EVYDENCE " EVY" ∞ LIGHT ME UP

A. Barbara Acosta a écrit:

Evydence C. Ellie Windsor a écrit:Maintenant il y a plus ce problème vu que tu as changé d'avatar    Dis-moi tout de ta barbie brune    et oui pour un lien qui tue entre nos deux personnages.   

Voilà un résumé ma belle  

Ces quatre premières années à Berkeley avaient été riches en émotions. J'ai toujours été connue comme la petite célébrité de Harvard. J'ai rencontré beaucoup de monde, je me suis faite un nom pas forcément pour de bonnes raisons. Souvent peu appréciée pour mon caractère de feu et mon arrogance plus qu’agaçante. Je suis une vraie crinière de feu, je suis plutôt méchante et je ne me fais jamais marcher sur le pieds. Je prétendrais toujours aller bien, même si au fond quelque chose ne va pas. Je suis très sociable et au fond si tu prends du temps à me connaître, et si tes intentions envers moi ne sont pas mauvaises, je ne suis pas méchante. Je suis d'ailleurs très loyale en amitié et en amour, quand j'aime vraiment, j'y met tout mon cœur, mais cela n'est arrivé qu'une fois. Tout le monde m'apprécie, puis désire secrètement faire partie de mes amis proches. Dédaigneuse, latina hautaine et prétentieuse, je ne m’entoure que des meilleurs et c’est bien évidemment pour ça que je fais partie de l’élite, à savoir la Cabot House. Grande passionné de mode, j'y étudie le design de mode. Je suis une grande manipulatrice et j'ai facilement ce que je veux avec deux ou trois remarques. Je ne supporte pas qu’on me tienne tête et celui qui s’y risque terminera très mal. Parfois, j'aime bien rester seule pendant un moment, pour faire ma méditation. Née en Colombie, je voulais que ma carrière d'actrice avance, alors j'ai déménagé à Los Angeles. Je suis riche, donc aucun soucis de ce côté-là. Depuis toute petite on m'appelle Barbie, c'est un diminutif de Barbara, mais vous pouvez le dire, je suis belle, mais loin d'être une de ses poufiasses, soit barbie toute plastifiées. Je ne me mélange avec personne et par conséquent je ne prend jamais les transports en commun ou les taxis, ça pue, j'ai donc mon propre chauffeur. Je mange cinq fruits et légume par jour et j'entretiens ma ligne en faisant du sport, chaque semaine. Après tout, il le faut bien, il faut garder mon image. Imagine de quoi, tu dis ? Je suis une actrice très connue partout dans le monde. J'étais à Harvard depuis quatre ans, dans la Cabot House, mais je suis partie afin de tourner la série dont je suis l'héro principale. Je suis maintenant revenue, that you like it or not. Maintenant parlons un peu moins de l'image que je veux donner et parlons un peu plus de qui je suis vraiment. Ma mère est morte il y a cinq ans, j'avais à l'époque 17 ans. J'ai également une sœur qui est morte dans le ventre de ma mère, lorsque j'avais dix ans. La famille est très importante pour moi. Sous mes airs hautains et prétentieux, je suis une femme fragile et sensible qui croit en l'amour et tombe vite sous le charme des hommes mais, qui s'est toujours fait avoir. C'est bien pour ça que je m'approche plus trop, du moins pas aussi facilement. Je ne suis pas le genre de fille qui couche à gauche et à droite. Suite à cette tragédie, je me suis beaucoup endurcie et je cache mon romantisme derrière un comportement de garce manipulatrice qui ne se soucie pas du mal qu'elle fait aux autres. Me chercher est une très mauvaise idée, je n'ai peur de rien. Très émotive, je m'emporte vite. Très proche de mon frère, je ne supporte pas être rejetée et je me vexe rapidement. Jalouse et possessive, j'ai l'impression que si je ne suis pas au centre de l'attention, je suis invisible. C'est pour cette raison que j'ai deux personnalités et je ne suis désormais, toujours au centre de l'attention. Je pardonne facilement aux personnes que j'aime, mais comme je le répète souvent, la vengeance est un froid qui se mange froid. J'ai donc une carapace, que nul ne peut percer, du moins pas beaucoup de gens connaissent la vraie Barbie, mon frère est un des seuls.

Helena C. Reilly a écrit: 

Alexa F. Hopkins a écrit:Comme je l'avais dis, je viens chercher un petit lien