( Flashback ) KONRAD ✖ Je te déteste comme je t'aime

La soirée commençait à prendre phase comme je voyais la noirceur prendre sa place. Mes cheveux bleus remontés sur ma tête , ma cigarette à la bouche et ma manette de jeux vidéo , montraient très bien à quelle point je n'avais pas l'intention de bouger de ma position. Assise sur le sol j'avais l'aire d'une simple gamine absorbée par son écran de télé. J'avais un sourire à mes lèvres et je riais même tout seul concentrée dans la palpitante histoire de mon bonhomme animé. J'avais reçu un message plutôt de mon ami Konrad. Je m'étais réjouis d'avoir enfin de ses nouvelles comme au fond je lui en voulais de m'avoir délaissé ainsi. Le problème avec lui c'est qu'il peut me transformer en une tornade ça ne change rien je reviens toujours vers lui. Car au fond il est sans doute la personne que j'ai de plus proche et je ne voudrais pas le perdre. Ah ce connard que j'aime trop. Sauf qu'il ne devait surtout pas penser qu'il pouvait s'en tirer comme ça . Je n'allais surtout pas me laisser faire ainsi. Quand enfin il arriva je pris la peine de me lever et d'aller lui ouvrir la porte. Mon premier reflex en voyant son visage c'est de le gifler. C'est ça ou un coup je ne sais où. Je suis une vrais bombe à retardement , mes coups volent facilement. La suite était toute fois beaucoup plus intéressante et moins amer. Je lui refila un baiser aussitôt sur les lèvres un peu violent , à croire que la douceur n'est pas un mot qui existe chez moi. «Tu m'as manqué.» Oui mais faudra se faire pardonner par contre. Je retournais à ma console en attendant qu'il rentre. « J'espère au moins que ta princesse ta manqué .» Je lui lançais une cigarette sur lui . Un petit cadeau qui lui ferait très plaisir.« D'abord tu te fais pardonné , après je fais tout ce que tu veux.» Je lui offris un sourire qui le défiait avec mon petit regard malicieux sans oublier mon rire coquin.

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zelad

† Je te déteste comme je t'aime. †

Bientôt trois mois que Grace m'avait abandonnée comme une merde, qu'elle m'avait lâchée, j'ai cesser de l'attendre, j'ai renouer avec ce que j'étais avant, cd connard libre qui s'en fou de tout et qui fait tout ce qu'il veut, j'ai arrêter toutes ces conneries, mon cœur est redevenu ce cœur de pierre et maintenant je recommence à profiter de la vie, tout comme les vagins. J'en ai laissé un de côté trop longtemps, celui de Zelda, c'est pour ça que je lui ai envoyé un sms quelques heures plus tôt, li dire que ce soir je viens chez elle, enfin dans sa chambre quoi, elle m'a manquée, et j'étais tellement axé sur mon ex que je l'ai même pas ressentis ce manque. Je gare ma bécane sur le parking et je file chez la M House, monter les escaliers et arriver devant sa porte. Je toque, elle ouvre, elle m'en colle une et dans la seconde d'après un putain de baiser avant de retourner à sa console pour me laisser entrer Toi aussi. je bougeais légèrement la machoir, j'avais bien sentis sa gifle comme son baiser, c'était ça avec elle, elle se gênait pas pour frapper pour exprimer ce qu'elle ressent, hors là c'était en gros pour me dire "t'avais pas à me délaisser, connard." j'entres et je viens poser ma veste sur son canapé avant d'attraper la clope qu'elle me lance Mais oui, j'viens de te le dire. je portais la clope à ma bouche, l'allumant puis je souriais à sa remarque Et comment je me fais pardonné, en te défiant à ton jeu vidéo ? je tirais une latte, m’avachissant sur le canapé, la regardant jouer.

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J'étais bien loin d'être le genre de fille qui pleurait pour rien. En fait je pouvais dire que je ne pleurais jamais , alors je n'allais sans doute pas lui faire une cris de larmes en disant qu'il m'avait abandonné. Ce serait complètement ridicule selon moi. Mais j'allais le bouder et me fâcher peut-être , sauf que je connaissais la suite. Impossible de rester fâcher bien longtemps avec lui. Après ça me faisait du bien de sentir que je lui avais manqué. Je n'avais pas envie de me retourner et de le regarder. Je restais concentré sur mon jeux comme tout à l'heure à ma position initiale. «C'est une option , mais je ne vais pas te donner la réponse malheureusement devine par toi même.» Je riais encore en lui donnant la deuxième manette pour qu'il se joigne à moi. Je me relevais , pris une cigarette puis après je le poussais un peu de mon canapé pour me faire une place.«Je te hais quand même.» Je lui tirais la langue comme une enfant en faisant une mine boudeur. J'allais perdre à ce jeux je le savais déjà. Il avait cette façon de me faire changer d'idée assez rapidement. En même temps il me connaissait par coeur je dois dire et cela m'agaçait à certain moment je dois dire. J'avais envie de lui sauter dans les bras et de reprendre les habitues antérieurs , malheureusement je ne lui donnerai pas ce plaisir trop rapidement. Je n'avais quand même eu aucune nouvelle pendant trop longtemps selon moi. Je gardais toujours le même sourire. J'attendais ses réactions et s'il ne broncherait pas j'allais le provoquer encore plus comme je savais très bien le faire.

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zelad

† Je te déteste comme je t'aime. †

Zelada, j'étais le mec qui la connaissait le plus, de a à z, j'étais son pote le plus proche, celui avec qui elle était le plus fusionnelle, la plus complice, j'arrivais à la faire rire comme à lui faire péter un câble au point qu'elle en vienne à me foutre une droite, car oui elle ne se gênera pas mais généralement après nos engueulades explosives, c'est une partie de jambes en l'air explosive et c'est une amante diablement orgasmique. Ça va faire plus de deux mois qu'on ne sait pas vu, je l'ai délaissé avec Grace quand j'étais en couple avec puis encore lorsqu'elle m'a quitté pour partir je ne sais où, ces deux mois de réflexions c'était quasiment sans voir personne, alors je me devais de venir la voir ce soir, je lui avais envoyé un sms et comme je l'avais prévu, dès qu'elle m'ouvra la porte, j'avais eu le droit à une gifle et la seconde d'après une putain de galoche. C'était Zelda, elle me faisait comprendre que j'avais merdé mais aussi que je lui avais manqué, j'entrais refermant la porte derrière moi, elle était retourné s'asseoir par terre, la manette dans les mains et sa clope entre les lèvres, je venais poser ma veste sur le canapé, rattraper la clope qu'elle venait de sortir de son paquet et de me lancer, je l'allumais en la portant à mes lèvres puis je venais m'affaler sur son canapé. Je devais me faire pardonné, ça me faisait sourire, me faire pardonner avec son jeu vidéo ? Elle me laissait dans le flou, quoique elle finissait par me filer l'autre manette et à venir poser son cul sur le canapé en me poussant légèrement Je sais que tu me hais. Tellement. je souriais, j'allais la battre à son jeu, je ne sas combien de fois on a passés des nuits blanches à s'affronter sur cette console, dans la majorité je gagnais, et je vais encore le prouver. Je tirais une latte avant de la regarder Si je gagne j'ai le droit à un massage, si tu gagnes, t'as le droit à tout ce que tu veux venant de moi. c'était le deal.

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Il me défiait et bien entendu que j'allais accepté et en plus de tous ça je suis une des pire orgueilleuse qui soit. Je le savais d'une manière qu'il allait surement me battre encore , mais je refusais d'admettre qu'à ce jeux il était le meilleur. Je pouvais passer mes journées à jouer parfois et lui il arrivait à me vaincre n'importe quand. C'est quand même assez nul de se faire battre sur quelque chose que tu fais depuis toute petite. Même que ta propre mère ta enseigné. Oui parce que je retiens d'elle pour ce point. J'avais tellement envie de le faire baver et qu'il s'occupe de moi pendant un long moment. Qu'il s'occupe de mes moindres désirs. Sinon je pourrais toujours tricher en lui faisant une petite distraction pour pouvoir gagner pour une fois. Il était déjà si confiant je le voyais dans son visage. Je devrais peut-être lui accordé une deuxième gifle de quoi le replacer de nouveau , mais il ne faudrait pas abîmer son beau visage non plus. «D'accord j'accepte.» J'avais lâcher ma réponse dans un grognement et un soupire. Dès le départ j'étais déjà faite. Je le voyais très bien que j'allais perdre la partie. Avant même que la partie soit terminé je lançais ma manette au sol.«Oh et puis zut !» Je le poussais encore une fois et une dernière , parce que quand même le pauvre il finirait avec plein de bleu si ça continue.«Vient ici que je te le fasse ce fameux massage !» Je me glissais derrière lui et de cette façon j'étais assez coller contre lui. Je commençais à ressentir le besoin d'être contre lui je ne pouvais pas le nier il m'avait manqué. Surtout que nos moments aux lits étaient si formidables que j'aimerais bien en avoir un aujourd'hui. Je commençais mon massage doucement. Il était tout heureux je le savais.

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zelad

† Je te déteste comme je t'aime. †

Je savais qu'elle aimait les défis , elle a toujours adoré ça, me provoquer aussi, elle adore ça, et là je me prend à son propre jeu en la défiant à son jeu vidéo. Ça a toujours été ça avec elle, elle a beau geeker comme une tarée, j'arrive à la battre comme ça, et ça m'amuse car ça l'énerve, elle n'arrive pas à comprendre, moi non plus mais on peut dire que c'est le talent tout simplement. Pour pimenter le tout je lui proposais un petit truc, si je gagnais elle me faisait un massage, si elle gagnait, elle faisait ce qu'elle voulait de moi, elle acceptait avec cette petite fierté de gagner ce qui allait la motiver un peu et restreindre ces chances de perdre. Mais je dominais déjà la partie et avant qu'elle soit finit, elle abandonnait lâchant sa manette, je souriais la sentant me pousser, oui c'était énervant je sais, elle venait se glisser derrière moi pour me faire ce fameux massage, j'allais pas dire non, elle était quasi collée à moi, j'adorais ça, ses mains se posaient sur mes épaules et elle commençait à me masser, je fermais les yeux, mettant sur pause le jeu et posant la manette Oh putain... oui je surkiffais cet instant, elle massait comme une déesse.

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Je l'avais déjà conquis. Un petit soupir de plaisir qui s'échappait entre ses lèvres au file que mes mains s'élançaient dans leur massage.Je descendais tout le long de son dos pour en retirer des frissons tout au long de sa colonne vertébrale. Il fondait sous mes mains et j'adorais ça. J'avais appris à connaître chacun de ses petits endroits et d'un simple tour de main je l'avais dans mes bras. Je me penchais doucement vers lui venant juste déposée mon souffle < sa nuque et au creux de son cou. Je me retirais juste après en terminant le massage dont je savais déjà qu'il avait apprécié. .Est-ce que moi j'ai le droit à quelque chose ?» Je lui donnais une petite voix suppliante juste au creux de son oreille que je mordillais juste avant de partir. J'aimais jouer , j'étais une grande joueuse. J'aime l'attisé pour faire monter son feux en lui pour qu'il me saute dessus à tout moment. Comme un prédateur sur sa proie. Il est vrais que ce qui est encore mieux c'est que nous venons tout juste de nous disputer et nous entamons une partie de jambe en l'aire bestial. Je vins m'asseoir sur ses jambes en le regardant..Aller moi aussi je veux quelque chose...» Au même moment j'avais déposé ma main sur son torse.

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zelad

† Je te déteste comme je t'aime. †

Je fermais les yeux, la sensation était juste jouissive, ses mains sur mes épaules, parcourant mon dos, je savourais chaque passage de ses doigts sur mon corps, elle connaissait ce corps par cœur, chaque parcelle, et son souffle dans le creux de ma nuque, putain paradisiaque, ce massage qu'elle venait de me faire durant quelques minutes m'avait détendu et la voilà à me dire qu'elle aussi voulait quelque chose Je pense.. je souriais malicieusement alors qu'elle venait s'asseoir sur mes jambe et poser sa main sur mon torse, je la regardais Dis moi quoi. aller elle l'avait bien méritée après ce massage qu'elle venait de me donner.

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Oh s'il te plait ne me fait pas languir d’avantage je n'en peux plus moi. Je sais que cela t'amuse et que tu essaie sans doute d'augmenter mon désir à son paroxysme ,car en conclusion cela donnera que je te sauterai dessus sauvagement. Et je sais oh combien que tu adore ça. Ma main sur son torse glisse sous son t-shirt et monte comme une araignée très rapidement en ne le quittant pas du regard. Pourquoi devoir le lui dire alors qu'il le sait déjà , enfin lui dire ne serait que lui montrer par des gestes pour augmenter la chaleur de nos deux corps. Après tout ce temps à ne pas s'être vu na fait que augmenter le manque d'un cran. Il n'avait même pas besoin de me toucher que j'étais déjà toute excité , car nos épisodes de nos fois d'avant me revenait en tête. Je devais en profiter maintenant qu'il revenait vers moi. Il est tout de même mon meilleur ami et son absence à créer un vide à l'intérieur de moi , même si je ne lui dirai pas et je préfère lui donner des coups pour lui faire comprendre.«D'accord je vais te le montrer à la place te le dire.» Je m'approche de lui dangereusement et je l'embrasse en lui mordillant la lèvre puis en la passant mes ongles sur la chair de son dos avec un sourire au coin de mes lèvres. Je le colle très serrer contre le sofa comme pour lui montrer qu'il ne peut pas bouger.

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zelad

† Je te déteste comme je t'aime. †

La taquiner, la provoquer, m'amuser, elle a toujours marcher dans mon petit monde et elle marche encore dedans, j'ai accepter son défi et elle n'arrive même pas à attendre que la partie soit terminée, elle lâche sa manette pour venir me faire ce massage et comme elle sait que j'ai adoré ces quelques minutes à sentir ses doigts parcourir les parcelles de mon corps, elle sait que je ne vais pas refuser de lui donner ce quelque chose qu'elle veut. Elle vient s'asseoir sur mes jambes, elle insiste encore et encore pour l'avoir et comme elle a du le sentir, je ne refusais pas sentant ses doigts glisser sous mon t-shirt, je souriais la laissant faire, ses lèvres sur les miennes qu'elle n'hésite pa à mordiller, ses ongles laissant leurs traces dans mon dos et la pression qu'elle exerce sur mon corps contre le canapé, j'avais compris que je ne pouvais plus bouger, que je devais lui donner ce quelque chose pour partir Donc c'est ça que tu veux ? je venais caresser sa joue Ou je me trompe peut-être.. je glissais cette main sur sa joue, dans sa nuque, sur sa poitrine, sur sa taille puis sur sa cuisse avant de la remonter jusqu'à son entre jambe et de continuer mes caresses. Peut-être pas, tu veux vraiment ce quelque chose. elle m'avait également manqué sur ce point là.

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