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IDYLLE ∞ il y a des journées, comme ça, où l'on ferait mieux de rester au lit.

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que sport devienne torture.

En voyant le grand sourire de son amie, la blonde sentait son cœur se réchauffer alors qu’elle calmait son rire. Malgré le début de journée catastrophique, elle avait été – au final – très contente de se retrouver ainsi et surtout en aussi bonne compagnie ! Etant venues à parler des matières où elles étaient douées ou non, la demoiselle aux cheveux d’or se rendait compte que son amie et elle avait les mêmes difficultés en court. Elle n’avait jamais essayé de jouer d’un instrument et même si elle écoutait de la musique en boucle depuis toute jeune, approcher d’une de ses merveilles l’avait toujours gêné. Peur de casser, peur de jouer mal et/ou faux, la liste était longue et même si elle regrettait parfois, elle préférait rester ébahi devant les grands joueurs de rock, de jazz et toutes les autres musiques du monde.

IDYLLE – « Je crois que j'aurais aimé jouer avec cet instrument. Peut être que j'aurais pu devenir bonne au violon ... »

MADISSON – « Du violon ? Vraiment ? C’est l’instrument le plus beau et le plus complexe au monde je trouve ! Les gens qui maitrisent le violon, wow, j’adore ! »

C’était tout à fait sincère et elle avait envie de le partager. En tout cas, si son amie aux cheveux roses venait à faire de cet instrument, la demoiselle serait sa fan numéro un ! Autant dire les choses comme elles sont. La conversation avait par la suite déviée sur les filles de la maison où se trouvait la petite blonde. Parfois, elle ne comprenait pas vraiment ce que les gens avaient contre cette maison. Les clichés que ce sont des belles filles, un peu trop attiré par les garçons et le physique qu’autre chose, tout cela l’agaçait. Elle ne se sentait pas « belle » et à part son ancien meilleur ami, elle préférait ses études très nettement.

IDYLLE – « Des gens normaux. C'est étrange ce que tu dis... Franchement, oui. Parce qu'il y a des cas sociaux et... ceux sur qui je tombe qui ont vraiment des soucis avec la vie »

MADISSON – « Ah oui ? Après, je ne les connais pas toutes à cent pour cent, mais celles que je connais sont géniales avec moi. Peut-être que tu es tombée sur celles que je ne connais pas … je ne sais pas » avoua-t-elle.

Au final, elles avaient abordé le sujet garçon et la jeune femme lui avait parlé d’Austin, son ancien meilleur ami et ancien petit ami. De quoi la gêner complètement et elle s’attendait complètement à un interrogatoire de son amie. Bon, plus qu’à y survivre, se dit-elle sans pour autant cesser de sourire, même embarassée.

IDYLLE – « Il est beau ? Il est blond ? Il est gentil ? Parce que sinon je lui ferait avaler ses dents ... Enfin du moins je pourrais toujours essayé » Son rire lui fit piquer un fard. « Je veux tout savoir ! Parce que je le connais pas celui-là ! »

MADISSON – « Très beau. Non, il est brun avec pleins de bouclettes. Il est gentil quand il veut bien et laisse lui ses dents va ! » ria-t-elle. « Bah je pourrais te le montrer … Ah j’ai une photo dans mon portable si tu veux ? »
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Madison & Idylle

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C'était toujours plus agréable d'avoir quelqu'un avec qui parler, rire  de tout, et apprendre plein de choses. Comme avec Madison. Elle apprenait plein de chose sur elle, et elles rigolaient bien ensemble. C'était suffisant. C'était son amie. Elles partageaient les même centre d'intérêt, comme le fait d'avoir voulu jouer d'un instrument, parce que ça avait la classe. Idylle lui sourit en répondant.
«Oui, il parait que c'est l'instrument le plus dur a apprendre, comme le piano. Mais je suppose que le piano ça vient du fait qu'il faut savoir jouer avec les deux mains. Enfin, je suppose. Néanmoins, comment c'est trop beau comme son. »
Idylle et Madison s'extasiaient toutes les deux sur les gens merveilleux qui savaient jouer du violon. A vrai dire pour Idylle, elle s'extasiait sur tout les gens qui savaient faire des arts, car les arts étaient une chose qu'elle ne maitrisait pas, et il semblait clair qu'elle n'avait aucune once de talent pour quoi que ce soit là dedans. Elle ne savait pas dessiner, ni même colorier dans les traits. Elle était comme ça, dénué de tout talent. Mais il fallait la prendre en entier la blondinette. Et d'ailleurs, la conversation partie sur les gens normaux, et les cabots. Idylle se sentait toujours à part dans la vie, comme une espèce de fille qui n'était ni une fille, ni un garçon vraiment. Troublant. Elle sourit à son amie, essayant de plus penser aux choses dans sa tête, et lui répondit gentiment.
«Peut être que j'aurais dû aller à Cabot, avec toi. Je serais peut être devenue une vrai fille, et puis en plus, j'ai déjà les couleurs de cabots sur mes cheveux.  »
Idylle se mit à rire, elle disait n'importe quoi. Pas vraiment elle le pensait sincèrement d'ailleurs, elle pensait toujours ce qu'elle disait, même si parfois c'était un peu déconnecter de la pensée humaine normale, ou décaler dans la conversation. Idylle était comme ça. Décalée. Et à ce moment précis Madison était embarrassé a cause de Austin? Idylle lui sourit très paisiblement.
«Brun a bouclette. Ça doit être quelques chose. ... Ah mais si t'as une photo t'es obligé de me montrer. Je veux voir ce que ça donne un brun au bouclette que Madison trouve très beau! »
Idylle la curieuse, comme toujours d'ailleurs. Elle partagea un rire avec Madison, non elle comptait pas lui faire bouffer ses dents, mais c'était son amie, et comme tout amie, elle voulait que Madison soit heureuse, et qu'on ne lui fasse pas de mal. C'est tout à fait normale.

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Pouvoir parler de musique rendait la blonde complètement heureuse. Même si son amie en face d’elle avait l’air de pouvoir maîtriser un instrument aussi complexe qu’est le violon, elle ne se sentait pas pour autant dépassé par le thème de leur conversation. Même si elle ne savait pas jouer d’un instrument – même la flûte imposée en classe, c’était juste une catastrophe – elle aimait énormément en écouter et elle ne pourrait sûrement jamais s’en passer. Musique classique à celle en soirée en passant par tous les styles, la demoiselle ne cessait de découvrir des nouvelles mélodies où elle trouvait refuge autant dans les bons moments que dans des instants où elle se sent plus bas que terre. La musique adoucit les mœurs, elle rassemble les yeux et c’est cela qui lui plait tant. Écoutant son amie aux cheveux roses parler de violon, elle ne pouvait qu’en avoir des étoiles dans les yeux. Du violon quoi !

IDYLLE – « Oui, il parait que c'est l'instrument le plus dur a apprendre, comme le piano. Mais je suppose que le piano ça vient du fait qu'il faut savoir jouer avec les deux mains. Enfin, je suppose. Néanmoins, comment c'est trop beau comme son »

MADISSON – « Le piano aussi, c’est compliqué, oui. Mais j’ai entendu des personnes me dire que le violon, si on ne s’entraîne pas, le son reste strident, quelque chose d’assez horrible..  »

Par des Cabots avec son amie lui semblait assez bizarre. Elle n’en parlait jamais et elle n’avait pas d’énormes affinités avec les filles de la maison. Mise à part Elia – la présidente – qui avait été sa marraine de bizutage, elle les connaissait de noms, sans vraiment trop être avec elles. Pourquoi ? Aucune idée. Elle se sentait tellement mieux avec son ancien meilleur ami. Plus elle-même, sûrement. Avec lui, elle savait parfaitement qu’elle ne serait jamais jugée et elle ne savait pas si tout ce qu’elle faisait avec lui serait vraiment bien accepté si les filles le savaient.

IDYLLE – « Peut être que j'aurais dû aller à Cabot, avec toi. Je serais peut être devenue une vrai fille, et puis en plus, j'ai déjà les couleurs de cabots sur mes cheveux »

MADISSON (riant avec elle un peu) – « Oh tu crois que la couleur de cheveux auraient pu avoir un impact ? Tu sais, tu es une vraie fille, Idylle. Et ne me demande pas de te le faire comprendre, je ne suis pas du genre à peloter les filles » ria-t-elle encore. « Tu sais … je me sens bien avec les filles, mais parfois, je me demande si cette sororité me convient vraiment … »

C’était la première fois que la blonde avouait ne pas être aussi à l’aise que l’on pouvait le croire dans la maison des Roses. Peut-être une petite déprime passagère ? Peut-être, peut-être pas. Qui sait ? Parler de son ancien meilleur ami ne faisait que l’embrouiller d’avantage. Elle aimerait tellement que les choses soient plus simples avec lui, mais elle avait juste l’impression que c’était de pire en pire. Elle ne regrettait pas de le revoir et de partager du temps avec lui comme avant. Mais quelque chose avait changé et cela, Madisson ne pourrait jamais le réparer en elle. Même si la situation évoluait, ça ne changerait pas tout et elle le savait. Elle savait comment ça se passerait.

IDYLLE – « Brun a bouclette. Ça doit être quelques chose. ... Ah mais si t'as une photo t'es obligé de me montrer. Je veux voir ce que ça donne un brun au bouclette que Madison trouve très beau ! »

Une photo convenable, sans avoir l’air d’abrutis bourré ou dans un grand délire, ce n’était pas si facile que cela à trouver, mais elle avait eu la chance de pouvoir faire de très belle photo – ou d’en récupérer de ses parents. Trouvant enfin une – très très très – belle photographie d’Austin, elle tournait le portable vers son amie en regardant autre part, gêné et sûrement toute rouge. Il fallait qu’elle l’admette : elle en était raide dingue depuis des années et ça n’avait pas cessé un seul instant. Même après leur séparation et qu’elle s’était expatriée à l’autre bout du monde avec sa mère, elle n’avait jamais réussi à penser à quelqu’un d’autre que lui. Son meilleur ami, son confident, celui avec qui elle faisait les pires conneries, son petit ami, son premier baiser, sa première fois, sa première rupture. Il avait eu toutes ses premières fois, de son premier sourire innocent et naturelle au premier baiser et à sa première fois qu’elle savait comme la première et la seule fois où elle avait fait « l’amour ». Mais comme tout conte de fée, la réalité est venue tout foutre en l’air. Et bien comme il faut.
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Madison & Idylle

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Idylle était nulle en art, dans tous les arts en réalité. Mais ça tout le monde le savait, même si le violon semblait si beau et si doux à l'oreille, il était sur que si Idylle s'y tentait ça risquait plus de casser les oreilles qu'autres choses en fait. Mais ça c'était la blondinette dépourvu de talent artistiques en tout genre. Elle était heureuse de pouvoir parler avec Madison, peu importait le sujet en fait, parce que Madison était tellement adorable, qu'Idylle aurait bien voulue lui ressembler par moment. Et là c'était juste parfait. Idylle sourit doucement en lui répondant.
«Oh ça doit être aussi agréable que j'imagine si je testait le violon. Je sais pas comment les gens font pour être si doué en musique. J'aime tellement les écouter jouer d'ailleurs. Au moins le piano quand tu sais pas jouer, la mélodie semble caduque, mais le son reste beau... C'est déjà ça.»
Idylle n'avait pas vraiment d'amis dans sa maison. A part Amy qu'elle avait rencontrer et discuter il y a peu et la petite asiatique, sinon elle ne connaissait que très peu les autres. Il faut dire qu'elle sortait beaucoup, donc forcément, elle avait plus tendance à connaître les autres maisons que la sienne, et même là elle devait pas connaitre grand monde. Quand on est pas très facilement sociable, ou qu'on est top bizarre, c'est pas toujours facile de se faire des amis, et c'était le cas d'Idylle. Madison lui donnait le sourire et ça c'était important pour elle, aussi elle répondait.
«La couleur des cheveux est toujours super importante quand on parle de fille qui aiment la mode, et qui ont une maison Rose bonbon. Forcément ça aurait jouer en ma faveur. Et je me passerais très bien de pelotage par toi. Je t'assure, je préfère qu'on reste amie si ça te gênes pas.»
Idylle rigolait tellement avec Madison, faut dire que parfois elles sortaient toutes deux des énormités. Idylle reprit un peu son sérieux quand à la suite de la phrase de Madison. Il faut dire qu'elle partageait un peu cette question.
«Je vois ce que tu veux dire... Des fois je me demande aussi si Dunster me va vraiment. Faut dire que j'ai pas tant d'amis que ça, surtout des gens de Dunster en faite... Viens on quitte ces maisons, et on en fonde une... Je vois bien le nom d'ici "Asylum House" ça taperait vraiment bien dans le coin.»
Idylle voulait voir la tête du brun à bouclette faisant chavirer Madisson depuis quelques temps déjà. Et elle le vit. Madisson ne mit pas longtemps à trouver une image, et à lui montrer. La jeune rosette fixa les moindres détails sur l'écran avant de lui répondre très sérieusement.
«Pas mal pour un brun à bouclette. Pas vraiment mon genre, mais pas mal du tout Madisson. »
Oui Idylle avait le don de trouver les bad boy intéressant, ceux que même une photo d'eux en train de sourire vous glaçait le sang d'effroi. Quand je vous dit que la rosette elle allait pas bien dans sa tête. Aller Idylle craque pour d'autres garçons qu'on ne finissent pas à l'hopitale une fois de plus.

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Trouver une amie dans cette grande université, la jeune blonde ne l’aurait pas parié. Peut-être par préjugé, elle s’attendait tellement à trouver des groupes de ceux qui bossent et ceux qui ne foutent rien qu’elle avait du se rendre à l’évidence : les clichés, ce n’était pas à l’ordre du jour. Cela s’appliquait particulièrement aux différentes maisons qui se trouvaient à Harvard. Le choix n’avait pas été évident pour elle, mais elle avait choisi la Cabot House et elle n’en était pas mécontente. Sauf qu’elle restait utopiste et se disait que c’était juste n’importe quoi de séparer les gens de cette façon. « L’union fait la force » à ses yeux alors que tout a l’air tellement « diviser pour mieux régner ». Ce n’était que son avis, après tout, mais elle le gardait constamment en elle. Pourquoi une Dunster ne pourrait pas être amie avec une Cabot ? Pourquoi une Cabot ne pourrait pas sortir avec un Mather ? – ne te fait pas trop de film, Madisson – et pourquoi devrait-elle n’avoir que des amies dans les Cabot et sortir avec un Eliot ? Non, pour elle, tout cela n’avait pas de sens. Elle pouvait fréquenter qui elle voulait et elle ne voulait absolument pas qu’on lui dicte quoique ce soit. Tête de mule ? Oh oui, mais la jeune fille en face d’elle avait aussi un sacré caractère, voilà pourquoi elles s’entendaient si bien.

IDYLLE – « Oh ça doit être aussi agréable que j'imagine si je testait le violon. Je sais pas comment les gens font pour être si doué en musique. J'aime tellement les écouter jouer d'ailleurs. Au moins le piano quand tu sais pas jouer, la mélodie semble caduque, mais le son reste beau... C'est déjà ça. »

MADISSON – « ça te dit, une fois, on va dans un magasin de musique ensemble et on teste qui arrive à rendre dingue les vendeuses en première ? » ria-t-elle doucement.

La façon dont Idylle lui parlait de sa maison la faisait grandement sourire. Mine de rien, elle savait exactement comment faire sourire la blonde et lui faire oublier sa sale journée pourrie. Heureusement qu’elles se soient retrouvés ici, même si ce n’est pas forcément dans d’excellentes circonstances, au moins, la demoiselle aux cheveux dorés ne voyait pas passer le temps et elle pouvait s’amuser un peu en parlant de tout et de rien avec une personne qu’elle affectionnait énormément.

IDYLLE – « La couleur des cheveux est toujours super importante quand on parle de fille qui aiment la mode, et qui ont une maison Rose bonbon. Forcément ça aurait jouer en ma faveur. Et je me passerais très bien de pelotage par toi. Je t'assure, je préfère qu'on reste amie si ça te gênes pas. »

MADISSON – « Tu penses ? J’aurais bien aimé voir ta tête rose plus souvent comme ça, ça aurait été marrant » sourit-elle. « Tu me vois rassurée de choisir de rester amis avec moi, je ne comptais pas être autre chose ! »

Parler des maisons faisait un bien fou à la jeune blonde. Non pas qu’elle est l’impression d’étouffer, mais juste que ça ne lui plaisait pas. Ça faisait vraiment comme des clans parfois et elle se rappellerait toujours de son ancien meilleur ami qui lui avait dit : « du moment que tu ne traines pas avec ces Eliots ». Certes, elle n’avait aucune affinité avec eux, mais elle ne trouvait pas ça sain de penser ainsi. Ça reviendrait à exclure un groupe parce que ceci ou cela. Ce n’était certainement pas sa façon de penser et ça ne le sera jamais.

IDYLLE – « Je vois ce que tu veux dire... Des fois je me demande aussi si Dunster me va vraiment. Faut dire que j'ai pas tant d'amis que ça, surtout des gens de Dunster en faite... Viens on quitte ces maisons, et on en fonde une... Je vois bien le nom d'ici "Asylum House" ça taperait vraiment bien dans le coin.. »

MADISSON – « On est dans le même cas, je pense. Ton idée de fonder une maison me plait bien ! » dit-elle en frappant dans ses mains comme une enfant.

Lui ayant montré une photo de son – oui oui, son – Austin, la blonde avait été assez gêné de la réaction que pourrait avoir son ami. Elle n’aimait pas trop parler de lui. Pas par honte – loin de là, malgré les conneries – mais simplement parce que l’idée qu’il s’éloigne d’elle ou qu’une fille arrive à sortir avec lui devant ses yeux lui briserait le cœur. Ce n’était pas la peine, pas du tout même. Elle avait assez mal avec le passé qu’ils avaient eu en commun. En rajouter, hors de question.

IDYLLE – « Pas mal pour un brun à bouclette. Pas vraiment mon genre, mais pas mal du tout Madisson. »

MADISSON – « Oh il te plait ? Je suis contente ! » sourit-elle grandement. « Mais je t’interdis de me le piquer hein » reprit-elle très sérieusement avec un faux regard suspicieux. « Il est tellement beau.. » murmura-t-elle en regardant la photo. « Con, mais magnifique » continua-t-elle sur le même ton. « Dommage que ce soit mort d’avance » soupira-t-elle en rangeant son portable.

Autant se rendre à l’évidence. La blonde se doutait qu’imaginer avec lui devait arrêter de lui trotter dans la tête car c’était peine perdue depuis bien longtemps. Depuis le début même du commencement de ses sentiments, elle aurait juste du ne pas tomber plus amoureuse que ça. Ne pas sortir avec lui, etc. Le retrouver l’avait rendu aussi heureuse que triste et elle ne savait pas de quel côté la balance basculerait et si elle en serait pleinement satisfaite. A part de l’amitié, il ne pouvait rien lui donner et avec leurs histoires passées, elle doutait que cela puisse fonctionner. Avec un sujet qui fâche et sûrement un milliard de disputes, oui, on pourrait croire à un couple comme ça. Sauf qu’elle devait admettre une fois pour toute qu’il ne l’aimera jamais autant qu’elle et que c’était vain d’espérer. Mais comme on dit : « tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir » même si l’un et l’autre font douloureusement mal chaque jours.
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Idylle se fichait de la maison des gens, si elle trouvait les personnes stupides, elle le disait, de toute façon sa bouche était relier a son cerveau, toute pensée sortaient sans permissions, alors comme ça on ne pouvait pas être autrement que sincère et honnête, peut être que c'était un problème pour la plupart des gens qui mentaient et faisaient semblant? Après tout, il y avait tellement de choses stupides, comme les guerres entre maisons, les alliances. Les gens étaient libre de faire ce qu'ils voulaient avec qui ils voulaient, c'était sa façon de voir comme celle de Madisson, voilà pourquoi ces deux là c'était accrochées l'une à l'autre comme deux moules perdues sur un rocher. Parce que tomber par hasard sur une personne qui pensait a peu près comme vous c'était rare, surtout dans cette université géante, et remplie de gens de tout horizons. Elle souriait à la propositions de son amie, limite sautillant sur place comme une puce.
«Oui! Dans un magasin de musique, voir tout ses beau instruments, et tant pis pour les autres. T'as raisons! Comme ça serait amusant, faudra faire ça assez rapidement, parce que maintenant que t'as proposé je suis emballée. »
Idylle rigolait avec son amie, parce que rien que l'idée d'aller dans un magasin et de faire tout les instruments, de casser les pieds des autres l'amusait assez. Faut dire qu''elle aurait aimé savoir et avoir envie et la patience de savoir jouer d'un instrument, mais on a pas toujours tout dans la vie, encore heureux. en tout cas, parler avec Madisson avait égayée sa journée. Elles étaient spéciales toutes les deux, et Idylle aimait ça.
«Bien alors on est d'accord, on reste amie. Et oui ça me ferait plaisir de te voir plus souvent aussi, surtout que chez les jaunes sont pas très marrant, pas trop comme toi quoi. »
Idylle était fière de son idée de fonder une nouvelle maison, après tout il fallait bien une maison pour les dingos comme elle et Madisson qui ne voulait pas détester les autres à cause de leurs maison, ou des ragots qui peuvent exister sur tel ou tel personnes. Elle sourit à son amie, contente que son idée lui plaise, et toute suite après ce fut une séance de photo pour regarder à quoi ressemblait ce austin qui tapait dans l'oreil de Madi. Elle rigola en répondant.
«T'inquiète promis, je touche pas. » Mais son ami avait l'air un peu triste, et défaitiste, aussi Idylle lui dit curieuse comme pas deux.« Ben pourquoi c'est mort? Il est gay ou quoi? Parce que sinon c'est pas mort, jamais. »
Idylle restait plantée là à regarder son amie partagé entre l'amour qui la rendait euphorique ou presque, et ce petit relent de tristesse qui s'était placé sur son visage. La petite rose se demandait si elle pouvait aider son amie, bien qu'il était fort à parier que non, après tout quand tout le monde s'en mêle en général ça finit pire que ça n'avait commencé. Du coup... quoi faire?

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Tomber une fille extraordinaire comme la rose devant elle, Madisson n’aurait jamais pensé que ça puisse arriver. Non pas qu’elle soit associable ou timide, mais simplement qu’elle n’avait pas imaginé pouvoir trouver une personne aussi gentille, amusante et sur la même longueur d’onde qu’elle. Regardant son amie, elle ne cachait plus son sourire, tellement heureuse finalement de s’être ramasser par terre en sport pour passer du temps avec son amie. L’idée d’aller dans une boutique d’instrument pour mettre la pagaille lui avait plus et elle n’avait pas attendu très longtemps avant de proposer d’être accompagner par son amie. Autant d’amuser bien correctement et puis, en vue de leur talent artistique à toutes les deux, elles pourraient deux fois plus embêter le monde et ça, la blonde en avait follement envie. Oui, son ancien meilleur ami déteignait vraiment trop sur elle.. ou bien peut-être avait-elle toujours été ainsi et que ce garçon l’avait juste poussé à être plus elle-même que la fille coincée et rangée qu’elle aurait pu être sans lui.

IDYLLE – « Oui ! Dans un magasin de musique, voir tout ses beau instruments, et tant pis pour les autres. T'as raisons! Comme ça serait amusant, faudra faire ça assez rapidement, parce que maintenant que t'as proposé je suis emballée. »

MADISSON – « Alors fixons ça pour demain ? J’ai trop envie d’y aller aussi pour attendre ! » fit-elle tout excitée.

S’amuser avec elle ne pouvait que la rendre heureuse, autant ne pas attendre trop longtemps pour avoir un bon délire ! Elle imaginait déjà bien le bordel qu’elles pourraient mettre ensemble, alors attendre serait un vrai supplice. Souriant de plus belle, elle en oubliait complètement ses plaies qui lui faisaient largement moins mal désormais. L’infirmière reviendrait-elle un jour ? Elle avait quelques doutes, mais si ça pouvait lui permettre de rester avec son amie, bien tranquille, sans personne autour d’eux, elle ne se plaindrait pas !

IDYLLE – « Bien alors on est d'accord, on reste amie. Et oui ça me ferait plaisir de te voir plus souvent aussi, surtout que chez les jaunes sont pas très marrant, pas trop comme toi quoi. »

MADISSON – « Aucun soucis, je voudrais aussi passer plus de temps avec toi, les Roses sont moins folles que toi, c’est trop calme avec elles » avoua-t-elle doucement.

Voilà ce qu’elle pensait et elle ne se gênerait pas de le dire à son amie. C’était pour cela que l’idée de fonder une nouvelle maison lui plaisait pas mal. Même si ça ne pouvait pas se faire, elle ne refuserait pas d’être amie avec la Dunster en face d’elle. Pourquoi se priver d’être heureuse avec une personne ? Ce serait complètement stupide ! Alors non, la demoiselle aux cheveux dorés ne voulait pas respecter des règles stupides. Surtout pas pour une amie géniale et un ancien meilleur ami dont elle est encore et toujours folle amoureuse.

IDYLLE – « T'inquiète promis, je touche pas. Ben pourquoi c'est mort ? Il est gay ou quoi ? Parce que sinon c'est pas mort, jamais. »

MADISSON – « Non, il n’est pas gay, mais ça fait.. pfiou, des années que je suis amoureuse de lui, on est sorti rapidement ensemble, ça s’est.. mal fini et je l’aime toujours, mais j’ai l’impression qu’il s’en fous.. » commença-t-elle. « Il sait que je l’aime toujours, on a.. accidentellement couché ensemble un soir chez moi, et depuis, je ne comprends rien.. je sais qu’il ne m’aime pas, mais je ne sais pas.. je ne le comprends plus.. »

Se confier à elle lui faisait un bien fou. Elle se rendait bien compte que son amie ne pourrait pas grandement l’aider, mais rien que de dire ce qu’elle avait sur le cœur la libérait d’un poids. Bougeant un peu dans le lit, elle passa une main dans ses cheveux avant de prendre un élastique pour les attacher. Sa tête avait du mal à suivre en ce moment. Austin n’avait pas l’air de comprendre ce qu’elle ressentait et elle désespérait de plus en plus. Oui, elle aurait bien besoin d’aide, mais dans une relation à sens unique, elle savait que personne ne pourrait l’aider. Le plus simple serait qu’il ressente la même chose et qu’ils se mettent ensemble, mais c’était juste.. impossible. Alors elle devait se faire raison. De toute façon, même ensemble, une relation de couple pourrait tenir ? Elle ne le savait même pas.. Elle lui ferait toujours confiance, une confiance aveugle depuis des années et ça ne changerait pas, mais s’il venait à lui faire du mal, ce serait la fin de tout et ça, elle en était parfaitement consciente. Oserait-elle risquer ça ? Le perdre pour toujours ? Peut-être qu’elle avait moins à perdre que lui..
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Madison & Idylle

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Idylle était spéciale, mais le fait est qu'avoir trouver Madisson en arrivant sur ce campus, ça avait été magique pour elle. C'était une de ses meilleures amies, une fille adorable, et rien que pour ça la blondinette voulait toujours la garder avec elle, comme si c'était une soeur dont Idylle aurait toujours voulu avoir. Madisson était spéciale.
«PARFAIT! Faisons comme ça! Allons dans une boutique de musique. J'ai tellement hâte!!»
Oui la blondinette se répétait un peu, mais ça c'était pas Alzheimer, mais juste le fait qu'elle était timbrée comme pas deux la Idylle. Elle rigolait en écoutant son amie lui dire à quel point elle était folles, et que ses soeurs cabots étaient d'un ennuie. Elle lui dit alors cash.
«Si tu continues, je t'enduis de glue et je te colle à moi, comme ça, on sera obligé d'être ensemble pendant deux semaines minimum, et tu fera une overdose de ma présence, c'est promis. Non mais les Cabots sont pas réputé pour être drôle, enfin pas que je saches... D'ailleurs y'a pas de maison des comiques, c'est con ça...»
Idylle se fichait des maisons, comme de l'an 40. Elle n'appréciait aucun Winthrop, c'était un fait, mais ça ne voulait rien dire en fait. Elle était comme ça, bizarre, et les winthrop c'était une maison qu'elle n'aimait pas, remplit de mec qui se trouvaient beau et qui pensaient que tout leurs étaient dû parce qu'ils étaient mignon. Et ça c'était une chose qu'elle n'aimait pas. Après si un Winthrop était sympa, il resterait sympa, mais ça elle n'en avait jamais croisé suffisamment pour leurs parler. Elle écouta Madi, lui parler de Austin, et elle soupira profondément en l'écoutant. C'était pas marrant comme situation, et ça c'était le côté le plus chiant pour son amie sûrement.
«J'espère que tu finiras par trouver quelqu'un de bien, parce que franchement tu le mérites! Peu importe qui s'est d'ailleurs, mais ça serait bien que tu le trouves.»
Idylle n'avait rien contre Austin, et si un jour ce quelqu'un de bien pour elle était Austin, grand bien fasse à Madisson. Tout ce que la Dunster voulait c'était que MAdisson ait ce qu'elle mérite, et qu'elle soit heureuse. C'est toujours ce qu'on souhaite à ses amies!


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que sport devienne torture.


Leur rendez-vous était donc fixé pour le lendemain. La demoiselle aux cheveux d’or s’imaginait déjà le bordel qu’elle pourrait mettre avec son amie en moins de cinq minutes, dans ce genre d’endroit. Les vendeurs feraient tout pour les mettre dehors, c’était certain ! Mais la blonde avait tellement hâte de mettre la pagaille qu’elle ne pensait pas vraiment à ce qui pourrait leur arriver en face. De toute façon, son amie et elle étaient à deux, alors même si l’un se faisait attraper, l’autre en profiterait pour mettre encore un peu plus le magasin en pitoyable état ! Attention, pas à tout casser, mais juste à embêter le monde à vouloir essayer ceci ou cela et ne pas forcément tout bien ranger correctement. Deux filles dans un magasin, c’était comme si une tempête s’abattait à l’intérieur ! Une tornade composée de deux blondes, ça allait donner du spectacle ! Soit, elle avait hâte d’être au lendemain pour s’amuser avec son amie. En attendant, elles parlèrent des maisons et du fait que.. que ce n’était pas la fête dans leur maison respective. Le rire de la demoiselle en face d’elle agrandit son sourire. La proposition de son amie la fit pouffer. Non pas que ce n’était pas tentant, mais bon, il y avait des légers détails à soulever. « Je ne peux pas faire une overdose de toi, tu es trop adorable pour cela » lui assura-t-elle avec un grand sourire sincère. « Par contre.. on tire à pile ou face pour savoir dans quelle maison on va ? » ria-t-elle doucement. « Et puis.. tu risques de devoir voir souvent Austin, vu que je suis très souvent avec lui.. » lui murmura-t-elle. Parler de son ancien meilleur ami n’était pas le sujet qu’elle préférait, mais bon.. « Non, les Cabots ne sont pas très amusantes mais bon.. Si un jour on fait notre propre maison, il n’y aura que des gens marrants ! » Pouffant encore une fois, elle ne pouvait que s’imaginer avoir une maison rempli de gens marrants. Sérieusement, impossible d’avoir le temps de s’ennuyer comme ça, ce serait carrément top ! Mais bon, elle ne rêvait pas trop non plus. Revenant au sujet « Austin », la blonde ne pouvait que souffler. « Mais je l’ai trouvé.. » chuchota-t-elle. « Je ne me vois avec personne d’autre que lui.. » Rien n’était facile, mais bon, elle devait bien lui avouer. Depuis leur séparation, la demoiselle n’avait jamais vu quelqu’un d’autre que lui. Non pas qu’elle n’a jamais voulu, mais elle voyait tout par lui et impossible de la faire changer d’avis. Le retrouver ici avait été aussi douloureux qu’un bonheur sans nom. Sauf qu’elle savait encore et toujours qu’il ne pourrait rien avoir entre eux et ça.. peut-être même si le garçon le voudrait. Elle ne lui accorderait plus autant de confiance qu’avant et avec ce qu’elle entendant sur lui, elle ne savait même pas si elle pourrait construire quelque chose de solide..
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