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(+ mathias) once again, everything goes wrong

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once again, everything goes wrong (+ mathias)


Encore une fois. Une heure à devoir le supporter en plus, tout ça pour les beaux yeux de mon père, et le merveilleux parfum de l'argent. Il fallait que je surmonte cette épreuve, la seule de la journée, et après, ce sera fini. Je me regardais dans le miroir des toilettes avant de soupirer. Encore un dîner pour sauver les apparences. J'en avais marre. 2 ans que ça durait, et je ne savais pas comment faire pour arrêter cette mascarade. Nos parents n'étaient pas dupes pourtant, ils voyaient à quel point notre relation se dégradait de plus en plus. Déjà, à la base, ce mariage arrangé n'avait pas lieu d'être. Je veux dire, je suis la fille Chanel, lui le fils Ravenwood, nos parents devraient être rivaux. En fait, ils l'étaient sûrement, mais l'argent compte toujours plus que tout. Parce qu'on en a jamais assez... C'est vrai qu'être seulement la cinquième fortune de France, ce n'est pas suffisant, il lui fallait toujours plus. Ce mariage allait combiner nos deux comptes en banque, et le magasine Forbes nous comptait déjà comme un couple à la tête de tout un empire de mode, l'un des plus importants. Connerie. Je soupirais une nouvelle fois avant de passer une main dans mes cheveux, pour me recoiffer. Et un léger coup de mascara, de rouge à lèvres. Pour me montrer présentable. Ce n'était qu'un dîner, il allait vite se terminer, et je pourrais retourner à mes occupations. Je jetais un dernier regard à mon reflet et je quittais les toilettes.

À bord de ma Maserati -mon bijou, mon bébé- je me remémorais le jour où je l'ai rencontré. C'était à un dîner où sa famille avait été conviée. Je ne le connaissais pas plus que ça à l'époque. J'aurais dû me douter que ce n'était pas qu'un simple repas, et le dessert fut désastreux. Je n'ai rien voulu entendre, je suis juste retournée dans ma chambre juste après avoir piqué une petite crise de colère. Et je n'étais sans doute pas la seule. Et je me souviens encore de ce gala qui nous unissait devant tout le gratin mondain où les plus fortunés avaient été invités. Nous avions dû jouer notre rôle, et aujourd'hui encore, j'en reste étonnée de ma superbe performance. Tout le monde n'y avait vu que du feu. Conneries, encore une fois. Finalement, après quelques minutes, je m'arrêtais devant le East Coast Grill et tendait mes clefs au voiturier sans même un regard. Mes yeux reposaient sur le restaurant et je ne pus m'empêcher de grimacer. Allez, maintenant qu'on y est, faut y aller. Je pris une grande respiration, remettant une nouvelle fois ma chevelure à sa place et entrait d'un pas déterminé. L'ambiance était chaleureuse, l'endroit même n'avait rien de glacial comme le voulait les restaurants plus bourgeois. Bon, ce n'est pas non plus le moins cher de la ville non plus, mais pour un déjeuné, ça allait. C'était quand même beaucoup mieux que sur le campus. Le serveur me conduisit directement vers ma table, que mon fiancé -eurk, quelle horreur- avait réservé à l'avance. Il était déjà là. Je ne lui accordais même pas un regard et je pris place en face de lui. Même pas un bonjour, et encore moins un baiser sur la joue. C'est ce que j'aurais dû faire, je suis sûre que mon père avait dû envoyer quelqu'un pour nous espionner. Mais je ne voulais pas faire d'effort, même pas pour ses beaux yeux. Je me contentais juste de prendre place et de passer ma commande au serveur. Je voulais que ce déjeuné -et cette mascarade- se termine au plus vite.
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Sauver les apparences...Voilà deux ans que je jouais à ce jeu, deux ans que je vidais mon énergie à garder ma fortune familiale pour de simple fiançailles. J'étais fatigué de jouer la comédie, surtout avec elle. Après un coup de fil de mon père, qui comme toujours, me fit bien comprendre qu'on ne me voyais pas assez avec Isaline, je pris la décision de déjeuner avec elle en public. Lui envoyant un message, ne daignant même pas l'appeler, je lui annonçait la nouvelle. Bon, cela risquait une fois de plus de tourner au drame familiale, mais qu'importe. Montant dans ma voiture de sport, je me dirigeais donc vers le restaurant ou j'avais réservé une table pour deux. J'étais en avance, mais cela n'était pas dû au hasard. La cause de mon avance ? Le repérage des lieux. A peine arrivé, je repérais l'un des détectives privés de la famille d'isaline, mais également celui de ma famille. Et ben, c'était du joli, merci pour la confiance. Allant m'asseoir sur l'une des chaises, je commandais déjà à boire en attendant ma...ma fiancée. Non de dieu, j'avais encore du mal à m'imaginer passer la bague au doigt de cette reine des glaces. Plusieurs minutes passèrent et, sans vraiment m'en rendre compte, je me mis à regarder régulièrement ma montre. Je n'aimais pas attendre, étant dépourvu de patience, je fus rapidement agacé par cette perte de temps. Commandant un deuxième verre, je vis enfin arriver la jeune demoiselle. Comme toujours celle-ci se montra froide, distante et hautaine. Un léger sourire apparu sur mes lèvres, un sourire mauvais et arrogant. Si elle ne jouait pas mieux la comédie, nous risquions de perdre notre fortune et cela, je ne le permettrais pas...en tout cas, pas à cause d'elle. Jetant un oeil aux deux détectives privés, je poussais un léger soupire lasse, prenant la parole devant son silence.

« J'aimerais que tu fasses un effort, sinon, on se retrouvera pauvre avant la fin de nos études...Sur ce, as-tu passé une bonne journée ma chérie ? » Ses petits mots doux m'arrachaient la gorge, c'était comme du venin que je crachais à la figure d'Isaline. Malgré tout, je ne laissais rien paraître, toujours ce sourire aux lèvres. Commandant mon repas, je reposais ensuite mon attention sur la jeune demoiselle. Elle était vraiment en beauté, comme toujours. Je devais bien avouer, que même si mes fiançailles me déplaisaient fortement, au moins, j'étais fiancé à une demoiselle merveilleusement belle et au caractère bien trempé. Plongeant mon regard dans le sien, je ne lui avait jamais dit qu'elle était belle, qu'elle me plaisait...Non, je ne suis pas fou et encore moins sentimental. Puis, lui avouer de telles choses seraient me rabaisser, chose que je refusais catégoriquement. Passant une main dans mes cheveux, je détournais mon regard pour balayer la pièce des yeux. Ce déjeuner risquait d'être long, très long, mais bon c'était une obligation familiale. Puis, avec ce scandale qui venait de me tomber sur le nez, je devais faire bonne figure. Effectivement, l'histoire de la grossesse d'Ariane m'était tombé sur le nez grâce à un magasine à scandales. Quand mes parents étaient tombés dessus, ils avaient littéralement pétés un plomb. J'avais nié, démenti l'affaire, je savais néanmoins que c'était vrai...La jeune femme avait belle et bien été enceinte de moi, aillant apprit mon infidélité, elle avait avorté sans le dire à personne, même pas à moi. Comme beaucoup de monde, je l'avais appris plus de deux ans plus tard dans un magasine...super non ? Inutile de vous dire dans quel état de rage extrême j'avais été.

Sincèrement, j'espérais que cela n'aille pas atteins les oreilles de ma fiancée, quoi que, j'étais sûr du contraire. En même temps, elle savait parfaitement que je n'étais pas un exemple de sainteté, loin de là. Souvent, on me voyais avec une autre demoiselle qu'elle au bras, cherchant peut-être à attirer son attention ou encore à l'énerver, chose pas facile. Isaline était pire quoi moi, ou presque, parce que question colérique et violent, j'atteignais vraiment les sommets...
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Je venais à peine de le voir que je me sentais fatiguée, éreintée. Ouais, il avait ce don spécial de me rendre amorphe rien qu'à sa vue. J'aurais voulu juste manger et partir, sans devoir à lui parler; parce que je savais que ça allait encore partir en vrille, ça se finissait toujours comme ça. Je ne parviens même pas à me souvenir d'un moment, d'un "rendez-vous" qui se serait terminé normalement, sans prise de tête. Rien, vraiment... Et aujourd'hui ne ferait pas exception. « J'aimerais que tu fasses un effort, sinon, on se retrouvera pauvre avant la fin de nos études...Sur ce, as-tu passé une bonne journée ma chérie ? » Il ne pouvait pas se taire non? Rien que d'entendre sa voix me tapait sur le système. Franchement, comment mon père avait-il pu me faire ça? Je croyais qu'il m'aimait?! Ou peut-être que non, vu qu'il m'a envoyé en Angleterre quand j'avais 15 ans, et que depuis, je ne le voyais que rarement. J'aurais dû m'en douter, il ne m'a jamais pardonné pour avoir tué sa femme chérie. Désolé d'être née... Et je soupirais avant de lever enfin mon regard, plongeant mes yeux dans les siens. Je faisais vraiment un effort pour ne pas faire de grimace, je restais impassible du mieux que je pouvais. Ses petits mots doux me donnaient envie de vomir tellement ils étaient faux. Et je n'avais qu'une envie, planter ma fourchette dans sa main pour avoir osé m'appeller "chérie". Mais je me retenais, et je me contentais de le regarder. En soi, il n'était pas moche, c'est déjà ça. Et encore, il avait même son petit charme, et son caractère. Mais voilà, son caractère était le véritable problème dans tout ça. Parce qu'il lui ressemblait trop, à lui. Cet homme qui m'a tout pris, cet homme qui m'a fait de moi, ce que je suis aujourd'hui. Tout aussi arrogant et colérique, tout aussi infidèle et égoïste. Je le détestais, et le voir m'empêchais d'oublier tous ces souvenirs; le voir me faisait mal, tout simplement. Je soupirais alors. Oublie, dis-toi que c'est quelqu'un d'autre. Et par pitié, essaie de sourire. Je balayais rapidement un regard discret sur la salle, repérant vite un homme de main de mon père. Bon et bien vu que je suis obligée. Je me forçais alors un sourire hypocrite avant de remettre une mèche derrière mon oreille. « Merveilleuse mon amour, surtout quand j'ai appris que tu as failli devenir père. C'est bien dommage qu'elle ait décidé de s'en débarrasser, je suis certaine que vous auriez fait une famille exemplaire! Pas trop déçu mon coeur? » Tout de suite, je l'attaquais d'une voix doucereuse. Quand j'avais lu cet article, j'avais eu envie de vomir toutes mes tripes. Bien sûr, il est comme tous ces autres hommes. Une erreur et ils s'enfuyaient la queue entre les jambe. Il n'était vraiment pas bien différent de mon ex. Tous les deux des bâtards qui n'auraient jamais dû exister. Et voilà que j'allais devoir finir ma vie avec l'un de ces monstres. Comme si je n'avais pas déjà assez souffert. Quelle poisse de merde.
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J'avais envie de lui planter un couteau dans le coeur, et encore, avait-elle seulement un coeur. En même temps, les gens pouvaient se poser la même question à propos de moi. Oui, j'avais un coeur, mais celui-ci avait été brisé bien des années auparavant, faisant de moi l'homme que je suis aujourd'hui. J'avais aimé une fois, passionnément, corps et âme et je m'étais fais avoir comme un bleu. J'aurais tout donné à cette fille, fidélité, douceur, amour...mais elle avait préféré me trompé dans mon propre lit avec mon meilleur ami...qu'elle ironie. Pour la première fois de ma vie j'avais été fidèle, j'en avais payé le prix et très chère. Je jouais calmement avec mon verre, trouvant l'atmosphère lourde et très désagréable. La compagnie d'Isaline me faisait toujours cet effet là. Parfois, j'avais envie de la coller contre un mûr, de l'envoyer chier royalement, de rompre nos fiançailles, mais cela m'étais strictement interdit. Si je devais bien ne jamais lever la main sur une fille, c'était bien sûr elle. Pas que j'aille peur de la charmante demoiselle, non, juste que je tenais fortement à mon héritage, moi qui avais toujours vécu dans le luxe je me voyais pas devenir pauvre. Levant les yeux vers elle, je souris avec amusement quand elle me fit part des nouvelles. Et bien, comme je l'avais soupçonné, Isaline était elle aussi au courant de mon fâcheux passé. Ainsi, elle ouvrait les hostilités, bien, elle n'allait pas être déçue, loin de là. Je n'étais pas du genre à me laisser faire, elle le savait. Néanmoins, nous étions observés et je ne pouvais donc pas risquer de provoquer une trop grosse dispute, même si j'en mourrais d'envie. Si je savais bien une chose, c'est que la jeune femme ne supportait pas mes surnoms affectifs, que cela pouvait la mettre hors d'elle.

Souriant de plus belle, prenant un petit air confus, je dis calmement. « Mais ma petite fraise des bois, cela c'est passé avant notre merveilleuse rencontre...J'aurais préféré que ce soit toi qui porte mon enfant, cela m'aurais bien arrangé. Mais si tu veux tout savoir, je viens également d'être mis au courant. Ariane n'avait pas prit la peine de m'en parler, alors non, je ne suis pas trop déçu. Cela n'a plus d'importance maintenant que je suis avec toi, ma petite reine en chocolat. » J'adorais lui donner des surnoms totalement ridicules, cela lui donnait un air enfantin et stupide. Levant mon verre vers elle, je lui fit un clin d'oeil arrogant pour boire une gorgée de mon eau. Je poussais le bouchon très loin, la provoquant ouvertement tout en gardant un air crédible pour les autres. Oui, aux regards des autres personnes, je ne faisais que donner des surnoms affectueux à ma fiancé. Si seulement ils savaient tous ce qui se tramaient derrière, le dégoût, la haine que nous éprouvions l'un pour l'autre. Dans d'autres circonstances, je suis sur que nous aurions pu nous entendre à merveilles et même, prendre ses fiançailles plus aux sérieux. Mais voilà, nos peines de coeur nous aveuglaient, mon caractère y était pour beaucoup également. Ma souffrance, je la démontrait à travers des actes cruels, des mots blessants. « De toute façon, cette demoiselle ne t'arrivait pas à la cheville, sinon, je lui aurait demandé à elle d'être ma femme chérie et de partager ma vie...jusqu'à la mort. Puis, je n'aime que toi. » Oui, par moment je m'amusais de cette situation, même si celle-ci me laissait un sacré goût amère.
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L'hypocrisie, je connaissais ça. J'y ai vécu toute ma vie plongée dans cet atmosphère. Parce que tout le monde sait que la vie chez les fortunés se passe ainsi. Que des faux semblants, des faux sourires, cette hypocrisie qui, avant, me donnait envie de vomir. Mais j'ai changé, et je suis devenue comme toutes les autres, à minauder quand il le fallait. Ça me répugnait toujours autant, surtout quand je devais toucher le bras d'un homme, quand il m'emmenait sur la piste de danse. Je ne supportais toujours pas qu'on me touche, même qu'on s'approche de moi de trop près. Maintenant, j'en étais servie avec ce pseudo fiancé. Quelle poisse quand même. J'aurais voulu qu'on se taise, qu'on ne fasse que manger, et puis partir. J'aurais voulu lui arracher les tripes à la petite cuillère, surtout quand j'ai lu cet article. Et je me suis vue à la place de cette Ariane. Parce que j'avais vécu exactement la même chose 2 ans auparavant. Oui, j'étais tombée enceinte de mon ex; il n'a fallu qu'une erreur, un oubli et je l'ai regretté toute ma vie. Je le regrette encore. Je n'aurais pas dû m'en débarrasser alors que tant de femmes ne pouvaient avoir d'enfants. Mais qu'aurais-je pu faire d'autre? J'étais encore trop jeune mais surtout, je savais qu'il n'aurait jamais accepté ce bébé. D'ailleurs, je sens encore les coups qu'il m'a donné quand il a appris la nouvelle. Il était entré dans une colère noire; et le lendemain, je suis partie. Je me suis libérée de l'emprise d'un homme et ce n'était sûrement pas pour me retrouver enchaînée à un autre! Je le détestais, tellement... Et là, je faisais vraiment tout pour garder mon calme, pour ne pas me jeter sur lui et l'étouffer de mes mains; je faisais tout pour maintenir mon sourire. « Mais ma petite fraise des bois, cela c'est passé avant notre merveilleuse rencontre...J'aurais préféré que ce soit toi qui porte mon enfant, cela m'aurais bien arrangé. Mais si tu veux tout savoir, je viens également d'être mis au courant. Ariane n'avait pas prit la peine de m'en parler, alors non, je ne suis pas trop déçu. Cela n'a plus d'importance maintenant que je suis avec toi, ma petite reine en chocolat. » Et tous ces surnoms horribles qu'il me donnait. J'étais vraiment à deux doigts de vomir sur lui. Néanmoins, son clin d'oeil eu raison de moi et je lui lançais un regard noir, effaçant mon sourire par la même occasion. J'étais fatiguée de faire semblant. « De toute façon, cette demoiselle ne t'arrivait pas à la cheville, sinon, je lui aurait demandé à elle d'être ma femme chérie et de partager ma vie...jusqu'à la mort. Puis, je n'aime que toi. » Je reniflais alors de dégoût quand il prononça ces quelques mots. Il les prononçait tellement facilement que ça prouvait bien qu'il ne connaissait pas leur sens. « C'est vraiment dommage qu'elle ne l'ait pas gardé. Ce gosse aurait sans doute été le seul que t'aurais eu. Excuse-moi mon amour, mais tu te doutes bien que jamais je ne pourrais te donner des enfants. Rien que ta simple vue me répugne alors ne rêve même pas de poser ne serait-ce que ton petit doigt sur moi. » Et j'étais sérieuse. Je ne m'étais plus laissée touchée depuis mon avortement. Et ça ne me manquait pas. J'avais juste trop souffert pour laisser quiconque ne serait-ce qu'une chance de me blesser encore une fois. Et tout le monde sait que les filles s'attachent facilement, même par le sexe alors...
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Cette fille m'agaçait tellement, j'avais envie de l'envoyer chier et de tout envoyer balader. De lui retourner l'assiette sur la tête, histoire que sa magnifique coiffeur tourne au cauchemar. J'avais envie de pourri sa vie, encore et encore, jusqu'au moment ou elle me suppliera de l'achever, chose que je ne ferais pas...trop heureux de la voir souffrir. Elle me ressemblait de trop, elle était mon double féminin et ça, oui ça je ne pouvais le supporter. Déjà que j'avais du mal à me supporter moi-même, mais si une autre moi rappliquait et ben, là j'étais pas dans la merde. Je ne me gênais pas pour la fusiller de paroles insolentes, que j'espérais arrogantes et énervantes pour ma fiancée. Je compris rapidement que j'avais réussis, surtout quand elle renifla avec dégoût, chose que je faisais régulièrement aussi. Mon sourire mauvais ne m'avait pas quitté, je sentais une tension entre nous monter de plus en plus. La guerre n'allait pas tarder à exploser, le restaurant risquerait bien de subir quelques dégâts coûteux. Qu'importe, je n'en avais vraiment rien à battre. Je voulais la mettre hors d'elle, avoir une raison de lui en coller une belle et en public. J'eus un léger ricanement à ses paroles, plongeant de nouveau mes yeux dans les siens, jouant légèrement avec ma fourchette. Je n'avais aucunes patience et ce petit jeu, je devais l'avouer, commençait à me taper sur les nerfs. « Effectivement, c'est dommage, car Ariane était milles fois plus belle que celle qu'on m'a donné en fiançailles. D'ailleurs, c'est assez drôle de voir à quel point elle m'a semblé magnifique quand je l'ai revue dans son dortoir hier. » Plus rien à foutre des détective, plus rien à battre des jolis mots doux. Isaline était mienne, que cela lui plaise ou non, elle n'avait pas le choix et moi non plus, il fallait faire avec. « De toute façon, crois-tu que j'aille besoin de toi pour avoir des enfants ? Sérieusement, Isaline, le monde grouille de jolies demoiselles... » Je faisais ouvertement pensé à mon infidélité qui n'était pas un secret, surtout pas pour elle. En même temps, je devais bien avouer que le corps d'Isaline me semblait parfait, mais la toucher ne m'étais jamais venu à l'esprit.
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Tout le monde pourrait croire, en nous regardant, que nous n'étions qu'un couple en train de discuter tout simplement, un sourire aux lèvres, à se murmurer des mots doux. Mais quiconque se rapprochait un peu plus remarquerait que ces mots doux n'avaient rien de tels. Des piques déguisées, une insolence et des paroles blessantes qui fusaient à tout bout de champs. Supercherie je vous dis, tout ça pour garder une bonne apparence, qui, finalement, ne servirait à rien de toute façon. Parce que je n'avais vraiment pas l'intention de finir ma vie enchaînée à lui, cet homme de la pire espèce. Je ne comprenais pas ce que j'avais fait, mais je les attirais vraiment. À croire que j'ai un radar à connard sur moi... ou un aimant à connard, c'est pareil. En tout cas, il avait réussi à faire disparaître mon sourire, celui que j'essayais à tout prix de garder. Sauf que je ne suis pas une fille patiente... Et voilà, j'avais décidé d'arrêter de jouer. Plus de mots doux, plus de petits surnoms mignons, juste ma voix sarcastique. J'avais même laissé tomber la douceur de mes propos. Je ne cachais plus ma répugnance de le voir. De toute façon, il savait très bien ce que je ressentais à son égard, et je savais qu'il éprouvait la même chose pour moi. Deux personnes enchaînées à l'autre sans pouvoir se défaire et surtout qui sont totalement opposés. Ou plutôt non, qui sont pareils en tout point et c'est justement ça qui créait ces étincelles. Parce que nous étions tous les deux des sans-coeurs. Lui, il l'était vraiment, moi je faisais tout pour cacher ma fragilité. Et pourtant, peu importe comment je faisais, mais les mots avaient toujours parfois le don de m'atteindre facilement, plus que les gestes en tout cas. « Effectivement, c'est dommage, car Ariane était milles fois plus belle que celle qu'on m'a donné en fiançailles. D'ailleurs, c'est assez drôle de voir à quel point elle m'a semblé magnifique quand je l'ai revue dans son dortoir hier. » Ainsi, il l'avait vue. Je ne voulais même pas savoir combien de temps il était resté dans sa chambre, et encore moins ce qu'ils avaient fait. Je m'en fichais en fait, et je taisais cette voix enfouie bien profondément dans mon crâne qui me disais le contraire. Mon regard se fit alors plus dur et je serrais ma mâchoire. « De toute façon, crois-tu que j'aille besoin de toi pour avoir des enfants ? Sérieusement, Isaline, le monde grouille de jolies demoiselles... » Mais là, à ces quelques mots, je ne pus les laisser passer. Je me levais alors, mais mains sur la table, le regard fusillant. Si j'avais pu le tuer de mes yeux révolvères, alors il serait déjà mort une infinité de fois. « Alors je t'en prie, va rejoindre toutes tes petites salopes, je suis sûre qu'elles n'attendent que ça. Et franchement, elles me rendraient même un énorme service. Au moins, je me sentirais en sécurité dans ma chambre. Tu n'auras aucune raison de la visiter. » Mes mots sortirent dans un sifflement et je remplaçais la fourchette par le verre d'eau, lui jetant le contenu sur le visage. Ouais, j'avais préféré limiter les dégâts quand même, mais je n'avais vraiment pas pu m'en empêcher. C'était ça ou les couverts... Et j'aurais été mal s'il se retrouvait borgne d'un oeil après un simple repas... Je me dégageais alors de la table sans plus aucun regard. Je ne comptais pas rester une seconde en plus en sa compagnie.
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J'avais beau me voiler la face, toutes ses piques, toutes ses paroles blessantes étaient en sorte une façon de la faire réagir. Son ignorance et sa froideur m'agaçais, mais surtout me poignardais quelques fois le coeur. Non, je ne suis pas amoureux. Non, je ne voulais même pas y penser, même pas songer au fait que quelques sentiments étranges étaient en train de pointer le bout de son nez. C'était pur folie, pur connerie. Elle et moi n'étions pas fait pour être ensemble, enfin, c'est ce que je me disais encore et encore. Je me jurais d n'éprouver que de la haine envers elle, du dégoût, de la rancune et également de la pitié. Elle ne pouvait être qu'un simple boulet pour moi, celle qui allait m'empêcher de vivre ma vie comme je le sentais...Une salope sans coeur que je souhaitais voir brisée, comme je savais si bien le faire. Je ne levais pas la main avec elle, non, j'attaquais en paroles et croyez-moi, souvent celles-ci sont plus douloureuses qu'un coup de point dans la gueule. Je déversais donc mon venin sur la jeune demoiselle, sans retenue, sans remords, non, je voulais juste qu'elle explose. Quand je vis celle-ci se lever, je ne bronchais pas, ne bougeais pas d'un poile. Merveilleux ! Plusieurs regards c'étaient tournés vers nous, mais je n'y prêtais aucune attention, observant Isaline avec ce sourire arrogant et salopard que je portais si bien sur mon visage. Je m'appuyais un peux plus sur ma chaise, écoutant ses paroles, qui sans le vouloir, me touchèrent assez. Néanmoins, une fois de plus, je ne montrais rien, restant totalement neutre, souriant bêtement. Avant que je n'aille pu dire quoi que ce soit, un liquide froid percuta mon visage. Là, mon sourire disparu très rapidement et j'essuyais celui-ci avec une serviette. J'allais la tuer...

Me levant à mon tour, laissant de l'argent sur la table, je passais à côté de plusieurs personnes le regard froid et colérique. Isaline venait de faire une grave erreur, elle c'était attaquée à moi en public. Le fait qu'elle aille réagit si brutalement signifiait une chose, mes paroles avaient eu un effet très négatif sur elle. Dans un sens, j'étais bien heureux, de l'autre, ma colère voilait la vérité. Quand je rattrapais celle-ci, elle était déjà près de sa voiture. Pas de chance, je fus plus rapide que le voiturier et attrapais ses clefs au vol. Posant ma main sur la gorge d'Isaline, je plaquais celle-ci contre sa voiture sous le regard apeuré du voiturier et de quelques passants. Je ne serrais pas, non, je ne faisais que la maintenir en place. Mes yeux étaient sombres, mon visage froid et coléreux. « Refais une fois ça en public et je te promet que tu n'auras pas l'occasion de le refaire...Me suis-je bien fait comprendre Isaline. Si cela te déplaît tant que j'aille voir ailleurs, tu n'as cas pas me casser les pieds avec ton arrogance de merde. » Sur ses paroles, je lâchais brutalement la jeune femme. J'avais pris soin, en sortant du restaurant, de chopper une cruche d'eau que j'avais dans mon autre main. Un nouveau sourire apparu sur mes lèvres. « Santé... » Et je vidais la cruche d'eau entièrement sur Isaline.
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Je me doutais bien que j'allais subir les conséquences de mon geste, je le connaissais assez bien pour savoir qu'il n'accepterait jamais de se faire humilier ainsi, et encore moins en public. Mais je n'y avais pas pensé sur le coup. Oh et puis, de toute façon, ce n'est pas comme si je regrettais mon action. Loin de là. Au moins, j'avais pu m'enfuir de ce restaurant, même si j'avais senti plusieurs regards diverger sur moi. Tant pis, ça n'allait pas me tuer. Au pire, on nous retrouvera juste dans les tabloïds, avec un petit "problème au paradis?" comme titre. Ce genre de conneries quoi. Qui était quand même assez idiots pour penser qu'on allait s'unir parce qu'on s'aimait vraiment? Tout le monde pouvait voir que ce n'était qu'un mariage arrangé pour réunir nos deux fortunes. Ouais, ça existait encore à notre époque, au 21ème siècle, ce genre de comportement digne du moyen-âge.

J'avais vraiment espéré pouvoir tout simplement rentrer chez moi, mais non. J'étais sur le point de reprendre possession de mes clefs et de ma voiture quand Mathias les arracha du pauvre voiturier. Je n'eu même pas le temps de réagir que je me retrouvais plaquée contre ma Maserati, ses doigts autour de ma gorge. Je ne paniquais même pas, je ne faisais que le regarder froidement, impassible. Il ne serrait pas sa main de toute façon, je ne sentais que ses doigts, mais ça me suffisait pour me dégoûter. Génial, j'allais devoir prendre une douche en rentrant. « Refais une fois ça en public et je te promet que tu n'auras pas l'occasion de le refaire...Me suis-je bien fait comprendre Isaline. Si cela te déplaît tant que j'aille voir ailleurs, tu n'as cas pas me casser les pieds avec ton arrogance de merde. » Genre, il croyait vraiment qu'il me faisait peur avec ses airs de méchants garçons? J'avais connu pire. Et à ses propos, je ricanais. Quoi, il croyait vraiment que ça me déplaisait? J'en avais absolument rien à foutre. C'est surtout pour moi que je m'inquiétais. Je veux dire, on ne sait pas où est-ce qu'il est allé mettre son engin, alors je ne veux surtout pas attraper des microbes, si vous voulez ce que je veux dire. Sauf que je n'eu même pas le temps de réagir. À peine avais-je ouvert la bouche pour répliquer que je me retrouvais trempée. « Santé... » Le... BÂTARD! Heureusement que je ne portais pas de haut blanc sinon j'aurais pu me croire à un concours de t-shirt mouillé. Je refermais alors ma bouche et me contenta de remettre mes cheveux mouillés à l'arrière. « Si tu crois que juste cette eau me fera hurler, tu te trompes lourdement. Je me fiches totalement que t'ailles voir ailleurs, je veux même que tu continues. De toute façon, ce n'est que ta réputation que t'entache, la mienne reste clean. Et je t'assure que jouer le rôle de la pauvre fiancée au coeur brisé me va à merveille. » Oui, on ne fera que me plaindre alors que lui, cette réputation lui restera collée à la peau, et tout le monde sait que les connards dans son genre, à la fin, finissent totalement seuls et délaissés par tous.
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L'ignorance fait mal au point de voir cette folie vous envahir


Parfois, je me demandais si on n'allais pas finir par s’entre-tuer. C'était vraiment une idée stupide ses fiançailles, nos parents étaient tout simplement suicidaires. Effectivement, un fois notre mariage organisé, nos deux fortunes combinées feraient de nous les plus riches, enfin, l'un des couples les plus riches dans le top trois. Mais quand même, voulaient-ils notre mort ? Ils auraient dû comprendre tout de suite que cela ne collerait pas, que nous étions trop semblables, que nos caractères identiques risqueraient de poser problème. Mais non, ils préféraient fermer les yeux, ils préféraient l'argent à leur propres enfants, c'était pathétique. Personnellement, si un jour je devais avoir un enfant, ce qui était très difficile à concevoir comme idée, je ne lui ferait pas subir sa. Encore une fois, le déjeuner tourna rapidement au carnage et de l'eau valsa dans tout les sens. Bon, cela n'allait pas forcément durer longtemps. Tout ce qu'il risquait d'arriver, c'est que nos noms apparaissent dans un magasine en ce demandant quand nous allions cesser de nous disputer...ce qui veut dire jamais. Nos disputes faisaient parties de nous, de notre faux couple en quelque sorte. Cela nous rapprochais, cela nous séparaient également. C'était fort compliqué à comprendre. En faite, nous étions compliqués tout court. Je venais donc de verser l'eau sur la tête de la jolie demoiselle, faisant ainsi en sorte que sa coiffeur finisse par ne plus ressembler à rien. Elle ouvrit la bouche puis la referma, ce qui me fis ricaner avec un amusement certain. Elle aurait du se douter que je ne me laisserais pas faire si facilement, surtout sans répliquer. Non, ce n'était pas mon genre, loin de là. J'écoutais ses paroles attentivement, même si je n'en avais pas l'air. Elle avait raison, Isaline passerait toujours pour la victime et moi pour le méchant. Encore une fois, je l'avais prouvé devant tout le monde en me montrant légèrement violent et impulsif.

Je posais ma main sur la voiture, juste à côté du visage de la jeune femme. Approchant de son oreille, je viens alors murmurer simplement. « Si seulement tu savais à quel point je n'en ai rien à foutre de ma réputation, de toi ou même des autres...je vais continuer à visiter le lit des autres, encore et encore et tu sais quoi...personne n'en saura jamais rien. Depuis que l'on est ensemble, mon amour, j'ai bien été voir ailleurs dix fois... » J'avais murmurer ses paroles avec une voie mauvaise, tremblante d'une certaine rage que je ne pouvais dissimuler. Parfois, j'aurais aimé qu'elle réagisse, que notre union soit moins explosive, moins pénible à vivre. Mais je savais cela impossible. Isaline était sans coeur, je le pensais réellement, une vraie reine de glace. Pour moi, elle ne pouvait aimer, c'était impossible. Moi, je me cachais derrière mes sautes d'humeur, ma méchanceté et mon arrogance pour penser une blessure très profonde et pas encore guérie. Une blessure provoquée par l'amour, la pire des souffrances. Je m'étais alors juré de ne plus jamais ouvrir mon coeur, de faire pleurer le plus de filles possibles, de toutes les anéantir une par une. Enlevant mon bras, reculant de quelques pas, tenant toujours ses clefs, je m'avançais vers une bouche d’égout et jetais celles-ci dedans. « Ho zut... » Je pris un air faussement confus. « Je suis tellement navré mon amour, elles m'ont glissées des mains. » Regardant le voiturier, qui ne savait pas vraiment ou se mettre, je dis d'une voie arrogante et hautain. « Et quoi, ma voiture elle arrive aujourd'hui ou demain ! » Celui-ci sursauta assez sur le coup, la peur se lisait dans ses yeux, sûrement la crainte de voir mon poing lui arriver sur le nez.
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