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Comme un poisson dans l'eau; ft Duncan

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Croyez-le ou non, mais être gay dans la Mather House, ce n'est pas facile tous les jours. On voit ses amis hétéros se bichonner dans tous les petits coins, on dort souvent la tête entre les oreillers car les filles aiment faire des vocalises, et surtout on se fait charrier par des petits plaisantins, qu'au fond on apprécie. Il n'y a qu'une chose qu'un gay puisse attendre dans la Mather House: un moyen de se venger. Associer alors, Eugene et vengeance, et vous obtiendrez un cocktail des plus explosifs ! Ce matin-là, le jeune allemand s'était levé avec l'idée du siècle, une blague si énorme que Duncan aurait du mal à s'en remettre. Le gentil garçon pensait que le temps de la bataille était loin, certainement puisqu'Eugene fut plus occupée à courir les boutiques avec Lily plutôt qu'à préparer un énième mauvais coup. Dante hors de la circulation, ne pouvant donc plus interférer dans les petites chamailleries des deux camarades bizuts, il était grand temps d'entamer la phase finale. Celle où Eugene serait évidemment couronner grand vainqueur.

Il avait pris son temps à tout préparer dans les moindres détails, déjà au petit déjeuner il avait travaillé Duncan. « Mec, j'ai une amie qui fait une soirée à son club de strip-tease, ça te tente ? » avait alors proposé l'étudiant en neurosciences. Comme tout bon petit Mather, Duncan n'avait pu refusé pareille invitation, et peut-être parce qu'il pensait comme un Mather, et donc avec son foi et son entrejambe, il n'avait pas déceler le moindre piège venant de la part de Gégène. C'était parfait, il avait alors suffit d'envoyer quelques textos durant la journée afin de rappeler leur rendez-vous du soir, et tout était réglé. Eugene donna l'adresse sans hésiter. The Boylesque. Un nom sans contre-sens: les mecs étaient les héros de cette boîte. Ils l'étaient oui, mais pas parce qu'ils regardaient de jolies jeunes filles .. Ça nan. Mais parce qu'il s'agissait 'une boîte gay, c'était aussi simple que cela.

Il était déjà 23h quand Eugene descendit de son taxi, habillé d'un magnifique débardeur à rayures bleues et noires, ne coûtant pas une fortune donc, mais qui avait l'avantage de montrer ses minces abdos au monde entier. Le dress code n'avait rien de chic ce soir, le thème de la soirée étant la débauche. Eugene avait évidemment prévenu son partenaire de crime, afin qu'il ne se fasse pas recaler. Fausse carte d'identité en main, joint de l'autre, le jeune allemand attendit patiemment son compère tout en matant les beaux garçons qui s'alignaient dans la rue. Ils y en avaient pour tous les goûts. Sûr que Duncan allait apprécier sa soirée !
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Comme un poisson dans l'eau

Mes passe-temps favoris ? Victimiser les Eliots, draguer et coucher à droite à gauche, mais aussi de taquiner mes proches, mes amis, faire mon chiant en somme. Et j'avais un adversaire de taille dans ce domaine, Eugene. Nous étions amis, mais nous perdions jamais une seule seconde pour mener la vie dure à l'autre. Dernièrement c'était plutôt calme, peut-être l'effet de la rentrée, j'étais un peu trop occupé avec mes problèmes familiaux et lui à faire du shopping, oui j'admets qu'il avait des passions étranges, mais je l'aimais bien ce petit con. Ce matin en me levant, la première chose que je constatais en allumant mon joint du matin, c'est que j'étais seul dans la chambre. Ou est-ce qu'il était à cette heure-ci ? Bon ok, je me suis levé relativement tard, je n'avais pas cours ce matin, mais c'était tout de même étrange de ne pas avoir Eugene dans les pattes dès le matin.

C'est seulement quelques minutes après mon réveille que je vis un SMS sur mon portable. Eugene, je me disais bien que c'était trop beau pour être vrai, mais contre toute attente, une belle surprise m'attendait en lisant ce texto. Mec, j'ai une amie qui fait une soirée à son club de strip-tease, ça te tente ? Ni une ni deux, je lui répondis que tout était parfait pour ma part. Cependant une question me trottait dans la tête, pourquoi irait-il voir des filles sexy se dévêtirent ? Il était gay. Ça ne m'avait jamais dérangé, du moment qu'il ne me forçait pas à le regarder tripoter ses conquêtes. Mais qu'importe, je n'allais pas manquer la chance de voir des femmes sexys se trémousser contre une barre en métal, mes yeux et mon anatomie ne demandaient que ça. Je reçus l'adresse de ce club ainsi que son nom, the Boylesque. Probablement un nom faisant référence aux bonheurs que les hommes prennent à voir les femmes se trémousser devant eux. Du moins c'est ce que je pensais sur l'instant.

Le thème de la soirée était la débauche, du moins c'est ce que m'avait expliqué mon ami dans son SMS. Me voilà alors sur les lieux, vêtu d'un t-shirt blanc et d'un jean, ouais je ne me tracassais jamais pour m'habiller quand je sortais en boite ou en club. Me voici alors sur les lieux, je voyais Eugene au loin, sans regarder autour de moi je pris la parole assez fort, le sourire aux lèvres. Tu as enfin craqué au pouvoir obscur des mamelons? Disais-je en rigolant. Je m'approchais d'Eugene, lui serrant la main, content qu'il ait enfin eu une bonne idée. Mais rapidement, je vis autour de moi de nombreux hommes, tous plus ou moins collés aux autres, c'est quoi ces conneries ? Illico je me tournais vers Gégène, le regard étrange. Elles sont où les meufs? Fis-je le regard sceptique .. Je commençais à comprendre petit à petit la supercherie, il n'a tout de même pas osé ?

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En savourant son précieux joint, Eugene s'imaginait déjà la tête de son ami lorsqu'il allait arriver, d'ici quelques minutes. Leur bataille avait toujours été subtile, même si le plus souvent  on pouvait la qualifier de "barbare", mais avec ce coup-ci, Gégène était persuadé de remporter la partie haut la main. Toutes les pièces étaient réunies pour faire passer une soirée mémorable, car horrible, à Duncan. Pour un chaud lapin hétéro comme lui, se retrouver dans une salle bondée de garçons, plutôt en rûte, relèverait de l'Enfer. Et pas sûr qu'Eugene viendra à son secours lorsqu'il se fera accoster par quelques drag queens ou de bons gros moustachus. Une voix s'éleva derrière lui. Instinctivement le jeune allemand tourna la tête et un sourire amical se posa sur son visage, pas toujours si angélique, lorsqu'il vit son pote arriver.

Déjà, Eugene ricanait dans sa moustache. Qu'est-ce que cela allait être une fois entré dans la boîte ? Le fils à papa ne nota pas cette phrase, mais la suivante le fit encore plus frémir d'impatience. « Les filles ? Elles sont à l'intérieur ! Elles arrivent en avance, sinon t'imagines les gars dans la file entrain de les reluquer avant même qu'elles n'entrent ? » mentit Eugene, en guise d'explications. Il était doué pour ça, c'était comme une seconde nature chez lui. Il nota quand même le regard que jeta Duncan aux autres conviés de la soirée. Fallait se dépêcher. « Allez, viens, on n'a pas à faire la queue nous, mon père connait le patron » le pressa-t-il, en l'amenant déjà devant les vigiles, qui ne demandèrent même as les cartes d'identités. Eugene les avait payés, pas moyen que son père connaisse le patron du bar gay de Boston, vu ses tendances homophobes. Une fois l'entrée achetée, le suspense était à son comble: il n'y avait plus qu'un rideau qui cachait la véritable ampleur de la soirée. Un rideau, et tous les espoirs que se faisaient Duncan pour cette soirée allait partir en fumée.

La tension régnait, et alors que Duncan payait sa place, Eugene se glissa discrètement derrière le rideau, s'éclipsant alors du petit hall. Fallait s'assurer que Duncan ne déserte pas, et une fois de plus, l'argent allait être son plus précieux allié. Sans hésiter, le jeune homme monta sur la scène, interrompit la danse survoltée de ce travesti Thaïlandais. Il n'avait suffit que d'agiter un billet de cent dollars pour qu'à la fois les vigiles présents dans l'enceinte de la boîte et l'homme déguisé en femme ne cèdent à sa requête: « J'veux que tu prennes le prochain garçon qui passera le rideau, que tu le poses sur une chaise au milieu de la boîte e que tu lui fasses une danse muy caliente, capish Cendrillon ? ». Eugene était fier de son coup, voilà comment garder Duncan dans cet endroit qu'il maudira jusqu'au restant de ses jours. Voilà comment Eugene allait abattre sa plus belle carte.
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Ce soir je pensais vraiment que cette soirée serait une sorte de trêve entre Eugene et moi. Il faut avouer qu'on n'est pas tendre l'un envers l'autre, l'amitié vache ? Probablement. Quand nous ne sommes pas occupés à mener la vie dure aux Eliots, nous nous chamaillons comme des vrais gamins, enfin comme des gamins en quelque sorte, pas certains que des enfants de cet âge fassent des conneries comme nous en faisons. En recevant cette invitation de la part d'Eugene, je pensais vraiment m'éclater et pourquoi pas faire monter au rideau deux ou trois minettes pendant que l'allemand ferait mumuse avec le barman homo de la soirée. Mais je m'étais mis le doigt dans l’œil, même si pour l'instant, je ne me doutais absolument pas de ce que m'avait réservé le jeune homme. Me voilà sur les lieux, mon regard se posait de suite sur le manque de femme autour de nous.

Mais Eugene trouva les mots pour me faire patienter, c'est vrai que généralement dans ce genre de soirée les femmes toutes plus sexy les unes que les autres arrivent avant nous, mâles dominants. Je donnais une claque amicale dans le dos de mon collègue mather. Ok ok .. En tout cas quoi une fois dedans, je leur saute dessous tel un fauve pour leur donner la plus belle soirée de leur vie. En effet, pour moi c'était hors de question de ne pas chopper ce soir, dans une telle soirée. J'avais même préparé les préservatifs dans ma poche, oui de nos jours mieux faut être prudent. J'en ai perdu des coups d'un soir à cause d'un oubli de capote et je n'avais pas l'intention de mettre l'une de ces femmes en cloque ce soir. Ni une ni deux Eugene nous fit amené jusqu'aux vigiles, apparemment ils connaissaient son paternel et ben pourquoi pas ? L'air totalement confiant je m'avançais à mon tour, regardant Eugene passer le rideau avant moi. Une fois les vigiles derrières moi, je passais ce fameux rideau avec un large sourire sur les lèvres.

Je savais que j'avais un charme fou, mais pas à ce point-là. En effet dès mon corps entré dans la pièce, une jeune femme m'attrapait par le col pour m'amener un peu plus loin, je ne voyais pas son visage, à vrai dire je ne voyais pas grand-chose de cette personne. En passant à côté d'Eugene qui souriait, je lui répondais en me marrant. Oh oh !! Elle commence bien cette soirée, pour une fois que tu as une bonne idée toi. D'un seul coup la jeune femme me plaqua contre une chaise avant de se placer doucement derrière moi, je n'ai pas encore eu la chance de voir son visage, seulement son dos. Elle plaçait doucement ses mains sur mon torse, mon sourire toujours visible sur mes lèvres. Montre moi ton joli minois ma belle. C'est à cet instant que j'ai pu dire la plus grosse connerie de ma vie. Cette personne tournait alors autour de la chaise, se mettant devant moi. Putain, c'est un mec. De suite mon sourire s'effaça, je tournai la tête vers Eugene en gueulant comme un beau diable. Je voulais me lever mais l'homme me poussa violemment contre ma chaise avant de s'asseoir sur moi et de se frotter contre moi .. Putain c'est quoi ces conneries ?! Eugene .. Espèce d'enfoiré ! Vire ce type de mes genoux ! Bordel je te jure que tu vas le regretter.

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C'était avec un certain plaisir non déguisé qu'Eugene décortiqua la moindre minute que Duncan passait dans ce grand bordel. D'abord tout excité à l'idée de toucher de la femme, puis encore plus excité quand cette femme se posa sur lui, complètement hystérique en découvrant qu'il s'agissait d'un mec. Gégène aurait pu être encore plus vache et filmer toute cette séquence avec son portable. Duncanl aura une bonne raison pour le remercier finalement. Le jeune allemand se délecta de cette scène, le brun qui essayait de s'échapper de l'étreinte de ce travesti, sans succès apparent. La pitié le gagna finalement et c'est avec un grand sourire qu'Eugene congédia le strip-teaseur aux formes féminines.« Allez, c'est bon, tu peux te tirer Régine, il rentrera pas avec toi cette nuit » lança le garçon en prenant le travelo parla perruque, faisant d'ailleurs tombée cette dernière sur les pieds de son camarade  Mather. Encore une occasion pour rire à gorge déployée !

Une fois Duncan secouru, le jeune scientifique s'approcha de lui, ramassant la perruque et lui tendit, comme pour lui rendre ce qui lui appartenait visiblement de droit. «  T'as du lui faire rétrécir son string, tu devrais garder ça en souvenir » fit-il, toujours aussi amusé de la situation. Il n'y avait pas à être devin pour savoir que Duncan ne voudrait jamais de cette chose, alors Eugene la jeta sur le côté et tandis une main bienfaisante à son pote. Il fallait maintenant le remettre de ses émotions, car il avait failli quitter ce monde ce soir-même ! Rien de tel qu'un bon verre pour faire digérer tout ça. «  Viens, je te paye un verre et je te jure que je ferai barrage à toutes les autres folles de la boîte. Par contre, tu te débrouilles avec les Papa Bears, je ne serai pas de taille ! » ricana de plus bel Eugene en se dirigeant déjà vers le comptoir. Duncan allait lui en vouloir, c'était certain. Le gosse de riche ne pourrait jamais autant se satisfaire des réactions de quelqu'un en ce moment-même, cette soirée serait certainement inoubliables pour Duncan, Eugene et ce pauvre garçon qui faisait son job !
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Je connaissais bien Eugene depuis tout ce temps, je savais de quoi cette petite enflure était capable de faire, mais jamais je n'aurais imaginé qu'il soit capable de faire une chose aussi petite que ça. M'amener dans un club gay en me faisant croire le contraire, il m'avait bien pris pour un jambon sur ce coup. J'espère qu'il sait dormir d'une seule oreille parce qu'à partir de maintenant je n'aurais plus aucune pitié pour l'allemand. Il se décida ensuite de virer ce mec de mes genoux. Je me relevais alors de ma chaise en remettant correctement mon t-shirt avant de m'avancer vers lui en le bousculant violemment mais pas trop non plus, c'est un con, mais c'est mon pote. Je te jure que tu vas le payer enfoiré ! Attends toi au pire. Et franchement Régine ? Il pouvait pas se faire appeler Vanille, Caprica ou un nom de viennoiserie ? Non mais Régine quoi .. Lorsque le travesti passa à côté de nous, Eugene lui attrapa sa perruque pour la faire tomber à mes pieds, qu'il rigole. Demain sera un autre jour. Mais visiblement il n'avait aucune envie de se faire pardonner puisqu'il me tendit la perruque en me lançant l'une de ses blagues au visage. Tu peux te la mettre où je pense. Disais-je sur un ton agacé et colérique avant qu'il ne lâche la moumoute par terre tout en me traînant vers le bar. J'esquivais les mains baladeuses des types qui mourraient d'envie de croquer le désir écossais en suivant mon collègue jusqu'au bar. Au moins personne ne viendra me faire chier, du moins j'espère. Je m'étais alors assis au comptoir en attendant qu'Eugene me paye mon verre, faut pas déconner non plus je n'allais pas payer ma part alors qu'il m'a traîné de force ici. Une vodka. Lui fis-je sans un sourire. Je me penchais ensuite vers lui l'air interrogateur. T'es un sacré petit con. Et pourquoi moi ? T'avais personne d'autre à faire chier peut-être ? Je sais pas, t'aurais pu amener un eliot le prendre en vidéo et lui faire du chantage. Mais non tu as préféré me flinguer ma soirée ? Lui fis-je savoir en tirant la gueule. C'est alors qu'un mec torse nu venu s'asseoir à côté de moi, passant sa main sur ma cuisse. Je regardais rapidement sa main avant de me tourner vers Eugene en râlant. Dis à ton pote de me lâcher ou crois-moi je lui pète ses dents.

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Bien que ravi de sa bêtise, Gégène n'en perdait pas pour autant ses bonnes vieilles habitudes. C'était simple: il se trouvait dans une boîte gay, où devaient certainement se loger des spécimens tout à fait à son goût en ces différentes travesties et papas ours. En attendant la préparation de la vodka de son pote, et de son cocktail au nom que lui seul pouvait prononcer correctement, le garçon balayait très rapidement la grande salle, voir un peu qui pourrait être susceptible d lui repayer un verre dans la soirée. Elle avait peut-être mal commencé pour Duncan, le jeune Venteiheimer n'allait pas se priver d'une occasion pour se dégoter le garçon de la semaine. Il écouta en même temps les souffrances de son ami, avec un large sourire non dissimulé. « Pourquoi toi ? Car il me semble qu'on est aussi en guerre et qu'on l'a trop vite oublié. Je m'ennuie à la Mather quand tu me fais pas chier, ou plutôt, je m'ennuie quand je ne te fais pas chier » expliqua l'allemand, en tournant le visage vers son interlocuteur, adoptant une mine des plus sages, comme pour l'attendrir. Il se mit à rire de plus bel: « En tout cas, tu l'avais pas vu venir celle-là. Et estime toi heureux, j'aurai pu moi-même faire monter José dans ton pantalon » ricana-t-il , s'imaginant déjà ce qu'aurait pu donner cette scène. Duncan, en repensant à cela, devait vraiment se dire qu'il avait manqué le pire .. sauf s'il aurait préféré, vu que Gégène en a bien retourné plus d'un d'hétéros !

Les cinq bonnes minutes de discussions gentillettes finies, le garçon se remit à la recherche d'un garçon, mais encore Duncan venait le déranger. Après tout, fallait assumer maintenant, il l'avait amené ici, et il fallait avouer que les chances qu'il s'amuse étaient inexistantes. « Duncan, j'ai pas de potes ici, tu crois vraiment que je traînerais avec une Régine ou un gars à moitié à poil dans n espace public. Tu m'offenses là, j'ai du goût dans mes fréquentations ! » Ceci dit, le garçon, après avoir enfilé son cocktail d'une traite, se décida à sauver, une fois de plus, son pote mathérien. « Dis-donc, tu vois pas qu'il est déjà accompagné ! On a déjà du mal à se retrouver dans le même lit, c'est pas pour qu'un demeuré exhibitionniste et à moitié maso comme toi s'y invite en plus ! » Le franc parlé, et surtout la méchanceté d'Eugene n'avaient pas été inventé d'un rien. Ce garçon était diabolique et il se fichait éperdument de blesser ou non ses adversaires. En règle général, cela se terminait ainsi. L'autre avait honte et se retirait. Mais jamais, au grand jamais, il n'avait ramené un autre grand balèze pour prendre sa défense. Le grand musclé, tête rasée, aux tatouages tribales parfaitement visibles n'avait pas l'air commode. Et pour cause. « C'est vous les connards qui avez insulté mon pote ? » dit-il agressivement, portant son regard sur les deux compères de la maison verte. Il se rapprocha doucement de Duncan, et lui fit tout bas « Bon, j't'ai sauvé de l'autre, à toi de me sauver de celui-là ». Qui avait dit déjà que la soirée allait être monotone ?
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Ce qui m'énervait d'autant plus, c'est qu'il en avait carrément rien à secouer de mon problème, qu'est-ce que je foutais ici franchement ? Il en avait rien à faire, préférant chercher sa proie du regard, mouais je pouvais pas en faire autant, pas une seule femme dans cette boite et quand je parle de femme, je parle bien évidemment d'une jolie demoiselle avec ce que je n'ai pas à mon entrejambe. Je ne suis absolument pas homophobe, sinon je n'aurais jamais accepté de traîner avec ce crétin qui me sert de pote et de coloc, mais c'est pas pour autant que ça me tentait de danser du zouk avec un mec qui n'a qu'une envie, faire de mon cul son quatre heures. Ses explications me rendaient fou, j'en croyais pas mes oreilles. Quand je suis en guerre avec lui généralement ça m'amuse, mais ce soir c'était bien différent, suffisait de voir l'endroit pour me comprendre. Et donc t'as rien trouvé de mieux que de m'emmener ici ? J'espère que t'es conscient qu'en sortant d'ici, tu vas passer le reste de l'année à souffrir, espèce d'enflure. Lui lançais-je nonchalamment, sur les nerfs. Puis il se remit à rire, mon dieu que mon poing ne demandait qu'à atterrir sur son visage, mais pour une raison que j'ignore, ce mec reste mon pote. Ne t'avise jamais de me toucher, que ce soit ce soir ou en pleine nuit à la mather house, sinon je peux te jurer que tu risquerais de ne jamais pouvoir revenir ici tellement ta gueule ferait fuir la clientèle. Ouais c'était pas très malin ce que je disais, mais j'étais bien trop énervé pour parler de manière éloquente et intelligente. Et franchement il pouvait rêver, j'aimais trop les petites nanas chaudes comme la braise pour changer de bord.

Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire maintenant ? Je pense pas qu'Eugene me laisserait partir aussi facilement et je doute qu'une âme charitable arrive pour me sauver de cet endroit. Il continua à me parler de ses goûts pour les mecs. Je ne répondais même pas tellement j'étais sur les nerfs, préférant m'enfiler mon verre d'une traite. C'est alors qu'un mec bizarre est venu m'accoster, bon heureusement que mon collègue dans le crime ait eu l'amabilité de s'en débarrasser. Mais voilà qu'un mec vachement balèze s'approche de nous, visiblement l'autre mec c'était son pote. Eugene me demanda alors de l'aider cette fois-ci. Je tournai doucement mon visage vers lui, affichant un sourire sadique. On se connaît? Déclarais-je l'air faussement surpris en m'adressant à mon coloc. Puis je me retournais vers la menace du moment, l'air désolé. Je suis désolé pour votre ami, mais j'étais tranquillement en train de boire mon verre que cet individu à mes côtés s'est fait passer pour mon ami, hors je ne le connais pas. Et j'avoue que sa façon de parler à votre pote .. ça m'aurait pas plus. En effet l'heure de la vengeance avait sonné, je m'éloignais doucement d'Eugene en le tapotant sur l'épaule l'air moqueur pour m'asseoir un petit peu plus loin pour laisser ces deux zigotos en tête-à-tête.

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Le salaud. Mais quel salaud ! Faire genre qu'il ne connaissait pas Eugene devant l'autre grand musclor. Eugene lui donnait l'occasion parfaite de se battre, de se défouler de ce mauvais tour, mais nan, Duncan avait décidé de jouer au malin et de laisser l'allemand se défaire seul de la situation. On ne pouvait blâmer personne, le Mather avait réclamé l'ouverture des hostilités à nouveau, il est normal que son pote marche dans cette direction. Un sourire vint se figer sur le visage du jeune gosse de riche, afin d'essayer d'amadouer à la fois le gros costaud et aussi son camarade. Il fallait paraître détendu, parfaitement détendu, sinan, la gifle, ou plutôt le poing, il allait se le recevoir. D'abord prédisposé à vouloir utiliser sa bouche démoniaque afin de dissuader son adversaire, le garçon y repensa et se dit que de toute évidence cela ne marcherait pas. Ce genre de mecs sont débiles au plus haut point, pour ça qu'en général on ne les utilise que pour le sexe et non autre chose. Evidemment, là tout de suite, la technique de drague serait vaine, vu comment il était remonté. Inutile de compter sur Duncan ici. Pas tant qu'il ferait copain copain avec le fouteur de troubles. Bon, on va y réfléchir à tête reposée, veux-tu ? proposa alors le jeune homme en posant une main compatissante sur la grande épaule du gaillard. Mais à la tête de ce dernier, l'idée ne semblait pas très bonne.

Dans la merde ouais. Duncan devait être aux anges à l'heure qu'il était, mater le gars qui voulait gâcher sa soirée entrain de justement l'améliorer en se gâchant la sienne, entrain de se délecter d'un verre qu'Eugene avait gentiment proposé de lui payer afin de le remercier d'être venu se faire salir. Mais l'heure restait grave. Puis l jeune neurologue en herbe se souvint d'un détail: ils étaient en guerre. Et pour arriver à faire la paix, il fallait en général un ennemi commun. Du tac au tac, le Mather reprit son attitude de biatch et lança au grand gaillard un FILS DE PUTE qui aurait fait saigné les oreilles au Pape lui-même. Comme prévu, la fureur put se lire dans les yeux de l'homme, et son visage dénota toutes les étapes de la crise de nerfs. Ni une, ni deux, il voulut lancer son poing dans la gueule à Eugene, un point qu'il évita et qui vint rencontrer le menton de Duncan. Eugene se releva dès lors et attrapa la tête de l'homme pour essayer de la cogner sur le comptoir. L'intention était bonne, mais manque de force, il fut arrêté à mi-chemin, puis se fit propulsé à quelques mètres de là par un solide coup de bras. Eugene prit place derrière une table, fixant son adversaire, fier de lui. Mais sans crier garde, il se fit empoigner et maîtriser par derrière. Deux autres grands gaillards étaient venus prêter main forte à leur porte. Vous êtes sérieux ? Trois tas de muscles contre une brindille comme moi ? Lâches ! Honte à vous ! grondait l'allemand en essayant en vain de se débattre. Mais à quoi bon ? Il n'était pas bagarreur pour deux sous.
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Je jubilais en regardant Eugène en mauvaise posture face à ces loubards. Il s'est foutu dans la merde tout seul, maintenant il assume les conséquences de ses actes. Je buvais alors une dernière gorgée de mon verre jusqu'à sentir le poing d'un mec atterrir en plein sur ma gueule, ni une ni deux je tombais de ma chaise, me tenant le visage suite à ce coup. Une belle bande d'enfoirés, que ce soit le mec qui m'a frappé ou encore Eugène qui a clairement réussi son coup. Ouais j'ai compris son petit manège, me faire frapper pour que je l'aide. Fixant mon collègue je lui fis un bon gros bras d'honneur en me touchant le visage avec mon autre main. Bien tenté ducon. Je m'étais alors assis de nouveau sur ma chaise, commandant une bière au barman qui termina par me l'apporter, mais au même moment j'aperçus Eugène se fait clairement contrôler par trois mecs. Qu'est-ce qu'il peut être con ce mec sérieux. Je pris mon verre avec moi, m'approchant du mec prêt à frapper l'allemand. La prochaine fois vise le bon connard! Lui lançais-je en écrasant le verre de bière dans sa gueule. Si après cette soirée Eugène est encore accepté dans ce club, je ne comprends pas. Je me jetais ensuite sur l'un des deux mecs l'ayant empoigné pour lui foutre mon poing dans la gueule, poing qu'il me redonna. Je reculais alors de quelques pas. Une bagarre générale éclata, p'tin je n'aurais jamais cru me battre avec des gays dans un endroit comme celui-là. Une fois sorti d'ici, crois-moi que c'est ta gueule que je vais défoncer Eugène! Hurlais-je sur mon ami alors que le mec contre moi me plaqua au sol tel un rugbyman. Je levais mon genou pour lui éclater sur les parties intimes, le temps de me relever et de regarder si le mather s'en sort aussi bien que moi.

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