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La situation était des plus critiques, et Duncan, qui devait certainement être encore au comptoir à l'heure qu'il était, n'allait certainement pas venir lui sauver la mise. Eugene allait devoir faire face à une triste réalité: on ne pouvait vivre une vie sans prendre un coup, ou deux. Il allait pouvoir se vanter d'avoir créer une baston au club gay du coin, ça, c'était sûr ! Alors qu'il ferma la yeux, il entendit soudainement le plus magnifique des fracas, ainsi que le plus beau des sons: celui de la libération. Le fracas d'un poing sur un gars. En rouvrant ses paupières, le garçon eut la satisfaction de voir que la bromance qui unie les garçons de la Mather House demeurait intacte. Ce n'était pas dans les autres maisons qu'on pourrait se vanter d'une telle loyauté, nan ? Duncan le ninja avait déjà déblayé le chemin, il ne resta qu'à Eugene de sortir de ce pétrin. Et surtout, d'aider son camarade, qui sur ce coup-là, aurait vraiment pu faire le salaud.
La bagarre n'était pas le fort de l'allemand, ce dernier se décida néanmoins à briser tous les stéréotypes: un gay, même extravagant, pouvait se battre. Il se saisit d'un tabouret par les pieds et l'éclata contre le ventre d'un des assaillants. Evidemment, le tabouret perdit un pied, rendant l'arme moins bonne à manier. Eugene décida alors de jouer le tout pour le tout et il se jeta sur le dos de son ennemi, lui frappant le visage alors qu'il virevoltait dans toutes les directions, mais sans jamais lâcher prise. Du vrai rodéo. Il attaque ensuite les yeux de son adversaire en lui mettant les doigts dedans. technique efficace bien que ridicule car il n'en fallu que trois pour mettre à genoux ce vaurien. Gégène n'eut plus qu'à lui assainir un dernier coup de tabouret dans la nuque. Finalement, si, on pouvait vivre sans se prendre une manchette. Fier de lui, il se tourna vers Duncan afin de rétorquer à sa menace, mais déjà, la situation empira. Les vigiles arrivèrent par dizaine, prirent Eugene et Duncan, et les expédièrent aussitôt dehors. C'est ça, occupez-vous des blessés ! scandait l'allemand, le sourire aux lèvres. Dehors, il reprit son souffle, les poings sur les hanches et recouvra ses esprits. Il se mit ensuite à rire à gorge déployée. Mon dieu, c'était une bonne soirée ça nan ?.
La bagarre n'était pas le fort de l'allemand, ce dernier se décida néanmoins à briser tous les stéréotypes: un gay, même extravagant, pouvait se battre. Il se saisit d'un tabouret par les pieds et l'éclata contre le ventre d'un des assaillants. Evidemment, le tabouret perdit un pied, rendant l'arme moins bonne à manier. Eugene décida alors de jouer le tout pour le tout et il se jeta sur le dos de son ennemi, lui frappant le visage alors qu'il virevoltait dans toutes les directions, mais sans jamais lâcher prise. Du vrai rodéo. Il attaque ensuite les yeux de son adversaire en lui mettant les doigts dedans. technique efficace bien que ridicule car il n'en fallu que trois pour mettre à genoux ce vaurien. Gégène n'eut plus qu'à lui assainir un dernier coup de tabouret dans la nuque. Finalement, si, on pouvait vivre sans se prendre une manchette. Fier de lui, il se tourna vers Duncan afin de rétorquer à sa menace, mais déjà, la situation empira. Les vigiles arrivèrent par dizaine, prirent Eugene et Duncan, et les expédièrent aussitôt dehors. C'est ça, occupez-vous des blessés ! scandait l'allemand, le sourire aux lèvres. Dehors, il reprit son souffle, les poings sur les hanches et recouvra ses esprits. Il se mit ensuite à rire à gorge déployée. Mon dieu, c'était une bonne soirée ça nan ?.
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