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(flashback) [Valixie] I want to touch you, to see you, but now i can't

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Dixie & Valentin.


Heureuse, je pouvais affirmer l’être en cet instant. Que Valentin me dise que oui, il resterait cette nuit me faisait un bien fou, car je ne pouvais nier que depuis mon accident, les nuits étaient horribles pour moi. J’avais peur du noir, et excluant mes cauchemars, c’est en partie ce qui causait mes crises de folie la nuit. J’espérais sincèrement ne pas trop en faire cette nuit, ce qui aurait le don de bien effrayer ami… Un rire m’échappa lorsqu’il me dit compter sur moi pour le cacher. J’hochai la tête doucement de haut en bas. « Bien sûr que tu peux compter sur moi! J’ai quelques petits trucs qui me permettront de te faire passer inaperçu… » Je lui fis un petit clin d’œil, mélangeant malice et amusement. Ce clin d’œil s’accompagna d’un sourire coquin par la suite, lorsque  mon italien préféré me dit que cela semblait évident que je pense à lui plutôt qu’aux docteurs qui me rendaient visite assez souvent depuis mon arrivée. Pour dire vrai, ils étaient vraiment sympa, et ne semblaient pas si vieux que ça, ce que j’en avais conclu à leur ton de voix, mais malheureusement, je ne pouvais que mes les imaginer, car c’est un peu comme si je portais un bandeau sur les yeux, m’empêchant de voir quoique ce soit. Les infirmières me disaient que j’arriverais, dans quelques semaines tout au plus, à voir un peu mieux, mais que ça ne serait guère plus que les formes des objets, des gens, de tout ce qui m’entourait. On m’avait promis de me donner un chien guide, un bâton d’aveugle pour m’aider à dévier les obstacles qui se présenteraient sur ma route, et bien sûr, ce que je redoutais : on me prescrirait une bonne dose de médicaments… Merde, j’en avais pas du tout envie. « Tu serais le plus sexy de tous les docteurs… » Je lui avais dit cela d’une voix sensuelle, avant d’éclater de rire. Mon rire disparut bien vite, après mon discours, et encore plus après la première partie du sien. Valentin m’avait relevé la tête, et une larme roula sur mes joues. Pas à cause de ce qu’il me disait, mais parce que je n’étais tout simplement pas capable de voir ses yeux, comme avant. Il me fallu quelques minutes avant de retrouver mes esprits, avant de sentir ma gorge se dénouer, mais ces quelques minutes de silence lui suffirent à garder le silence également, pour finalement poser ses lèvres très doucement contre les miennes. J’avalai ma salive en souriant faiblement, alors que c’était tellement doux, tellement bon et délicieux, comme si ça faisait des années que je n’en avais pas eu, de baiser. J’aurais aimé le faire perdurer, mais il continua sur sa lancée, sur ce qu’il avait à me dire, qui était très sérieux d’ailleurs. Ça me faisait peur, et ça me faisait réaliser certaines choses. J’agissais trop vite, oui. Et je m’en rendais compte, mais j’avais toujours été comme ça. L’amour, ce n’était pas mon domaine. C’était très loin de l’être, en fait. Alors souvent, je me précipitais. Et je tombais. Lorsqu’il eut terminé, je réfléchis quelques instants, en me perdant dans mes pensées, puis en montrant un léger sourire, mélangeant tristesse et compréhension, je le serrai dans mes bras très fort un instant, avant de me défaire de sa douce emprise et de me reculer, dans le fond de mon lit, qui se trouvait collé contre le mur. Je ramenai lentement mes jambes contre moi, pliées, et posai ma tête dessus en prenant le tems de trouver les mots justes pour ce que j’allais dire. Une fois cette tâche faite, je relevai la tête en posant mon menton contre mes genoux. « Valentin, je ne me dénigre pas. Du moins, pas tellement. Ce que j’essaie de te dire, c’est que j’peux pas nier le fait que tu me rendes complètement folle. Comment t’y arrives? J’en sais rien. Ton côté charmeur, séducteur qui m’a fait craquer? Peut-être. Ça fait craquer n’importe quelle fille, j’en doute même pas. Si je me rabaisse un peu, c’est tout simplement parce que j’ai peur, et que tu me fais peur. Je sais que toi aussi tu as vécu une déception amoureuse, et pas une petite, après tout. Moi, la mienne, mon histoire, ma première histoire d’amour a été courte, mais forte, et c’est ça qui me fait peur. Que tu prennes la fuite, que tu décides de nier mon existence après quelques mois de…flirt, ou appelle ça comme tu veux, c’est du pareil au même. Mais tu as raison, prendre son temps c’est le mieux. Même si le fait de ne plus rien voir, peut m’être nocif dans ce genre de situation, à moi… » Je ne m’étalai pas trop sur ce que voulais dire ma dernière réplique, parce que décidémment, j’avais les émotions à fleur de peau, et je sentais que ça pouvait être insultant alors que je n’avais pas envie que ça le soit. Je relevai doucement la tête en écoutant le silence, puis la respiration de Valentin me parvint à mes oreilles. J’orientai alors mon visage dans cette direction pour lui fis un sourire, un doux sourire.[/color][/color]
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Après m'avoir demandé si je pouvais rester cette nuit avec elle, j'avais bien sûr accepter mais je l'avais taquiné sur le fait qu'elle devrait bien me cacher alors. Elle me répondit par le positif, comme je l'avais imaginé, et rajouta même qu'elle avait quelques trucs pour me faire passer inaperçu. Ça n'avait rien d'innocent vu le ton de sa voix, et ce qui n'est pas innocent me satisfait plus que tout, alors j'ai répondu sur un air un peu pervers (a) Me tarde de voir ça. Lui fis-je en finissant par un petit rire. On avait vite enchaîné sur le fait que j'aurais pu être le parfait docteur beau-gosse, et heureusement pour elle, elle m'appuya dans ce sens là, ouais parce que sinon j'allais être jaloux moi. On était pas vraiment dans une relation où je pouvais me permettre d'être jaloux, mais je sentais qu'on en était pas loin, et j'avoue intérieurement que je ne serais pas très à l'aise de la voir avec un autre mec. On est simplement des amis améliorés mais il fallait surtout que je m'en tienne là. Même si j'ai cette fâcheuse tendance à être jaloux et assez possessif. Cela ne sera jamais comme pour ma petite sœur, mais je peux être un gros chieur quand je suis pas content. Quand je suis jaloux quoi. La conversation avait viré au plus sérieux quand je finis par lui demander son ressenti face à la nuit qu'on avait passé ensemble. Elle était parti dans une petite tirade qui m'avait bien fait comprendre qu'elle voulait plus avec moi, et qu'elle ne semblait pas très patiente. Mais la patience est une vertu, et on se devait de l'utiliser si on ne voulait pas plonger de nouveau. J'en ai vraiment peur, parce que ce n'était pas seulement à cause de Sateen comme elle semblait le croire, mais aussi à cause de ma première histoire d'amour qui impliquait Rosalia. Les deux, j'ai vraiment cru que c'était les femmes de ma vie. Aujourd'hui, j'avais un concept bien loin de la perfection pour elles. Tout était remis en jeu et je m'étais certainement perdu en chemin, je ne devais certainement pas me perdre. Mais ce n'était pas le problème pour l'heure. Elle s'était redressé et appuyée contre le mur et me redressais un peu pour le coup moi aussi tout en l'écoutant me répondre. Je la regardais et elle semblait appuyer mes paroles, c'est déjà ça. Mais je voyais bien que ça allait être difficile pour elle. Elle avait sûrement peur que je prenne la fuite comme son ex. Mais c'était loin d'être le cas. La seule raison pour laquelle je pourrais m'éloigner de toi Dixie, ce serait parce que tu m'aurais brisé le cœur, et pour ça, il faudrait que tu ne tiennes plus à moi. Alors je t'assure que tu n'as rien à craindre. Je tiens vraiment à toi, et pas simplement sur le plan sexuel ou physique, non je te l'ai déjà dit, tu n'as pas à avoir peur. J'étais un peu perdu, je ne savais plus trop quoi lui dire pour la convaincre, parce que je ne pouvais pas prédire l'avenir et que je comprend parfaitement ses inquiétudes. Y'a quelque chose que je peux faire pour te rassurer un peu ? Oui parce que peut-être qu'avec mes actes, elle se sentirait plus en confiance.
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Était-ce fou que de se laisser aller petit à petit aux sentiments? Même si c’était dangereux, voire même très dangereux, je ne pouvais m’empêcher de plonger directement tête première dans les sentiments, qui risquaient de ne pas être réciproques. Pour l’orgueil, ça, ça ferait mal. Enfin, pour l’instant, le mal était loin d’être présent : c’était plutôt le bonheur, le bien-être, l’amusement qui la comblaient. Je ne cessais de taquiner Valentin, et il en faisait de même en embarquant dans le jeu. C’était plaisant, ça me faisait du bien et surtout, ça me changeait les idées par rapport à ce qui m’était arrivé quelques semaines plus tôt. Je ne voulais simplement plus y penser : ni à ce qui était arrivé, ni à ce qui arriverait plus tard. Ces peurs occupaient assez mes pensées la nuit ou même le jour, lorsque je me retrouvais complètement seule, que j’en avais un peu marre et que je préférais profiter de mon week-end avec Valentin, plutôt que de me torturer toute seule l’esprit. « Redis-moi ça une fois de plus, pour voir? » En lui faisant sa requête, elle s’était relevée la tête vers lui en souriant en coin, mélangeant un peu d’innocence à de la «perversion» et de l’envie, mais aussi de l’amusement et de l’attente. Si l’on avait pas partagé ce petit moment de folie et que je n’avais pas ri un peu, ce qui était peu fréquent depuis mon arrivée à l’hôpital, c’est certain qu’au sujet de la conversation qui suivait, je serais devenue en quelque sorte «hystérique», et je me serais rapidement insultée. Vraiment insultée. Là, à la place, j’étais honteuse, triste et très légèrement en colère... Mais pas contre lui. Ni contre moi. Plutôt contre la situation. Pourquoi ça m’arrivait qu’à moi ce genre de situations, aussi? Que mon bel italien me rassure de la sorte me fit du bien, même si cela ne fit que confirmer mes craintes. « Pour que je te brise le cœur, il faut déjà que j’y sois dedans, non? » Ça avait été posé sur un ton mélangeant peur, panique, mais également sur un ton un peu sec, sans être pour autant méchant. J’étais juste effrayée d’entendre la réponse qu’il me donnerait dans quelques secondes : et si je n’en faisais pas partie, de son cœur? Malgré ce qu’il pouvait me dire? C’était une crainte qui resterait bien présente pendant un bon moment, c’est certain. Justement, il me dit qu’il tenait à moi, pas seulement sur le plan physique et sexuel. Ça me rassura un peu. Un tout petit peu, mais une question fusa sans même que je n’y réfléchisse vraiment. « Est-ce que tu me trouves belle, Valentin? Belle, dans tous les sens du terme. Absolument tous les sens possibles… » C’était une autre chose qui avait le don de me faire peur. Et si je ne faisais qu’exciter les gens avec la beauté de mon corps? Et si je n’étais pas belle autrement que par comment je pouvais danser, bouger, me déhancher? Et si ce n’était que ce qui se trouvait sous mon chandail, qui était joli? C’était une question effrayante, oui. Puis finalement, mon ami me demanda ce qu’il pouvait faire pour me rassurer. Rien. Mais je n’allais tout de même pas lui répondre cela. Après quelques minutes à me «morfondre» dans le coin de mon lit d’hôpital, je m’étirai le bras afin de chercher en tâtant dans le vide quelques instants, sa main. Lorsque je la trouvai finalement, je le tirai doucement tout en lui imposant de se coucher au milieu du lit. « Tu vas voir ce que tu peux faire… : laisse-toi faire, tout simplement. » Un sourire s’afficha sur mes lèvres. Un sourire de bonheur, de réconfort, oui. Connaissant parfaitement l’horaire des médecins et infirmières, personne ne risquait de venir interrompre ce que je m’apprêtais à faire. « Laisse-moi te découvrir…sous un autre angle. D’une autre façon. Sous d’autres…yeux. Tu veux bien? » Mes doigts s’installèrent avec précaution et douceur sur son visage, exactement comme tout à l’heure. Mais cette fois-ci, ils ne s’arrêteraient pas seulement à la ligne du menton…
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Bien sûr que j'avais envie de voir comment elle allait se débrouiller pour me cacher dans sa petite chambre. Il n'y avait pas trente six mille possibilités, et en tant que bon pervers qui se doit, je ne pouvais rien imaginer d'autre. Mon cerveau est limité j'y peux rien (a). Je m'étais alors mis à rire pour ensuite lui répondre Te redire quoi ? Que je ne suis qu'un pervers qui n'attend que de finir sous tes draps ?! ... Non, je ne le dirais pas ! Disais-je pour finir par rire de nouveau. Pour ensuite enchaîner avec des choses bien plus sérieuses et délicates. A savoir la crainte de Dixie de se retrouver seule, et que je l'abandonne. J'avais essayé de lui faire comprendre pourquoi j'étais un peu distant mais elle avait réussi à tourner la situation dans un problème qui me laissa sur le cul. Elle le faisait exprès ?! J'allais vraiment finir par lui parler comme à une gosse. Je ne savais pas s'il fallait que je lui explique le principe ou si c'était juste une question rhétorique. Valait mieux que je fasse le bon choix, sinon on était bien parti pour s'engueuler. Je fronçais alors les sourcils Tu y es déjà Dixie. Mais avant que tu ne l'entames trop, faut que je sois sûr qu'aucun de nous deux pourraient en souffrir. Y aller doucement quoi, comme j'avais pu lui faire comprendre quelques instants plus tôt. Mais je ne pouvais pas lui en vouloir, simplement parce que je tiens à elle et qu'elle vient de vivre l'une des épreuves les plus dures de sa vie. Mais j'avais vraiment l'impression de me répéter depuis tout à l'heure, encore plus quand elle me demanda si je la trouvais belle. Je répondis du tac au tac un peu à cran pour le coup Bien sûr ! Sinon pourquoi je t'aurais sorti tous ces compliments en te faisant comprendre que je tenais à toi ?! Ce n'est pas elle qui m'agace, c'est le fait qu'elle croit que je ne m'intéresse pas vraiment à elle. Bien sûr que si, et je ne voyais pas qu'elle autre façon de lui montrer à part d'être venu jusqu'ici rien que pour elle. Tout ça ne semblait pas lui suffire. Alors je lui avais demandé ce que je pouvais faire de plus pour le lui faire comprendre, parce qu'elle me rendait dingue avec ses doutes. Pourquoi autant de questions ?! On devrait juste se laisser aller, et vivre simplement, c'est tout ce que je voulais, ne pas me prendre la tête. Heureusement, elle en décida aussi que c'était la meilleure chose à faire. Elle me fit glisser sur son lit pour me retrouver allongé. Elle me fit alors savoir qu'elle voulait me parcourir de ses doigts, chose qui me fit sourire et me laissais faire pour ensuite lui répondre Comment refuser ?! J'adore la toucher, et quand elle me touche aussi, encore plus de cette façon.
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L’idée que Valentin se cache sous mes draps était bien loin de me déplaire. Après tout, c’est sûr que je n’étais pas une sainte-nitouche et le fait que nous ayons déjà couché ensemble une fois il y a peu de temps n’aidait pas vraiment ma tête à ne pas s’imaginer des choses perverses ou coquines. Je sentais son sourire dans sa voix et entendit avec joie son rire viril. « J’aime bien ton côté pervers, crois-moi…» Je lui fis un clin d’œil, même si pour moi, ça ne me faisait pas vraiment d’effet. Je le taquinais, mais il est vrai que si on commençait à se tenter l’un et l’autre comme ça, je ne tarderais pas à craquer. Enfin, mon sourire disparut bien rapidement alors que le sujet était tout particulièrement sérieux. Je détestais les sujets comme ça, même si présentement, c’est moi qui en faisais tout un drame. Je me sentais vraiment comme une petite fille apeurée que l’on avait grondé parce qu’elle avait piqué quelques bonbons à son amie alors qu’elle n’aurait pas dû. Oui, bizarre comme sensation ou comme impression, mais je me sentais sans aucune ressource autour de moi, effrayée comme pas possible, effrayée à l’idée de sortir d’ici et d’affronter le «Nouveau-monde» pour moi. Certes d’un côté il y avait Valentin, mais il avait cette nouvelle vie qui changeait certainement du tout au tout, qui m’attendait de l’autre côté des grandes portes d’entrée de l’hôpital, une dizaine d’étages plus bas. Un jour, j’allais bien devoir retrouver mon courage, ce courage qui me caractérisait si bien autrefois, mélangeant supériorité et amusement : cela n’avait rien de méchant pourtant. En entendant la voix de Valentin prendre un ton différent, cela me fit ouvrir les yeux sur la façon dont j’agissais. Oui, je devais me ressaisir, et au plus vite. J’hochai donc la tête à ses mots. Il avait tout à fait raison. « Écoute, tu as raison. Vivons sur le moment présent, et c’est tout. On verra au fur et à mesure... Bonne idée, non? » Je lui souriais en regardant devant moi, sans savoir si je le regardais vraiment lui, ou si j’étais complètement à côté. Peu importe. Je retrouvais peu à peu ma raison et mes esprits, et c’est tout ce qui comptait. La preuve que je redevenais à peu près normal, mes sous-entendus et mes envies se remettaient à fuser autant en moi que hors de moi. Qu’il me complimente ne pouvait qu’aider à me faire sentir mieux encore. Pour me faire craquer? T’es plutôt doué pour ça, il faut se l’avouer…» Une idée me vint rapidement à l’esprit. Mes envies ne disparaissaient pas, bien au contraire. Je ressentais de plus en plus le besoin de sentir sa peau contre la mienne. Pas besoin de faire l’amour, ou quoique ce soit dans le genre. J’avais une nouvelle vision maintenant. Une vision au travers des doigts, de la bouche, et de tous mes sens, excepté la vue. Il fallait bien que j’apprenne à m’épanouir sur le toucher. « Même si tu refusais, tu changerais bien vite d’idée…» Je lui offris un sourire, alors que je l’avais fait se positionner dos contre le matelas de mon lit d’hôpital. Moi, j’étais venue m’installer à califourchon sur lui. Je pris une grande respiration alors que mes doigts se posaient sur son visage. Je ne m’arrêterais certainement pas à la ligne du menton, comme je l’avais fait un peu plus tôt. Non, je voulais découvrir grâce à mes doigts, tous les recoins de son corps. Goûter à son corps d’une autre façon. Doucement, avec passion, délicatesse et envie… Alors que mes doigts descendaient directement vers son torse, très lentement pourtant, mon visage, lui, se rapprocha dangereusement du creu de son cou. J’y déposai quelques chauds baisers tout en parcourant le long de son épaule. Mes lèvres remontèrent vers son visage, et celles-ci embrassèrent rapidement le coin des lèvres de mon bel italien sans pour autant prendre possession des siennes. Je voulais ressentir ses émotions en même temps que lui. Ma main glissa le long de son torse, puis passa sous le chandail en recommençant le même trajet de haut en bas. En bas, les doigts agrippèrent avec fougue et envie la ceinture qui retenait son pantalon. Je murmurai doucement, un léger tremblement dans la voix : « Tu me dis si tu veux que j’arrête…» J’espérais qu’il ne me dise jamais avoir envie d’arrêter, mais si c’est ce qu’il voulait, je ne pourrais faire autrement que de respecter cela. J’étais bien en cet instant, vraiment bien.



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Après lui avoir bien fait comprendre une fois de plus que je tenais vraiment à elle et qu'elle était déjà dans mon cœur, elle se décida enfin à me dire ce que je voulais entendre. Ce n'était peut-être pas ce qu'elle voulait, et elle s'était peut-être rendue compte que je ne voulais entendre rien d'autre, mais ce n'était pas le moment d'approfondir le sujet, je n'en avais pas envie. Je n'étais pas sorti d'une relation passionnelle et dure pour en vivre une autre tout de suite. Je lui répondais donc avec un doux sourire Oui, bonne idée. Que dire de plus, je ne voulais pas plus m'étendre sur le sujet, alors à la place, je me suis laissé aller à lui dire le fond de ma pensée en lui faisant comprendre que ça m'agace de répéter les mêmes choses. Même si je sais qu'elle a vécu un grand choc avec son accident, ça m'agaçait qu'elle doute ainsi de moi. Heureusement pour moi, elle prit bien la chose en me répondant que j'avais très certainement voulu la faire craquer, j'ose qui me détendit, encore plus quand elle rajouta que ça marchait, pour que je puisse enfin lui afficher un autre sourire. Très vite, je me suis retrouvé allongé, avec la demoiselle sur moi, qui commençait à me toucher, à me caresser, et je n'allais sûrement pas être celui qui allait l'arrêter. Elle était passé de mon visage à mon torse, pour venir ensuite me déposer des baisers dans mon cou pour remonter jusqu'au coin de mes lèvres. J'avais fermé les yeux, voulant la laisser faire, et essayer de ressentir les mêmes choses qu'elle. Elle était ensuite vite passer au niveau de ma ceinture, ce qui me surprit, moi qui croyait qu'elle allait me faire languir encore bien plus. Oh non surtout pas. Évidemment que non je n'avais pas envie qu'elle s'arrête, elle était bien trop en train de me chauffer pour que je la repousse. Il me faudrait une volonté de fer et une réelle raison pour faire ce genre de chose. Je me retenais cependant de ne rien faire, de ne pas l'embrasser, de ne pas retourner la situation et de ne pas aller trop vite.
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