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J'étais toujours autant perturbé par le plat devant moi, je commençais même à devenir nauséeux tellement j'étais dégoûte . Mes voisines aussi semblaient ressentir la même chose, et j'avais vraiment du mal à croire que préparer un cerveau était possible. Et puis bon, le cuisiner ne voulait pas forcément dire le manger, je fis donc l'effort d'essayer de me concentrer, et chasser l'image désastreuse que je me faisais de l'organe. « Il s'agit d'un organe de veau, certes le visuel laisse à désirer à l'état crue, mais je peux vous assurer qu'une cuisiné, c'est succulent » se mit alors à dire la chef du club et occasionnellement, celle qui nous avait tous les trois pris de force. « Commencez à saisir les différents épices, et assaisonné à votre guise, après nous allumerons les fours ». Voilà qui était dit, je me mis alors en action, et ajoutai du sel puis du poivre à la cervelle, toujours en train de débattre si j'allais goûter l'organe cuit, ou non. « J'pense que plus vite on aura finit, plus vite on pourra se barrer d'ici... » dis-je aux jeunes femmes, « qui sait ce qu'elle a on stock si on refuse de toucher à ça ? Des testicules de veau j'imagine ! ».
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