ABIGAEL KENNEDY WILLIAMS ► Emily Didonato

C'est le 2 Septembre à Londres, que les membres de la famille Williams m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Abigael. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine et de Français depuis 2 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Quincy.

Abigael K. Williams

Looks alot like Emily Didonato

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle chocolat et j'ai 16 en décembre. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à un top-site. Ce forum m'a tapé dans l'oeil, avec autant de membres et un design aussi magnifique alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Emily Didonato comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par glass•skin & idk. Je fais environ 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ je vous aimes déjà, éoué. **
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
C’était un jour particulièrement dure oui, il faut le dire. Heureusement, je ne suis pas celle qui à le plus été victime de cette bombe. Je me trouvais dans la bibliothèque à cette heure ci. Je faisais des recherches pour un devoir important, quand je fus soudainement violemment projeter sur le côté. Un bruit assourdissant avait péter dans le creux de mon oreille. Je m’étais retrouvé à terre, sur le ventre, les cheveux en vrac devant la figure et le visage plein de poussière et d’égratignure. Je n’avais rien de casser, encore heureux. Seulement j’étais ouverte au niveau du genou, et beaucoup de sang coulait de long de ma jambe. Le visage pale, remplie de terreur, j’ai tenté au mieux de quitter le bâtiment. Je boitais et me tenait aux murs qui menaçaient de s’écrouler.

GROUPE 1: CABOT.
Je pense qu’Abigael devrait incarner ce groupe, étant donné ses manies de toujours vouloir se montrer parfaite et au goût du jour. C’est le genre de fille, qui se sait jolie, et qui ne supporte pas de se retrouver célibataire. Peu importe quand et comment, elle se transforme en félin près à partir à la chasse. Mais il faut savoir qu’elle choisit ses copains judicieusement ! ‘Pas question de fréquenter et surtout de sortir avec n’importe, elle à un minimum de fierté ! L’amitié c’est quelque chose d’important pour elle. Elle est fidèle et ne supporte pas la trahison au risque de devenir rancunière.

GROUPE 2: QUINCY
Abigael est une fille généralement apprécié des gens. C’est pas compliqué, elle a tout pour plaire ! Mais attention, il se trouve que derrière ses airs de gentilles filles, peut se cacher une fille charmeuse, rancunière et imposante. En clair, mieux vaut ne pas lui chercher les mouises, ou le prix à payer sera…cher ? Alors, celui qui en fait son ennemie, sera son ennemie le restant de sa vie, et elle ne lui laissera pas vie simple.

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(Invité)

« WE’RE BORN TO DIE »
La sage femme tenait un enfant dans ses bras, qu’elle alla directement apporter à un homme sagement assied sur une des chaises de la salle d’attente. Il avait la tête ailleurs, tellement préoccupé par ses pensées qu’il ne vit même pas la jeune femme arrivée. C’est quand elle le félicita de sa progéniture, qu’il leva enfin la tête et prit l’enfant dans ses bras. Un sourire se tira sur ses lèvres, heureux de voir en chair et en os la fille qu’il avait attendu durant 9 longs mois. Ses yeux brillaient de joie, tandis que l’infirmière baissait la tête, visiblement accablé. L’homme lâcha alors l’enfant du regard, et essaya de lire dans celui de la femme. « Que…Que c’est-il passé ?... » avait-il dit dans l'incompréhension. Il n’était pas pessimiste, au contraire. Seulement le visage pâle et la mine triste de la femme voulait exprimer quelque chose d’inexprimable. « Votre femme…Je suis désolé mais...Elle-Elle a donné sa vie en échange de la sienne. » avait-elle répondu, la voix faible, les yeux rivés sur le bébé.
C'est en ce jour qu'une vie dont un enfant aurait bien eu besoin le long de sa vie, s'est éteinte. C'est en ce jour triste et joyeux que j'ai perdu ma mère. Oui, cet enfant c'était moi, et moi seule.

J'ai donc grandit sans grande présence féminine à mes côtés, juste mon grand-frère plus grand de deux ans, et mon imbécile de père. Mais il y’ avait tout de même une femme sur qui je pouvais compter : ma grand-mère. Elle était celle qui me donnait des conseils au sujet des garçons, celle qui m'avait appris à devenir la jolie demoiselle que je suis aujourd'hui. Elle avait fait tout ce que ma mère n'avait pas eu l'occasion de faire pour moi, et je ne l'a remercierais jamais assez. Seulement il semblerait que je ne sois pas destiner à vivre avec ce que d'autres appellent "une maman", puisque ma grand-mère nous à quitté lorsque j'avais 16 ans. Ça à été dure pour moi, très dure. Tous le monde sait que le cancer, ça ne pardonne pas! Alors oui, j’en ai pleuré, durant des jours, des semaines, mais c’est comme ça. Je me suis alors promis d’aider toutes les personnes atteintes de cancer, en honneur à ma grand-mère. Même si les maths n’ont jamais été mon fort, j’avais l’intention de faire des études de médecine, et peu importe les sacrifices qu’il y aurait à faire.

C'est après la mort de ma grand-mère, que nous sommes venus vivre à Harvad, mon frère, mon père et moi. Londres est une ville que j'aime tout particulièrement, et il à été très dure pour moi de la quitter. Mais voilà, les études avant tout! Et puis mon père est un businessman pas mal réputer à Londres, et les voyages d'affaires il en à de plus en plus. Etant mineur, j'ai été obligé de le suivre quoi!

« MAN, EASE MY MIND, WILL YOU ? »
Me voilà arrivée à Harvard, la parfaite université dans l’étude de mon choix. J’ai eu beaucoup de mal à y arriver, mais je me suis battu, comme je l’avais promis. La médecine et le Français sont aujourd’hui mes principales partenaires pour ce qui est d’arriver à mes fins. Ma mère était Française, c’est une façon comme une autre de monter que je pense à elle. Et puis le français est principalement utilisé dans la médecine, ça pourrait m’être plus qu’utile. Mon frère était lui aussi élève à Harvard. Etait oui, car il est mort.

Comme dit précédemment, je me trouvais dans la bibliothèque le jour de l’attentat. Je me trouvais entre les étagères de livre, à la recherche du manuel idéale pour un horrible devoir. Mais ce qui avait suivit était bien plus horrible que mon devoir. Un bruit assourdissant avait raisonné dans le creux de mon oreille, tandis que tout mon corps avait été projeté et ensevelis sous les livres. A terre, les cheveux devant la figure et le visage plein de poussière et d’égratignure, j’espérais juste ne m’être rien cassé, pour pouvoir sortir rapidement du bâtiment. J’étais seulement ouverte au niveau du genou, et beaucoup de sang coulait de long de ma jambe. Le visage pale, remplie de terreur, j’ai tenté au mieux de quitter le bâtiment. Je boitais et me tenait aux murs qui menaçaient de s’écrouler. Des corps étaient éparpillés autour de moi, vivants ou morts. Je n’arrivais à reconnaître personne, tellement la panique était présente. Je respirais fort, et rien pour moi n’avait de sens. Mais c’est quand je le vis lui, que ma vie tout entière c’est écroulé. Mon frère était allongé le long des escaliers. Son visage était pâle et son corps était couvert de sang. Quelques larmes commençaient à apparaître du coin de mon œil. Il était en train de mourir sous mes yeux, et pourtant lui n’avait qu’une chose en tête : savoir comment moi je vais. J’étais sa petite sœur, et je peux comprendre que ma protection est l’une des premières choses qui lui importe. Mais après ? Moi je tenais debout, ce qui n’était pas son cas. Son pouls devenait faible, tandis que je tentais le massage cardiaque. Il n’y avait rien à faire, il avait perdu beaucoup trop de sang. J’ai alors ensuite tenté de stopper l’hémorragie avec un bout déchirer de mon t-shirt. Des larmes de crocodile, de vraies larmes coulaient le long de mes joues. Je criais. Je ne voulais pas le laisser partir, par lui. Je n’avais qu’une idée en tête, le sauver, et ceux à n’importe qu’elle prix. Je voulais le porter, le sortir d’ici, l’emmener aux urgences, mais c’était inutile. Mon frère perdait connaissance, et ma main dans la sienne, les flaques de sang inondés de larmes, je l’ai perdu.

Depuis ce jour, vous vous doutez bien que je suis encore plus déterminer que jamais à arriver à mon but. J'aimerais sauver des vies, pour celle que je n'ai pas pu sauver. Je ne m'en suis jamais remise. Aujourd'hui encore il m'arrive d'en pleurer le soir. J'évite de me montrer faible aux yeux des autres, mais ma peine est souvent trop forte.

The End

(Invité)