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JAZZER ✱ never thought you'd be that.

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Fin de journée, enfin. J'en avais rêvé ; me retrouver dans ma chambre, seul, ou avec Ariane peut-être mais sans entendre les autres. J'en pouvais plus aujourd'hui. Comme si un mal de crâne affreux était en train de s'installer dans ma tête. Je traversais le Grand Hall avec hâte, mon MacBook Air sous le bras, n'essayant même pas d'accrocher quelques filles du regard, comme je le faisais à mon habitude. J'avais même presque envie d'une clope, et dieu qu'sait que c'est rare pour moi, même en soirée. Pourtant y a des jours comme ça, où tes repères et tes envies divergent avec c'qu'on dans la vies de tous les jours. J'avais traversé la moitié du Grand Hall quand je vis arriver vers moi une jeune fille que j'avais déjà croisé quelque part. Je l'avais vu danser, alors que je venais de terminer moi ma séance d'athlétisme. Je m'étais arrêté pour la regarder mais elle n'avait même pas daigné remarquer ma présence. Incroyable même, qui ne remarque pas la présence de Walter Reynolds dans cette université ? J'avais tout fait pour qu'elle me remarque : j'étais entré dans la salle, j'avais même applaudi à une ou plusieurs reprises mais c'était comme si je n'avais existé. Je comptais bien prendre ma revanche. Je ne savais pas encore exactement comment j'allais m'y prendre, mais j'y arriverais, sans aucun doute. Je la fixais, toujours plus, mais elle ne semblait décidément pas me remarquer et j'en prenais un sacré coup dans mon ego. Lorsqu'elle arriva à ma hauteur, j'ouvris la bouche. « Je connais ton secret. » dis-je rapidement, sans m'arrêter. Je sentais un sourire se dessiner sur mes lèvres, j'étais content. Content de lui avoir parlé, et au fond de moi, même s'il m'était assez inhabituel de faire le premier pas, j'espérais pouvoir l'approcher davantage.
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Tu sortais d'un cours banal d'histoire des arts. Ouais, tu avais pris cette option histoire de faire un peu mieux sur ton dossier scolaire qui été vide et sans intérêts. Alors, que tu t'apprêtais à rejoindre le dehors avant de fumer une petite cigarette. Lorsque tu étais dans la rue, tu avais trouvé la cigarette comme un coupe faim et un échappatoire à l'anormalité. Fumer pour toi prouver qu'au fond tu étais comme tout le monde. Mais avant que tu n'es pu atteindre la porte du hall tu sentais un regard se posait sur toi. Ne voulant y porter attention tu continuais ton chemin jusqu'à ce que cette personne passe à côté de toi et dise qu'elle connaissait ton secret. T'arrêtant, tu le fixais un instant, avant de lui attraper le bras. Le faisant se retourner tu le regardais dans les yeux. « Tout le monde connait mon secret. Oui, il y a encore quelques mois j'étais dans la rue à crever de faim et alors ? » Ta voix était douce mais, il y avait ce quelque chose à l'intérieur qui montrait que tu étais pas mal révoltée. Tu savais très bien que c'était le fait que tout le monde te voit comme une mendiante qui te révoltée. « Mais, je n'ai pas besoin de ta pitié alors s'il-te-plaît arrête de me regarder comme si j'étais une bête sauvage. Oui, je ne suis pas de votre monde mais, je suis humaine. » Tu le relâchais doucement, baissant légèrement les yeux.
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Continuer sans s'arrêter, c'était juste jouissif après avoir tenté de déstabiliser une personne par de simple mot. Pourtant, cette fois-ci, ce ne serait pas comme toutes les autres. Cette fois-ci, c'est comme si je me faisais prendre à mon propre jeu. La demoiselle m'avait attrapé le bras, me stoppant net dans mon élan. Jamais je ne me serai douté qu'elle était capable d'une telle prouesse athlétique. M'arrêter moi ? Je me retournais vers elle vivement, sans vraiment comprendre ce qui arrivait. « Tout le monde connait mon secret. Oui, il y a encore quelques mois j'étais dans la rue à crever de faim et alors ? ». Sa voix restait douce malgré la dureté de ses mots. Et tout ça me déstabilisait. Je fronçais les sourcils, me demandant alors si c'était bien elle que j'avais vu en train de danser. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il m'arrivait. J'étais en train de parler à une clodo, c'est ça ? « Mais, je n'ai pas besoin de ta pitié alors s'il-te-plaît arrête de me regarder comme si j'étais une bête sauvage. Oui, je ne suis pas de votre monde mais, je suis humaine. » finit-elle en baissant légèrement les yeux. Elle avait parlé avec tellement d'assurance que je ne savais pas vraiment comment réagir. Je passais la main dans mes cheveux, je ne songeais même pas à partir. Une première pour moi. Qu'est-ce que je foutais dans cette situation ? « Je .. parlais plutôt de ce que tu fais .. La danse je veux dire. ». J'essayais de rattraper le truc comme je le pouvais. J'arrivais pas encore à réaliser que je parlais avec quelqu'un qui avec vécu sans rien, dans la rue. « Et je n'ai pas pitié de toi. » dis-je d'un ton on ne peut plus sérieux, reprenant un peu d'assurance. C'était vrai, je ne faisais jamais de distinction. La pitié, je l'accorde seulement aux gens sans caractère, qui me touchent. Et cette fille là, rien qu'avec ces deux phrases, me faisait penser à Ariane et son caractère indomptable.
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Le jeune homme qui avait tant d'assurance semblait en manqué d'un coup d'un seul. Toi Jazzlyn Oak, la pauvre clocharde aurais-tu réussi à déstabiliser quelqu'un rien que par tes paroles dures mais, pourtant réelles. Tu n'en étais pas peu fière mais d'un coup une sorte de honte montait en toi lorsque le jeune homme te parlait simplement de la danse. Tout ce qu'il savait sur toi en réalité c'est que tu dansais. Tu le regardais alors, étant plus calme qu'avant. « Je .. je m'excuse, je n'aurais pas dû t'agresser mais, ici tout le monde me dévisage, me pointe du doigt comme si une fille comme moi n'avait rien à faire à Harvard. Alors, je me suis emportée. » Tu ne t'excusais pas souvent mais, là le pauvre, il semblait si gênée par tes révélations. « Quant à la danse j'aimerais beaucoup que tu gardes cela pour toi. Je ne suis pas très talentueuse et je n'aime pas beaucoup me faire remarquer alors moins on parle de moi mieux je me porte. » Tu lui lançais un petit sourire avant de passer dans son dos. Ouvrant la porte du grand hall, tu sortais dehors t'allumais une cigarette. Tirant à plusieurs reprises sur la tige, assisse seule sur un muret, tu apercevais le jeune homme de tout à l'heure qui revenait vers toi. Tu relâchais doucement la fumée en un petit tourbillon avant de reposer tes yeux sur lui.
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Et puis la situation s'inverse, c'est elle qui semble un peu plus mal à l'aise alors que je retrouve peu à peu une sorte de stabilité dans mes émotions. On se surprend mutuellement, ça m'arrive pas tous les jours ce genre de discussion. Elle posa sur moi un regard un peu plus apaisé, avec une point de gêne. « Je .. je m'excuse, je n'aurais pas dû t'agresser mais, ici tout le monde me dévisage, me pointe du doigt comme si une fille comme moi n'avait rien à faire à Harvard. Alors, je me suis emportée. » Je fronçais les sourcils. Je réalisais à peine que je parlais à une clodo. Enfin, une ex clodo. J'commençais à me dire que si quelqu'un me voyait trainer avec une personne avec une telle réputation, la mienne était carrément foutue, sans aucun doute. « Quant à la danse j'aimerais beaucoup que tu gardes cela pour toi. Je ne suis pas très talentueuse et je n'aime pas beaucoup me faire remarquer alors moins on parle de moi mieux je me porte. ». J'acquiescais, je répondais rien. En fait, j'savais même pas ce que j'étais supposé répondre. La seule question qui me tourmentait était de savoir si quelqu'un m'avait vu en compagnie de cette fille. Et puis en fait, elle reprit son chemin en me souriant et sortit dans la direction opposé à la mienne. Je restais sans voix, sans comprendre vraiment tout et reprenais mon chemin. Mais c'était qui cette fille ? Comment elle pouvait être à harvard si elle avait été clodo ? Je me retournais et pris la direction opposée pour la rattraper. Je poussais la porte et la repérais rapidement à l'extérieur, une cigarette entre les doigts. Je me dirigeais vers elle d'un pas décidé, lorsqu'elle posa les yeux sur moi je m'arrêtais. Mais qu'est-ce que je foutais ? Je repris la marche et vins m'asseoir à côté d'elle. J'étais super intrigué. Jamais une fille n'avait autant éveillé ma curiosité qu'à présent. « Ca fait quoi de vivre sans rien ? » lui demandais-je en tournant la tête vers elle. On aurait dit une question de môme, une question pour apprendre la vie en fait. Mais j'étais curieux d'apprendre des choses que je ne connaissais en fait pas.
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Il s'était tût. Il avait acquiescé à ta demande et tu étais parti. Au moins, il ne te ferait plus chier enfin ça c'est ce que tu pensais. Alors, que tu fumais tranquillement ta cigarette. Tu le voyais revenir, te recroquevillant sur toi-même tu lui laissais une place à côté de toi. Ne le regardant plus, tu fixais seulement ton doigt qui faisait des cercles sur ton genou jusqu'à ce qu'il te demande ce que cela faisait de ne vivre sans rien. Tu levais brusquement les yeux. Pourquoi voulait-il savoir ceci ? « T'en fais pas si jamais tu as un trou dans ton compte en banque papa est là pour le remplir. Jamais tu ne tomberas aussi bas que moi. » Tu laissais tomber ton mégot sur le sol avant de te redresser. C'est vrai quoi. C'était écrit sur sa gueule qu'il était blindé de fric alors qu'est ce qu'il faisait à s'intéresser à une fille comme toi ? Et puis bêtement, tu lui déballais tout. Peut-être que tu en avais besoin finalement. « Au début, on se dit que ce n'est qu'une passade et puis les nuits passent, elles sont de plus en plus froides. Elles font de plus en plus peurs. On subit des violences mentales à chaque regard de pitié que les gens nous portent mai,s aussi des violences corporelles on ne mange pas ou pas à notre faim, on boit très peu d'eau, on fume des cigarettes à longueur de journées pour nous couper la fin et nous réchauffer et puis la nuit si on tombe sur des jeunes un peu saoul on se fait taper dessus ou encore tripoter. Le monde de la rue est injuste tout le monde est ton ennemi. Et puis les années passent et tu pleures, car tu crains que tu vas y rester mais; un jour le destin te fait un signe et quelqu'un t'aide à t'en sortir, à faire le premier pas. Et puis, une fois que le bébé a fait un pas. Il en fait trois, puis quatre, puis dix, puis vingts ect .. » Tu baissais doucement les yeux, car tu savais que la seule chose que tu obtiendrais de lui ne serait qu'un regard de pitié et de compassion. De compassion qu'il n'avait même pas, car il ne comprenait et ne comprendrait jamais ce que tu as vécu pendant deux longues années. « Mais, comme je te l'ai déjà dit la pitié ne m'intéresse pas. Ce n'est pas ce qui m'aide à avancer. » Tu ne voulais plus voir du désolement dans le visage des gens. Tu ne voulais plus être traité comme autre chose qu'une humaine avec ses défauts et ses qualités.
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jazzlyn and walter (1)
Que je me souvienne, de puis que je suis à harvard j'ai jamais posé une telle question. Depuis le début de ma vie en fait. Ou alors, seulement à ma mère, mais c'est tout. Pour moi, ceux qui n'avaient même pas les moyens de se payer des chaussures de marque, je ne leur adressais pas un seul regard. Alors les personnes qui sont incapables de payer un loyer pour avoir un toit au-dessus de la tête, je les écrase comme des cafards. Je vais pas me voiler la face, c'est sûr. « T'en fais pas si jamais tu as un trou dans ton compte en banque papa est là pour le remplir. Jamais tu ne tomberas aussi bas que moi. » dit-elle, se relevant, alors que moi je continuais à la fixer. Je m'étais tellement complètement trompé à cette fille, que j'étais moi-même perdu. Une fascination incontrôlable pour cette fille était en train de naitre en moi et je n'y pouvais rien, je voulais toujours en savoir plus. « Mouais. » dis-je en détournant finalement le regard. Et bam, elle venait de retomber dans mon estime. J'pensais plutôt que ce genre de personne, même si elles sont sur la réserve, son un minimum altruistes et surtout, plus compréhensives que toutes les autres. Surtout ici. « Au début, on se dit que ce n'est qu'une passade et puis les nuits passent, elles sont de plus en plus froides. Elles font de plus en plus peurs. On subit des violences mentales à chaque regard de pitié que les gens nous portent mai,s aussi des violences corporelles on ne mange pas ou pas à notre faim, on boit très peu d'eau, on fume des cigarettes à longueur de journées pour nous couper la fin et nous réchauffer et puis la nuit si on tombe sur des jeunes un peu saoul on se fait taper dessus ou encore tripoter. Le monde de la rue est injuste tout le monde est ton ennemi. Et puis les années passent et tu pleures, car tu crains que tu vas y rester mais; un jour le destin te fait un signe et quelqu'un t'aide à t'en sortir, à faire le premier pas. Et puis, une fois que le bébé a fait un pas. Il en fait trois, puis quatre, puis dix, puis vingts ect .. ». Je tournais légèrement la tête lorsqu'elle recommença à parler, sans la fixer non plus dans les yeux. Au fur et à mesure des mots, des images me venaient en tête pour m'illustrer ce qu'elle avait vécu. Je m'imaginais un environnement sombre, et sales, tellement malsain que j'arrivais même pas à imaginer qu'un petit bout de femme comme ça ait réussi à survivre. « Mais, comme je te l'ai déjà dit la pitié ne m'intéresse pas. Ce n'est pas ce qui m'aide à avancer. ». Je lâchais un petit rire. Certes, elle ne me connaissait pas mais quand même. Je n'accorde pas non plus ma pitié à n'importe qui, certains ne la mérite même pas. Elle non plus ne la mérite pas, mais c'est plutôt dans un autre sens, en fait. Pourtant je n'arrivais toujours pas à comprendre la fascination que je commençais à avoir pour cette fille. « T'as l'air de quelqu'un qui a un mental très fort, alors je ne vois pas pourquoi j'aurais pitié de toi. Si tu as su te sortir de cette situation, comme tu es .. » dis-je en la dévisageant. Je parlais du fait qu'elle ait l'air si fragile, si gamine, mais en fait j'étais persuadé que tout ça n'était qu'une façade. « C'est que tu es quelqu'un. Que tu es importante. 'Fin je me comprends. ». J'avais envie de lui dire que j'avais du respect pour elle en fait, enfin, plus pour le fait qu'elle ait réussi à s'en sortir et à intégrer harvard, mais ce genre de phrase ne sort que très rarement de ma bouche, voire jamais. Ce n'est pas à une inconnue que j'allais dire ça, en plus. Je baissais la tête quelque seconde et la relevais pour regarder droit devant moi. Ca me faisait réfléchir tout ça. J'avais même plus l'impression d'être dans 'mon monde', mais de découvrir quelque chose d'autre. J'savais même pas quoi dire.
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Putain. Qu'est ce qu'il avait à te suivre ? Tu avais l'impression d'être une espèce rare avec lui et c'était le cas enfin pour lui. Il n'avait jamais rien vu que des fils à papa nés avec une cuillère en argent dans la bouche. La classe moyenne il ne connaissait que très peu et la classe en dessous, celle qui vit dans les bas-fonds de ce monde, il ne la connaissait absolument pas. Il essayait d'articuler des mots, des phrases mais rien n'y faisait son arrogance lui empêchait de sortir ce qu'il pensait vraiment cela te fit doucement rire et lançant quelques regards autour de toi, tu venais le reposer sur lui. « Ta réputation risque d'en prendre un coup à côtoyer des gens de mon rang. » Tu t'amusais de lui, car pour une fois ce n'était pas toi qui été légèrement mal à l'aise par rapport à ta situation. Le mec en face de toi était beaucoup plus mal à l'aise avec la pauvreté que toi tu ne l'étais avec la richesse. « T'as aussi le droit de m'expliquer qu'est ce qu'il t'a poussé à me regarder danser pendant presque une heure. » Tu le regardais de nouveau. C'était vrai ça. La première fois qu'il t'as vu tu été en train de danser mais, pourquoi était-il rentrer et avait-il pris le temps de te regarder toi et pas une autre. Il allait devoir y répondre et correctement.
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Never think you'd be that.
w/ Jazzlyn & Walter
« Ta réputation risque d'en prendre un coup à côtoyer des gens de mon rang. » dit-elle, bien sûr d'elle. Je haussais les épaules et tentais de reprendre un peu de prestance. En même temps j'avais été quelque peu désarçonné par cette conversation et je savais pas tellement comment rattraper le coup. C'est le genre de moment que je ne vis que très rarement, discuter de truc sérieux avec des inconnus. Et je me sentais pas vraiment supérieur. Enfin, cette fille était pas vraiment le genre de personne avec qui j'avais envie de me sentir supérieur. « J'm'en fiche tu sais. Je traine avec qui je veux. » Je sortais le paquet de cigarettes qui gisait au fond de la poche de mon manteau. J'm'en étais pas grillé une depuis .. perpette en fait. Avec Ariane qui est carrément anti cigarette je peux même pas en fumer une discrètement dans ma chambre, elle sentirait l'odeur en une demi seconde. Je l'allumais avec un mini paquet d'allumettes. Ouais, autant faire dans l'originalité. « T'as aussi le droit de m'expliquer qu'est ce qu'il t'a poussé à me regarder danser pendant presque une heure. » dit-elle en posant à nouveau son regard sur moi. Je le trouvais tellement mystérieux ce regard, félin même, ça m’intriguait encore plus. De toute façon cette fille n'est qu'une pure énigme. « A vrai dire, je sais même pas. » dis-je en mettant la cigarette entre mes lèvres. « J'ai trouvé que tu dansais bien, et c'était beau à regarder, je suis resté, c'est tout. » J'allais pas non plus lui dire que j'étais un grand sentimental : je comprends que dalle à la danse de toute manière. Mais elle avait une présence que j'avais trouvé magique.


J'avais pas vu que t'avais répondu en fait, pardon :TT:
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Walter l'eliot plutôt canon était devant toi Jazzlyn la mendiante des quincy. Le choc des classes sociales tu étais en plein dedans. A vrai le jeune homme avait l'air plutôt niais face à toi, car il te prenait un peu pour une sorte de bête de foire alors que tu avais juste été sdf mais lui ne connaissait pas ce monde qui vivait en bas de sa tour d'argent. Enfin bref, tu étais aller dehors avant de fumer une petite tige. Il t'avait suivit et tu avais donc décidé de le questionnais sur le fait du pourquoi il t'a regarder danser ou encore s'il n'avait pas peur d'être vu avec une fille comme toi mais ses réponses te faisaient plutôt rire. «  Tu es le rebelle de ta maison toi !  » Et bim ! Tu n'étais pas à plaindre non plus et toi aussi tu pouvais envoyer des pics. Tu ne savais pas comment il allait le prendre mais très certainement mal comme un eliot quoi. Mais ça tu n'en avais rien à foutre. Et puis, il te fit un compliment quand même en te disant que tu dansais bien et tu ne comptais pas non plus passer pour l’asociale de service. «  Je danse bien ? Ça fait trois ans que je n'ai pas mis un pied dans une salle de danse.  » Tu riais doucement, car cela se voyait que tu avais perdu une grande partie de ton savoir faire. Écrasant ton mégot au sol, tu regardais le beau brun. «  Bon, je ne vais pas te retenir plus longtemps, je dois aller bossé chez les Morgan.  » A vrai dire ça ne te faisait pas rêver d'être serveuse et strip-teaseuse chez eux mais bon si tu voulais rester à Harvard il le fallait.
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