Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityROULETTE RP ► Viens on va jouer à la marelle
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ROULETTE RP ► Viens on va jouer à la marelle

La Doyenne

Âge : 57
Lieu de naissance : Boston
Quartier d'habitation / Colocation : mon bureau, j'y vis, y a quoi.
Situation sentimentale : mariée, bien entendu
Études / Métier : doyenne de l'université la plus prestigieuse au monde
Date d'inscription : 29/12/2011
Pseudo & Pronom(s) IRL : -
Icon : ROULETTE RP ► Viens on va jouer à la marelle VGUnHBxM_o
Faceclaim : viola davis
Crédits : polaroid paper (avatar) et prima luce (icon)
Multicomptes : x
Description (1) : ROULETTE RP ► Viens on va jouer à la marelle Giphy
Warnings : WARNING // concernant (personnage) écrire iciTRIGGER // refuse de jouer ; écrire ici

RPS : 6566
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La Doyenne
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Roulette RP

4 5 6, cueillir deeees concombres


CONTEXTE : Vous faites vos courses tranquillement, pour acheter des concombres un poireaux ou une grappe de raisin, quand soudain quelqu'un vous aborde pour vous proposer.. une course en sac, en plein milieu des allées du marché, organisée par la ville. Choisirez-vous d'être un candidat ou plutôt un badaud, le téléphone à la main pour immortaliser l'instant? Et si vous participez, allez-vous réussir à ne pas tomber en plein dans les légumes?

PARTICIPANTS : Alicia E. Johnson ♦ Calypso C. Thomspers ♦ Posey Lannister

Ce rp de groupe est organisé par la roulette à rps

Amusez-vous bien !
(La Doyenne)
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Je sais même pas pourquoi j'étais venue sur le marché, même après mon malaise, j'avais pas recommencé de mangé pour autant. Je savais juste une chose que mes pieds m'avaient traînés jusqu'ici et que je regardais les étales de fruits et légumes. Et comme si parce que ma maison me manqué, et qu'elle n'allait bientôt plus être dans la famille, j'avais pris une grappe de raisin et commençais à les manger comme ça. Bien sûr ont vins vite me dire qu'il fallait payer, je grommela un instant, en fait ça me manquait de manger du raisin. Et d'un coup, comme si tout depuis des années, le domaine me manquait, la vie que j'avais eu là bas, mes amies, mes parents, courir entre les pieds de vigne, comme jamais. En fait c'est pas aussi bien que ça de grandir. Je pris alors un sac pour y mettre du raisin, au moins si j'ai ça qui rentre et qui reste c'est un bon début. Quand un gusse vint me parler d'une course de sac, je le regarda avec les sourcils froncé, qu'est ce qui me raconte lui?? Il à un problème ou bien? Nan en fait y avait bien quelques chose, des gens s'attroupaient, je pris la décision de suivre le mouvement, sac en main. Tant pis j'avais pas payé.
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Je faisais la grimace devant mon réfrigérateur : il ne restait plus rien et mon estomac commençait à sérieusement avoir faim. J'avais complètement oublié de faire les courses, mais j'avais une bonne excuse, je bossais comme une folle depuis environ une semaine... et mes réserves étaient maintenant terminées. Je prenais mon sac, enfilais mes chaussures et attrapais au vol mes clés de voiture avant de me mettre en route. Mon estomac pouvait attendre un peu histoire que je fasse quelques courses, je n'avais guère envie d'aller en ville m'acheter un truc pas équilibré du tout. J'avais décidé de rompre avec la malbouffe depuis un mois, et j'essayais de suivre mes résolutions. J'arrivais au super-marché et bien évidemment, je me dirigeais vers les fruits et légumes. Je me décidais enfin à prendre quelques tomates et des pommes lorsqu'un jeune homme m'interpelle pour me proposer une activité pour le coup vraiment insolite : une course en sac. Je faisais une grimace face à sa proposition, c'était quoi ce plan bizarre? J'regardais les gens qui se dirigeaient tous vers un même endroit, et curieuse que je suis, j'allais voir ce qui se passait, mais j'étais peu certaine de vouloir participer.
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Les cheveux noués sur la tête, écouteurs aux oreilles, Posey déambulait tranquillement dans le Harvard Square, profitant des dernières chaleurs que leur apportait peu à peu l'automne. Voulant à tout prix respirer un air différent, elle s'était laissé guidé hors de la maison et ses pieds avaient finit par la traîner aux petit marché du coin. Si elle ne s'y rendait que très rarement, - préférant la luxure des sushis bars - la rouquine appréciait bien l'endroit. C'était vivant, différent et puis il fallait l'admettre, remplis d'étudiants peu désagréables à l'oeil. Attirée par la couleur des pommes, Posey se laissa tenter et tout en croquant à pleine dent dans le fruit, admira les alentours. Une masse de gens semblaient se former partout autour, comme durant ces piètres spectacles de rue qu'elle avait toujours trouvé d'un pathétique fou. Il ne fallait pas être fier. Faire le beau sur le trottoir pour quelques cents dans un vieux chapeau. L'horreur. Un passant lui effleura le bras de ses doigts avant de l'inviter - avec beaucoup trop de joie - à ce qui semblait être une merveilleuse course en .. sacs. La jolie éclata de rire puis, téléphone en mains et toujours prête à tout immortaliser (ou plutôt à foutre sur les blogs et réseaux sociaux du moment) tout et n'importe quoi. Avançant, elle se trouva vite une place près d'une blondinette et d'une brunette. « Ça me semble siiiiii chouette, vous participez ? » Roucoula-t-elle, une pointe d'ironie dans la voix. Qui pouvait bien s'abaisser à cela ? Certainement pas elle, pas une Eliot.
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J'avais rejoint l'attroupement, avec mon sac de raisin pas payé en main, j'hésitais à me jeter à l'eau, pis une voix de femme me fis me retourner, je soupira intérieurement, encore une Eliot, qui se fou de la plupart des gens, j'avais pas le courage, de lui dire de la fermer et de laisser les gens, faire ce qu'ils veulent, quitte à se ridiculiser. Je pris un air totalement enjoué comme si je n'avais pas compris que ça remarqué était ironique. "Ouai moi je vais le faire..." Sourire au lèvre j'arracha un grappe de raisin et lui tendis le sac. ".... Et tu peux garder mes raisins." Je savais que ça la ferai chier, que peu être elle allait les écraser, ou je sais pas quoi au pire j'en reprendrai un plus tard, en tout cas je lui donnais pas le choix de prendre le sac allégé d'une grappe, histoire que je mange un peu avant. Je me tourne vers l'autre fille. "Tu veux venir?" en tout cas elle n'avait fait aucune réflexion sur la débilité de ce qui se passait sous nos yeux, s'était pour s'amuser on était là pour ça.
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J'étais à côté de deux filles. La dernière qui venait de nous rejoindre, nous lançait une question assez ironique pour savoir si on voulait participer au jeu. Je me retournais vers elle après la question, elle semblait bien présomptueuse, mais bon je ne laissais rien transparaitre comme à mon habitude et je souriais à celle-ci, elle voulait jouer les princesses, trop mignon. J'avais laissé tomber les gamines depuis longtemps, surtout après tout ce que j'avais vécu, ma tolérance apparente était fausse, mais il était préférable de jouer les fourbes parfois pour ne pas s'attirer certaines foudres qui ne valent pas la peine d'être provoquées. La deuxième, brune, voulait faire le jeu et elle laissait son sac à l'autre, je ne savais pas si elle faisait ça pour l'embêter ou quoi, mais j'observais la scène avec un sourire aux lèvres, comme si de rien était. Elle me demandait si j'voulais venir, j'savais pas trop. Je voulais pas me taper la gamine de service mais j'étais pas dans mon assiette et j'avais vraiment beaucoup de boulot à la maison, mais j'me laissais tenter, juste histoire de voir comment ça se déroule. Allez ! J'vais voir comment ça se passe. Je me retournais vers la rouquine, alors toi qui trouves ça siiiii chouette, tu viens? dis-je en souriant.
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Ses petits airs hautains furent bien brefs et le temps de le dire, la brunette venait de lui enfoncer cette petite fierté six pieds sous terre en la remettant tout bêtement à sa place. Sentant ses doigts serrer trop fort le sac de raisins, elle ne démordit néanmoins pas de son grand et faux sourire et lorsque la blondinette l'invita à se joindre à eux (mimant les mêmes expressions que Posey), elle ne put faire autrement que d'accepter d'aller se ridiculiser. Elle savait qu'elle allait ainsi contre les valeurs des Eliot, s'abaisser à de telles conneries, mais elle ne pouvait donner l'image d'être une faible. N'était-ce pas ce qu'ils étaient, de grandes têtes fortes, tous futurs dirigeants de truc quelconque ou d'une simple fortune. Dans le peu de fierté qui lui restait, Posey suivit les deux autres, la mine déconfite. « On doit .. Enfiler ces trucs ? » Marmonna-t-elle pour elle-même lorsqu'on lui passa le vieux sac usé. Dans un soupire, elle se résigna à se mettre les pieds - sans même songer quelques instants à enlever ses escarpins - puis, adressa un sourire à ses deux nouvelles '' rivales de courses en sac '' « Vous verrez, je suis la meilleure à ce genre de trucs. » Et sa crédibilité s'essoufla presque aussitôt lorsqu'elle manqua s'étaler de tout son long, avant même que la course ne débute. Sol, 1. Posey, 0. « Je crois que s'en ai terminé pour tes raisins trésor. » Souffla-t-elle presque amusée. « Pourvu que personne que je ne connaisse ne passe ici, parce que je suis foutue. »
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Je lui avais refilé dans mon fort intérieur, j'étais heureuse de faire porte un sac par une Eliot, s'était juste le pied si seulement j'avais pus filmer ça, si on avait pus filmer cette scène. La blondinette accepta de venir et contre tout attente, la rouquine vint aussi avec nous, c'est un truc à marquer d'un pierre blanche, une croix sur le calendrier, ce que vous voulez mais il fallait que ça se sache. Hop donc direction la case départ pour enfiler le sac en toile de jute, ça faisait longtemps que j'avais pas fait ça. Les souvenirs au domaine remontait, Katty, moi et un copain je crois où on faisait pendant que les parents vendangeais, s'était trop bien. Je fus réveillé de ma contemplation du passé par un bruit sourd ou pas, je me tourna s'était miss "c'est ssiiiiiiiiiiiiiiiiiii chouette" qui venait de tomber, je regardait dans la foule de toute façon elle était grillé, il était tous avec leur téléphone, et appareil photo. Bon j'avais plus de raisin, et elle m'appelait trésor, je lui fis le plus beau des sourires et alla l'aider à se redresser. "Tu sais trésor, tu devrais enlever tes chaussures, tu va te faire mal à la cheville, ça serai dommage que t'ai une atèle ou un platre." Mais le truc dans tout ça c'est qu'elle allait se retrouver pied nue dans la toile de jute, certainement avec des restes de terre, comme tout ces genre de sac, de toute façon ce n'était pas une première main ça se voyais. Je me retourne vers l'autre fille. "T'as déjà fait ça toi?" J'allais pas me venter que j'en avait déjà fait, mais j'en avait pas honte alors qu'importe.
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Quel étonnement lorsque la rouquine décidait de nous rejoindre pour aller faire la course, elle avait dû être touché dans son petit estime pour accepter ce jeu si stupide à ses yeux, bref je faisais mine de rien. On devait enfiler des vieux sacs qui donnaient peu envie tant par leur odeur que leur aspect, mais étant en pleine séance de révisions il y a seulement quelques heures j'avais un vieux legging et un tee-shirt pour trainer à la maison - j'avais pas non plus prévu de rester trois cents ans faire les courses, donc j'avais enfilé les premiers habits qui se trouvaient sous mes yeux (et les plus confortables également) - que ça ne me dérangeait guère de me glisser dans la chose horrible que me tendait fièrement un jeune homme. J'attrapais mon sac après les deux autres, et avant même que ma basket ne touche le fond du sac, j'entendais un bruit derrière moi, je me retournais vivement en voyant la rouquine par terre, qui quelques minutes auparavant s'était plainte de l'aspect du sac et qui avait prôné être la meilleure, j'la regardais d'un regard quasi méprisant car ça me faisait rire, en vouloir jouer les malignes elle était bien ridicule maintenant, elle devrait tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler comme on dit. Le sac de raisin de la brune était fichu par la même occasion, je souriais à sa dernière remarque. J'me dirigeais vers la rouquine pour l'aider à se relever Ah ouais, là, franchement, meilleure que toi j'ai du mal à imaginer ! dis-je en rigolant Ça va tu as rien? J'voulais pas être méchante non plus, elle me faisait rire, c'était la jeunesse d'une gosse de riche qu'elle vivait et c'était mignon à voir. Lorsque la rouquine était à nouveau sur ses pieds, j'me retournais vers l'autre pour lui répondre. Non jamais, mais bon ça doit pas être si terrible ! et toi?
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Spoiler:
Posey se mordit la lèvre en apercevant la foule aux alentours. Elle était fichue. Ils étaient là, portables en mains et ne manquant rien de la scène. Ces drôles de meufs dans des sacs, prêtes à courser parmi les stands des fruits et légumes. Adieu la réputation. Bouchée par les deux autres, la blondie se contenta d'un simple haussement des sourcils avant d'étaler toute son impatience dans un agacent soupir. « Je vais bien. » Finit-elle par lâcher, mimant même un minuscule et vague semi-sourire. Puis, malgré sa grande fierté, elle enleva ses chaussures et les déposa tout près, dévastée de l'intérieur à l'idée qu'ils ne se salissent ou pire, disparaissent. Ses chaussures, prunelle de ses yeux. « Ils vont donner le départ bientôt ou y'en a pour la nuit ? » Tapant du pied, elle s'impatientait de plus en plus. Plus elle terminait cette stupidité dans quoi son orgeuil l'avait tiré, plus vite elle se barrait et plus vite s'en était terminé de l’humiliation. « J'peux pas croire que ça ne vous gêne pas vous. » Marmonna-t-elle entre deux sourires courtois à d'autre adversaires, toujours aussi fausse. Observant les deux jeunes femmes qui l'avaient traîné ici, Posey les étudiait minutieusement. Elles lui étaient complètement étrangères mais à leur voir l'allure, elle était convaincue qu'elles étaient d'Harvard, tout comme elle. (Et bon nombre dans le coin) Elles étaient peut-être des artistes, ou de futures avocates. Elles n'avaient visiblement rien en commun avec elle, ou presque.
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