KOACE ∞ it's Halloween, it's funny!

Explosion nucléaire. Hiroshima venait d'éclater à nouveau et cette fois-ci entre vos mains à chacun. Était-ce la fin ? Tu pensais bien que oui. Tu n'étais plus décidée à faire d'efforts c'était fini, tu en avais trop fait maintenant il allait falloir que Sheffield mette sa fierté de côté et t'avouait si oui ou non, il veut quelque de nouveau avec toi que vous repartiez à zéro mais qu'il arrête de faire le mec blessé alors que tu es tout aussi blessée que lui. Enfin bref, il avait voulut parlé de ta mère un sujet qui fâche et bien toi aussi tu allais le piquer au vif avec sa sœur. Melody serait catastrophée de vous voir comme ça. Elle serait catastrophée de le voir aussi comme ça. Enfin bref, tu restais de marbre alors qu'il te sortait son blabla habituel. « Konrad ne confonds pas Melody et toi. Je ne me suis jamais joué de Melody pour la simple et bonne raison qu'elle ne m'a jamais fait souffrir, jamais insultée, jamais humiliée alors que toi tu m'as traînée dans la boue et je devrais rien dire ? Je ne suis pas Aphrodite et je ne dirais plus amen à tout ce qui vient de toi, j'ai frôlée la mort, maintenant j'ai envie de vivre. Je sais qu'avec toi, j'aurais été heureuse mais, là je souffre et je me détruit une nouvelle fois. La première fois tout ceci m'a mené à une putain de tumeur et je ne referais pas les mêmes erreurs. » Il avait déjà tourner les talons et il semblait baisser les armes. Folle de rage tu en pleurer presque. « Tu n'es qu'un lâche Sheffield ! Je t'ai connu beaucoup plus courageux, je t'ai connu battant mais là tu es devenu un lâche. C'est cette cabot qui t'a changé ! Bientôt, tu arrêteras de tracé pour elle ? Ce jour-là, je laisserais tombé, car ça voudra dire que c'est la femme de ta vie. Au fond, j'ai du arrêter le pôle dance pour toi mais, tu as continué à te droguer. Dans notre relation tout a été fait que pour toi ! Et seulement pour toi! » Les nerfs avaient lâchés et tu venais de craquer. Joyeux Halloween St-James!

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† t's Halloween, it's funny! †

On en venaient au vif, je parlais de sa mère pour la foutre hors d'elle mais à croire qu'elle sorte de ses lèvres le simple prénom de ma sœur me mettait hors de moi. Je revenais vers elle, j'avais la rage qu'elle parle d'elle, elle ou un autre ça aurait été pareil, je me sentais encore et toujours coupable de sa mort et je crois que jamais cela ne changera, alors voilà pourquoi je lui en mettais plein la gueule mais je me rendais compte que cela ne servait à rien. Si tu le dis. je lâchais les bras, je revenais m'asseoir sur ce banc, j'en avais assez, j'arrêtais, elle pouvait faire ce qu'elle voulait et ça ne lui convenait pas, elle me traitait de lâche, après tout n'étais-ce pas ce que je suis réellement ? Pour moi ? je levais la tête vers elle Tu te fou de ma gueule ? Je t'ai vu danser le pole dance après que tu m'es promis d'arrêter, je t'ai vu continuer de te shooter la gueule alors que cet été tu m'avais promis d'arrêter, c'est tout pour moi ? putain mais tu déconnes.. j'en venais à sourire ironiquement avant de me lever Et pour ton info, je suis tombé amoureux deux fois dans ma vie, les deux appartiennent au passé dont la femme de ma vie.

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Tu avais fauter aussi en lui promettant tout un tas de trucs que tu n'avais pas respecté. Certes, le pôle dance, certes la drogue mais merde à la fin ! Lui il croit quoi ? Que tu allais tout arrêté d'un coup ? Alors, qu'il n'était même pas capable d'arrêter la seule et unique chose que toi tu lui demandais. La coke juste de stopper cette merde qui lui pourrissait le cerveau. « Oui pour toi ! Oui j'ai fais des erreurs mais, j'ai fais un choix par la suite c'était toi. Alors, que quand moi je t'ai demandé d'arrêter la coke tu m'as dit quoi ? Que si je ne pouvais pas accepter ça c'est qu'on avait rien à faire ensemble. Alors, j'ai fais quoi ? J'ai fermé ma gueule et je t'ai regardé de détruire. J'étais impuissante, j'avais l'impression que je servais à rien parce que de toute façon la seule personne dont tu es tombé amoureux Konrad c'est de la coke. Certes, c'est la seule qui ne t'ai jamais trahis mais, c'est aussi la seule qui t’emmènera le plus vite possible au fond d'un putain de trou ! » Tu te calmais un instant essayant de reprendre tes esprits mais, tu l'entendais déjà te dire qu'il n'attendait que ça et patati et patata. « J'ai plus la force, plus l'envie de me battre contre toi en fait. On s'est battus l'un contre l'autre, on s'est battus ensemble et voilà qu'on se rebat l'un contre l'autre ? Non, j'ai plus envie. J'ai trop souffert, j'ai trop pleurer pour toi si bien que mes larmes ne sont plus que des larmes de rage. Je sais que je ressentirais toujours quelque chose pour toi mais j'en ai marre de me faire rejeter et de continuer a persister. Au final, ça sert à rien je passe pour une conne et toi tu aimes ça. Tu aimes me faire ça mais moi je dis stop. » Tu venais de balançait définitivement les armes. Tes larmes roulaient alors que tu ne voulais plus pleurer pour lui. Sans un mot de plus, tu tournais les talons. Fatigué, exténué, vidé. Tu te sentais faible, faible physiquement mais aussi faible mentalement. Attrapant ta pote de cachet dans l'une de tes poches tu en prenais deux après tout peut-être que la faiblesse physique était du à ta tête.

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Okey elle avait fait pas mal de choses pour moi et elle me le reprochait, de n'avoir pensé qu'à moi, c'est elle qui sait pas tenir ses promesses, et la voilà encore à me dire que c'est pour moi et elle me reproche d'avoir fauté sur la seule chose qu'elle voulait, que j'arrête la coke. Et bah elle m’emmènera au fond du trou écoute ! C'est la seule chose qui me détruit plus que toi et c'est la seule chose qui m’empêche de me tirer une balle, car tu sais que j'en serais capable, j'ai plus rien, juste cette putain de poudre ! La seule chose qui me restait repose dans une putain de boite sous terre depuis presque un an alors arrête avec ta morale à deux balles St-James, t'es très mal placé pour faire ce genre de choses. et c'était son tour de jouer les lâches, elle non plus n'avait plus la force, elle me le faisait clairement comprendre avant de partir, je soupirais fermant les yeux quelques secondes Attend. elle s'arrêtait J'aime pas te faire souffrir, je déteste ça, c'est juste que.. faut que je me lance, que j'aille droit au but, je m'approchais d'elle de nouveau Si je rage tant, si je te déteste tant depuis que tu es revenu, ce que je me déteste d'être... encore.. elle savait très bien la suite de la phrase mais en voulant la prononcer je trahissais Aphrodite, elle n'avait rien demander à part m'avoir.

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Overdose. It's over. Lui, toi, vous stop. Tu avais vraiment besoin de prendre du recul par rapport à tout ça et puis Jeno était de retour et tu comptais bien profiter d'avoir ton meilleur ami a tes côtés. Tu t'apprêtais donc à quitter cet endroit mais, la voix de Konrad te stoppais. Te retournant vers lui, tu le regardais, tu l'écoutais mais les mots que tu voulais entendre ne semblait pas vouloir sortir. Mais merde à la fin ! S'il n'arrivait pas a te les dire c'est qu'il tenait vraiment beaucoup a Aphrodite, c'est qu'il commençait à avoir des sentiments pour elle. Le regardant, tu faisais mine de ne pas comprendre. « Dis-le moi... Merde Konrad ! Tu n'en a jamais eu rien a foutre de savoir que tu blessais ou pas les filles. Tu as toujours été ce connard et aujourd'hui tu vas te soucier d'une petite cabot mais elle t'a fait quoi cette fille ? Elle t'a empoissonnée ou quoi ? Tu es un vrai canard là ! Tu n'es même pas capable de me dire les mots qui vont me permettre de ne pas mettre un terme à nous. Parce qu'au fond j'y crois. Mais, plus jamais comme avant. Plus rien ne sera comme avant. » Tu soupirais doucement. Ses yeux semblaient perdus mais les tiens étaient bien plus déterminés que jamais a les avoir ces quelques mots que tu attendais tant.

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Elle et moi ça pouvait pas s'arrêter là, pas ce soir, j'y crois pas. Je vais être obligé de passer au-dessus de ma fierté pour la garder, oui je ne veux pas qu'elle sorte de ma vie, en vérité j'ai trop besoin d'elle, en vérité si j'arrête la coke, c'est elle ma nouvelle drogue, en vérité je suis dingue d'elle, amoureux d'elle, je crèverai pour elle mais j'arrive pas à sortir ces putains de mots. Je suis là devant elle, elle les attends, elle me fait comprendre qu'elle les attends, et je pense à Aphrodite, à la merde que ça va foutre en entre elle moi mais je dois me l'avouer, elle fut un de mes meilleurs coups et le restera, elle fut une de mes potes les plus proches et le restera mais je suis tellement attaché à elle que je dois arrêter, cette fille, elle ne doit pas m'avoir elle ne me mérite pas, seule Grace me mérite, elle est le ying et moi le yang, on se complètent, c’est mon âme-sœur. JE T'AIME PUTAIN, JE SUIS ENCORE AMOUREUX DE TOI, DINGUE DE TOI, FOU DE TOI, JE CRÈVERAI POUR TOI ! venais-je de gueuler en levant la tête vers le ciel sombre, je baissais la tête pour la regarder Rien ne sera plus jamais comme avant, tu l'as dis. voilà je l'avais dis, elle avait les mots qu'elle voulait, et moi je m'embarquais encore dans quelque chose qui allait encore tout compliqué.

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Il était là devant toi te retenant avec quelques mots a prononcer. Tu le regardais, tu le poussais, tu faisais en sorte qu'il te le dise jusqu'à cet instant où il se mit à hurlait face au ciel qu'il t'aimait, qu'il était dingue de toi, qu'il était fou de toi, qu'il crèverait pour toi. Puis rebaissant les yeux vers ton visage, il t'avouait que plus rien ne serait comme avant. Tu le regardais. Tu avais tellement attendus ces mots qu'ils ne voulaient plus rien dire pour toi mais ni une, ni deux tu te jetais à son cou afin de l'embrasser d'un baiser comme vous seul avez le secret, reculant de plus en plus tu venais à le plaquer contre le mur. Tu l'embrassais avec passion, fougue, fusion puis plus rien. Tu te reculais de lui et le regardais. « Règle d'abord tes histoires de culs qui ont tournés en couple et après on reparlera toi et moi. Parce que si tu veux qu'on reprenne quelque chose tous les deux. Il y a des choses qui vont changer. » Tu le regardais assez froidement mais pas non plus de quoi lui glacé le sang. Juste de quoi lui faire comprendre que tu en avais marre de passer pour la briseuse de ménage alors qu'au final tu ne faisais que récupérer ce qu'il t'appartenait. « Je.. je vais y aller. Je suis fatigué. » Tu déposais un dernier baiser sur tes lèvres, avalait deux autres cachets avant de tourner les talons pour de bon.

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