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c'est à travers l'intensité des disputes qu'on mesure l'amour. - WALTER

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c'est à travers l'intensité des disputes qu'on mesure l'amour..
J’ai l’impression de pouvoir à nouveau respirer, quand ses bras musclés me serrent contre lui. L’oxygène ne peine plus à trouver mes poumons et je me sens tellement plus sereine à présent que je peux ressentir de nouveau l’affection qu’il me porte. J’ai cru à tort qu’il souhaitait me  railler de sa vie ces derniers jours, alors qu’ils ne donnaient pas de nouvelles. Et je me rends compte que tout cela n’était qu’un malentendu, ou plutôt l’aboutissement du plan de sa nouvelle petite amie. Je ne l’ai jamais autant détesté qu’à cet instant précis. Elle a essayé de nous éloigner, je le devine dans la façon dont le trouble s’installe sur son visage lorsque je lui livre ma version des faits. Et si elle ne me paie pas le fait qu’il soit amoureux d’elle, elle me paiera cette manipulation qu’elle a tenté pour le garder seulement pour elle. Cette Faith est définitivement la personne que j’abattrais et ce, quoi qu’il m’en coûte. « Tu ne pouvais pas savoir… » Répondis-je alors comme pour l’empêcher de culpabiliser. Et en effet, il ne pouvait sans doute pas se douter que sa petite amie tenterait de me battre à mon propre jeu. Il me connaît, je ne lui ai jamais caché mon côté manipulateur et il a alors pensé que je me serai permise d’aller agresser sa petite amie la première. Cependant, je suis bien trop maligne pour cela. Je suis une garce, mais une garce intelligente, c’est ce qui me différencie d’elle. « Je vais avoir une explication avec elle. Je cautionne pas ça du tout et tu sais que t'aurais dû m'en parler directement au lieu de tourner autour du pot. Tu sais que j'ai horreur de ce genre d'histoire et que c'est ce genre de comportement - celui de Faith - que j'ai voulu éviter en restant célibataires. Putain. » Les émotions se mélangent étroitement, je suis à la fois triste pour lui, sincèrement. Même si le savoir amoureux me bouleverse, me brise le cœur totalement, j’aurai aimé qu’il n’ait pas à souffrir de cette situation parce que son bonheur passe malgré tout avant tout. Pourtant une autre partie de moi se réjouie d’avoir rétabli la vérité et d’avoir permis qu’elle soit démasquée, celle qu’il pensait différente des autres. Nos deux corps ne sont plus collés, mais je m’empare de ses deux mains, avant de planter mes grands yeux bleus dans les siens. « Je voulais pas mettre mon grain de sel dans votre couple, je ne voulais pas que tu m’en veuilles de me mêler de tout. » Je savais surtout qu’elle se trahirait toute seule, elles sont toutes tellement impatientes. Moi, je sais attendre le bon moment pour avancer mes pions en douceur. « Je sais que tu as horreur de ce genre d’histoire, parce que moi, je te connais par cœur… C’est un peu pour ça que je te disais de te méfier, on ne peut pas contrôler de qui l’on s’attache mais de l’extérieur, j’avais compris que ce n’était peut-être pas le genre de fille qui te comprendrait… J’aurai voulu avoir tort… » Expliquais-je, lâchant une de ses mains pour du bout de mes doigts caresser son visage déçu. « Tu ne m’en veux pas hein ? Parce que je n’ai vraiment pas envie de te perdre Walter… » Dis-je d’un ton doux tout en le questionnant du regard. Faith n'est définitivement pas une rivale de taille...
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c'est à travers l'intensité des disputes qu'on mesure l'amour..
L’odeur délicate de son parfum chatouille mes narines, je l’imprègne en moi comme un souvenir indélébile. Ces derniers semaines se sont révélées plus compliquées que ces trois dernières années. J’ai cru que Walter s’éloignait définitivement de moi pour se rapprocher de sa nouvelle petite amie, et son absence a obscurcit mon jugement. J’ai pensé ne plus avoir ma place près de lui, et cela m’a mené à prendre des décisions étranges, comme mettre en péril une autre de mes amitiés juste pour oublier que Walter avait pris goût aux lèvres d’une autre. Et pire encore, j’ai dû subir les conséquences de tous mes actes seule, alors ressentir de nouveau sa présence, ses mains entrelacées aux miennes, son regard qui me chamboule de l’intérieur, c’est agréable. Comme si nous étions plus unis que jamais et ce malgré sa petite amie, qui au final, a échoué à son propre jeu, sans que je n’ai vraiment à m’en mêler. J’ai considéré Faith comme une rivale jusqu’à l’avoir en face de moi ce matin-là. Voir dans ses yeux son impatience et sa colère. La voir transpirer de jalousie à mon encontre. J’ai compris qu’elle se trahirait seule, qu’elle se mettrait en péril sans que je n’ai besoin de m’en mêler. Ce genre de fille ne sait pas faire autrement, elles sont incapable d’avoir ne serait-ce qu’une bribe de self control et il ne me fallait qu’attendre le bon moment pour la voir dégringoler du pied d’estal sur lequel elle se hisse seule, comme si elle était importante. J’aurai pu dans d’autres circonstances lui apprendre l’art de la patience et de la manipulation, mais je n’ai pas envie de lui apprendre quoi que ce soit, j’ai simplement envie de la voir se rendre compte qu’elle a fait une erreur en s’attaquant à moi. On ne s’en prend pas à une Kennedy, tout simplement et j’espère qu’à l’avenir elle en prendra conscience, que ce genre de situation déplaisante n’ait pas à se reproduire… Mes pensées vagabondent, je m’imagine déjà son visage décomposé lorsque mon meilleur ami la remettra à sa place. Mais Walter me fait une confidence et je lui reporte toute mon attention. « Je vais lui parler ; j'aimerais vraiment que vous vous entendiez bien toutes les deux, ça me ferait vraiment ... plaisir. » J’arque un sourcil, surprise par sa requête. Est-il sérieux ? Pense-t-il vraiment qu’elle et moi avons une chance de nous entendre un jour ? Je suis l’or, elle le cuivre. Nous n’avons rien à faire ensemble, tout simplement, et pourtant je lis dans son regard que cela compte réellement. Et si je n’acquiesce pas, ses yeux risqueraient de ne plus me scruter avec autant de tendresse. Jusqu’à quand cette blondasse va-t-elle bien me pourrir la vie ? Je souris, timidement, trouvant une façon de formuler mes pensées. Je ne peux pas nier que je la déteste et que je n’ai nullement envie de faire d’effort envers elle. « Cela risque d’être compliqué… » Dis-je tout en réfléchissant à toute vitesse à une suite qui ne le braquerait pas. « Je tiens énormément à toi et voir qu’elle te cause des problèmes ne me plais pas vraiment tu sais… J’ai l’impression que tu mérites tellement mieux… » Continuais-je en m’exprimant de la manière la plus sincère qu’il soit. « Mais je ferais un effort si c’est pour toi. » Ajoutais-je ne sachant pas vraiment si j’en serai capable. Pas que l’hypocrisie ne soit pas un trait que je puisse manier, c’est important de ne pas montrer aux gens que nous n’apprécions guère qu’ils n’ont aucun intérêt pour nous en politiques. Les sourcils commerciaux sont la base de toute bonne politique, mais j’ai pas simplement peu d’intérêt pour elle, je rêve aussi de lui arracher sa crinière blonde. Sa peau est particulièrement douce, je ne m’en étais jamais tant aperçue que maintenant, alors que mes doigts glissent sur sa peau avec délicatesse. Je ressens de nouveau cette petite flamme qui s’allume brusquement dans mon abdomen. Et alors comme si j’avais été en contact avec de l’électricité, je retire ma main, d’un coup. Je pensais que notre amitié reprenait le dessus, et que ces émotions étranges s’étaient estompées, pourtant elle semble persister alors que nous sommes si proches. C’est plus que de l’amitié, j’en prends conscience à présent et j’entends à peine ses paroles. « Tu sais, c'est pas ma femme. C'est ma copine. Et tu sais ce que ça veut dire être "ma" copine. » J’ai essayé de me la cacher jusqu’à maintenant, mais Walter n’est pas mon meilleur ami. Pas seulement du moins. Ce n’est pas d’un amour fraternel que je l’aime, c’est plus intense, plus profond, plus… Passionné. Je ne parviens pas à comprendre pourquoi cette évidence me saute au visage seulement maintenant… Il semble que j’ai été le temps d’un instant moins méfiante vis-à-vis de mes émotions, et elles surgissent comme un électro choc. Je recule d’un pas, me heurtant à la porte. Mon cœur s’emballe. Ma bouche se dessèche et je me contente de sourire, comme si tout cela n’était pas en train de se produire. Comme si l’évidence ne m’assommait pas. J’aime Walter d’un amour… D’amour. Tout simplement. Cet étroit mélange d’amitié et de passion, de désir et de dépendance n’est autre que de l’amour. Pur, simple. Ca ne ressemble pourtant à rien de ce que j’ai pu éprouver pour Xaver, comme si ce n’était qu’un centième de ce dont je suis capable avec ce dernier. Mon être entier réclame Walter parce que Walter est celui qui fait s’accélérer les battements de mon cœur, celui qui me fait vaciller de l’intérieur. Je tente de rassembler mes idées pour ne pas lui montrer mon incompréhension. « Je sais ce que ça veut dire en effet… » Formulais-je, à présent gênée par une simple conversation. Il faut que je prenne l’air, il faut que… « Ca m’a fait vraiment plaisir de pouvoir te parler de tout ça… Ca me rongeait… » Avouais-je. « Mais je ne veux pas t’accaparer trop longtemps alors que tu étais en pleines révisions… »
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