POSEY LANNISTER ► ariana grande.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Joany et j'ai dix-neuf ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Ce forum est un véritable coup de coeur alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kylie Jenner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Wild Heart. Je fais environ entre 500 et 900 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Castiel J. Weaver.

Mot de la fin ? ▲ Je vous aime déjà. (aa)
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

Elle envoya violemment valser son pied contre sa table de chevet, laisse tomber l'éternel juron de la petite orteil qui se crash contre le meuble, puis, vaincue, vint se blottir dans le confort de son lit. Elle avait perdu. Elle qui s'était donné corps et âme pour le détruire, pour faire de sa vie un véritable et douloureux enfer, voilà qu'elle ne réussissait qu'a moitié. Oh certes, sa blondinette ne traînait plus dans les parages. (Et de une victoire) Et puis bon nombre étaient les gens du coin qui croyaient dur comme fer à son témoignage et ses fausses jérémiades. (Et de deux victoires) Mais ce n'était pas suffisant. (Et moins douze mille victoires) Il l'avait si misérablement jeté, comme si un vieux torchon avait plus d'importance et pour ça, il devait payer plein prix. On ne se débarrasse pas aussi simplement et banalement d'une aussi jolie fille, encore moins de façon aussi drastique. Enfermée dans une immense tour d'ivoire et entouré de ses plus beaux miroirs, Posey ne voyait pas plus loin que son nez. Si elle ne pouvait avoir quelque chose, personne ne pouvait l'avoir et ainsi, elle faisait toujours tout en son possible pour détruire quinconce s'opposant au travers son chemin, le tout, derrière de petits sourires mutins et d'adorables yeux de chiots, question de tous les flouer à la perfection. Et dans cette infinie guerre envers tous, la brunette n'hésitait pas à enfoncer les autres au plus creux, le tout sans la moindre culpabilité. Pire qu'un ouragan. Même son plus proche entourage avait finit par se lasser de cette attitude hautaine et cruelle, si bien que dans la plus grande hypocrisie, elle s'était doucement - mais surement - lié avec tous les autres en son genre. Les filles à papa, les héritiers, les it-girls, les garces, les mauvaises influences. Tout le beau pactole d’insupportables êtres en constante quête d'attention. La peste noire d'Harvard. Elle jouait divinement bien son rôle de petite princesse et savait très bien comment berner les autres. À première vue, elle inspirait la plus grande des confiances. Ses grands sourires et sa chaleur avait tout pour charmer. Puis, sans crier gare, elle attaquait. À la pensée de retourner à l'université bientôt, Posey ne pu s'empêcher d'esquiver un bref sourire. Aussi fou cela puisse paraître, l'été lui avait apporté un certain vide. Ne plus arpenter les couloirs de Harvard lui avait été beaucoup plus difficile et elle ne pouvait dissimuler une hâte à enfin retrouver ses cours, ses copains et surtout, surtout, de pouvoir enfin se retrouver au rang des Eliott. Le rêve de toute enfant d'élite. La maison-reine des toutes les fratries aux yeux de Posey. Une deuxième année parmi ce qui lui ressemble le plus. Luxe, luxe et encore luxe. Elle allait enfin pouvoir se pavaner fièrement devant les autres à nouveau, affichant ses sourires de garce typique et affublée des vêtements griffées du moment, comme toute fille à papa. Posey Lannister, c'était l'archétype même de l'enfant unique, pourrie gâtée par des parents à qui tout avait sourit et qui, déjà, du haut de ses tous récents dix-neuf ans, croyait pouvoir gouverner le monde entier et que tous étaient à sa merci. Si elle avait réussi à se donner l'image de la gentille fille aux yeux de plusieurs, Posey s'était néanmoins creusé la pire réputation aux yeux des autres ayant défier la berne. Elle était pitoyable, ridicule et sa vie était vouée au plus grande des échecs. Une pauvre gamine écervelée incapable de même lever le petit doigt. Voilà ce qu'elle leur apparaissait être. Pour eux, seul l'argent était la raison de sa présence à Harvard et rien de plus. Elle ne fera que baver devant des vêtements et se proclamer piètre couturière jusqu'à ses cinquante ans, vivant encore au bras de son géniteur. Disaient-ils. Dans un soupire d'ennuie, la brunette attrapa son téléphone et compose rapidement le numéro de sa meilleure amie. Sans réponse, encore. « La garce. » Souffla-t-elle. Une fois de plus, elle lui faisait la gueule. « J'espère que tu écouteras tes messages. Sérieusement, tu vas continuer longtemps à chialer dans ton coin ? J'ai reçu un petit lot de billets par papa ce matin, tu ne vas quand même pas me laisser aller chez Zara seule ? J'ai agis en idiote, voilà, c'est dit. Maintenant tu ramènes ton cul ... J'ai besoin de me changer les idées. » Et un mensonge de plus, un autre. (Comme pour faire changement) Au fil du temps et bêtises après bêtises, la jolie avait finie par se mentir à elle-même. Les mensonges étaient devenus sa respiration. Même pour ces rares qu'elle chérissait plus que la prunelle, le mensonge était sa plus grande habitude. Parfois les remords la rongeaient, d'autres (peut-être trop souvent) non. Posey se leva et attrapa son sac à main dans la plus grande des noncholances. Avec son inséparable boudeuse ou seule, elle devait partir à la conquête des boutiques. Noyer les insécurités, les boules au ventres et toute cette amertume dans d'insatiables achats chez les plus grands. Harvard, plus que quelques jours. Pensa-t-elle. Renouer avec sa passion pour les vêtements, leur prouver une fois de plus qu'elle avait le talent et puis pouvoir étaler toute cette rancune. Enfoncer de nouveau Castiel et tous les autres en son genre et régner à nouveau sur son petit peuple. Pathétique gamine qui se croit tout permise derrière sa petite bouille d'ange.


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