Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityThéo & Wyatt - Ne jamais faire confiance aux voitures ni aux femmes ! - Page 2
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Théo & Wyatt - Ne jamais faire confiance aux voitures ni aux femmes !

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Théo & Wyatt - Ne jamais faire confiance aux voitures ni aux femmes !  - Page 2 Tumblr_mtjhp7ynSa1r09bqlo2_250
feat Théo & WyattIl venait de me traiter de sal*** le gorille. Je n’avais pu contenir ma colère et je lui avais balancé ce que je pensais. Il était hors de question que je me laisse faire par un type dans son genre. Seulement, j’aurais dû me retenir, car ce dernier ne l’avait pas bien pris. Ce qui était compréhensible, mais après tout, c’est lui et ses grognasses qui l’avait cherché ! « Attends qu'est-ce que t'as dis toi ? » Le gorille et ses bulldogs se rapprochaient dangereusement de nous. Surtout que Théo était en première ligne. « Ce que t'as entendu ! » Mon meilleur ami venait de lui répliquer, puis, il se mettait à me dire de courir : « COURS ! » Hein, quoi ?! Et ma bagnole ?! Je n’avais pas le temps de réfléchir, le gorille et ses chiens de garde allaient nous en mettre une. Je m’étais mis à courir aussi vite que mon meilleur ami. Arriver à sa hauteur, je lui disais quelques mots entre deux souffles : « J’espère que ça vaut le coup ! Y a ma caisse là-bas » J’avais économiser pour me la payer et j’y tenais. En plus, je n’avais pas eu le temps de la fermer à clé. Maintenant, je n’avais plus qu’à espérer qu’aucune des nanas me la vole ou me la saccage. Nous foncions droit dans la boutique. Arriver à l’intérieur, nous refermions à temps la porte. « Qu'est-ce qu'il se passe ? » Le gérant avait l’air étonné de nous voir aussi paniqué. Ce n’était pas tous les jours que deux types comme nous se trouvaient dans un état pareil. « Ne paniquez pas, hein...? Mais c'est gens dehors ce sont des fous. Il y a d'autres entrées ? Des fenêtres ouvertes ? Verrouillez tout ! » Tout d’abord perplexe le gérant ne bougeait pas. Aussi je dus hurler après Théo pour qu’il daigne enfin bouger. « Ils vont nous réduire en bouillie ! »  Il courait fermer la porte de derrière tandis que les trois colosses nous regardaient de l’autre côté de la vitre tout en arborant un sourire carnassier. Un des bulldogs que j’avais prénommer Doudy, était partie voir si la porte de derrière était ouverte. J’espérais que le gérant avait eu le temps de la fermer. Quelques secondes plus tard, il revenait bredouille. Le gorille lui aboyait dessus. Je me rapprochais de la vitre et j’arborais à mon tour un sourire : « Niqué tête d’ampoule ! » La joie d’être hors de danger me donnait envie de danser, mais je fus très vite rattraper par la raison. Comment  on allait sortir de là ?« On fait quoi maintenant ? » Alors, que je posais cette question, Théo affichait un air effaré. Qu’est-ce qu’il y avait encore ? Je suivais son regard. Les nunuches étaient en train de danser sur ma voiture et elles sautaient dessus avec leur talons aiguilles. On aurait dit un remix de ‘’i’m barbie girls’’. « MA CAISSE ! » J’allais les détruire ses barbies ! Je regardais ma voiture souffrir sans pouvoir lui venir en aide. Oué, ma caisse était importante pour moi. « Super ! On va faire comment maintenant ? Je ne vais pas attendre qu’ils s’endorment sur le palier. »

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Don't trust the cars & the girls.
w/ Wyatt & Théophyl

« J’espère que ça vaut le coup ! Y a ma caisse là-bas » Oui, ben je n'en étais pas vraiment sur puisque alors que nous étions rentrés comme des fous dans la boutique que nous avions quittée quelques instants plus tôt, les gros bras sur nos talons, nous avions réussit à tout fermer et à trouver comme un espèce de refuge pour nos petites fesses bien musclées (a) Malheureusement, les ouistitis ne l'entendaient pas de cette oreille-là. Ils comptaient vraiment et réellement bien nous faire la peau. Ce soir, nous allions y passer et plus jamais nous aurions l'occasion de pouvoir revoir nos respectives petites-amies. « Ils vont nous réduire en bouillie ! » Je me tournais vers Wyatt qui me semblait avoir perdu son sang-froid. Bon ok, je reconnaissais que si moi aussi je voyais ma voiture dehors et pas du tout en sécurité à cause de gros débiles mentaux qui pensaient à nous faire la peau, je serais dans le même état. Le gérant, qui avait été d'abord été perplexe, nous apporta quand même un grand secours. Derrière la vitre, les molosses nous souriaient toujours et je pus entendre Wyatt leur crier: « Niqué tête d’ampoule ! On fait quoi maintenant ? »  Là ? J'en savais trop rien. Mon regard était rivé sur la voiture de mon meilleur ami qui était en train de passer un très mauvais quart d'heure la pauvre. J'ouvris des gros yeux alors que j'étais choqué par ce que je voyais. Bon dieu ! Mais que faisaient-ils ?  Nous étions tombés sur des fous ! Les femmes qui nous avaient abordées était en train de danser sur sa voiture et nous faisait presque une chorée digne de la macarena la plus mal réalisée par des bourrés. « MA CAISSE !  Super ! On va faire comment maintenant ? Je ne vais pas attendre qu’ils s’endorment sur le palier. » Ouais ben moi non plus. « Putain, je sais pas ... C'est quelle prends chère en plus ta voiture. »  La casse allait s'en suivre. Le pauvre, je savais qu'il avait vécut dur pour pouvoir se l'offrir.  « Je t'aiderais à payer les réparations rassure-toi. » Puis soudain, un grand fracas se fit retentir contre l'une des fenêtres. Un des pitbull avait tenté de jeter une poubelle en fer vert contre l'une des vitres, arrachant un cri d'horreur au gérant. Moi-même j'avais sursauté. Ils tentaient de forcer un passage.  « Un téléphone vite qu'on les menace d'appeler les flics ou qu'on les appelles vraiment ! » Je me rapprochais ensuite de l'une des baies vitrées et je posais un doigt sur l'une de mes tempes, et le bougeais comme-ci j'étais en train d'essayer de me dévisser la tête. À vrai dire, je minais aux peu courtois qu'ils étaient fou. L'un me regarda en mode "ah ouais?" et relança avec plus de force la poubelle ce qui causa quelques fissures contre la vitre. Ils allaient passer, nous allions mourir.  « Putain ! Mais barrez-vous, bande de gros cons ! » J'avais quand même un peu reculer, je n'étais suicidaire pour autant. Ils recommencèrent une nouvelle fois, et cette fois-ci la vitre céda envoya mille morceaux de verre dans l'air. Je me jetais au sol en me protégeant la tête, espérant que Wyatt en avait fait de même. Fait qu'ils aient pas de flingue petit Jésus !
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feat Théo & Wyatt« Putain, je sais pas ... C'est quelle prends chère en plus ta voiture. » Je faisais un sourire forcé tout en me tournait vers Théo. « Enfonce le couteau » Punaise, je tenais à cette voiture et ses grognasses étaient en train de me là détruire. « Je t'aiderais à payer les réparations rassure-toi. » Je savais que Théo venait d’une famille riche. Pour lui, ça ne représenterait surement rien, mais moi ça me gênait. Je détestais lorsque quelqu’un voulait me prêter de l’argent. Je venais d’une famille aux revenus moyens et je m’étais toujours débrouillé tout seul. Ça n’allait pas changer. « Non, laisse tomber, je la réparerais moi-même. » Je m’y connaissais un petit peu en mécanique pour avoir eu une voiture qui tombait souvent en panne dans le désert du Nouveau-Méxique. Soudain, un grand fracas se fit entendre. Un des gorilles venait de balancer une poubelle sur la vitre. Merde. On était vraiment dans la merde. color=cadetblue] « Un téléphone vite qu'on les menace d'appeler les flics ou qu'on les appelles vraiment ! »[/color] Théo venait de demander un téléphone au gérant qui semblait être totalement effrayé. « J’espère que vos vitres son solides » Quoi que vu l’état de la boutique, ça m’étonnerait qu’il est payé cher pour avoir des vitres très résistantes au choc. Une seconde poubelle venait frapper de plein fouet la vitre. Cette fois-ci, des fissures apparaissaient aux quatre coins de la vitre. « Putain ! Mais barrez-vous, bande de gros cons ! » Théo commençait à flipper tout comme moi. On savait se battre, mais je ne savais pas si on pourrait les égaliser. Vous avez vu les mastodons vous ? Ils sont énormes ! Surtout qu’ils nous dépassaient en nombre. Néanmoins, on était plus fin donc plus agile qu’eux. On pouvait utiliser notre agilité contre ses balourds. « Appeler les flics à l’arrière-boutique. Vite ! » Alors, que j’hurlais des instructions au gérant, la vitre explosait en mille morceau. J’avais juste eu le temps de fermer mes yeux pour ne pas être blessé à cet endroit. Avec la violence du choc, j’étais tombé en arrière. Pendant quelques secondes, je perdais connaissance. Je sentais des corps étrangers plantés dans ma chair, mais j’étais tellement sous le choc que je ne ressentais aucune douleur. Ces ordures avaient pété une vitre à cause d’une histoire totalement débile. J’entendais leur pas lourd briser les bouts de verres qui étaient au sol. Il se rapprochait dangereusement de nous tout en ricanant. J’ouvrais un tout petit peu les yeux. Ils venaient de tourner la tête, alors, que les nanas leur hurlaient après. Pendant ce temps-là, j’en profitais pour tourner la tête vers Théo. Il avait eu le temps de se protéger le visage, mais il était tout aussi amoché que moi. Si ses ordures nous finissaient, on n’allait pas s’en sortir. Il n’était plus question d’agilité. On était en désavantage totale et blessé. Néanmoins, les filles semblaient les distraire pendant un instant. Un des trois revenait même à la voiture pour les calmer. Je jetais un regard à Théo pour lui faire comprendre mon acte. Je me relevais difficilement. Cette fois-ci, la douleur se réveillait d’un seul coup et elle était fulgurante. Je me retenais de gémir pour ne pas attirer l’attention du gorille. Je repérais un gonfleur de pneu à vélo sur une étagère. Ça avait l’aspect d’une sorte de matraque. Je le prenais dans mes mains meurtris et par l’arrière, je lui foutais un énorme coup dans les couilles ce qui le pliait en deux. Cette ordure avait hurlé comme une fillette. Ce qui avait alerté son autre pote qui était à côté de lui. Hoho. Le troisième était toujours occupé avec les filles et n’avait rien vu.

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