Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIDYLLE ∞ il y a des journées, comme ça, où l'on ferait mieux de rester au lit.
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IDYLLE ∞ il y a des journées, comme ça, où l'on ferait mieux de rester au lit.

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que sport devienne torture.

La pluie tombait depuis quelques heures, en trombes. A peine avait-elle ouvert les yeux aujourd’hui, qu’elle savait que la journée serait tout bonnement horrible et qu’il valait mieux pour elle de rester au lit, bien au chaud. C’est ce qui aurait du se passer si son portable ne venait pas de sonner une fois, lui signalant qu’elle venait de recevoir un message. Tâtonnant à l’aveugle sa table de nuit, le jeune femme prit son cellulaire et lut le mail qui venait d’arriver sur sa boîte de la faculté. Ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle lut le message. Le cours de sport était maintenu et pour tous les absents, ce sera un zéro coefficient quatre dans la moyenne. Un vrai connard, se dit-elle en soupirant. A croire que ce professeur est totalement dingue. Surtout que ce n’était pas comme si elle avait volley, ou basket. Des sports qui se pratiquent à l’intérieur, en cours. Non, la blonde avait athlétisme. Donc dehors. Et sous la pluie. Soupirant, elle s’étira et se mit debout, se changeant pour un jogging, des baskets, un pull et un k-way pour éviter d’être trempée tout de suite. Les cheveux attachés en chignon, elle prit de quoi se changer à la fin du cours et partit de son appartement. Prenant le bus pour remonter l’allée qui amène à Harvard, elle regardait les gens complètement mouillés de la tête aux pieds dehors. Certains étaient dans sa classe de sport. On pourrait croire que cette matière n’apporte rien, et qu’un zéro, même avec un aussi grand coefficient, ce n’était pas bien grave. Sauf que c’était toujours des points en plus et elle ne pouvait pas se permettre de passer à côté.

Arrivée devant la grande bâtisse, ses pieds l’amenèrent rapidement au hall, puis au complexe sportif. La demoiselle alla poser ses affaires de rechange dans le vestiaire, avant d’aller dehors, avec les autres. Le professeur avait gentiment installé son petit coin pour se protéger de la pluie. Sympa, pensa-t-elle, énervée. Courir sur la piste. Soupirant, elle se hâta à la tâche, le vent faisant rendre les gouttes de pluie encore plus agaçantes. Mais personne ne disait rien. Tout le monde courrait, sachant déjà qu’il sera malade comme un chien le lendemain, mais que se plaindre à l’administration ne changerait de toute façon rien. La jeune fille pensait surtout au fait qu’elle devait travailler le soir même et qu’elle ferait sûrement peur à voir, fatiguée et malade. Perdue dans ses pensées, elle ne fit pas attention à une flaque d’eau sur la piste et glissa dessus. Comme on dit : « Et là, c’est le drame » La blonde se mangea violemment sur les coudes et les genoux. Heureusement, rien à la tête, bien que ce soit du à beaucoup de chances. Son k-way était déchiré, idem pour son jogging. Une jeune femme l’aida à se relever, l’accompagnant chez le professeur de sport.

PROFESSEUR – « Je vois que Mlle Galloway ne sait pas faire attention de là où elle court » La jeune femme le fusilla du regard, ayant mal comme un chien. « Allez à l’infirmerie, je vous mettrais la moyenne. Faites mieux la prochaine fois, sinon c’est zéro »

L’envie de lui éclater la tête par terre brûlait dans la tête de la demoiselle. Mais elle ne fit qu’acquiescer, remerciant la jeune fille avant d’aller à l’infirmerie. En arrivant là-bas – après avoir fait un petit détour pour récupérer ses affaires dans les vestiaires, elle remarquait avec soulagement qu’il n’y avait personne. L’infirmière se révélait être très gentille avec elle, lui désinfectant le tout. Malheureusement pour la demoiselle, la vue d’autant de sang – de son sang, en plus – la fit tourner de l’œil. Elle se réveilla quelques minutes plus tard, dans un petit lit. Immédiatement, la jeune femme sentit un regard sur elle. Tournant sa tête, elle remarqua une chevelure rose près d’elle.

MADISSON – « Idylle … C’est toi ? » murmura-t-elle, les muscles endoloris.

Dans le vague, la blonde ne savait pas trop si son amie était passée par là et qu’elle avait elle-aussi eu un petit bobo, ou si on l’avait prévenu qu’elle était là. Elle doutait un peu de la seconde proposition. Personne ne savait qu’elles étaient amies, à sa connaissance. Elle ne l’avait même pas dit à Austin. Alors c’était peu probable. Mais, si c’était la première solution, elle se demandait comment elle était arrivée là. Cependant, elle restait encore un peu dans la brume et elle avait du mal à parler. La journée était vraiment tout ce qu’il y a de plus catastrophique. Heureusement que son amie avait fait son apparition. Un petit rayon de soleil rose bonbon dans cette journée tout ce qu’il y a de plus affreuse.
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Madison & Idylle

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Le temps était pluvieux aujourd'hui, mais ça n'empêcherais pas Idylle d'aller en cours, parce qu'elle n'était pas comme ça. Il y a quelques années, elle aurait tout envoyée en l'air, et serait restée dans sa chambre, se shooter et profiter du temps pour elle. Mais aujourd'hui elle n'était plus vraiment la même, même si il lui arrivait de faire des énormes erreurs, comme avant. Elle s'était levée, et habillé en couleur aujourd'hui, parce qu'à jour pluvieux, il fallait d'autant plus de couleur pour ne pas que le moral suive le côté morose du temps. Elle mit sa belle mais néanmoins courte jupe un peu bouffante violette, et son t-shirt préféré rose, ainsi que sa veste noire classe. Toujours une touche Rock, et barbie. Une fois prête, elle alla en cours.
Une matinée comme une autre, dans la vie d'une étudiante comme une autre. Au détail près qu'à un moment donné, elle ne se sentit pas bien et s'évanouit en plein cours. Une chose dont elle se serait bien passée, puisqu'en tombant sur le sol, tout les gens présents eut le plaisir de la voir vulnérable, et humaine. Une chose qu'elle tâchait précieusement de ne pas montrer, malgré sa constitution qui n'en effrayait pas un. Heureusement qu'elle en avait dans la cervelle pour rendre la monnaie de leurs pièces à tout ses petits enquiquineurs. Une fille fut désignée pour l’emmener à l'infirmerie, malgré les refus incessants et pressants d'Idylle, elle n'eut pas d'autre choix que d'obéir gentiment et de suivre son accompagnatrice jusqu'à la salle qu'elle voulait éviter.
Une fois à l'infirmerie, l'autre jeune fille repartie pour le cours, tandis que l'infirmière s'occupa d'elle. Et heureusement car elle ne tarda pas à faire un autre malaise sans prévenir. Idylle se souvint avoir prit des cachets ce matin, contre les douleurs qu'elle avait, et c'était ça la cause de ses soucis. L'infirmière la laissa rester dans la salle, la posant sur un lit, en attendant que le produit ne fasse plus effet sur la petite rose. Elle s'ennuyait comme un rat mort n'ayant pas de livre à lire, puisqu'elle n'avait rien emmener avec elle ce matin. Elle soupira quand elle vit une fille ressemblant à Madison. Elle s'approcha d'elle, quand elle lui demanda si c’était bien elle. Idylle eut un sourire en répondant à son amie.

«Qui d'autre ? Alors qu'est-ce que t'as? Pourquoi t'es ici? »

Idylle tentait de réprimer la tonne de questions redondantes qu'elle pourrait poser si elle se laissait faire. Elle s'assit sur une chaise qu'elle trouva. Rester allongée? Très peu pour elle. Et la fixa longuement, dans un grand silence, pour lui laisser le temps de comprendre, et de lui répondre. Parce que... Idylle connaissait que trop bien cette sensation vaseuse au réveil de n'importe quoi de non prévu. Aussi elle croisa les jambes et tenta de rester calme, même si Idylle n'avait jamais rien eut de l'enfant calme.


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Plus la jeune blonde y pensait, plus elle se giflait mentalement d’avoir eu la folle idée de se rendre en sport. On ne l’y prendrait plus, en tout cas ! La prochaine fois, elle resterait bien sagement dans son lit et irait faire la malade auprès de son médecin pour avoir un certificat médial. C’était plus sûr pour son état de santé. Mais pour le moment, elle devait accepter qu’elle s’était étalée en cours et que ça faisait mal. Toujours mal. La jeune femme se demandait réellement si l’infirmière ne faisait pas en sorte que la douleur reste … Enfin, une chose se révélait certaine : une fois les yeux ouverts, voir la tête rose devant elle lui réchauffait le cœur. Au moins, elle n’était pas seule et elle se trouvait même en très bonne compagnie à ses yeux. Dans le vague encore, elle essayait de reprendre complètement ces esprits. Maintenant qu’elle avait de la compagnie, elle espérait que la journée se continue et se termine mieux qu’elle n’avait commencé. D’ailleurs, dans un petit coin de sa tête, elle se demandait ce que son ancien meilleur ami allait lui dire sur ses égratignures. Enfin, surtout de la manière dont il se moquerait de d’elle quand elle lui racontera tout ça.

IDYLLE – « Qui d'autre ? Alors qu'est-ce que t'as ? Pourquoi t'es ici ? »

Ouah, tant de questions en si peu de temps. La demoiselle sourit, amusée alors que son cerveau est encore out. Voyant son amie assise, la blonde se demandait comment elle s’était retrouvée là. Elle avait l’air tout sauf malade. Lui souriant, elle bougeait un peu dans son lit, pour se réveiller davantage.

MADISSON – « Je ne sais pas .. Il pourrait y avoir une fille qui veuille essayer d’avoir les cheveux roses parce qu’elle te prend en modèle ? » dit-elle en souriant de plus belle. « Bah, j’ai du aller en sport sinon je me prenais un zéro avec un super coefficient. Donc j’y suis allée. J’ai glissé sur une flaque d’eau en courant et bim, sur le macadam … »

Lui montrant ses bras, la jeune fille remarquait que ses plaies étaient entourées de bandage. Soulevant le drap – n’étant pas le moins du monde gênée d’être en culotte, après tout, entre filles, qu’importe – elle remarquait aussi plusieurs pansements un peu partout sur ses jambes. Elle ne se doutait pas avoir été autant dans le coton pour ne rien remarquer avant. Oui, on ne l’a reprendrait plus à faire du sport avec un aussi sale temps !

MADISSON – « Et toi ? Tu as l’air en pleine forme » fit-elle, gentiment, lui souriant simplement.
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Madison & Idylle

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Idylle assise tranquillement, à essayer de laisser de l'espace à son amie Madison, dû se rendre à l'évidence que la patience, n'était vraiment pas de son caractère. Elle n'avait jamais été une gentille et sage petite fille, même bien avant que sa vie ne change, attendre avait toujours été dure pour elle, et aujourd'hui rien n'avait changer. Si elle n'était pas concentré sur quelques choses d'autres, l'attente était un fardeau pour elle. Néanmoins, elle savait très bien l'état vaseux dans lequel devait être Madi, et lui sourit en retour. Elle se mit à lui parler, et tout ce que pu dire Madison, la fille seulement sourire grandement, tandis qu'elle attendait une petite brèche dans son discours pour pouvoir lui répondre, d'une manière tout aussi amusé.
«T'as un nom en tête ? Parce que le rose c'est MOI. C'est breveté, et faudra que je tue toutes celles qui se teignent en rose en faite.»
Idylle racontait des bêtises, parce qu'elle n'avait jamais été capable de faire du mal aux gens, par contre les gens avaient la fâcheuse tendance à lui en faire. Le nombre de fois qu'elle avait dû visiter les urgences d’hôpitaux, et supporter des bleus et des fractures, sans pouvoir se plaindre au risque de s'en prendre encore une.. Elle soupira légèrement agacé par ce que son amie lui disait, profitant pour clasher un peu les profs de sport.
«Mais le sport ça sert à rien. Tu me le dis la prochaine fois, et je m'arrange pour que tu ais 19 dans une autre matière! Mais mourir pour du sport, c'est juste stupide. Je comprend même pas comment ils pensent ces profs là. »
Elle regarda les plaies de son amie, sans dire un mot, parce que, oui elle avait vu et vécut pire, mais que ça se passait de mot. La stupidité des profs de sport forçant des élèves à venir choper une pneumonie était suffisante pour révolter la jeune femme, qui commençait déjà à réfléchir a une façon de leurs faire payer ça. Rancunière jusqu'au bout la petite rose. Elle sourit son amie, bien heureuse de changer de conversation, au risque de voir Idylle partir en croisade contre l'éducation sportive de toutes les écoles aux mondes. Oui, elle avait tendance à être un peu butée et ce n'était pas toujours très pratique dans la vie de tout les jours. Elle répondit alors, tout simplement.
«Moi, j'ai pris un médicament ce matin... Apparemment mon corps le supporte pas, j'ai fais une syncope en cours, du coup je suis là pour encore deux ou trois heures, le temps que tout les effets se dissipent. Enfin la routine en faite. Tu comptes faire ton paresseux toute la journée sur ce lit, ou bien je trouve quelques choses pour te divertir?»
Idylle était un étrange oiseau. Passé de mather, avec une mémoire extraordinaire, des notes excellentes, et une capacité de rancune au delà de tout, mais elle savait être un amour quand elle le voulait, et là comme c'était Madison, faudrait pas s'étonner la voir lui apporter à manger ou ce genre de chose. Elle prenait soin des gens, surtout depuis qu'elle était mère, elle était encore plus serviable qu'à l'habitude, mais ça personne ne le savait.


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Tomber sur la demoiselle aux cheveux roses se trouvait être une vraie aubaine. Si la blonde avait été face à une personne de sa future sororité ou son meilleur ami, les questions lui auraient paru très chiantes. Et oui, parfois, on a juste besoin d’une amie à qui on peut parler sans être juger. Certes, elle allait sûrement lui faire comprendre que faire sport par ce temps n’avait rien de très intelligent, mais venant d’elle, l’écorchée l’acceptait largement mieux. Les idées devenant un peu plus claires, elle avait émis l’hypothèse qu’une autre fille pouvait avoir les cheveux roses. Bien sûr, elle savait que son amie allait s’énerver gentiment, mais ça l’amusait un peu de lui faire croire ce genre de choses. Bon, après tout, il pourrait y avoir une autre personne avec les cheveux roses, mais personne ne les porterait aussi bien qu’elle, c’était indéniable !

IDYLLE – « T'as un nom en tête ? Parce que le rose c'est MOI. C'est breveté, et faudra que je tue toutes celles qui se teignent en rose en faite »

Souriant doucement, la jeune fille se retenait de rire, bien que ce soit très drôle. Un peu encore dans le flou, elle préférait simplement sourire à la demoiselle face d’elle. Même si elle le disait en rigolant, la jeune femme aux cheveux d’or se disait que son amie pouvait être très sérieuse d’un certain sens. Elle plaignait déjà celle qui oserait se teindre les cheveux de cette couleur pour aller en cours à Harvard.

MADISSON – « Aucun nom, mais je te préviendrais si une file le fait. Je mènerais ma petite enquête si ça arrive, je te le promets »

Se redressant un peu, ses blessures la piquaient vraiment et lui faisaient assez mal. Mais elle ne voulait pas se plaindre et encore moins que l’infirmière vienne les embêter alors qu’elles papotaient tranquillement. Surtout lorsqu’elles se mirent à parler des professeurs. Etant sûrement dans le corps enseignant, celle qui l’avait soigné serait peut-être capable de tout rapporter. Et elle se taperait encore une sale note. Elle avait vu tellement d’enseignants comme cela qu’elle se méfiait sans cesse.

IDYLLE – « Mais le sport ça sert à rien. Tu me le dis la prochaine fois, et je m'arrange pour que tu ais 19 dans une autre matière! Mais mourir pour du sport, c'est juste stupide. Je comprend même pas comment ils pensent ces profs là »

MADISSON – « J’aime bien le sport, à la base. Mais aujourd’hui … » Elle soupire. « Je n’ai pas envie d’avoir une moyenne à la traîne, j’ai envie de passer en deuxième année »

Trop studieuse ? Pour certaines personnes, oui, peut-être. Mais elle voulait y arriver. Comparé à son âge, elle avait un an de retard et elle a toujours été douée en cours. Donc elle ne se donnait aucun moyen d’échouer. L’échec n’a pas de place dans sa vie. Sauf au niveau amoureux, mais c’est une toute autre histoire. D’ailleurs, elle se demandait si Austin allait dire quelque chose ou juste se foutre de sa gueule. La deuxième possibilité était largement plus logique. Super le meilleur ami …

IDYLLE – « Moi, j'ai pris un médicament ce matin... Apparemment mon corps le supporte pas, j'ai fais une syncope en cours, du coup je suis là pour encore deux ou trois heures, le temps que tout les effets se dissipent. Enfin la routine en faite. Tu comptes faire ton paresseux toute la journée sur ce lit, ou bien je trouve quelques choses pour te divertir ? »

Faisant une petite moue, la fille allongée sur le lit s’inquiétait un peu pour son amie. Un médicament pouvait la mettre ko ? Ce n’était pas très sympa ça. Heureusement pour la blonde, la rose pétillante se trouvait coincée ici encore un petit moment et elle ne doutait pas qu’elle aussi. Souriant à la fin de ses paroles, elle haussait les épaules, se sentant quand même beaucoup mieux malgré les vives douleurs qu’elle avait un peu partout dues à ses blessures.

MADISSON – « Hum … Je n’aime pas trop ne rien faire, donc je veux bien du divertissement ! » dit-elle en souriant de plus belle, oubliant quelque peu tout le reste.
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Madison & Idylle

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Idylle était bien contente d'avoir vu Madison dans cet endroit, parce que attendre seule, aurait été assez long et fatiguant. D'ailleurs, elle devait bien avoir son portable sur elle, mais pas sûr qu'elle ait du wifi dans ce coin du bâtiment, ce qui voulait dire qu'elle n'aurait pas pu survivre si elle n'avait pas fait une sieste de plusieurs heures, ce qui lui aurait été sûrement interdit, au cas où elle aurait pu faire une autre syncope ou quoi, et tout. Du moins, ça aurait sûrement été comme ça, mais ce n'était plus d'actualité depuis que Madison était apparut dans son champ de vision. Et le Rose était bien contente d'avoir trouver son amie, même si leurs maisons avait des préférences pour d'autres. Un peu compliqué, mais Idylle s'en fichait pas mal de toute façon. Tout ce qui l’intéressait était les gens, le reste du monde lui importait vraiment peu. Et Madi lui répondit d'une façon qui fit rire la rose et elle pensait que son amie aussi était amusé de sa façon de réagir. Il faut dire que si Idylle voulait tuer quelqu'un, il y avait des chances pour que personne ne sache que ça venait d'elle et ne la coffre, avec toutes informations dans son cerveau. Mais elle n'avait jamais penser à faire du mal aux autres en fait. Elle lui répondit seulement.
«Je lui ferais payer ce plagiat. Après tout le spectre lumineux visible a tellement de couleur, qu'elles peuvent prendre autres choses que le rose, non mais! »
Idylle était une sorte d'électron libre, un peu paumé dans ce monde, et qui tentait seulement de vivre sa vie, du moins, de trouver quoi faire dans la vie. Parce que comme l'avait fait remarquer une personne sur son Formspring, elle n'avait pas de grand rêve, ni de but dans la vie. Et pourtant elle avait un enfant en bas âge, aucune attache réellement, et un manque cruel d'une vocation professionnel. Bref, elle était mal partie dans la vie, bon après avoir été une junkie c'était déjà un vrai miracle qu'elle ne soit pas retourner le nez dans la poudre avec tout les mathers qu'elle connaissait, un pas après l'autre, pas vrai? Elle regardait Madison, qui ne devait pas se sentir très bien avec ses blessures, du moins en bougeant ça risquait pas de s'arranger, et ça Idylle ne le savait que trop bien. Elle lui sourit doucement quand elle lui répondit à quel point elle aimait bien le sport. La petite rose finit par tourner une grimace en disant.
«Le sport... C'est pas pour moi. Si t'as besoin de quoi que ce soit, je suis là pour t'aider dans toutes les matières que tu veux hein. »
Elle lui fit un clin d'oeil. Parce que, Idylle ne disait jamais ça à la légère, après tout elle avait une énorme mémoire, et elle faisait du tutorat. Elle savait de quoi elle parlait, et même si souvent elle serait inutiles dans les matières du style artistiques, le reste, qui ne dépendait pas du sport, elle pouvait très bien l'aider, et elle avait toujours tendance à vouloir aider les gens. Et ça l'a souvent perdue. Elle lui explique ce qu'elle faisait dans cet endroit, et son amie lui répondit qu'elle voudrait bien qu'elle la divertisse.. Sauf qu'elle ne savait pas vraiment comment passer le temps, à par jouer à des jeux. Oui incroyablement geek quand elle voulait. Elle reprit donc.
«Tu veux que je te fasse un spectacle de marionnettes, sans marionnettes? Ou alors... que je te bombarde de question sur les cabots? Oh oui tiens, racontes moi comment elles sont! Elles sont gentilles ou quoi? Parce que de ce que j'ai entendue ça a l'air d'être une confrérie de chasseuses d'hommes, c'est vrai ça? Hm ça expliques peut être pourquoi je suis jamais aller chez elles.. Je suis peut être pas assez... En chasse? »
Idylle, ou quand la bouche est relier a ses pensées, ça donne des choses un peu... étrange, mais ça peut être marrant de l'écouter dire n'importe quoi. Après tout, elle était un peu bizarre, autant de savoir dans sa tête, et elle finissait toujours par craquer pour le gars qui la violentait, ça prouvait bien que les connaissances ne font pas vraiment l'intelligence... ou alors, elle était sentimentalement handicapée... Oui ça devait être ça.



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Regardant son amie, la jeune blonde ne pouvait qu’admirer ses cheveux. Le rose se trouvait être sa couleur préférée et puis, c’était tout à fait sublime pour elle. Elle la trouvait tellement belle qu’elle pourrait presque en être jalouse. La regardant encore, elles continuaient de parler d’un peu de tout et de rien, et surtout de la couleur de ses cheveux. Si une fille osait faire la même couleur rose, son amie allait lui faire payer. Elle devait bien avouer que ça la ferrait bien marrer de la voir engueler une fille à cause de cheveux. La demoiselle s’amuserait sans s’interdire de filmer ça et de se la mettre en boucle dans son appartement, les jours où elle n’a pas le moral pour bien rire et se dire qu’il y a des situations vraiment fascinantes dans la vie. Et complètement folle.

IDYLLE – « Je lui ferais payer ce plagiat. Après tout le spectre lumineux visible a tellement de couleur, qu'elles peuvent prendre autres choses que le rose, non mais ! »

Riant doucement à sa remarque, la blonde s’imaginait tellement bien la scène qu’elle pourrait presque en venir à faire tout pour trouver une fille avec les cheveux roses pour voir ce qu’il se passerait. Méchante ? Non, juste curieuse voyons.

MADISSON – « J’ai hâte de voir ça, sérieux »

Gigotant un peu pour se redresser, elle se maudit d’avoir pris appui sur ses bras meurtris, serrant des dents pour ne pas crier de douleur. Non pas qu’elle soit douillette, mais elle ne s’était pas ratée, alors ça n’avait rien de superficiel.

IDYLLE – « Le sport... C'est pas pour moi. Si t'as besoin de quoi que ce soit, je suis là pour t'aider dans toutes les matières que tu veux hein » dit-elle avec un clin d’œil.

MADISSON – « Je ne dirais pas non … mais dis-moi les matières que tu gères bien »

Ne sachant pas ce qu’elle étudie, elle se voyait mal lui demander des matières comme la philosophie, la psychologie, ou les arts si elle n’y connaissait rien. Alors autant savoir dans quel domaine elle se sentait à l’aise.

IDYLLE – « Tu veux que je te fasse un spectacle de marionnettes, sans marionnettes? Ou alors... que je te bombarde de question sur les cabots ? Oh oui tiens, racontes moi comment elles sont ! Elles sont gentilles ou quoi ? Parce que de ce que j'ai entendue ça a l'air d'être une confrérie de chasseuses d'hommes, c'est vrai ça ? Hm ça expliques peut être pourquoi je suis jamais aller chez elles.. Je suis peut être pas assez... En chasse? »

Ecarquillant les yeux à tant de phrases, de questions … La demoiselle allongée explosait de rire. Son amie était vraiment unique. Sa façon de parler semblait si spontannée. Elle l’était sûrement, en fait.

MADISSON – « Pour le spectacle, je veux bien quand on sera désespéré de toute discussion, pourquoi pas. Pour les Cabots, elles sont gentilles, oui. Des chasseurs d’hommes ? Je ne trouve pas. Peut-être certaines mais il y en a comme moi qui sont juste amoureuse d’un seul garçon et qui … »

Se rendant compte de ses derniers mots, elle préférait se faire, ne pas finir sa phrase alors qu’une rougeur chauffait ses joues. Parler sans réfléchir, elle n’était pas très douée pour ça en fait. Se maudissant intérieurement, elle regardait ses mains, tout à coup plu intéressante que son amie, ses cheveux ou leur discussion. Non, vraiment, elle ne voulait pas parler d’Austin pour le moment, mais en lâchant ça à la demoiselle aux cheveux roses, elle savait que la grande discussion allait éclater et qu’il faudrait qu’elle réponde à ses dires. Soupirant doucement, elle jouait avec le drap pour cacher sa gêne évidente. Pourquoi avait-elle dit ça sans y réfléchir ? Si elle pouvait, elle se frapperait la tête contre le mur. Quelle idiote !
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Madison & Idylle

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Les situations cocasses, et même parfois complètement débiles, c'était Idylle tout ça. Pourquoi? Parce qu'elle était une espèce d'électron libre avec de l'énergie qui bougeait dans tout les sens, et parfois juste pour bouger. Elle était pas hyperactive certes, mais elle avait son lot de petite puce quand elle s'y mettait. Et là elle aimait bien discuter avec Madison. Madison c'était sa copine Cabot, un autre monde pour la petite Rose, parce que Idylle n'était pas vraiment ce qu'on pourrait dire "une fille normale". Déjà son lourd passée chargé était un peu encombrant mais en plus de ça, il y avait tout, son caractère et même sa façon d'être physiquement. C'était différent. Elle rigola à la répons de son amie. Voir un combat entre Idylle et une plagiaire pourrait être marrant, si Idylle savait se battre, chose que vu son passé était prouvé que ce n'était pas le cas. Ensuite elle lui avait proposé de l'aider pour n'importe quel matière a fin de la dispensé d'avoir une note correcte en sport, parce que Idylle tout était son dada à partir du moment où elle lisait un bouquin. Aussi elle lui répondit avec un énorme sourire.
«Toute les matières que tu veux, sauf les arts, et le sport. Parce que faut le dire, je suis nulle en dessin, en chant, en instrument. Vraiment presque pire que le sport. Faut dire que j'ai pas eut beaucoup le temps de me servir de l'instrument que mes parents m'avaient achetés quand j'étais petite...»
Idylle repensait à sa jeunesse, quand son père était encore là, qu'ils étaient une famille, que tout n'était pas devenu horrible, que tout avait garder sa joie de vivre et son innocence.  Croire en l'amour éternelle, à l'amitié pour la vie, a l'indestructibilité de ses parents... Quand tout avait encore un sens dans ce monde, que les gens qui nous aiment ne nous abandonnent pas, et qu'on est presque heureux sans se rendre compte de tout ce qu'on a... Jusqu'à ce jour où on le perd, sans être prévenue. Idylle chassait ses vilaines pensées assombrit par tous ses souvenirs d'un bonheur passé qui ne reviendront plus, en essayant d'égayer la journée morne de son amie Madison, bien qu'elle ne savait pas trop comment, et comme toujours elle parlait tellement qu'elle devait faire rire Madison de voir une pipelette pareille.  Elle se stoppa attendant des réponses, comme une gamine qui a finit de demander "pourquoi" toute les cinq secondes, et Madi lui donna tout ce qu'elle demandait, aussi elle avait plein d'autre chose à dire, et reprit un flot de paroles.
«Ah d'accord, parce qu'on m'a toujours dit que c'était en gros "les filles à marier"... Et vraiment ça se voit qu'elles et moi on a rien à voir. Elles ont l'air tellement parfaite, tellement sûre de ce qu'elles font, et de jamais se tromper quand elles choisissent. Pas comme moi. JE tombe toujours sur les cas sociaux. Je sais pas, doit y' avoir marquer "ASILE" sur mon crâne... Non? »
Elle s'approcha de Madison en lui montrant son front, comme pour être certain que y'avait pas une incitation qu'elle ne verrait pas, pour tout les mecs en mal d’âme à torturer. Et elle reprit deux seconde plus tard.
« Un gars? Quel gars! Je vuex tout savoir sur ce gars que Madison est dingue. Dis moi dis moi dis moi!!! »
Enthousiaste était un euphémisme quand on connaissait un peu Idylle. Elle était comme ça, toujours très expansive en paroles, ou en geste, et là elle était très curieuse du gars que Madison pouvait trouver à son goût, même si sûrement elles n'avaient pas les même contact, parce que Idylle ne connaissait que des gens de sa maison, ou alors...  trois quatre personnes en passant, sûrement pas le gars de Madison, tant mieux, comme ça elle ne dirait rien malgré elle, même si Idylle savait très bien garder un secret rien que pour elle, mais ça personne ne le savait vu qu'elle disait presque rien sur sa vie.

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HJ: Désolé pour le temps, j'ai perdu mon mot de passe en faisant du ménage sur mon navigateur, du coup... Je suis revenu la semaine dernière a peine xD
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que sport devienne torture.

Souvent, la jeune blonde entendait que ses relations n’avaient rien de saine. Alors qu’elle se trouvait dans la maison des Roses, elle avait une très bonne amie ici présente qui faisait parti d’une autre maison et son ancien meilleur ami et celui qu’elle aime se trouvait être dans la maison de la débauche. Sûrement que ses fréquentations ne plaisaient pas à tout le monde, mais il en avait toujours été ainsi. Depuis toute petite, ses parents lui rabâchaient que ce garçon avec qui elle traînait tout le temps n’étaient pas bon pour elle et qu’il l’entraînait dans les pires conneries possibles. Ce n’était absolument pas faux, mais à chaque fois qu’ils approchaient du « aller trop loin » il la protégeait et elle n’a jamais eu d’aussi gros problèmes que lui. Enfin, ce n’était pas le sujet. Pour le moment, elle souriait du rire de son amie vis-à-vis de sa proposition à l’aider à s’en prendre à une fille qui oserait se colorer les cheveux. La conversation se détourna vers les matières où Idylle pourrait l’aider. Apparemment, elles avaient beaucoup de points communs !

IDYLLE – « Toute les matières que tu veux, sauf les arts, et le sport. Parce que faut le dire, je suis nulle en dessin, en chant, en instrument. Vraiment presque pire que le sport. Faut dire que j'ai pas eut beaucoup le temps de me servir de l'instrument que mes parents m'avaient achetés quand j'étais petite... »

MADISSON – « Les matières dont j’ai horreur, dommage » ria-elle. « On a énormément de points communs finalement. Je n’ai jamais essayé de jouer d’un instrument, même si j’adore la musique »

Les instruments ne l’avaient jamais attirés et elle avait toujours réussi à faire sans. Bien entendu, elle restait toujours en adoration devant les grands joueurs que ce soit des groupes de rock ou ceux de grands conservatoires. Par la suite, elles parlèrent des Cabots. Non pas qu’elle n’aimait pas parler de ses amies dans sa maison, mais disons qu’elle avait fait une bourde et qu’elle savait pertinemment que son amie allait la relever. Ce qui au final la mettrait très mal à l’aise.

IDYLLE – « Ah d'accord, parce qu'on m'a toujours dit que c'était en gros "les filles à marier"... Et vraiment ça se voit qu'elles et moi on a rien à voir. Elles ont l'air tellement parfaite, tellement sûre de ce qu'elles font, et de jamais se tromper quand elles choisissent. Pas comme moi. JE tombe toujours sur les cas sociaux. Je sais pas, doit y' avoir marquer "ASILE" sur mon crâne... Non ? »

MADISSON – « Je ne pense pas qu’elles veuillent se marier … La plupart sont plus concentrés sur les études, et les garçons arrivent en seconde position » Un petit rire lui échappa. « Parce que j’ai l’air parfaite, tu trouves ? J’attire aussi les cas sos alors on ira ensemble à l’asile, ok ? »

Evidemment, elle ne voyait rien d’écrit sur le front de son amie et continua à rire. Malheureusement, elle se calma très vite et rougit de plus belle. Parler d’Austin n’avait jamais été son fort. Le jugement constant des autres l’horripilait tellement. A chaque fois qu’elle en parlait, c’était la même chose : « Oublie-le », « Ce n’est qu’un con qui ne te mérite pas », « Tu vaux tellement mieux que ça ! » Sauf que même si elle essayait de ne plus penser à lui, de savoir que c’est un con et qu’une autre personne pourrait la mérité, elle n’arrivait pas à passer à autre chose. Il pouvait lui faire milles et unes crasses qu’elle n’arrivait pas à se séparer de lui. Ah l’amour ...

IDYLLE – « Un gars ? Quel gars ! Je veux tout savoir sur ce gars que Madison est dingue. Dis moi dis moi dis moi !!!»

MADISSON – « C’est rien d’exceptionnel … Il s’apelle Austin et il est dans la Mather House »

Oui, elle pourrait en parler des heures, mais faire une bref synthèse était mieux. En même temps, elle savait que la jeune fille aux cheveux roses ne la jugerait pas, mais elle n’avait pas envie d’élargir la discussion. Elles n’avaient certes que ça à faire ici, mais peut-être que son amie trouverait ça ennuyeux. Elle aurait bien aimé qu’elle l’aide à trouver une vraie solution, qu’elle la comprenne, mais elle n’osait pas se lâcher et tout lui raconter. Long, fastidieux, ennuyeux, une vraie impasse. La blonde avait l’air d’une têtue sans intelligence à s’accrocher autant à un garçon, mais lorsque l’on a cette impression que c’est la bonne personne, la personne qui fera toujours battre notre cœur, on ne peut pas s’en défaire, même s’il n’y a aucune réciprocité dans les sentiments. On a l’air de la personne la plus conne au monde, mais l’amour, personne ne le contrôle. Absolument personne. On tombe dedans et on doit accepter les avantages, mais surtout les contraintes que cela entraîne.

HJ : Pas de soucis, je comprends ♥
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Madison & Idylle

© Kaiji

Idylle avait toujours été une petite fille correcte venant d'une famille aisée, rien à redire sur rien, seulement il y'a des moment dans la vie où tout bascule, et on démasque la vérité, et quand nous ne sommes pas prêt à la voir ,ça peut faire très mal, comme ça avait influencer Idylle sur bien des années. Elle était toujours la fille à sa maman d'un côté, elle semblait si parfaite si douce, et très gentille avec ses amies, et son bout de chou, mais Idylle était comme la vie, elle avait deux facettes, celles qu'on veut, et celle qu'elle a vraiment. Et pas toujours les mêmes si voyez ce que je veux dire. Le fait est qu'avec les gens comme Madison, Idylle se fichait complètement de la maison, parce que Madison était une gentille fille, sûrement beaucoup plus qu'Idylle ne le serait jamais, mais c'était toujours bien d'avoir des amis pire que soit pour qu'ils nous protègent, et dans le cas d'Idylle, Madi lui apportait quelques choses qui lui avait cruellement manqué pendant son adolescence : une vraie amie. Avec elle, Idylle ressemblerait presque à une vrai fille. Presque. Le rire de Madison était communicatif à la rose, et même si Dydylle ne rigolait pas, elle affichait un grand sourire avant de lui répondre.
«Je crois que j'aurais aimé jouer avec cet instrument. Peut être que j'aurais pu devenir bonne au violon... »
Idylle pensait un peu à son passé, si son père n'était pas mort, si elle n'avait jamais découvert à quel point son petit ami et sa meilleure amie s'étaient foutu d'elle... Peut être qu'elle aurait été une fille adorable, et un peu rêveuse, juste presque normale, voir peut être un peu renfermé. Un seul événement peu tout changé à jamais. L'humeur de Dydylle la rose était un peu pensif et morose, sûrement parce que la fin d'année approchait et qu'elle n’appréciait jamais vraiment ça. Elle écoutait soigneusement son amie, lui décrire les cabots, et la petite rose finit par se dire que finalement, elle aurait pu faire partie de ces filles, même si elle avait cet impression qu'un monde se dressait entre elle et ces filles là. Elle souriait toujours à son amie lui répondant seulement.
«Des gens normaux. C'est étrange ce que tu dis... Franchement, oui. Parce qu'il y a des cas sociaux et... ceux sur qui je tombe qui ont vraiment des soucis avec la vie. »
Idylle était un peu spéciale, enfin comme toujours. Pas totalement lunatique, mais toujours en train d'essayer de comprendre les autres, et comment ça se faisait qu'elle se sentait par moment si loin d'eux. Parce qu'on a beau dire qu'on est très bien seul, la vérité est tout autre, un moment ça va, mais quand ça dure, ça devient triste, et Idylle se sentait dans cette phase, où le côté sympathique était un peu passé, et qu'elle avait besoin de relation humaines pour se sentir mieux. Heureusement que Madison était là pour être son amie, et être connecté à elle un petit moment. Elles finirent par parler d'un garçon, apparemment il s'appelait Austin, et ça embarrassait son amie. Idylle réfléchissait, mais, même mather, elle ne semblait pas le connaitre. Elle ajouta alors.
«Il est beau? Il est blond? Il est gentil? Parce que sinon je lui ferait avaler ses dents... Enfin du moins je pourrais toujours essayé. »
Idylle se mit à rire énormément. Parce qu'elle n'avait pas vraiment assez de force pour taper un mec, surtout un mather, et de toute façon en général, elle était de l'autre côté des coups. La vie est compliqué quand on est un peu en dehors du moule comme la petite rose. Elle était contente que Madison soit amoureuse de quelqu'un, et quelque part en elle, la jalousait presque d'être amoureuse, que ce soit réciproque ou non d'ailleurs. Parce que la petite rose finissait par se demander si elle n'avait pas finit par avoir un coeur de pierre à force de tomber sur des brutes épaisses, la rendant imperméable au "vrai amour" et aux gens surtout... Quand on est blonde et qu'on se plante constamment ça refroidit un peu trop. Aussi elle reprit.
«Je veux tout savoir! Parce que je le connais pas celui-là! »

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