JENO&SKYLAR # méfiez-vous des toilettes.

Selon une petite rumeur, mon dealer détesté était de retour. J'ai préféré en rire, vraiment. Je l'avais presque oublié celui là. Moi c'était comment on dit déjà... Évanoui dans la nature, après cette fais suspendre de l'université. J'ai bien cru que c'était pour toujours, il doit avoir plus d'argent que je ne le croyais. Ce n'est pas grave, je m'en fichais ce n'était qu'un mather comme un autre, inutile. Je ne l'ai pas toujours détesté il faut l'admettre, mais les gens changent et moi aussi. Exit la Skylar fleure bleue et amoureuse d'un dealer, bonjour Skylar réaliste et championne du lancer de mather. C'était halloween, un halloween dans le noir. Plus flippant tu meurt, vraiment. J'ai crié aux mois trois fois se soir avec tout les déguisements qui se trouvait autour de moi. Zombie, zombie, zombie, oh un sorcier, zombie encore. Pfeuh, il fallait que j'aille me rafraîchir un peu, je crevais de chaud, et pourtant mon costume était assez "aéré". J'essayais de trouver les toilettes de souvenir, j'avais perdu ma lampe poche quelque part et mon portable allait me lâcher d'un moment à un autre, alors je l'ai éteint. Je me retrouve devant deux porte, l'une des deux et pour les filles, bon alors gauche ou droit ? Je tente la gauche, juste pour voir.

Toute personne saine d'esprit saurait que Jeno, c'est le mal. Jeno c'est même plus que ça : c'est des emmerdes, que des emmerdes. Il est sérieusement atteint, tellement que la plus performante des psy trouverait que c'est un taré, un dealer qu'on devrait enfermé et qui n'a rien à faire sur un campus. J'étais tombé amoureuse de se târé, et je me demandais souvent se que j'avais pu lui trouver et je me souvenais. Quand il riait tout le monde riait, il était plutôt canon, voir plus que ça, et il était intéressé par moi. La minette que j'étais a craqué pour tout ça et surtout : son air de gagnant, affiché en permanence sur son visage. Je dois dire que même aujourd'hui je pourrai avoir un faible pour lui si je n'étais pas aussi.. Rancunière. J'entrais dans les toilettes qui semblait vide, mais qui ne l'étais pas en fait. J'entendais quelqu'un, puis le vis grâce à un peu de lumière. Jeno, oh merde Jeno. L'un de nous n'étais pas à sa pace, reste à savoir qui, mais là encore je m'en fichais. Ca faisait si longtemps que je n'avais pas eu affaire se type et j'avais un avantage : Je savais pourquoi il c'était fait expulser un petit moment et à cause de qui. Je suis sûr qu'il voudrait le savoir, et moi j'ai trop envie de voir sa tête quand il l'apprendra. Carpenter ! C'est que les morts reviennent pour Halloween, c'est donc vrai. Je sursaute en entendant la porte se fermer derrière moi, toute seule. Je suis du genre peureuse voyez vous, dans le noir.

Je vois la cam, mais je ne dis rien. C'était trop amusant, il ne savait rien. Je me demandais se qu'il arriverait si on le prenait avec ça sur lui, j'espérais que ça allais être une grosse punition j'ai une certaine satisfaction à le voir souffrir. Pour ton plus grand plaisir, n'est-ce pas miss Romanov ? Je t'ai manqué n'est-ce pas ? Je ne pensais pas que tu en étais resté au stade de me suivre encore. Tu sais bien qu'entre nous c'est pas possible. Je ricane, il n'avait pas changé d'un pouce. Moi qui croyait qu'un petit moment loin de certains de ses amis l'avait changé, et bien il faut croire que non. Peut-être qu lui faudrait un autre petit voyage pour aller mieux ? Un allez sans possibilité de retour serait le mieux n'est-ce pas ? Je suis folle de toi tu le sais bien. Je n'arrive pas passer à autre chose, dans mes rêves les plus fou tu es toujours là. Je ricane, tout ceci était bien sûr faut je vous rassure, je n'avais pas pensé à lui depuis un bon moment. Ca fait du bien d'être de retour ? Je veux dire, tu as retrouvé tes acolytes toxico, ta soeur un peu barré et ta garce, -pardon- grace. Le grand Jeno Carpenter est de retour. J'espère que tu deal plus, ça serait dommage que tu nous quitte encore une fois.

Je t'emmerde.[/i] Je ricanais à ses paroles, ça allait pas tardé à venir il allait savoir. Il allait comprendre, que c'était moi qui l'avait balancé. J'en avais même pas honte, j'étais même plutôt fière. Aucun scrupule, aucun regret et je n'avais même pas peur de lui. Moi aussi. Un grand sourire s'affichait sur mon visage, qui devint encore plus grand lorsqu'il compris se que j'avais fait. [b]D'ailleurs c'est étrange tu connaisses la raison de mon départ vu que c'est confidentiel et que même la présidence de la Mather House n'était pas au courant. C'est bizarre sauf si c'est toi qui m'a balancée sale pute J'haussais les épaules, regardant le ciel comme si j'étais un ange avant de poser une main sur sa joue. Tu comprends vite les choses Jeno, il y a peut-être un espoir pour toi. Je me contente de lui offrir un méchant ricanement. Je t'ai baisé Carpenter, moi, Skylar. Et je n'hésiterais pas à recommencer.

Je l’ai toujours vu avec son air supérieur sur le visage. Il pensait qu’Harvard c’était du gâteau, que c’était son territoire, sa place de jeux et qu’il pouvait y faire ce qu’il voulait. Hé bien c’est faux. J’ai réussi à lui retirer sa place de jeux et sans l’aide de personne. A vrai dire, celle qui va se faire baiser, c'est toi Skylar et tu sais pourquoi ? Parce que je suis là. Je ne peux m'empêcher de pouffer à ses paroles. Vraiment ? Il fait peur à des gens avec ça ? Ca ne t’étonne pas que je ne me sois pas fait renvoyer plus longtemps que ça ? Tu ne devrais pas trainer seule ces temps-ci, juste à titre d'information parce qu'apparemment tu n'as pas réfléchi aux conséquences et tu ne sais pas dans quoi tu viens de t'embarquer ma vieille. Un sourire des plus grand s'affichait sur mon visage. Pour moi, rien de ce qu'il venait de me dire n'était à prendre au sérieux, il n'arrivera pas à m'atteindre quoi qu’il fasse, et puis il n'est pas aussi débile qu’il en a l'air; il n’oserait pas me faire de mal physiquement. Et puis, je sais me défendre. Tu crois que tu me fais peur ? Tu crois que je ne savais pas ce que je faisais lorsque j'ai pris mon air le plus innocent et le plus saint que possible pour aller balancer mon petit discours tout préparer au doyen ? Je n'ai pas peur de toi ou de tes petites menaces à deux balles. Et puis, tu es sûrement sur la select à l'heure qu’il est; t'as vraiment envie de te faire remarquer ?