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Une lueur s’est dessiné dans mes yeux, quand j’ai senti ses mains froides se posés sur ma peau. Je n’saurais pas expliqué ce que j’ai ressentis, tellement ça devait être surprenant. Ce mec me surprendra toujours. Alors qu’il glissait sa main le long de mon dos, je baissais les yeux, le laissant faire. J’suis pas toujours comme ça je vous rassure, qu’avec lui en fait ! Il s’écarte alors de moi et je lève un sourcil après ses mots. « S’il est si inspirant, je devrais le mettre plus souvent alors. » dis-je accompagné d’un clin d’œil, avant de sortir mon portable pour regarder l’heure, ou à la limite vérifier si j’ai un message. J’aimerais avoir des nouvelles de la famille du petit, mais je veux absolument éviter d’y penser. J’ai déjà moyennement apprécié qu’il me voit lâché quelques larmes, alors pas question que je m’apitoie devant lui. Je fronce les sourcils les yeux rivés sur mon portable, avant de lever à nouveau les yeux vers Austin, et de le ranger dans ma poche. J’ai gardé le même regard sérieux que j’avais en regardant mon portable, et il naquit toujours encore maintenant tandis que je viole Austin du regard. « Tiens, mais, avant que ta pitié ne ressorte, tu allais quelque part non ? Tu peux y aller tu sais, ni mon pull ni moi ne te retenons. J’peux même t’accompagner si tu veux ? » dis-je pour une fois avec sérieux, mais tout de même un sourire en coin.
hj: pourri d'sa mère
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La routine hein ? Alors comme ça il passe vraiment son temps à rien foutre ? Et les cours quand est-ce qu’il les révise ? Franchement, parfois je me demande si ce n’est pas moi qui bosse beaucoup trop. Je me le demande c’est vrai, et je suis sure que la réponse est ‘oui, Abi, tu bosse trop.’ Mais d’un côté c’est quand même faux. Je sors plus souvent faire la fête que je n'le devrais.
Ce petit garçon n’est peut-être pas de ma famille, mais je m’étais occupé assez longtemps de lui pour commencer à le connaître. Il avait tous les jours se sourire enfantin qui donnerait de l’espoir à n’importe qu’elle personne désespéré. Sa petite voix, et la façon dont il se battait contre sa maladie, le rendait si attachant, que même au bout de quelques jours il pourrait te manquer de ne plus l’entendre. Il avait espoir, il était optimiste, il avait encore une joie de vivre que beaucoup n’auraient pas eu. Mais il est mort. Alors je dois dire que la réponse d’Austin m’a légèrement blessé. Est-ce que c'est parce qu'il ne l’a pas connu qu’il ne peut pas comprendre ? Ou parce que ce type n’a réellement aucun cœur. Il à beau être magnifique, je reste sans voix face à autant d’absurdité en une seule phrase sortant de sa bouche. « Ma famille comme tu dis, je l’ai déjà perdu ! » lui réponds-je froidement. Mes sourcils se froncent, et mon regard s’intensifie. Jamais je n’ai encore eu l’occasion de lui dire ça, je crois bien que c’est la première fois.
J'avoue être satisfaite à l'idée de nous griller une clope, surtout que c'est à partir de ça qu'on s'est rencontré. J'ai fais le premier pat en faisant quelque chose que je n'aurais pas fait en générale. Mais il faut s'avoir s'imposer et s'adapter à certaines situations ou certaines choses, ou bien on risque de ne pas avancer! Je ne suis pas une fumeuse, au contraire. Mais il y'a des fois ou j'aime sentir une clope entre mes deux lèvres. Comme à beaucoup, ça me déstresse et me fait penser à ce que je suis en train de faire au lieu de apitoyé. En tout cas, je savais qu'Austin serait pour. J'ai éviter de faire attention à son commentaire au sujet de mes cheveux, étant donné que la moitié était à ranger dans la partie plaisanterie. Quoique j'ai levé un sourcil et sourie en coin en entendant le mot "sexy" raisonné à mon oreille. 