, mes parents laissaient alors à Edenshaw le soin de me garder le temps de l'arrivée des secours, il ne leur fallut même pas 5 minutes pour arriver jusqu'à moi, me faisant quitter les bras de l'homme que j'aimais pour m'allonger. Mon père avait été sur le balcon pour voir, il avait vu les bouteilles d'alcool ainsi que les médicaments. «  Elle a pris un cocktail d'alcool et de médicaments. » a-t-il dit aux secouristes. Ils se sont regardés, comprenant alors ma détresse, j'avais eu le temps de saisir la main d'Eden, c'était la seule chose qui me réconfortait, j'avais besoin de lui. Ils avaient pas eu le choix de l'emmener, mais je ne savais pas comment, ni même la suite, je m'étais évanouie, gardant toujours la main d'Eden dans la mienne, je ne voulais pas qu'il me laisse seule. Je ne savais pas combien de temps je m'étais endormie, ni combien d'heures, voir peut-être fallait-il compter des jours. Je me réveillais, à peine ma conscience se réveillait, que je pensais qu'à une chose, je ne voulais qu'une chose....
      . E...Eden...
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Il soupirait : les choses venaient de se compliquer ... Voilà que les parents de Chuck lui demandaient des "comptes". Plutôt, ils cherchaient leur fille, alarmés par le cri qu'elle avait poussé peu de temps auparavant. Néanmoins, plus de temps ils passeraient là à se disputer pour aucune raison, moins de chances ils auraient de sortir Chuck de cette maison et de l'emmener aux urgences avant qu'il ne soit trop tard ... Et pourtant, il ne parviendrait pas à les convaincre de se calmer : ceux-ci l'aimaient déjà peu particulièrement (notamment, la mère de la jeune fille), si jamais les apparences faisaient en sorte qu'il ait l'air mêlé à cette tragédie, il savait que c'en était fini pour lui et sa relation avec elle. Et il ne voulait pas qu'elle se termine.

- M. et Mme. Davis ... Chuck a fait une bêtise ... J'ai déjà appellé l'ambulance ... Il ne reste qu'à attendre ... Mais avant, il faut la sortir de cette salle !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Il entendit le verrou se défaire, Chuck livide, la poignée à la main.

De nombreuses choses se produisirent alors entre elle et ses parents ; choses auxquelles il ne fit pas attention, angoissé par l'avenir immédiat : Chuck s'en sortirait-elle ? Qu'adviendrait-il le cas échéant ? Pourrait-il continuer à vivre sans elle, lui ? En sâchant qu'elle ne respire plus sur cette planète, qu'elle soit à nouveau redescendue à la terre et que plus jamais il ne verrait son visage ? Il craignait que non. Et pourtant, il devrait le faire ; il devrait se tuer davantage chaque jour à vivre une vie qu'il ne voulait pas car trop de personnes avaient besoin de son existence ... N'étais-ce pas tragique ?

Et c'est pour cela qu'il ne laisserait rien lui arriver.

- Ne parle pas, il faut que tu gardes tes forces ... Mais ... sâche que je ne t'en veux pas ...

"Je ne t'en veux pas" ? Oui, il était fou. Fou de douleur. Rien qu'à l'idée de la perdre, il pensait devoir faire tout pour la garder. Il la brossait dans le sens du poil ... Il l'amadouait. Plus tard, il la réprimanderait pour son comportement irrationnel. Pas maintenant.

L'ambulance arriva. Chuck était sauvée. Les secouristes vinrent alors, l'attachant à ce fameux lit à roues qu'on voyait si souvent dans les films. Il croyait apercevoir des larmes de douleur au coin de ses yeux, ce qui lui faisait mal, extrêmement mal. Attrapant sa main au passage, il monta dans l'ambulance avec elle. Que les secouristes le veuillent ou non, il ne partirait pas. Il aimait trop Chuck, il ne pouvait pas la laisser affronter les médecins et les salles d'hôpital seule. À présent et jusqu'à son éveil conscient, il serait là, à ses côtés, afin de veiller sur elle. Et c'était ainsi que les choses devraient être.
__________________

Fin de la Première Partie


HJ ; j'aurais bien enchaîné sur l'éveil, mais j'avais pas le temps. ^^" En plus, j'ai tant d'idées que je dépasserai notre quotat. Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. 2157042859 Bref, première partie terminée, à toi l'honneur d'entamer la suivante dans ce même topic. face (Et ne me tape pas pour ne pas avoir enchaîné é_è Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. 2157042859 )
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    J'avais entendu mes parents s'en prendre à Edenshaw, mais moi je ne voulais que lui, je ne voulais pas les voir, je voulais l'homme que j'aimais, l'homme qui m'obsédait. J'avais mal, je souffrais, je voulais que tout se termine, je voulais au moins que ma douleur cesse, que ce soit par la mort ou alors par quelque chose qui me soignait. Je n'avais trouvé que le moyen d'aller mieux dans les bras d'Eden, je m'étais sentie bien, je me sentais presque mieux dans ma tête, ça me réconfortait de l'avoir contre moi. « Ne parle pas, il faut que tu gardes tes forces ... Mais ... sâche que je ne t'en veux pas ... » Il ne m'en voulait pas ? Ça me surprenait mais me réconfortait, et lorsqu'on me retira de lui, je ne pouvais pas me défaire de l'image minable que je lui avais offerte depuis son arrivée. J'étais horriblement touchée, j'avais les yeux rouges de larmes, et je perdais mes forces, j'en trouvais uniquement pour prendre sa main dans la mienne, pour le sentir près de moi jusqu'à ce que je fus plongée dans les méandres, jusqu'à ce que je m'évanouisse. Je ne me rendais pas compte du temps qui avait passé, mais à mon réveil, je n'avais eu qu'une seule personne en tête. Eden. Je l'appelais, je voulais, je voulais le voir, le toucher, l'avoir dans mes bras. J'ouvrais les yeux, posant mon regard sur lui, essayant de sourire. Même si j'avais mal de tête à cause du sommeil profond que j'avais eu, même si je n'avais plus mal au ventre, je me jetais sur lui, ne pensant pas si c'était bien ou pas pour mon corps, je le voulais juste être avec lui. J'entourais son cou avec mes bras, le serrant fort contre moi. J'avais les genoux sur le lit, et le reste du corps vers lui, le tenant fermement.
      . Oh Eden, Mon Eden... je déposais des baisers sur sa joue, son front, son nez, ses lèvres, tout y passait, je passais même dans son cou. Ça me faisait tellement de bien de l'avoir auprès de moi. Oh Eden...Ne me quittes pas s'il te plait. Pardonnes moi. Je ne veux pas te perdre... Cette fois-ci, je me serrais fort contre lui, je le serrais, je me laissais même tomber les jambes au sol pour l'avoir bien contre moi. Mon étoile, ma vie...

    Soudainement, je me mis à pleurer. J'avais l'impression que je ne l'avais pas vu depuis des jours, alors qu'en faite, ça devait être peut-être une nuit... ou peut-être un jour entier, je ne savais pas trop, mais je m'en foutais, je le voulais pour moi, s'il était là, c'était parce qu'il m'aimait non ? Je l'espérais, je ne voulais qu'il partes...
      . je t'aime...

    Je ne faisais même pas attention aux nombres de larmes qui coulaient sur mes joues, le bonheur qu'il soit là ne pouvait me retenir, je déposais mes lèvres sur les siennes, lui demandant même pas son avis. J'avais besoin de lui, de sa présence.
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Cinquante deux heures. Cela faisait cinquante deux heures que Chuck avait sombré dans un profond coma, cinquante deux heures qu'il était resté à l'attendre, dans l'hôpital, de pied ferme. Ce qui était bien, avec la fille du maire, c'était qu'elle avait sa chambre privée avant même avoir posé ne serait-ce qu'un seul pied dans l'hôpital : en effet, Eden avait eu un endroit où l'attendre, rongé par l'anxiété, abruti par le sommeil, à faire les cent pas jusqu'à son retour. Les six premières heures furent les plus rudes. Puis, elle était revenue. Il s'était occupé d'elle avec tendresse et douceur jusqu'à ce qu'elle se réveille, espérant qu'elle se réveille ... Et puis, à la cinquantième heure de la torpeur de Chuck, il s'endormit là, à ses côtés. Pile deux heures plus tard, il fut réveillé par des mots incompréhensibles ainsi que par une légère averse sur la joue droite ... Encore abruti par le sommeil, les yeux rougis par la fatigue, il se demandait bien ce qu'il faisait là, allongé, dans un lit d'hôpital, avec Chuck pendue à son cou ... Peu importait : il y resongerait le matin, lorsqu'il serait bien repo ... Hein ?! Chuck, réveillée ?! Sursautant alors, il sauta presque du lit (se libérant au passage de son étreinte), la regardant d'un air à la fois désolé, coupable, et aimant. Gêné, il ne savait que dire, que faire, en ce genre de situation. Et puis, une idée insensée lui vint à l'esprit : et si il laissait parler son coeur, comme tant d'années durant, il n'avait pas eu le courage de faire ? Ce serait certes nouveau et rafraichissant, comme cours d'action. S'asseyant alors au bord du lit de Chuck, ne cherchant pas à trop la ménager, Edenshaw lui prit la main, la caressant de la sienne, bien plus large et chaude en comparaison. La contemplant tristement, il leva alors son regard vers Chuck, un sentiment de culpabilité l'envahissant. Puis, finalement, il avoua :

- Je m'en veux. Tout est de ma faute ... Si je n'étais pas allé à cette exposition, tu n'aurais pas fait cette connerie ... Si je ne t'avais pas rendue folle en te bombardant de repproches, on en serait pas là.

Il s'en voulait. Mais il l'aimait. Quand allait-il enfin le lui avouer ? Quand il trouverait le bon moment. Et il espérait que le bon moment arrive dans le cours de leur conversation.


HJ ; Je m'excuse de la nullité de mon post. Je ne peux pas vivre sans toi, je dois partir. - Avec Edenshaw. 2442039969
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