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I just want to escape (Caly)

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Caly & Priape


Je m’étais laissé emporter, fermant la porte à Caly et dans tous les sens du terme. Je ne voulais pas parler de mon frère et je comptais bien le lui faire comprendre. Elle me jeta un regard noir. Voilà, j’avais tout gagné je crois… Et comme un cd rayé nous étions de nouveau en train de rejouer une énième dispute. Caly souffla que j’étais vraiment trop con avant de me demander de la laisser partir. « Et bien quoi tu ne veux plus parler à présent ? » demandai-je sur un ton railleur et froid, maintenant mes mains contre la porte tout en la défiant du regard. Mais ce n’était pas vraiment moi qui parlait mais plutôt la colère qui m’animait. Depuis la disparition d’Arté, j’accumulais toute cette rancœur, toute cette rage, parce que je ne comprenais pas à quoi cela rimait, si c’était toujours les meilleurs qui quittaient ce monde en premier elle était où la justice? Adolescent, j’avais perdu ma petite sœur, Thalya, et j’avais mis des années avant de pouvoir l’accepter, à présent que l’on venait de m’arracher mon frère, je trouvais que la vie avait une fâcheuse tendance à s’acharner sur ma famille. Le fait que Denys, mon petit frère, ait abandonné Harvard, cela ne m’avait pas aidé à m’apaiser. Alors oui, plutôt que de parler de toutes ces choses, je ressassais, j’emmagasinais toutes ces émotions, j’accumulais tout ce chagrin et je finissais par exploser comme en ce moment avec Caly… Elle m’expliqua qu’elle ne voulait pas que cela se passe comme ça, qu’elle voulait que cela vienne de moi. Elle poursuivit : tu es pas prêt, et tu ne le seras peut-être jamais... mais... A mesure qu’elle parlait, je sentais mon poul retrouver progressivement mon rythme, mes nerfs se détendre peu à peu. La lueur d’énervement disparu de ses yeux et elle me regardait à présent avec un air déçu qui termina de me faire retrouver mon calme et je me sentis soudain, effectivement, trop con. Ce –mais- qu’elle laissait en suspens ne me laissait rien présager de bon. Comment je m’y prenais pour toujours faire la souffrir alors qu’elle était l’une des personnes les plus importantes de ma vie ? « Mais quoi Caly? »demandai-je tout en redoutant un peu la suite. Je laissai tomber mes bras le long de mon corps sans un mot, un peu honteux de m’être ainsi emporté, avant de reculer d’un pas, libérant ainsi la jeune femme et lui laissant le champ libre pour ouvrir de nouveau la porte et sortir si elle le désirait.
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Caly & Priape


Je ne répondais même pas à son attaque... ça n'en valait pas la peine, je continuais à le regarder, avec ce regard vide. Ma phrase inachevée restait en suspens quelques secondes, et elle rendait l'atmosphère pesante notamment par la réaction qu'elle provoquait chez Priape. Je voyais son regard changer... tout comme moi, il se calmait et enlevait notamment sa main de la porte. Geste significatif dans cette situation. J'étais à présent libre de partir et pourtant... je ne pouvais pas sortir de cette chambre, pas comme ça. Mes pieds ne voulaient pas avancer, ils restaient encrés dans le sol, et c'était bien mieux comme ça. J'aurais pu partir, donner une fin à cette conversation... qui était également pesante et difficile à affronter, mais non je devais rester, je n'étais pas du genre à partir comme ça. Partir serait renoncer, et je ne ferais qu'une chose : le regretter. Priape décidait de rompre ce silence de plomb qui régnait depuis mes dernières paroles. « Mais quoi Caly? » Je ne répondais pas immédiatement, parce que je devais réfléchir à ce que j'allais dire, je devais... trouver une réponse car moi-même j'étais dans le brouillard le plus complet. Mais au fond de moi, je savais... On dit que c'est plus facile de se voiler la face, de vivre dans le mensonge avec soit-même, parce que les vérités sont parfois trop dures à affronter, je ne sais pas si c'est plus facile, mais je pense qu'un jour ou l'autre on est obligé de la voir, cette vérité. Je connaissais la fin de cette phrase, mais je ne voulais pas la savoir, pas l'entendre ni la dire. C'était trop dur, et ça allait l'être pour Priape. Mais je ne sais pas si je serais toujours là, lorsque tu seras prêt. Je pesais mes mots car aussi durs qu'ils soient à dire, ils étaient ce que je ressentais, cette vérité. Avant qu'il ne puisse prononcer quelque chose, je m'approchais de lui et je prenais son visage entre mes mains. Je t'aime Priape. Je marquais une pause, c'était si important qu'il le sache. De tout mon coeur seulement je peux pas te promettre que j'attendrais indéfiniment car ce serait te mentir et jamais je ne pourrais le faire. J'ai déjà trop souffert, pas seulement à cause de toi, mais tu connais ma vie, et j'ai pas envie de souffrir plus. Je sais que c'est égoïste, totalement, je suis tellement désolée de te dire ça... J'approchais délicatement mon visage du sien, je cherchais une certaine proximité après mes dernières paroles, mais je voulais aussi lui dire une dernière chose avant qu'il ne me réponde. Mais je lâcherais pas comme ça, je te le promets, pas après tout ce qu'on a vécu dis-je d'un ton calme en chuchotant.
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Caly resta devant moi et elle mit une éternité avant de reprendre la parole. Je me sentais plus calme, mais la tension entre nous était toujours à son comble et ce silence était insoutenable. Je redoutais complètement la suite de sa phrase et lorsqu’elle ouvrit la bouche, je retins quasi inconsciemment mon souffle. Ce ne fut pas aussi radical que ce que j’avais redouté mais je sentis quand même quelque chose se coincer dans ma gorge. J’aurais voulu parler, rétorquer quelque chose, mais de toute façon le nœud qui s’était formé en moi m’en aurait empêché et Caly enchaina rapidement sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit. Elle s’approcha de moi et posa ses mains sur mon visage. La sensation de ses doigts contre ma peau m’arracha un petit frisson. Comment pourrais-je un jour me passer de cet effet électrisant que la jeune femme avait sur moi ? Sa déclaration ne suffit pas à me rassurer, je continuais de penser à ses premières paroles : elle m’aimait certes, mais elle ne m’attendrait pas, ou du moins elle n’en était pas sûre. Les mots qui suivirent avaient beau se vouloir rassurants, la menace planait toujours au dessus de ma tête. Et si je n’arrivais pas à surmonter cette épreuve, et je sombrais en dépression comme lorsque j’avais perdu Thalya, et si je n’étais jamais tout à fait prêt à repartir de l’avant ? Mais comme si elle lisait dans mes pensées, elle approcha son visage du mien avant de me promettre qu’elle ne me lâcherait pas comme ça. Un faible sourire étira mes lèvres. Aussi sincère et aussi forte que soit cette promesse, je ne pouvais pas effacer le reste de cette conversation de ma mémoire. Je savais que j’avais merdé, que je n’avais pas eu la réaction qu’elle attendait de moi, et à présent je savais bien que le temps pour faire mes preuves à ses yeux m’était désormais compté. Tic, tac, tic, tac.... Jusqu’à quand me supporterait-elle ? Après plusieurs secondes de mutisme, je pris la parole, la gorge toujours légèrement serrée : « Je suis désolé Caly, de m’être emporté comme ça… » m’excusai-je dans un premier temps. « Et tu n’es pas égoïste, je te comprends et je ne veux pas que tu souffres davantage non plus. Je veux que tu sois heureuse, tu le mérites. » expliquai-je avec une voix plus douce et posée. Mes mains allèrent également se placer autour de son visage et mes doigts caressèrent un instant ses joues avec tendresse. Mais elle avait raison, je n’étais pas prêt. C’était impossible pour moi de parler de la mort d’Arté parce que cela rendait la chose soudain trop réelle, trop vraie. Tant qu’on n’en parlait pas, je pouvais encore feindre qu’il était toujours en vie, quelque part à l’autre bout du monde, à se battre pour l’armée américaine. « Mais je ne vais pas te mentir, je ne suis pas prêt tu as raison. Je ne veux pas en parler. Ce n’est pas toi, c’est moi… » Je n’avais peut être pas le courage de me confier mais avoir Calypso à mes côtés me faisait du bien. J'approchai mes lèvres de son cou pour lui souffler doucement à l'oreille : « Mais j’aimerais que tu restes... » C’était plutôt moi l’égoïste dans l’histoire, d’attendre d’elle qu’elle soit là et qu’elle me soutienne alors même que je refusais de m’ouvrir à elle…
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Je voyais Priape sourire légèrement après ma dernière révélation... et j'espérais profondément qu'il me croyait, je croyais en nous et je voulais qu'il fasse de même. Néanmoins, il ne répondait pas immédiatement, et inévitablement, je commençais à regretter. J'avais peut-être été trop brutale, j'aurais dû le dire d'une autre manière, plus subtile, pourtant, je ne voyais pas d'autres manière de le dire. Je me mordais la lèvre de remords, des remords qui n'étaient pas totalement là puisque j'avais été tout simplement honnête. Je le regardais, mon visage était toujours proche du sien et je pouvais sentir son souffle caresser ma peau. « Je suis désolé Caly, de m'être emporté comme ça... » me dit-il d'un coup. Il continuait avant même que je ne puisse lui dire de ne pas s'excuser, parce que c'était à moi de le faire, pas à lui, pas après ma dernière révélation... je ne voulais pas qu'il me dise ça, on était tous les deux coupables de la situation actuelle, et je m'étais beaucoup plus emportée que lui. « Et tu n'es pas égoïste, je te comprends et je ne veux pas que tu souffres davantage non plus. Je veux que tu sois heureuse, tu le mérites. » disait-il avant de poser délicatement ses mains autour de mon visage et de caresser ma joue tendrement. J'appuyais doucement mon visage dans une de ses mains en fermant les yeux avant de lui répondre. Le problème Priape, c'est que... c'est avec toi que je suis heureuse et que je veux l'être avouais-je. Je n'ai jamais eu de famille, enfin du moins cela fait trop longtemps que je n'en ai plus pour me rappeler mes instants de bonheur avec eux, mais je sais une chose, Priape est le seul à pouvoir me rendre heureuse, malgré tout. Je ne me sentais pas gênée de lui avouer directement, car c'était juste une vérité... et au fond de lui, il le savait, sinon je ne me serais jamais battue autant, au fond de moi-même, pour nous deux. Je passais mes bras autour de sa taille. « Mais je ne vais pas te mentir, je ne suis pas prêt tu as raison. Je ne veux pas en parler. Ce n'est pas toi, c'est moi... » Je le savais tout ça. Je ne pouvais oublier mes dernières paroles, seulement maintenant il savait, il savait que j'étais prête à attendre, mais pas pour toujours. Seulement, pour l'instant, j'étais encore prête à être avec lui... et je pouvais faire abstraction, du fait qu'il ne veille pas parler avec moi, mais je le répète, pour l'instant. Seulement, je décide de ne pas m'attarder plus sur ça, ce n'est pas la peine de remuer le couteau dans la plaie comme on dit, je sais qu'il a compris, je le vois dans son regard, mais je sais aussi qu'il préfère laisser ça de côté, pour le moment. Je me sens prisonnière de son regard, que je n'avais pas vu depuis trop longtemps maintenant, et je me concentre sur l'instant présent... où je me sens si bien malgré tout. Je sais, ne t'inquiètes pas, lorsque tu seras prêt... tu me le diras. Je fermais cette parenthèse temporairement lui laissant l'opportunité de la rouvrir à sa guise. « Mais j'aimerais que tu restes... » Je souriais instinctivement. Je ne prenais même pas la peine de répondre, et j'approchais mes lèvres de siennes afin de l'embrasser, mais cette fois-ci je n'allais pas me contenter d'un petit baiser comme à mon arrivée.
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Les paroles de Calypso auraient surement du me rassurer, elles le firent en partie mais c’était la formulation de sa phrase qui me laissait perplexe. Parce que oui, elle m’assurait qu’elle était heureuse avec moi, mais elle avait commencé à parler en signalant que c’était un problème. « Le problème oui… » répétai-je à voix basse. Je savais que j’en étais la cause, que mon caractère renfermé, et que surtout mon obstination à tout garder pour moi, lui faisaient de la peine, pourtant je ne fis que confirmer ses paroles : je n’étais pas prêt, elle avait raison. Et finalement, elle m’assura de ne pas m’inquiéter. Pourtant, au fond de moi, à présent je savais. Je savais que le décompte avait commencé, que si je dépassais le temps imparti je risquais de la perde, et cela me terrifiait. Je n’arrivais pas à faire abstraction de cette menace que je sentais peser au dessus de moi, j’avais l’impression d’avoir un détonateur dans le cœur… Combien de temps me restait-il pour désamorcer la bombe ? Je n’osais même pas poser le question. Le sujet était clos maintenant. Je savais ce qu’il me restait à faire… Caly avait voulu quitter la pièce énervée quelques instants auparavant mais je l’avais forcée à rester en retenant la porte, à présent je n’avais toujours aucune envie de la voir partir, mais je tentais la douceur. Un sourire éclaira son visage et je vis les lèvres de la jeune femme réduire à néant la distance qui nous séparait encore. Je fermais les yeux pour profiter pleinement du contact délicieux de ses lèvres contre les miennes. Mes mains quittèrent son visage pour glisser le long de son dos en une lente caresse, jusqu’à la cambrure de ses reins. Je l’attirai avec douceur contre moi tout en approfondissant un peu plus notre baiser. Mes lèvres se firent plus pressantes contre les siennes. J’avais l’impression que cela faisait une éternité que je ne l’avais pas embrassée, embrassée vraiment. Car les furtifs baisers que nous avions rapidement échangés ces dernières semaines étaient soudain complètement éclipsés, oubliés. Je ne m’étais pas rendu compte à quel point cela m’avait manqué : ce contact, cette chaleur, cette passion...
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Priape faisait glisser sa main sur mon dos, effleurant ma peau avant de m'attirer un peu plus vers lui. Malgré notre désaccord, et malgré cette distance qu'il y avait entre nous, nous ne pouvions résister à l'autre, c'était comme quelque chose d'inévitable, la distance ne pouvait pas être complète éternellement, d'où mon baiser. Seulement, lui non plus, et lorsque je me rapprochais de lui, je sentais à quel point je l'aimais, à quel point j'avais besoin de lui, même si je devais attendre pour retrouver mon Priape. Je me laissais aller au contact de ses lèvres, de son corps tout entier qui était contre le mien à présent, j'essayais d'oublier notre conversation pour ne penser qu'au moment présent. Je passais ma main dans ses cheveux en l'embrassant, ne pouvant quitter ses lèvres, j'avais besoin de ce contact, et finalement je voulais tout simplement rester ici, un peu plus. Je pense que je vais rester dis-je dans un soupir en rompant durant un instant notre baiser, je glissais un sourire léger en regardant ses yeux, un simple regard qui me faisait frissonner. Je voulais qu'il comprenne que j'étais prête à attendre et que ça ne voulait pas dire qu'on ne pouvait plus avoir des moments à nous deux, je mettais tout dans une parenthèse afin de profiter de mon couple. Les battements de mon coeur s'accéléraient, je l'embrassais à nouveau. Nos langues s'entremêlèrent, je fermais les yeux afin de ressentir cette sensation pleinement, une sensation que j'avais presque oubliée.
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J’avais beau savoir que ce qu’elle désirait était une autre forme de rapprochement, la seule chose que je me sentais capable de lui offrir pour l’instant c’était cela. Je l’avais attirée contre moi, mes lèvres se faisant un peu plus pressantes contre les siennes, savourant ce baiser, ce véritable baiser, chose qui ne s’était pas produit entre nous depuis si longtemps. Elle détacha un court instant ses lèvres des miennes pour me souffler qu’elle allait finalement rester et aussitôt, un petit sourire victorieux éclaira mon visage. Nos bouches se retrouvèrent alors, nos langues s’emmêlèrent. Absorbé par le moment, j’oubliais l’espace d’un instant tout ce qui me paralysait jusque là, tout ce qui m’avait retenu dans cette chambre loin d’elle. A présent qu’elle était là devant moi, son corps tremblant contre le mien, ma bouche embrassant la sienne avec une passion dévorante, je n’étais plus à même de penser à autre chose qu’au désir qu’elle m’inspirait. Mon corps se réveillait comme après une hibernation trop longue. Mon cœur s’emballait, ma peau s’allumait, échauffée par ce rapprochement entre nous. Chaque parcelle de mon être la voulait. Peut être que je n’avais pas su trouver les mots pour lui faire comprendre à quel point elle comptait pour moi, peut être que je n’avais pas été capable de le lui dire, mais je savais que je pouvais très bien le lui montrer par mes gestes, si seulement elle me laissait cette chance…
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Je l'attirais un peu plus vers moi, faisant glisser mes mains dessous son tee-shirt afin d'être en contact avec sa peau. Je l'embrassais plus fougueusement, cela faisait trop longtemps que je n'avais pas eu ce contact, n'importe quel contact d'ailleurs. J'étais à ma place, je le savais, malgré nos problèmes, notre discussion j'étais exactement là où je devais être, dans ses bras. Il y a beaucoup de choses dont je ne suis pas sûre, beaucoup de choses sur lesquelles je doute, je suis incapable de dire quel est le futur pour notre relation, si oui ou non tout va s'arranger mais pour l'instant je suis persuadée d'une seule chose, c'est que je l'aime et que... je suis au bon endroit. Lorsque j'avais franchi l'entrée de cette chambre, j'étais bouillante de colère, à présent je l'étais également, mais de désir. J'ouvrais les yeux un instant, ils étaient si proches de son visage que ma vision était troublée pourtant je ressentais du soulagement à le voir de cette manière. Mes mains étaient posées sur son torse, je sentais sa peau brûlante, je n'avais pas besoin de parler et lui non plus, nous avions terminé de parler pour l'instant, et c'était peut-être mieux comme ça. Sans rompre le contact de nos lèvres, je décidais de l'attirer vers la chambre tout en faisant glisser son tee-shirt vers le haut afin de lui retirer, cette nuit, il était à moi.

RP TERMINÉ

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