Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityELYS Ϟ L'avant-Halloween est propice aux grosses disputes et aux gros cris ...
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ELYS Ϟ L'avant-Halloween est propice aux grosses disputes et aux gros cris ...

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Tu me reproches des choses, mais tu n'es pas mieux que moi, chérie.
J'ouvre les yeux après une longue nuit de sommeil bien mérité après avoir donné mon maximum à la plus belle des demoiselles. Posé dans mon lit, j’entends l'eau coulé dans la douche ; Eliah est déjà levée. Je souris de la savoir pas encore parti; je vais surement pouvoir la tirer à nouveau dans le lit pour un petit temps de ... on a comprit. Je souris rien qu'à cette pensée, un sourire narquois et pervers. Je m'étire un coup et remet mon boxer qui traine sur la chaise à coté du lit avant de me lever. Je sors de la chambre pour voir si mon colocataire est encore là, rien, pas un signe de mon cher Théo ; on pourra donner un concerto alors. Je suis d'une connerie ! ça me met en joie et au moins, pendant qu'on le fait, je ne pense à rien d'autres meme si j'avoue que j'abuse à la pousser à le faire comme si on n'était des lapins mais bon. Je retourne dans la chambre, j'entends toujours l'eau couler et en regardant la chambre du regard, je vois sa pile de vêtement à coté de son sac et là un bout enveloppe dépassant manquant de tomber a tout moment. Je m'approche donc et la tire pour la remettre bien dans le sac mais un cachet étrange et bien connu sur enveloppe me crit de l'ouvrir. Je la pose dans le sac, bien au fond mais ma curiosité me pique et je la tire direct, l'ouvrant. Un courrier qui semble administratif ! Je le lis et mon expression change du tout au tout ; un stage d'ici à peine une semaine, loin de cambridge ... Je vois rouge direct et me lève, me sentant trahi. je n'aurai pourtant pas été contre mais la colère est trop fort ; pourquoi me l'a-t-elle caché ? Je fonce comme un fou vers la salle de bain, faisant valser la porte d'un coup de pied bien placé, je suis très sanguin en ce moment mais émotion faisant le yoyo tant on me dit "perturbé" ... Oui, on me force à parler à la bonne femme du la fac parce que c'est dur d'avoir deux frères en moins près de soi ; ouais, bah ça m'arrange pas de parler à ce que je vois. Je la vois, nus sous la douche, elle se retourne, choquée. Je lève la main, montrant à travers la vitre de la douche ce que j'ai trouvé et gueule : Bordel, tu comptais me le dire quand merde !? Alors qu'elle arrête la douche, j'ouvre la porte de celle-ci avec violence, on sent la déception que cela m'inflige parce que meme si j'aurai été ok pour son départ, j'ai tellement besoin d'elle que ça me fout en panique alors je deviens de plus en plus dingo au fur et à mesure que l'histoire monte dans ma tête. M'approchant de la douche à présent ouverte et de ma femme nue, j'attrape son bras, le compressant sans réellement vouloir en criant : Merde, répond, tu comptais me le dire quand ? Tu me l'as pas dit parce que en fait, tu voulais rompre ou alors tu avais pitié ? Ma voix se brise, montrant ainsi que la colère est un désespoir, une peur d'abandon et je m'en veux direct. J'ai l'impression de me retrouver au jour où j'ai appris le départ de Denys et que j'ai été violent face à théo.
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    Qu'elle vienne passer ses nuits ici était presque devenu normal en ce moment. Si tout allait bien ? Oui, non mais il fallait faire comme si que oui. Si on omettait qu'il ne fallait pas parler des choses qui ne vont pas , ils avaient une vie de couple tout à fait normale. On évitait donc pour le moment tout ce qui était sujet aux crises et aux clashs. Pour le moment. Jusqu'à ce matin où pourtant tout devait bien aller.Jusqu'au moment où Emrys fît irruption dans la salle de bains tel une furie , d'une violence dont elle n'avait pas l'habitude et qui c'est vrai , la choquait.Sur le coup , elle ne comprit d'ailleurs pas tout de suite de quoi il s'agissait , ce qu'il lui reprochait exactement.Ce n'est qu'en reconnaissant l'enveloppe à travers la vitre de la douche qu'elle comprit.  L'objet de la discorde , c'était donc ça. Ce simple bout de papier , pas si simple que cela car c'était un précieux sésame pour une opportunité en or.  « Tu fouilles dans mes affaires maintenant »  lâcha t elle froidement alors qu'elle arrêtait la douche.Elle savait qu'elle allait devoir s'en justifier un moment ou un autre mais elle n'aurait jamais pensé que le moment viendrait aussi tôt , sans qu'elle ait décidé où , quand et comment. Elle détestait se retrouver au pied au mur ainsi. Bien sûr qu'elle comptait lui en parler , elle voulait juste trouver le moment idéal , quand elle aurait pris sa décision et non pas parce qu'elle voulait rompre ou pitié comme il le pensait. Face à cette violence inédite , elle ressentait stress et incompréhension qui miroiter dans son regard malgré elle « Lâche moi , tu me fais mal.Je vais te répondre et t'expliquer mais lâche moi d'abord»  retenant son souffle alors qu'il la retenait toujours par le bras et qu'elle tentait de se libérer de son emprise.
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Je perds mon sang froid. Je ne supporte pas qu'elle ait pu me mentir ; je ne comprends pas. J'aurais voulu qu'elle me le dise; là, ça aurait pu être mieux, j'aurais dit que c'était génial pour elle, la meilleure occasion mais au final, rien. Avec une grande froideur, elle m'avait lâche, choquée ; « Tu fouilles dans mes affaires maintenant » Je ne souriais pas, je me sentais d'humeur acariâtre. C'était si compliqué ! Je tenais son poignet avec force, la menaçant presque dans mon état désespéré, parce que j'avais mal qu'elle m'abandonne au fond. Je tentais de me calmer mais je bouillonnais réellement de l'intérieur, incapable de savoir quoi faire pour me sortir de cette soudaine violence et saute d'humeur. Je sentais donc qu'elle tentait de se défaire de mon emprise et je l’empêchais de le faire de son propre chef ; elle était en panique, moi aussi, inconsciemment. « Lâche moi , tu me fais mal.Je vais te répondre et t'expliquer mais lâche moi d'abord» Des cris, elle m'en voulait et c'est ce qui me fit la lâcher en reculant, me prenant le mur de plein fouet et manquant de me cogner la tête dans une tablette au mur. Je frottais l'arrière de ma tête. Je la regardais, attristé mais toujours énervé. Je repris alors ; C'est bon, vas y tu me prends la tete ... Je lui tournais le dos, retournant dans la chambre en claquant la porte violemment mais très vite, elle revenait, une simple serviette autour du ventre. Meme si au final, ça se terminait bien ou qu'on se parlait pas, on l'aurait toujours mauvaise sans pour autant pour pouvoir se séparer ; je le savais. Je fonçais telle une furie vers la fenetre de ma chambre et prenait une cigarette, m'asseyant sur le rebord, regardant le dehors sans me cacher alors que je me trouvais seulement en boxer. Quand je sentis sa presence, je reprenais ; Sinon si tu veux partir ... tu peux y aller, tu sais ... apparemment, tu aimes ça ... PARTIR ! Je lui rappelais ce qu'elle m'avait fait deux ans auparavant parce que je l'avais mauvaise.
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    Tout ce qu'elle voyait, c'était la colère qu'il ressentait contre elle et le fait qu'il lui en veuille. Sans réussir à comprendre ou voir ce qui se cachait en réalité derrière , ce que ça impliquait pour lui , l'idée qu'elle puisse partir ou alors lui avoir caché . Tout ce qu'elle ressentait, elle, à ce moment là, l'empêchait de pouvoir passer au delà de tout cela , de ce qu'elle voyait, de ce qu'elle ressentait elle.Là pour le moment,c'était impossible , égoïstement impossible.Perdant à son tour son sang froid, elle chercha à se défendre en répondant par l'attaque par la contre-attaque comme ils en avaient l'habitude. Il finit par la lâcher mais elle faisait tout pour éviter de devoir croiser son regard à nouveau. Quand il quitta la pièce, elle s'empressa d'enrouler son corps dans une serviette de bains et prit quelques minutes pour elle, pour souffler , tenter de retrouver son calme avant de devoir l'affronter à nouveau.Ce n'est pas tant le fait qu'ils se clashent qu'il lui faisait de la peine , non ça maintenant c'était normal qu'ils se prennent la tête , mais plutôt la dimension et l'intensité que cela prenait. Le malaise était plus que perceptible.Malgré tout, cela ne pouvait pas s'arrêter comme ça et elle le savait.Juste dans ce silence régnant entre eux alors qu'elle se tenait à l'entrée de la porte de la chambre, adossée, n'osant faire un pas vers lui alors qu'il se tenait à la fenetre. C'est alors qu'il prononça les mots qui ranima chez elle sa colère se sentant blessée. Ce qu'elle ne prit même pas la peine de chercher à masquer sur son visage malgré son orgueil.C'était la réplique de trop , l'attaque de trop , le reproche qui faisait beaucoup plus mal que n'importe quelle autre remarque et sans doute encore plus que la douleur physique. Il savait très bien qu'elle se sentirait toujours coupable alors c'était toucher , l'attaquer sur son point faible.C'était tellement bas, tellement faible, tellement facile de l'attaquer sur cela , à ce moment là ... Oui, celle-ci , elle avait du mal à l'encaisser « Arrête, ça n'a rien à voir Emrys. Si c'est pour que tu me le reproches à chaque fois alors qu'est ce qu'on fait ensemble?» Ses mots sortirent en réaction défensive à son attaque. Il lui fallut d'ailleurs du temps , du temps pour prendre sur elle avant d'oser reprendre la parole , toujours glaciale mais un peu plus calme :  "Tu me laisses t'expliquer maintenant?"
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Je me sentais bléssé; je devais l'avouer ... elle me demandait de parler de me confier mais elle, elle me mentait ; quelle ironie ! Je la regardais du coin de l’œil : elle se trouvait adossée contre l’embrasure de la porte et me regardait d'un air coléreux, vexée de ce que je venais de dire, la corde que je venais de toucher ; sa corde sensible. Je la sentais bouillonnante et Elizabeth Bennet était bien dans son corps et son esprit à ce moment-là tout comme j'abritais en moi Darcy : l’orgueil fort revenait en nous. Elle prit la parole sur un ton plus qu'assuré ; « Arrête, ça n'a rien à voir Emrys. Si c'est pour que tu me le reproches à chaque fois alors qu'est ce qu'on fait ensemble?» Je regardais le loin, le vague dans cette rue en bas de chez moi où les gens bougeaient, marchaient, criaient. Je ne répondais rien, faisant l'arrogant comme je savais si bien le faire. Ouais. Elle avait directement repris : "Tu me laisses t'expliquer maintenant?" Je tirais sur ma cigarette, sentant cette doucement fumée couler dans ma gorge et me déstresser peu à peu pourtant j'étais tellement vexè dans mon orgueil que je fis de meme et campa sur mes positions dans mon ton, un ton fier, arrogant, froid ; J'écoute ... de toute manière, il faudra en parler un jour de ce mensonge, de ce non-dit, ma chérie ! Je ne voulais pas plus parler mais je ne pus m’empêcher, vraiment piquer dans mon orgueil : Et après ça parle et ça te dis que je mens sur comment je vais, que je ne parle pas ... pfff j'avoue que ça me déçois Eliah ... Mes paroles sont plus dans la lassitude et toute l'arrogance est partie.
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    Il la défiait à la Darcy avec cette arrogance dont il savait si bien jouer et qui à chaque fois, ravivait chez elle ses instincts de défense les plus basiques et qui la poussait à répliquer en utilisant exactement les mêmes armes.Quite à envenimer la situation et ne pas la témpérer. Mais c'était plus fort qu'elle , elle se devait de répliquer.Surtout qu'elle détestait ce sentiment d'être jugée , qu'on lui donne des leçons surtout quand on était mal placé pour le faire. Il était déçu par son comportement ?! Sérieux ?! Non,c'était lui qui osait lui dire ça , vraiment ? Et puis , oser comparer leurs deux situations totalement différentes qui n'avaient à voir ? Elle ne pût refreiner un petit rire totalement cynique alors qu'elle avançait en sa direction , le défiant arborant un petit air supérieur totalement assumé «Un mensonge ? Quel mensonge ? Mais, je ne mens pas moi mon chéri. A personne et surtout pas à moi-même» insistant bien sur le moi , avec un petit sourire narquois feignant de n'avoir rien à se reprocher, pour bien marquer la différence entre elle et lui. Car elle n'avait aucunement l'impression d'avoir menti et ne se trouvait même rien à se reprocher dans l'histoire. Et pourtant, quelque chose en elle la poussa à se justifier mais toujours mêlé au ton sarcastique qui ne la quittait pas quand elle était énervée et blessée, ne supportant pas ses insinuations « J'allais t'en parler. Parce que c'est ce qu'on fait dans un couple, parler.Tu vois, j'étais pas encore sure de ma réponse jusqu'à maintenant.Mais je te remercie tu m'as ouvert les yeux sur ce que doivent être mes priorités .... Oui je vais partir. Après tout,c'est ce que j'aime faire : partir non ?»
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Je bouillonnais de l'intérieur et je ne pouvais pas me calmer, c'était impossible. Elle m'énervait de trop là à faire la madame je suis sure de moi alors que Nada, évidemment. Je me sentais blessé, encore une fois et en plus, par la femme qui faisait battre mon cœur. Je sentais bien qu'elle était aussi énervée que moi, limite prete à tout casser entre nous, juste pour avoir raison et ça ne faisait que plus me faire montrer le rouge, la haine, la colère au joue parce que je savais qu'elle avait tord, tord de ne rien avoir dit alors lorsqu'elle ouvrit la bouche, je sentais mon regard se durcir ; «Un mensonge ? Quel mensonge ? Mais, je ne mens pas moi mon chéri. A personne et surtout pas à moi-même» Je frappais contre le mur, mon poing ne pouvant tolérer ses paroles : comment osait-elle ? je ne lui mentais jamais, oui, je me mentais à moi-même mais ua moins, je ne pleurnichais pas sans arrêt, MOI. Je ne lui avais jamais menti, j'avais toujours été sincère, je ne l'avais jamais trompé ; c'était d'ailleurs une grande rareté dans mes relations ; seules charlie et elle avait eu le droit à ce que je me retienne. Je détestais quand elle prenait ses grands airs et le pire, c'est qu'elle continuait : « J'allais t'en parler. Parce que c'est ce qu'on fait dans un couple, parler.Tu vois, j'étais pas encore sure de ma réponse jusqu'à maintenant.Mais je te remercie tu m'as ouvert les yeux sur ce que doivent être mes priorités .... Oui je vais partir. Après tout,c'est ce que j'aime faire : partir non ?» J'étais encore plus énervé. je retraversais la chambre et la prenait par le bras, je tirais son poignet pour la faire venir dans la chambre et la collait violemment contre un mur sans pour autant lui péter le dos et je la regardais droit dans les yeux ; Tu allais m'en parler ... Tu aller m'en parler ? Tu mens, et je t'interdis d'insinuer que je te mens, je ne t'ai jamais rien caché ... j'ai toujours été honnête, en ne te respectant pas parfois comme quand nous étions séparé depuis plus d'un an et demi ... Je me mens peut etre à moi meme mais au moins, je ne passe pas mon temps à chialer comme toutes ces tapettes de merde qui n'ont que ça à faire et qui passe leur temps à se lamenter sur leur petit vie de MERDE ! J'avais presque parler à cent à l'heure. Mon souffle avait largement bien accéléré, mon poul manquait de sautiller, de beuger tant il allait rapidement et ma force devenait incontrôlable pourtant je tentais encore de ne pas lui faire mal en desserrant la pression, lâchant son poignant mes la bloquant toujours contre le mur en posant mes mains sur le mur de chaque coté de sa tete. Tu veux partir ? vas-y pars ... c'est pour ton avenir et je n'entraverais jamais là-dessus ... le soucis, ce n'est pas ça ... c'est que tu ne m'en a pas parler ... mais je suppose qu'entre nous, ça ne doit pas marcher, donc tu as surement raison tu devrais partir dans les deux sens ... et je me retournais, retournant vers ma fenêtre, reprenant la clope dans le cendrier.
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Être prête à tout casser entre eux juste pour avoir raison. Oui, c'était bien son genre. Oui mais il était exactement comme elle. Elle n'allait  quand même pas s'excuser , s'écraser , se laisser faire alors qu'elle n'avait rien à se reprocher.Elle savait qu'elle avait raison donc oui, elle poussait la provocation jusqu'au bout , jusqu'aux limites quitte à frôler les limites de leur couple , appuyant sur les points faibles. Et même si elle avait un minime truc à se reprocher , là, elle ne l'avouerait pas , ne le reconnaitrait pas maintenant .C'était plus fort qu'elle , elle ne pouvait prendre sur elle et se contrôler. Plus qu'une question de fierté , c'était une question de respect  : elle ne supportait pas qu'il ose remettre en cause son honnêteté, son intégrité, sa sincérité. Non, elle ne mentait pas.Elle aurait beau chercher à se justifier ,c'était toujours la même chose. Peu importe ce qu'elle dirait ou ne dirait pas, il ne la croirait pas. Toute discussion était inutile, voire même impossible. Alors qu'il s'approcha d'elle, elle fît spontanément plusieurs pas en arrière comme un mécanisme d'autodéfense avant qu'il ne l'attrape à nouveau par le poignet et la plaque contre le mur. Bien qu'il la bloquait , elle cherchait malgré tout à se défaire de son emprise ,  ses mains posés sur lui afin de le repousser.Les réactions inédites de l'homme qu'elle croyait pourtant connaître la surprenait et la décevait , ne pensant pas qu'il pouvait être ainsi avec elle.Pourtant, elle soutenait son regard par provocation , un regard très noir mais qui laissait transparaitre malgré elle la peine, la blessure.Surtout quand il insinua, non dit très clairement qu'entre eux , ça ne devait pas marcher et qu'elle avait raison de partir. Le silence. Elle resta là contre le mur, comme abasourdie , cherchant à comprendre comment elle devait interpréter cela avant de rompre ce silence glacial et tendu qui s'était installé dans la pièce « C'est vraiment ce que tu veux ? Enfait , non , je veux pas savoir , pense ce que tu veux , je m'en fous , j'en peux plus de me battre , de me justifier tout le temps contre toi , ta mauvaise foi , ton arrogance, ton orgueil .Mais, tu dois être content, c'est toi qui a raison, nous deux, ça ne peut pas marcher.»  dit-elle dans son élan, alors que ses pensées s'entremêlaient , rassemblant ses affaires avant de retourner dans la salle de bain claquant la porte. Elle aurait pu penser que se retrouver seule , souffler lui permettrait de prendre le recul nécessaire afin d'éviter de dire des choses qu'elle ne pense pas ou regretterait mais elle ne parvenait pas à décolérer , à passer au dessus. C'était comme si tout ce qu'elle avait accumulé ces dernières semaines en silence , il fallait que ça sorte. Quelques minutes plus tard, une fois habillée , elle reprit donc en revenant dans la chambre :  « Mais, tu veux vraiment que je sois complétement franche et honnête avec toi ? Cette situation depuis quelques semaines, faire comme si tout allait bien , comme si cela me convenait parfaitement. Non, ça me convient pas. Bien sûr que non. Je pars parce que j'en ai envie et besoin.»   parcourant la pièce à la recherche de ses affaires , ne prenant même pas la peine de lui adresser un regard sauf quand elle se trouva à sa hauteur prenant son air supérieur et sûre d'elle «Et ne t'avise plus jamais de me toucher comme tu viens de le faire. Jamais.»
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Elle est très énervée et bien que je le comprends, je ne suis pas mieux dans cet état. Je ne peux pas décolérer non plus ; j'en ai marre que notre couple ne puisse pas vivre normalement pourtant mon amour pour elle est infini mais c'est comme si j'étais incapable de rien lui reprocher. C'est comme ça, j'y peux rien enfin si travailler là dessus mais elle n'aide pas en me cachant des choses. je la sens bien plus qu'énervé, trop. Elle tentait de se débattre face à mes pressions sur ses poignets puis quand je me séparais d'elle, elle laissa d'abord le silence s'installer avant d'oser parler, crier, s'exclamer; la colère était bien trop présente ; « C'est vraiment ce que tu veux ? Enfait , non , je veux pas savoir , pense ce que tu veux , je m'en fous , j'en peux plus de me battre , de me justifier tout le temps contre toi , ta mauvaise foi , ton arrogance, ton orgueil .Mais, tu dois être content, c'est toi qui a raison, nous deux, ça ne peut pas marcher.» Je ne répondais rien, j'ignorais presque, trop mal, trop blessé. Elle continuait, utilisant de durs mots par rapport à nous, à notre couple. Elle est dans la chambre, continuant son spitch sur le mal que je lui fais, le fait que je l'étouffe et que la situation ne lui plait pas et m'avise qu'elle part parce qu'elle en a besoin. Je ne fais que lui répondre un simple ; " Très bien" nonchalant qui lui montre que je m'en fiche complètement, que j'ignore alors qu'au fond, ça fait mal. Elle ramasse ses affaires, j'ai envie de l’arrêter mais je ne fais rien et elle termine son discours, me prévenant de son air sure d'elle alors qu'elle ne l'es pas du tout et ça je le sais ; «Et ne t'avise plus jamais de me toucher comme tu viens de le faire. Jamais.» Dans la colère, je ne peux m’empêcher de lui répondre un truc et lui dit : Ne t'inquiète pas je ne te toucherais plus jamais ... peu importe la façon du mot "toucher" dont on parle ... Je ne me retourne meme pas pour la regarder. Je descend de ma fenêtre, sort de la chambre sans la regarder, faisant mine qu'elle est déjà partie et prends ma flasque offerte par mon frère la remplissant de whisky tandis qu'elle me regarde, en ne décolorant pas de loin puis je retourne doucement dans la chambre et me rassoit à ma fenêtre, portant la flasque à ma bouche, je me stoppe : Tu devais pas partir ?
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    C'était plus ses nerfs , ses émotions que sa raison qui s'exprimait pour elle. Tout ce qu'elle cherchait, c'était à faire mal, être blessante pour susciter une réaction tout comme elle pouvait se sentir blessée par son attitude je m'en foutiste. Il semblait prendre tout cela tellement à la légère , avec tellement d'indifférence. Était-ce qu'une impression ou alors était-ce ce qu'il pensait vraiment ? Elle avouait être perdue. Donc ils en étaient là , c'était fini ? Au moins, c'était clair.Ce n'était évidemment pas ce qu'elle voulait. Bien sûr que non et que cette pensée lui faisait mal et lui était insupportable.Elle l'aimait , de son côté, il y avait aucun doute à avoir. Et pourtant, si c'étaient les crises de larme , qu'elle implore son pardon  qu'il attendait d'elle alors non merci. Ce n'était pas elle.Tout comme il aurait voulu qu'il la retienne, elle savait qu'il ne le ferait pas.Ce n'était pas eux.Elle se contenta de répondre d'une froideur extrême , reprenant ses mots «Très bien.C'est ce que tu cherches depuis le début.» Mais au fond d'elle, ses mots sonnaient faux et avec amertume. Il continuait de l'ignorer , de faire comme si elle n'était pas là , de ne pas lui adresser un regard alors qu'il revenait dans la chambre. Ce petit « jeu » la fît sourire cyniquement.Oui, elle devrait être partie mais elle ne le laisserait pas avoir le dernier mot comme ça. « Tu fuis Emrys » Le ton était franc, assuré alors qu'elle le regardait faire.
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