Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility« Show me your drawing and I'll know who you are » Draco&Jagger
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« Show me your drawing and I'll know who you are » Draco&Jagger

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Dessiner me faisait un grand bien. Cela était comme un échappatoire à ma vie chaotique, à ma routine ennuyeuse et par dessus tout, à ma souffrance perpétuelle. Car oui, je souffrais, je souffrais de l'absence de ma mère, du départ de mon père et de ma situation désastreuse. J'étais malgré moi, un dealeur et il m'était désormais impossible de ne plus en être un, à moins bien sur que je sois arrêté. Je m'étais progressivement enfermé dans ce cercle vicieux, un cercle à la fois dangereux et radical, une fois entré on ne peux y en sortir. Je devais donc vivre avec cela, l'accepter, chose que je ne parvenais toujours pas à réaliser. En revanche, dessiner me permettait de m'évader, de ne plus penser à ma vie, mais de me retrouver seul face à mon imagination et à ma créativité, dessiner me permettait de créer mon monde, créer mes règles, selon mes propres souhaits. La souffrance et la tristesse n'existaient pas, seul le bonheur et la joie y régnaient. J'étais un idéaliste. Je m'étais donc rendu tard dans l'atelier d'art de l'université, une heure tardive non anodine, qui me donnait l'occasion d'être seul. J'avais pris l'habitude de dessiner avant d'aller me coucher, de pouvoir décider de mes rêves, avant qu'ils ne décide de moi. Seul, vêtu d'une chemise entre ouverte et d'un pantacourt, je laissais exprimer mon imagination, sans tenir compte de quoique ce soit autour de moi. J'étais en symbiose si parfaite avec le silence, que je n'eus aucun mal à entendre de légers bruits de pas provenant de la porte. Je m’exclamais alors « Qui va là ? ».
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Pas besoin d’un somnifère pour combattre l’insomnie, je m’étais trouvé une activité digne de ce nom qui favorisait mon sommeil. Mais de quoi s’agissait-il ? Du dessin. Bien au-delà de mon obligation de dessiner régulièrement afin de réussir à achever mes devoirs d’architecture une véritable passion m’unissait au domaine. Plusieurs fois je m’étais demandé si ma place n’était pas toute trouvée dans ce bas monde, dessiner pour des bandes dessinées ? Peut-être même pour des dessins-animés ? J’aurais pu être tenté mais ce que je préférais par-dessus-tout c’était d’imaginer des surfaces habitables sur lesquelles je dessinais de manière réaliste des maisons parfois un peu futuristes mais avec tout le confort imaginable. On me prédisait déjà une grande carrière dans l’architecture, mon ambition, mes idées toujours plus nombreuses, originales et farfelues les unes que les autres pouvaient m’emmener très loin. C’est bien ce que j’espérais, je ne voulais pas uniquement être un petit architecte qui gagnait bien sa vie en créant un supermarché de temps en temps, je visais haut et je ne comptais pas m’arrêter avant d’avoir atteint l’apogée. Ce soir j’étais pourtant davantage inspiré par une série que je venais de regarder, The Walking Dead, mes suppositions sur le prochain épisode m’apparaissaient comme des toiles et je m’étais donc mis en tête de les exprimer sur papier. C’est dans cet objectif que je m’étais rendu jusqu’à la salle d’art plastique, peu importe l’heure, la porte était toujours ouverte de toute manière. « Qui va là ? » Il y avait quelqu’un, surprenant, j’étais habitué à connaitre la plus grande solitude à cette heure-ci. Non sans ironie j’avais répondu du tac au tac. « La grande-faucheuse ! »
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Je n'avais aucune idée de la personne que ça pouvait être, ce qui ne me rassurait pas. Il était plutôt tard, et j'étais seul dans la pièce, de plus les derniers événements de Harvard, comme la bombe par exemple avait profondément fait naître un sentiment d'insécurité à travers le campus. Mieux valait donc se méfier de tout. Je me levais donc, et saisis un couteau de sculpture qui se trouvait sur une table voisine, prêt à me défendre si besoin. Je m'approchais alors de la porte quand une voix se fit retentir. Cela eut pour effet de me faire sursauter et d'un mouvement non contrôlé, le couteau effleura ma main voisine, ce qui eut pour effet de la faire saigner. Quelques secondes après, la voix en question fit son apparition dans l'atelier, un sourire au lèvre, qui ne me faisait pas du tout sourire. « Super ta blague, tu m'as eut, tu peux te barrer maintenant » dis-je en portant ma main à ma bouche afin de stopper la toute petite hémorragie. Le jeune inconnu devait sûrement être un étudiant, amateur de blagues tardives, encore un autre première année parmi tant d'autres. «J'crois qu'il y a des gens à la salle d'étude, tu devrais y avoir du succès la bas » renchéris-je en retournant à ma place, le sang s'était arrété de couler, j'étais prêt à poursuivre mon petit dessin.
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Pour tout vous dire j’étais quelqu’un de plutôt très antipathique. Que l’on m’apprécie m’importait vraiment peu et je ne prêtais aucun intérêt au regard des autres. L’ironie était le maitre mot chez moi et il n’y avait à mes yeux rien de plus savoureux qu’une bonne répartie, des répliques faisant mouche sur les autres. Du coup, lorsque le petit jeune qui se trouvait non loin de moi avait demandé qui était là, faussement menaçant et plutôt même risible avec son espèce d’arme, je m’étais empressé de lui faire une petite remarque non sans user d’un humour noir qui me collait à la peau. Je m’attendais à ce que le jeune garçon puisse réagir de multiples manières, soit il allait jouer le jeu et agréablement me surprendre soit, au contraire, il allait faire comme tous les autres et m’offrir de quoi mettre un peu d’animation à ma vie en allant au clash. « Super ta blague, tu m'as eut, tu peux te barrer maintenant » Je l’avais longuement dévisagé de haut en bas, j’étais tellement peu discret qu’il n’avait pas pu ne pas se rendre compte que je l’épiais avec dédain à présent. « Je n’apprécie pas vraiment ta manière de parler, on n’a pas élevé les cochons tous les deux. » Ou alors on m’avait gentiment lavé le cerveau mais, une fois encore, j’en doutais fort. «J'crois qu'il y a des gens à la salle d'étude, tu devrais y avoir du succès la bas » Je souriais, répondant en m’installant dans la pièce sans trop lui prêter attention. « Ce n’est pas un minot qui va me dicter ma conduite. Vas donc te coucher petit, ta maman t’attends pour te border. »
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Harvard avait beau être l'université la plus prestigieuse, la plus réputé, la plus respecté et la plus demandée, mais elle n'en restait pas moins, une université au final, bien banale. Des profs ennuyeux, une cantine infecte, des règles idiotes et le pire, des étudiants tarés. Je ne pouvais passer une semaine sans en être confronté, et Dieu seul sait que c'était exaspérant. Le dernier en date était donc ce jeune inconnu, il ne semblait pas si idiot et chiant en soi, mais sa blague m'avait mis de si mauvaise humeur, que je me forçais à penser le contraire. Il ne semblait également pas me porter dans son ceur, étant donné le regard mauvais qu'il me lançait, ce qui me fit d'ailleurs ni chaud, ni froid, étais-je responsable de la stupidité de sa blague ? Hell no. D'ailleurs, il renchérit en se défendant, pitoyable. « Effectivement, je n'ai pas grandis dans une cabane, à la campagne avec mon grand-père, à traire des vaches et ramasser du foin. » Voilà certainement le genre de vie misérable qu'il devait avoir, il ne méritait même pas mon attention. Ayant donc regagné mon siège, je l'entendis continuer. Mon plan de ne plus lui répondre tomba à l'eau, sa réflexion me rendit fou, je me levais alors et m'avançais vers lui, mon cœur battait la chamade, et mon visage devint rapidement rouge. « Retire immédiatement ce que tu viens de dire sur ma mère connard ! » Ma grâce habituelle s'était totalement envolée, laissant place à de la fureur qui ne me ressemblait, une fureur qui survenait seulement lorsqu'on parlait de ma mère et à mauvais escient.
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Je n’étais pas du genre à haïr les gens dès les premières minutes mais avec certaines personnes cela venait hélas très naturellement. Il suffisait de quelques secondes aux côtés Draco pour qu’il me soit venu à l’esprit un portrait hautement négatif de sa personnalité, peut-être que son agaçant premier degré permanent, sa froideur et sa manière hautaine de me prendre de haut avaient eu raison de ma gentillesse. Je lui avais donc tout naturellement rendu la monnaie de sa pièce, n’étant pas le genre de personne qui se laissait marcher sur les pieds aussi facilement, en lui signalant que nous n’avions pas été éduqués ensemble et qu’il aurait, de ce fait, meilleur temps de ne pas me prendre de haut s’il ne voulait pas que je lui montre à quoi je ressemblais lorsque j’étais énervé. « Effectivement, je n'ai pas grandis dans une cabane, à la campagne avec mon grand-père, à traire des vaches et ramasser du foin. » Je le regardais, ne perdant pas une seconde pour enfoncer la porte qu’il tentait de me fermer au nez, du moins, au sens figuré du terme. « T’es sûr ? Non parce que tu as la tête du paysan moyen ni plus ni moins. » J’aurais pu m’emporter mais il n’en était rien, au contraire, je continuais de faire preuve d’un calme d’anthologie saupoudré d’une bonne dose d’ironie et de sarcasmes. « Retire immédiatement ce que tu viens de dire sur ma mère connard ! » Oh mon dieu, le pauvre petit n’était pas content du tout que je me sois permis de parler de sa maman ainsi, sérieusement ? Non mais qu’est-ce que j’en avais à foutre qu’il soit vexé et en colère ? Rien ! Un petit sourire naissait sur mes lèvres naturellement pulpeuses et sucrées. « Sinon quoi ? Tu vas me frapper ? »
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La relation que j'entretenais avec ma mère était tout simplement...inexistante. Elle m’avait abandonné à ma naissance, elle nous avait quitté, mon père, et moi. Je dus donc vivre sans amour maternel, un manque terrible qui avait pas mal perturbé mon enfance. Oui, c'était dur de voir mes camarades venir se faire récupérer par leur maman, et moi mon major d'homme, oui c'était dur de voir ces familles complètes tous les jours, et moi, tout seul. Je lui en voulais terriblement, c'était une égoiste, elle m'avait quitté en ne pensant qu'à elle, en se foutant royalement de moi, moi son propre enfant. C'était vraiment dur à accepter. C'est pourquoi j'étais très sensible à toutes les remarques qu'on pouvait me faire concernant ma mère, même si elle avait commit l'acte le plus dégueulasse, personne n'était autorisé à la dénigrer, personne...mis à par moi. L'inconnu n'était pas allé jusqu'à ce stade, mais son commentaire me blessa étant donné des conditions, mais après tout il ne pouvait pas savoir... « Je vais te.... » m'exclamais-je en serrant les poings. Mais je me ressaisis, et en me perdant dans son regard, je me dis que me battre n'en valait pas la peine, je me souvenais alors que j'étais dans un atelier d'art, une salle ou j'avais la possibilité d'exprimer mes émotions, mon sentiment de haine et à la fois de tristesse allait donc être exprimé à travers un dessin, un dessin qui me vint rapidement à l'esprit. « Oui, j'aurais sans doute aimé qu'elle me borde étant petit, mais elle m'a abandonné à ma naissance. Voilà, attaque moi comme tu veux maintenant. » Je savais que ma voix avait prit un air triste, mais je m'en fichais, il n'avait qu'à se servir de cela pour m'attaquer s'il voulait, je n'y ferais pas attention, mon dessin occupait tout mon esprit.
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Soyons complètement honnêtes, je n’étais pas le méchant garçon qu’il devait penser que j’étais, loin de là, mon passé m’avait brisé de nombreuses fois et je tentais depuis de me reconstruire en ajoutant un peu de béton là où le beau mur que représentait ma vie était cassé. Les trous persistaient mais au moins ils étaient un tant soit peu camouflés ce qui n’était déjà pas rien. Malgré toute la gentillesse que je pouvais renfermer je ne me laissais jamais marcher sur les doigts et c’était donc ainsi que nous étions partis du mauvais pied Draco et moi, parce qu’il n’avait pas été capable de prendre au second degré une petite remarque toute conne qui n’avait pourtant rien de bien injurieuse. Tant pis pour lui, ce qu’il pouvait ressentir était le cadet de mes soucis et le voir s’énerver tout seul, s’en prendre à mon haut parce qu’il était en colère m’amusait bien davantage que ça n’aurait pu m’agacer. A vrai dire, du moment qu’il n’allait pas trop loin je voulais bien lui laisser penser qu’il était un mec qui en imposait, il ne m’effrayait pas mais ce n’était pas vraiment utile de le préciser maintenant, à d’autres occasions peut-être. « Oui, j'aurais sans doute aimé qu'elle me borde étant petit, mais elle m'a abandonné à ma naissance. Voilà, attaque moi comme tu veux maintenant. » Tiens, il changeait son fusil d’épaule ? Ce n’était pas trop tôt et il pouvait même se vanter d’avoir pu me surprendre, pourquoi me confiait-il quelque chose de si personnel alors que nous ne nous connaissions pas du tout ? Je me sentais tout de même un peu stupide face à ses récentes révélations parce que je n’aurais pas employé cette expression pour lui signifier qu’il me faisait plutôt penser à un gosse apeuré qu’à un mec viril qui avait de quoi me foutre les boules. « Désolé pour ta mère, je ne pouvais pas savoir ! Et je ne t’attaquais pas pour te blesser contrairement à ce que tu peux penser, je ne te connais pas ! » Et j’avais bien d’autres choses à faire de mes journées. Soupirant, je m’étais installé sur une chaise afin de sortir des crayons de papier et des feuilles, prêt à faire comme s’il n’existait pas et à dessiner dans le plus grand calme possible.

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J'avais comme d'habitude commencer par la structure physique, je lui avais dessiné son corps, un corps que je ne connaissais pas, mais que pourtant j'arrivais à imaginer. J'imaginais ma mère plutôt grande, élancée, fine avec néanmoins des attributs généreux, une longue chevelure brune ébène, des yeux en amande vert et de belles lèvres charnues. C'était le portrait que je me faisais de ma mère, une femme au physique ravageur, d'une beauté presque fatale, une femme libérée, spontané et et solitaire, une femme ne respectant rien mis à part ses propres règles, une femme moderne. Je commençais à lui décider des vêtements, des vêtements aux couleurs sombres de préférence lorsque l'inconnu me surprit en s'excusant. Des excuses grondées, mais néanmoins sincère, cela retint mon attention, je l'avais peut-être mal jugé « Je sais que tu ne pouvais pas savoir...bref je m'excuse aussi de m'être emporté » déclarais-je à mon tour. S'il venait de faire un effort, il n'y avait aucune raison que je n'en fasse pas un. Puis je le vis sortir du matériel afin de commencer à apparemment dessiner. J'en fus surpris, je n'avais nullement idée qu'il était lui aussi venu ici pour cela, je pensais qu'il voulait juste faire des blagues. Je me mis alors à furtivement l'espionner, interrompant mon propre dessin. Puis tout en faisant mine de ne pas m’intéresser, j'osais « Et, que dessines tu alors ? Tu n'as pas vraiment la tête d'une personne qui dessine je trouves.
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Je venais de faire l’impasse sur le jeune garçon dont j’ignorais encore tout allant même jusqu’à ne pas connaitre son prénom. De toute manière ce n’est pas comme si je comptais m’en faire un grand ami, il ne semblait pas avoir prévu de m’adresser la parole dans un futur proche et cela me convenait totalement. Je n’étais pas dans la provocation gratuite, je n’allais pas aller tenter le diable juste pour avoir eu le plaisir d’avoir mis en colère le petit mec qui dessinait à présent paisiblement. Vous me direz, ce n’est pas l’envie de le caricaturer et de lui ajouter de vilaines petites cornes et des pustules un peu partout sur la figure qui me manquait mais bon, j’allais tout de même faire preuve de bonté et me remettre à imaginer ce qu’il pourrait se passer dans l’épisode prochain de The Walking Dead, tellement d’idées qui avaient certes peu de chances d’être réellement adaptée à l’écran mais sait-on jamais, à plusieurs reprises je m’étais surpris à avoir anticipé les scénaristes sur certaines scènes. « Je sais que tu ne pouvais pas savoir...bref je m'excuse aussi de m'être emporté » Je n’avais rien ajouté à ses paroles, je m’étais simplement contenté d’esquisser un premier mort vivant sur lequel j’allais devoir me concentrer plus difficilement pour en refaire sortir des blessures, des morsures et un aspect sanguinolent qu’il pouvait être difficile de créer avec un crayon de papier. « Et, que dessines tu alors ? Tu n'as pas vraiment la tête d'une personne qui dessine je trouves. » Je m’étais redressé pour mieux pouvoir l’observer, m’étant momentanément arrêté de dessiner, je ne pouvais pas dessiner et me concentrer sur une conversation en même temps, je risquais de foirer un élément de mon dessin et ce n’est pas une chose à laquelle je tenais, j’aimais faire les choses à fond. D’un ton amusé je lui avais répondu très naturellement. « Tout comme je n’ai pas la tête d’une personne capable de tenir la note à Whitney Houston sur I Will Always Love You en conservant une voix virile et masculine… » Je marquais une brève pause. « J’aime être là où on ne m’attend pas que veux-tu ! » Quant à mon dessin je reprenais. « Je dessine ce que je pense être la suite de The Walking Dead… Et toi ? »
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