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xaver & ariane. ♠

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tu m'as brisé le coeur même si j'ai nié.
xaver ∞ ariane


Je repousse la mèche qui tombe sur mon visage, tout en me frayant un chemin entre la foule jusqu’à l’ascenseur. La journée a été longue et je suis soulagée qu’elle touche pratiquement à sa fin. Je n’ai qu’une envie, rentrer à la Eliot House et me jeter sous ma couette, quelques heures au moins afin de reprendre des forces. Ce devrait être interdit, autant de cours dans une même journée. Les portes se referment devant mes yeux, je soupire, accélère et me glisse entre elles. Attendre qu’il descende, et remonte aurait mis un temps bien trop précieux. Un sourire satisfait s’affiche sur mes lèvres tandis que mon regard se pose sur la silhouette musclée qui me fait face dans l’ascenseur. Je déglutis presque automatiquement devant ce regard que je connais si bien. J’ai jusqu’à présent tout fait pour l’éviter et je dois dire que j’y suis assez bien arrivée depuis notre rupture et il a fallu qu’aujourd’hui, après une journée exténuante je me retrouve avec lui dans un endroit si confiné, où il n’y a aucune possibilité de s’enfuir. Je pivote sur moi-même pour lui tourner le dos. Dans quelques secondes l’ascenseur me délivrera de cette situation atroce. Je dois prendre sur moi et c’est ce que je fais lorsque j’appuie sur le bouton du rez-de-chaussée. Comme si cela était fait exprès, nos doigts se frôlent quand lui aussi voulait indiquer son étage. Un frisson me parcours. J’aurai préféré que ce contact n’ait pas lieu et je fais mine de garder le contrôle même si intérieurement, je suis à bout de nerfs. Je baisse les yeux, regarde mes escarpins un instant avant de sursauter. L’ascenseur vient de faire un mouvement bref et je commence déjà à paniquer. Je ne suis pas claustrophobe loin de là, mais j’ai une peur panique des ascenseurs depuis toujours et si j’ai réussi à la vaincre pour monter dans celui-ci et rentrer plus rapidement chez moi, je commence à regretter ce choix. « Oh non, qu’est-ce que c’est que ça ! » M’exclamais-je en tentant de puiser la force de garder mon sang froid. Mes jambes menacent de s’effondrer lorsque la lumière se coupe brusquement. Je comprends rapidement que l’ascenseur est arrêté et que les escaliers auraient été le meilleur choix tout de même. « C’est impossible, c’est pas possible, non, non, non ! » Continuais-je tandis que je cherche à tâtons le mur pour me laisser glisser contre celui-ci. « Quelle journée de merde. » Dis-je en me laissant tomber au sol, abandonnant mon sac dans un coin. « Et en plus pour couronner le tout, j’ai la chance d’être dans cette situation avec toi. » Lançais-je en m’adressant pour la première fois à mon ex petit ami, d’un ton amer.
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tu m'as brisé le coeur même si j'ai nié.
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En ce moment, c'etait vraiment la catastrophe. Tu commencais a avoir des regrets, beaucoup de regrets, et ceux sur beaucoup de choses. T'avais ete un chien avec Ariane lors de votre rupture, t'avais pas reussi a completement mettre une croix sur Eugenie et tu avais impose les bebes a Candice, et maintenant cette derniere avait eu un accident et en avait perdu un. Elle allait encore souffrir et tu ne voulais pas qu'elle tombe dans une depression. Si tu avais fais les choses differents, tu en serais pas la aujourd'hui. Cependant, tu ne devais pas avoir le temps pour des regrets, il fallait que tu penses a ta femme encore a l'hopital. Tu venais de finir les cours et devait te rendre a l'administration pour regler l'hospitalisation de Candice. Tu savais qu'elle ne voudrait pas que ses parents soient au courant, surtout depuis ce qui s'etait passe a Yale. Du coup, comme seule famille present tu allais t'en occuper. Tu pris alors l'acenseur pour descendre au rez de chaussée et c'est la qu'Ariane entrait egalement dans cet ascenceur. C'etait une blague. Il fallait que tu sois avec elle. Tu avais deja plein de remords vis a vis avec, mais tu savais que si tu voulais lui parler, elle profiterait de la premiere occasion pour partir des que la porte s'ouvrirait. Soudain, vos doigts s'effleuraient doucement et tu eus comme un frisson. Ca faisait longtemps que tu ne l'avais plus sentie. Le silence reignait dans l'ascenceur jusqu'a ce que soudainement, il s'arreta net, faisant un bruit bizarre puis plus de lumiere. Argh genial, panne d'ascenceur, exactement ce qu'il te fallait. Tu regardais Ariane paniquer alors que tu gardais ton calme. Elle se laissait aller sur le sol alors qu'elle se plaignait d'etre avec toi. Tu sortis ton telephone, mais il y avait pas de reseaux donc ca servait a rien. "Bon y a pas de reseau donc on va devoir attendre." Puis tu t'assis egalement sur le sol a l'opposé d'elle. "Au moins, on va enfin pouvoir parler sans que ton meilleur ami me donne des regards meurtris et que tu m'evites." Lui repondis-tu sur un faussement sarcastique. Depuis votre rupture, elle ne faisait que t'eviter et ca commencait a devenir lassant et humblement chiant.
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Je sens mon corps s’emballer dans ma poitrine. Dans mes tempes, l’afflux sanguin est si abondant que j’ai l’impression de sentir des battements qui s’accélère alors que je me rends compte de la situation. Je suis là, assise contre la paroi d’un ascenseur à l’arrêt, plongé dans l’obscurité. J’entends les mouvements de Xaver à côté de moi, il a lui aussi capitulé avant de se laisser tomber à mes côtés. Un espace cependant nécessaire nous sépare. Je crois que je ne lui ai toujours pas pardonné la façon dont il m’a quitté, après s’être permis de me négliger totalement. Il était toujours trop occupé pour m’accorder un peu de temps. A notre séparation, je lui en ai voulu mais je me suis dit qu’il n’était tout simplement pas fait pour être en couple et que c’était ainsi. Sauf que quelques mois plus tard seulement il s’était marié. J’en avais conclu qu’il s’était fichu de moi, et aujourd’hui encore, je dois avouer que la rancune est tenace. Il tente quelque chose avec son téléphone, mais les ascenseurs coupent le réseau à coup sûr. Chose surprenante d’ailleurs lorsqu’on sait qu’on en aurait particulièrement besoin lorsque l’on est coincé dedans. Il finit par parler, et sa voix provoque une sensation étrange en moi. Je me recroqueville comme par instinct de protection. Je ne dis rien à sa première intervention. « Au moins, on va enfin pouvoir parler sans que ton meilleur ami me donne des regards meurtris et que tu m'évites. » Pourtant lorsque cette phrase retentit, je ne peux réprimer un regard assassin qu’il ne discerne sûrement pas dans le noir. J’ai envie de lui sauter à la gorge. D’autant plus que je suis surprise qu’il se permette de parler de Walter. De quel droit ose-t-il cela ? Je ne peux rester muette plus longtemps, et sans contrôler ni les mots qui sortent ni le ton sur lequel je m’exprime, je rétorque. « Tu penses peut-être qu’il avait tort de t’envoyer des regards meurtriers ? Je te rappelle que tu as bien joué avec moi. Alors de quel droit tu te permets de parler de lui ? Tu ne protèges pas ta chère et tendre Candice ? Et bien c’est pareil. C’est ce que font les gens qui s’apprécient. » Je me mordille la lèvre inférieure. Je devrais ne rien savoir sur sa vie amoureuse actuelle si vraiment je me fichais de lui. J’en avais dit trop. Mais je ne peux cependant pas m’arrêter dans ma lancée. « Et puis qu’avais tu à me dire ? Si je me souviens bien tu n’avais pas le temps pour moi quand on était ensemble, tu vas me dire que tu en aurais trouvé pour discuter après notre rupture ? » J’allais peut-être loin, mais Xaver m’a réellement blessé.
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T'as jamais voulu etre un connard avec Ariane, parce que c'etait fille malgre ce que tu avais pu lui faire, elle etait genial. Tu l'avais aimé, mais t'avais peur de t'engager a ce moment-la, et surtout tu ne voulais pas qu'elle sombre dans les mefaits de la vie de princesse. Tu le voyais deja avec Candice, rien qu'avec la grossesse. Quand on entrait dans une famille royale, en tant que femme on devait faire des concessions et bien meme si ce n'est pas que le mariage, meme en tant que petite amie, il fallait s'attendre a ce que l'autre soit tres peu present en temps de crise ou en temps de choses indispensable. C'etait peut-etre barbarre et conservateur comme ideologie, mais c'etait ainsi et qu'importe ce que tu voulais, tu ne pouvais pas aller a l'encontre de ta mere. De ce fait, tu avais prefere quitter Ariane. Cependant, tu ne lui avais jamais dis les vraies raisons de votre rupture. Apres avoir remarqué que la'scenceur ne marchait absolument pas, tu viens t'asseoir pas trop loin d'Ariane mais a une distance raisonnable. « Tu penses peut-être qu’il avait tort de t’envoyer des regards meurtriers ? Je te rappelle que tu as bien joué avec moi. Alors de quel droit tu te permets de parler de lui ? Tu ne protèges pas ta chère et tendre Candice ? Et bien c’est pareil. C’est ce que font les gens qui s’apprécient. » Fuh ca allait etre dure cette conversation. Surtout qu'elle melait Candice a cela, alors que tu avais toujours accepte ces meilleurs amis autant qu'ils puissent tous te detester. Puis avec la situation de maintenant avec Candice a l'hopital, tu avais pas envie de la mettre la dedans. "Non contrairement a ton meilleur ami, je reste civilisé et je ne montre pas mon degout a leur ecart." Enfin degout surtout vis a vis de Dexter et Kol qui etaient des vrais connards. Comment Candice pouvait etre ami avec eux etait un vrai mystere. « Et puis qu’avais tu à me dire ? Si je me souviens bien tu n’avais pas le temps pour moi quand on était ensemble, tu vas me dire que tu en aurais trouvé pour discuter après notre rupture ? » Tu baissais le regard. Ouais elle avait raison. Tu l'avais neglie, tu ne lui avais pas donne le temps que tu aurais du, preferant te refugier dans tes responsabilites. "Ecoute, je peux m'expliquer au moins. Je sais que je t'ai blesse, beaucoup meme, mais crois pas que j'en ai pas souffert et si j'ai decide de rompre avec toi, c'etait pour ton propre bien." Et surtout parce que tu ne voulais pas qu'elle souffre sous la pression de la famille royale. Mais ca tu ne lui avais pas encore dis.
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« Non contrairement à ton meilleur ami, je reste civilisé et je ne montre pas mon dégout à leur égard » Je lève les yeux au ciel. Certes Walter n’a jamais pu réellement apprécier Xaver mais il avait bien le droit d’en vouloir à celui qui me rendait si souvent malheureuse. Et Jagger aussi a très certainement sa part de responsabilité là-dedans, il a toujours tenu un rôle de protecteur à mon égard, mais je suis ravie d’avoir pu compter sur eux en de telles circonstances et je ne comprends pas que Xaver se permettent de les juger quand c’est lui qui a mal agis. Je ne relève pas cependant, ne trouvant pas réellement important de rebondir là-dessus. Nous ne tomberions jamais d’accord sur rien de toute façon. Notre relation avait été faite de compromis, mais uniquement de ma part. J’acceptais la distance, j’acceptais le délaissement et j’aurai presque du comprendre qu’avec tous les efforts que je faisais il veuille me larguer. Sauf que j’en avais eu marre d’être si compréhensive, et j’avais rayé définitivement de ma vie Xaver et notre histoire. Comme pour oublier l’inoubliable. Dans le fond, à Harvard je n’ai pas collectionné les histoires d’amour et je pensais vraiment avoir trouvé la bonne personne avec Xaver malgré sa mésentente avec mes deux acolytes, j’y avais cru. « Ecoute, je peux m'expliquer au moins. Je sais que je t'ai blesse, beaucoup même, mais crois pas que j'en ai pas souffert et si j'ai décidé de rompre avec toi, c'était pour ton propre bien » Je soupire. « Et voilà, toujours ce même refrain stupide. Si je te quitte c’est pour ton bien. Ce n’est pas toi c’est moi le problème. C’est du baratin garde le pour celles qui y croient ! Tu me connais toujours pas après tout ce temps bordel ? » M’écriais-je avant de tenter de reprendre mon calme. Je ne suis pas censée réagir ainsi si j’ai réussi à l’oublier. Mais dans le fond on ne cesse jamais vraiment de tenir à quelqu’un. « Tu en as souffert ? Alors pourquoi l’as-tu fait ? Pour te marier quelques mois après ? Y avait déjà quelque chose avec elle ? Dis-moi ça, dis-moi que tu en aimais une autre, que je ne satisfaisais pas, que j’étais une copine horrible mais ne me dis pas ‘je l’ai fait pour toi’. C’est tellement hypocrite… » Continuais-je. « Quelle explication peux-tu avoir pour m’avoir fait ça ? Me briser le cœur et m’humilier en prime en te montrant à son bras ? »
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« Et voilà, toujours ce même refrain stupide. Si je te quitte c’est pour ton bien. Ce n’est pas toi c’est moi le problème. C’est du baratin garde le pour celles qui y croient ! Tu me connais toujours pas après tout ce temps bordel ? » Tu pris ton visage entre tes mains. Tu savais tres bien de quoi elle parlait, parce que c'etait une excuse tellement facile a sortir. Sauf que la, dans un sens c'etait vrai. Ariane n'aurait jamais ete heureuse a tes cotes avec toutes tes responsabilites. Tu lui avais fais beaucoup de mal et cela n'avait jamais ete intentionnelle. Tu ne disais rien laissant seulement echapper un long soupire. Tout compte fait, tu regrettais presque de t'etre retrouve dans le meme ascenceur qu'elle et qu'il soit tombe en panne. Maintenant tu voulais juste que quelqu'un allait debarquer rapidement pour le venir le reparer. « Tu en as souffert ? Alors pourquoi l’as-tu fait ? Pour te marier quelques mois après ? Y avait déjà quelque chose avec elle ? Dis-moi ça, dis-moi que tu en aimais une autre, que je ne satisfaisais pas, que j’étais une copine horrible mais ne me dis pas ‘je l’ai fait pour toi’. C’est tellement hypocrite…Quelle explication peux-tu avoir pour m’avoir fait ça ? Me briser le cœur et m’humilier en prime en te montrant à son bras ? » Tu secouais la tete. Ca n'avait rien avoir avec Candice. Tu n'avais jamais prevu de lui faire du mal avec Candice, ca s'etait juste passe. Elle avait d'abord etait une amie proche et lors de la bombe, tu t'etais rendue compte ce qu'elle etait vraiment pour pour toi. Ariane n'avait pas le droit de s'en prendre a elle, bien qu'elle avait toute ses raisons. "Ariane, cette vie que j'ai, elle est pas pour toi. T'as bien vu a quel point, j'etais pas present. Ca aurait juste ete pire avec le temps, et tu meritais pas ca. Ma vie, elle est pas heureuse. Ouais j'ai peut-etre le beau titre de Prince d'Allemagne, mais c'est juste une putain de malediction que je ne voulais pas t'infliger encore plus. Et ouais, j'en ai souffert parce que j'avais des putains de sentiments pour toi, que j'etais oblige de surpresser pour ton propre bien. Tu trouveras un homme qui te merite vraiment, parce que je te jure que c'est pas moi." Tu lui balancais a la figure avant de reprendre ton calme. "Et ce qui est de Candice, je n'ai jamais eu l'intention de te faire du mal, ni de t'humilier avec elle. Je peux pas expliquer ce que je ressens pour elle, mais quand je suis avec elle, tout semble complet. Tu peux peut-etre pas comprendre, mais un jour, je suis sur que tu trouveras quelqu'un qui te fera sentir la meme chose, sauf que ca n'a jamais ete moi. Je suis desolé, sincerement." Tu finis en baissant les yeux, jouant avec le bracelet de ta montre. Tu avais ete sincere dans tout ce que tu disais et tu esperais qu'elle le voit aussi, car tu ne pouvais pas lui mentir.
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Silencieuse, dans le noir de l’ascenseur, j’écoute attentivement ce qu’il a à dire. Mes yeux me brûlent et je suis satisfaite qu’il ne puisse pas s’en apercevoir. Sa voix m’a bercé tant de fois. Bien que nous étions séparés par des centaines de kilomètres lorsqu’il était en voyage pour affaires, il prenait le temps de m’appeler tous les soirs, nous nous endormions au téléphone. Sa présence me manquait c’est certain, mais je pouvais m’y faire, tant les sentiments étaient intenses entre nous. Et puis ces appels tardifs avaient pris fin lorsqu’il m’avait annoncé froidement que tout était fini entre nous. J’avais d’abord refusé d’y croire et puis j’étais allée me réfugier dans les bras de Walter en pleine nuit. J’aurai voulu à l’époque pleurer toutes les larmes de mon corps, le supplier de revenir, lui demander des explications mais ça aurait été une marque de faiblesse. Je m’étais contentée de disparaître, de ne plus donner de signe de vie, de me renfermer sur moi-même et de ne montrer aucune des émotions qui s’imposaient à moi. Désarroi, peine, colère, un mélange qui m’a malgré tout aidé à avancer. Lui en vouloir me permettait de tenir et puis un jour, il n’y avait plus eut cette colère, juste la peine de devoir m’habituer à son absence… Je m’y étais finalement faite mais jamais je n’avais totalement oublié la façon qu’il avait de caresser ma joue lorsqu’il rentrait tard et me rejoignait dans mon lit. Jamais je n’avais totalement effacé le goût de ses baisers. Le débit de ses paroles est si rapide que certaines bribes m’échappent peut-être. Je comprends cependant qu’il pense avoir fait cela pour mon bien et je me contente d’hausser les épaules. Il parle ensuite de sa femme. Celle qui a pris ma place en un temps record. Et alors que je m’apaisais presque intérieurement, c’est une vive déchirure qui s’ouvre de nouveau. « Et tu aurais pas pu t’en rendre compte avant de me faire cela ? Tu la connaissais avant moi, tu avais forcément déjà des sentiments pour elle pourquoi n’avoir rien dit ? Pourquoi m’avoir laissé m’attacher à toi ? » Ce n’est pas vraiment un ton de reproche que j’utilise, seulement un ton interrogatif. Cette question m’a hanté et la dire à haute voix fait un bien fou.  « Tu sais, j’ai vraiment cru en nous, et j’aurai pu tout supporter. Pourquoi ne m’en as-tu pas cru capable si tu tenais à moi ? » J’ai été élevée avec l’absence continuelle de mon père et la présence réduite de ma mère. J’aurai pu me faire à celle de mon mari, je crois. Mais nous n’avions jamais eu besoin de se poser cette question, car comme il l’évoque à présent, il n’était pas fait pour moi. Ou du moins, je n’étais pas faite pour lui. « Et si tu es si bien avec elle, ça veut dire qu’avec moi tu ne ressentais rien ? Qu’est ce qu’il y avait entre nous alors ? J’ai cru qu’on tenait l’un à l’autre… » Et moi je t’aimais. Me dis-je à moi-même.
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Tu t'en voulais de tout ce que tu avais fait subir a Ariance, parce que ca n'avait jamais ete dans ton but de la faire souffrir. mais tu savais que tu l'avais fait et qu'elle avait surement du souffrir encore plus que toi. Ariane avait ete la premiere copine serieuse que tu avais eu apres qu'Eugenie t'avait clairement laché pour son riche francais. Et c'etait toi qui avait merde avec elle. Tu avais eu des reels sentiments pour elle mais tu ne supportais pas toute cette distance qu'il y avait a cause de tes responsabilites et tu n'avais plus su tenir comme cela. Ce n'etait ni juste pour toi et encore moins pour elle. Peut-etre que c'etait une bonne chose que vous soyez coincer ensemble dans cet ascenceur. Tu pourrais enfin parler, sans que vous soyez deranger ni entendu parce que tu avais surement des choses a lui dire que tu ne voulais pas quelqu'un d'autre entende. « Et tu aurais pas pu t’en rendre compte avant de me faire cela ? Tu la connaissais avant moi, tu avais forcément déjà des sentiments pour elle pourquoi n’avoir rien dit ? Pourquoi m’avoir laissé m’attacher à toi ? » Gosh elle comprenait rien, surtout que Candice etait qu;arriver l'année passé a Harvard, donc en soit, tu connaissais Ariane avant. "Je connais Candice depuis l'année passé. Elle etait nouvelle, je l'ai accueilli et le courant est bien passé. Donc en soit, on etait deja ensemble quand je l'ai rencontré. Apres, pour ce qui est des sentiments, non j'en avais pas pour elle, du moins, pas jusqu'a la bombe. Je peux pas te decrire ce que je ressens pour elle. Mais non, je n'ai jamais rien fais dans ton dos. On etait qu'amis avant." Pourquoi tu devais te justifier face a tout cela? T'en savais rien. Surtout pas face a Candice. « Tu sais, j’ai vraiment cru en nous, et j’aurai pu tout supporter. Pourquoi ne m’en as-tu pas cru capable si tu tenais à moi ?» Tu laissais echapper un lourd soupire. Comment lui expliquer cela, sans qu'elle n'ait mal. Impossible. "T'aurais peut-etre pu supporter, mais moi j'y arrivais plus. Tout ces week-end a voyager a se telephoner, non c'est pas possible et c'etait pas juste pour toi. Je te retenais juste dans une prison dorée. C'etait inevitable, je pouvais plus te garder egoistement pour moi a te retenir juste parce que j'avais des sentiments pour toi alors que tu merites mieux qu'un mec avec qui tu passes plus de temps au telephone que physiquement ensemble." Ouais parce que c'etait ce qui s'etait passé, et serieusement, ce n'etait pas beau pour une jeune femme. « Et si tu es si bien avec elle, ça veut dire qu’avec moi tu ne ressentais rien ? Qu’est ce qu’il y avait entre nous alors ? J’ai cru qu’on tenait l’un à l’autre… » Pourquoi s'obstinait-elle sur ta relation avec Candice? Ca n'avait absolument rien a voire avec Ariane, mais alors absolument rien. "MAIS MERDE ARIANE. COMBIEN DE FOIS DOIS-JE TE DIRE QUE JE TENAIS A TOI, QUE JE T'AIMAIS !? C'est juste que c'est different avec Candice." Tu ne voulais pas lui gueuler de dessus, mais tu ne savais pas comment lui faire comprendre autrement.
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J’ai toujours aimé avoir le contrôle sur tout et ce depuis ma plus tendre enfance. C’est comme ça que j’ai été façonnée et je suis une maniaque du contrôle c’est difficile à admettre et pourtant c’est vrai. Je suis cette fille qui ne supporte pas quand les choses lui échappent ou se transforment en ce que je n’avais pas imaginé qu’elles seraient. Et ma relation avec Xaver m’avait clairement échappé. J’avais vu en lui un homme intéressant, drôle, responsable, il m’avait séduite plus rapidement que je ne l’aurai pensé et alors que je m’imaginais vivre avec lui une relation stable, saine et sans forcément de passion dévorante pour tout détruire, j’étais tombée amoureuse. J’avais réappris à aimer entre ses bras, j’étais devenue accro à sa présence, à sa voix lorsqu’il était absent, à nos messages échangés, nos secrets dévoilés, nos rires entremêlés. Et lorsque notre relation s’était terminée, j’ai pour la première fois depuis des années, compris que cette fois-ci, j’avais définitivement perdu le contrôle Et c’était tout ce que j’avais toujours cherché à éviter. J’ai des milliers de questions à lui poser, des centaines de doutes qui se sont immiscés dans mon esprit depuis notre rupture et c’est comme si le destin me laissait m’exprimer, alors que nous nous retrouvons confinés dans un endroit si étroit qu’échapper à la confrontation semble impossible. J’écoute les réponses à ses questions et je comprends que je suis injuste de lui en vouloir autant. Cependant, je ne peux pas me résigner à pardonner. Je ne suis pas programmée pour cela. Ma rancune est tenace et j’ai trop aimé Xaver pour oublier… Mais je comprends que ma haine à son encontre n’est pas fondée, que dans le fond, je rêve de me blottir contre lui, pour simplement profiter de sa présence, que j’ai tant recherché ces derniers mois. Je ne suis plus amoureuse de lui. C’est terminé, pourtant, malgré tous mes efforts je n’ai pas pu me débarrasser de l’affection que je nourris à son encontre. Je m’en rends compte alors que le silence succède ses cris. Je baisse les yeux, et laisse un instant retomber toute cette colère que j’ai laissé grandir à contre cœur. « Désolée. » Dis-je simplement dans un souffle. Ce n’est pas moi, ce n’est pas la Ariane que je montre à la face du monde. Mais Xaver a toujours su faire ressortir l’autre partie de moi, celle capable de reconnaître ses torts, celle capable d’éprouver des émotions, et même des sentiments. « Je voulais que ça marche à l’époque, et j’ai souffert de ce qu’il a pu se passé par la suite… Je ne devrais pas t’en vouloir autant mais, c’était plus fort que moi. » Dis-je dans un murmure. Les larmes se fraient un chemin jusque sur ma joue et je suis soulagée qu’il ne puisse pas s’en rendre compte. « J’ai été injuste. » Lâchais-je comme ultime excuse.
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T'avais envie de faire quelque chose pour qu'elle comprenne que tu tenais encore un peu a elle. Seulement tu avais peur qu'elle le prenne de travers et ca ce n'etait pas le but. Tu voulais juste lui parler, lui faire comprendre que tu tenais a elle encore maintenant mais qu'il fallut que tu mettes une fin a votre relation a cause de toutes les priorites que tu avais. Cela avait ete trop nocifs, et tu esperais que Candice n'en souffrira pas plus tard, parce que tu savais que tu allais passer plus de temps en Allemagne qu'ici a partir d'un certain moment et c'etait comme cela, il y avait rien a y faire. Peut-etre que ca avait ete une bonne idee que vous vous retrouviez ici sans echappatoir, pour que toute la haine et la tension qu'il y avait entre vous depuis la rupture pouvait sortir une fois pour toute. Tu avais tout debalé a Ariane, peut-etre pas de la meilleure maniere, mais tu n'avais jamais ete doué pour les mots ce n'etait pas nouveau ca. Tu avais baissé ton regard toujours assis sur le sol de l'acenseur a attendre. Soudain Ariane s'excusa, ce qui te surprit quand meme pas mal. En fait pas vraiment, tu connaissais les deux cotes d'Ariane, tu savais qu'elle pouvait etre une vraie maniaque, mais elle avait aussi ce cote doux que tu avais tant aimé chez elle. Tu secouais la tete alors qu'elle te parlait. "Tu as tout les droits de m'en vouloir….j'ai ete injuste aussi.. J"aurais du te donner plus d'explications quand j'ai rompu avec toi. Je suis desolé, je n'ai pas voulu te faire du mal." Lui repondis-tu d'un ton calme et serein. Tu voulais prendre dans tes bras, mais tu ne penses pas que cela soit une bonne idée.
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