SASKIA Y. DROSKI → Park Chanyeol

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle maru et j'ai bientôt 22 ans. Je suis canadienne, mais je vis présentement au Japon et j'ai connu le forum parce que j'y étais il y a bien longtemps.  Ma petite ash m'a donné envie de revenir alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Park Chanyeol comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 700 mots par RP (voir plus ) et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ j'espère bien m'intégrer !
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Saskia n’a jamais vraiment eu une vie ordinaire. Il est né d’une mère coréenne et d’un père russe, ce dernier vivant en Corée. Rien de plus banal. Son père ayant un rôle important au sein du gouvernement coréen, son travail lui demandait souvent de partir en voyage, parfois plus de deux semaines. Au terme de sa grossesse, papa Droski décida de traîner sa femme avec lui, de peur que quoi que ce soit arrive en son absence. Il faut croire que son instinct avait eu raison puisqu’elle accoucha en sol Russe. Pour une mère qui voulait que son bambin soit élevé de façon coréenne et un père qui le voulait Russe, ni l’un ni l’autre ne pu faire un choix. Dès le tout jeune âge de Saskia, son père fut muté en Amérique. Plus question de vivre en Asie, l’Amérique ouvrait ses portes à la nouvelle petite famille. Papa Droski trouva un emploi qui lui rapportait bien plus que le simple emploi qu’il occupait au sein du gouvernement, ce qui supporta la famille pendant un long moment. Jusqu’à ce que la mère de Saskia tombe gravement malade, forçant la famille à déménager une seconde fois, cette fois-ci pour être un peu plus près de la ville. Saskia devait avoir quinze ans. Il tentait de rester fort, de montrer à tout le monde que cette situation ne l’affectait point. D’ailleurs, c’est un trait de son caractère qu’il arbore toujours, aujourd’hui. Ne jamais admettre que quelque chose ne va pas. Bref. Tout ça pour dire qu’il manquait plusieurs de ses cours pour voler au chevet de sa mère dès que celle-ci se sentait mal. Tout ce petit manège dura un peu plus de quatre ans. Juste assez longtemps pour donner envie au jeune Saskia de devenir médecin. Il n’avait pas envie de perdre sa mère. Il n’avait pas envie de se retrouver seul – parce que son père passait beaucoup plus de temps à l’extérieur de la maison qu’en dedans de celle-ci. Sa vie avait toujours été décidée pour lui. On lui avait toujours dit quoi faire, quand le faire. Maintenant qu’il peut décider, vous vous imaginez bien qu’il se laisse aller à fond. Il ne laisse pas une occasion passer. Malgré ses grandes débauches, il arrive à avoir d’excellentes notes dans tous ses cours. Il faut croire que le stéréotype de l’asiatique bon à l’école peut se révéler réel dans certaines situations.