MALINE ❖ I belong with you.

Maline I belong with you

Les cours avaient repris et je croulais déjà sous les devoirs de droit. Enfin, au bout de quatre ans, j'étais habitué et ce n'était pas tellement un poids pour moi. Je n'avais pas intégré les Dunster pour rien, je n'avais rien à envier à personne niveau notes et ça ne risquait pas de changer maintenant. En parlant de confréries, je rodais depuis un petit moment autour de la maison Eliot. Je n'avais jamais porté beaucoup dans mon coeur les concepts que les bleus véhiculaient, mais bon, c'est comme ça de grandir avec une cuillère en or dans la bouche : on prend une confiance en soit hors norme et infondée la plupart du temps. Evidemment, il y avait des exceptions, sinon je ne serais pas là, scrutant des yeux les alentours. Charline devait bien être quelque part et ça me semblait l'endroit opportun pour la croiser. J'avais appris que son frère et sa soeur étaient Eliot et en toute logique, j'avais pensé qu'elle avait dut les suivre. Non pas que le fait d'aller dans une autre confrérie était envisageable, chacun sa personnalité, mais bon. Toujours est-il que j'étais là, assez ennuyé. J'avais envie de la voir, de lui parler. On ne s'était pas beaucoup croisé ces derniers temps, communiquant essentiellement par textos et ça m'ennuyait vraiment. J'avais eu l'habitude de ne pas la lâcher durant plusieurs jours et ce vide de deux ans était là et ça me gonflait.

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Charnàel like Charnel Հ I belong with you.

Héo Héo on rentre du boulot ♫ Oui aujourd'hui j'étais de bonne humeur peut être parce que le soleil avait décidé de montrer le bout de son nez, avait essayé de percer les nuages présents depuis quelques jours maintenant, de quoi me donner du baume au coeur et me prédire une belle journée. Marchant dans les couloirs de la Eliot house pour rejoindre mes nouvelles amies bizuts des bleus, autant dire qu'elles étaient plutôt sympa et que je m'y faisais avec le temps, comme si maintenant il y avait marqué sur mon front "trainée" et en plus de cela "traitre". Et oui j'avais changé mon fusil d'épaule ... à ma plus grand peine également. Mais fixant au loin histoire de ne pas me prendre une porte ou bien un mur, je vis un visage angélique oui pour moi il était au top, c'était peut être un mec loin être fidèle, ou encore un gars bien, mais pour moi il était parfait et oui c'était mon Manàel. He is mine ! Toute excitée je mettais mise à courir pour finir par lui sauter dans les bras, comme un choc tellement puissant que voilà qu'on venait de s'étaler par terre, WTF ! « Manàel Woods Hastings ! Manàel ! Manachou ! Manamour ! Mon homme qu'est ce que tu fais là ? Enfin par terre je sais c'est moi ... mais toi ici dans la Eliot House, me dis pas que tu es chez les Bleus et que tu penses comme eux hein sinon tu me briserais le coeur ! » Oui j'étais une Eliot qui aimait tout sauf les manières des Eliots, cherchez l'erreur.

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J'eu le temps de la voir en train de foncer sur moi et après, en quelques secondes, je me retrouva à terre. Elle ne pesait pas bien lourd, heureusement. Je tira la langue en secouant la tête. Bwah, bien sûr que non. Répliquais-je. J'étais toujours affalé sur le sol, Charline sur moi. Bizarrement, c'était pas si inconfortable que cela. Elle m'avait manqué, c'était vraiment bon de la revoir. Cette fille était à moi. Elle était géniale, tout était plus fade sans elle. J'ouvris des yeux grands comme des soucoupes. Et toi alors ? Me dis pas que tu les as rejoins ? Tu as fini par rentrer dans le moule Kovalevskien ? J'avais haussé le ton. Les gens devaient nous regarder, mais peu importe, c'était le cadet de mes soucis. J'ouvris la bouche en feignant d'être totalement sous le choc. Son frère et sa soeur étaient des Eliot, mais elle ? Elle était différente. Je l'attrapa par les épaules et la secoua doucement. Bordel ! Me dis pas que tu es devenue une peste prétentieuse ?? Je rigolais, mais c'est vrais que ça sonnait un peu absurde. Les Eliot étaient sensés être le synonyme même de la classe. Charlie m'avait sauté dessus et nous nous trouvions au sol. Ouais, les Eliot pouvaient être fiers.

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Je crois bien en réalité que notre relation était tout simplement inqualifiable comme si Manàel et moi nous étions fait l'un pour l'autre, enfin du moins pour passer notre vie ensemble, à faire les cons, à se chercher, à faire des conneries car au mon dieu que oui avec les Woods j'en avais déjà fait des belles. C'était ma vie en réalité, ils étaient ma vie, et la distance qui s'était mise entre nous m'avait longtemps renfrognée comme si je n'étais pas réellement la même Charlie que par le passé, mais maintenant tout allait changer, Manàel était là devant moi et peut être que Lennox était aussi à Harvard, qui sait l'espoir fait vivre. Bien que pour moi le meilleur de tous était de loin Manàel, après tout c'était the perfect boy -ou pas-. « Et toi tu viens juste de me retrouver et déjà tu m'engueules, namého va falloir que je te mates un peu parce que sinon tu vas te croire tout permis. » Après tout j'étais dessus lui et du coup j'avais le pouvoir, enfin en réalité en Manàel et moi personne ne gérait réellement ce qu'il se passait, chacun dominé et été dominé par l'autre et tout ce en même, vous voyez le truc tordu, compliqué ? J'étais tellement ça en même temps ! « Tu veux que je te dise mon beau ? Et bien oui je suis Eliot maintenant j'ai le pouvoir que veux tu ... y a le bas peuple et moi ! » Je finissais par exploser de rire, je pouvais être convaincante après tout il avait fallu pour pouvoir rentrer dedans cette confrérie après mon passé de Mather rebelle en force. Finissant par me relever, je tendis ma main à Man' tout en la retirant une fois qu'il eut commencé à se lever, résultat il était de nouveau sur le cul et moi plier en deux ... oh mais que c'était bon de le retrouver, Woods & Charlie Power !!

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J'éclatais de mon rire le plus gentiment moqueur et irritant. Tu dis ça comme si t'en étais capable. Faut que tu redescendes sur terre, tu vas finir par croire que tu es plus forte que moi. Répliquais-je. C'était un peu bizarre pour moi de la savoir Eliot, enfin, peu importe. J'étais Dunster et pas un rat de bibliothèque pour autant. Dans le fond, ça ne voulait pas dire grand chose, mais c'était toujours drôle de vanner l'autre en laissant penser le contraire. Je voulu attraper la main que Charline me tendit une fois relevée et celle sale garce me lâcha, me laissant retomber sur le derrière. Elle éclata de rire, histoire d'enfoncer le clou tandis que je me redressais sans la moindre grâce. Ouais, je vois, faire tomber les autres tout ça.. Tu m'as mis à terre deux fois en quelques minutes, c'est que tu apprends vite. Répliquais-je, l'air grognon.

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« Non mais c'est moi qui ai le pouvoir ne fait pas semblant tout le monde le sait ... Après tout tu n'es pas plus dur à mettre dans le bon chemin que mon frère ... tu sais bien Kenny ton meilleur ami. » Un petit clin d'oeil, après tout Kenny avait promis que lorsqu'il choperait Manàel ça en serait fini pour lui, mais comme j'étais une fille formidable et oui j'avais réussi à le résonner un peu après tout qu'est ce que je deviendrais moi après sans mon ami ? Oui parce que tant qu'à se mentir à soi même autant dire que nous sommes qu'amis. Le voyant se relever avec une disgrâce des plus impressionnantes, je fronçais les sourcils. « Franchement on aurait dit un crapaud qui se relève, aucune grâce mon amour ... mais comme ce sont les retrouvailles et que je suis trop heureuse de te retrouver ... enfin te la pète pas trop hein ! Je vais pas te renier ... et oui parce que je suis une Kovalevski donc il faut que tu te tiennes bien en société avec moi. » Je finissais par lui prendre le bras, après tout même moi je ne faisais pas réellement honneur en mon nom alors Manàel pouvait bien faire ce qu'il voulait j'étais pas du genre pignotte ou encore snobinarde bien que j'aimais bien faire semblant. Après tout ce qui me caractérisait le mieux était surement ma joie de vivre, mon côté compétitrice, surtout avec les hommes en général, et oui on ne pouvait pas se refaire, je n'aimais pas perdre ... ou être dominée. « Crois moi que cela fait bien longtemps que je sais comment te mettre à terre ... et déjà à cette époque tu n'étais pas trop craintif, même plutôt emballé dis moi ! Bon alors qu'est ce que tu fais à Harvard Manamour ... Ce soir tu dors avec moi n'est ce pas histoire que quand je me réveille en pleine nuit j'ai quelqu'un à parler ... » dis je sans vraiment lui laisser le choix après tout ce ne serait pas la première fois et puis cela ne voulait pas non plus dur qu'on ferait des folies, je pouvais être sage quand je voulais -encore fallait il que je le veuille. -

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Je levais les yeux au ciel. Il allait falloir la faire redescendre d'un étage. Prononce pas son prénom, je vais me mettre à trembler répliquais-je, le tout avec cynisme en tendant mon bras devant elle. Le tout pour lui montrer que je tenais la route devant son ours mal léché de grand frère. Je ne tremblais pas, je n'étais sûrement pas pathétique à ce point. Soit, son frère ne m'appréciait pas du tout, mais peu importe, j'avais d'autres chats à fouetter. Je savais en me levant qu'elle ferait un commentaire, elle n'en aurait jamais laissé passer l'occasion. Je poussa un soupire de soulagement. Whaou, j'avais eu peur là. Tu es vraiment trop bonne avec moi. Répondis-je avant d'exécuter une révérence moqueuse et ridiculement maniérée. Mais oui, tu es une dame de la haute maintenant, il faut faire attention à tes fréquentations. Une chance que je ne sois pas Mather, sinon il aurait fallu que tu me fasses trancher la tête. La querelle Eliot/Mather m'avait toujours beaucoup amusé. Ca avait quelque chose de risible, même si j'étais mal placé pour faire des commentaires sur d'éventuels comportements aux allures puériles. J'acquiesçais d'un mouvement de tête à sa proposition. Comment je peux refuser ce genre d'invitations ? Tu sais bien que je déteste dormir seul dis-je. Ce ne serait pas la première fois que je dormirais avec elle. Il ne fallait pas y voir là forcément ce qu'on laissait entendre. Je n'étais pas capable de mettre un mot sur notre relation et je doutais qu'elle y arrive mieux d'ailleurs. Mais on s'en moquait. Pour ma part, j'étais heureux comme ça.

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Il avait bien tord de ne pas redouter Kenny car après tout mon frère n'était pas du genre à faire dans la dentelle quand il s'agissait de mes relations "amoureuses" ou même amicales, et oui on ne pourrait pas le refaire il était surprotecteur et tout cela était plutôt risible, au moins personne ne pouvait me faire de mal sans en payer un jour le prix fort. Esquissant un sourire alors qu'il se donnait en spectacle pour montrer qu'il n'avait peur de personne, je le regardais alors de haut en bas pour lui faire comprendre qu'il ne devait pas trop se la jouer, bien que notre plus grand jeu était justement de péter plus haut que notre cul MALINE ❖ I belong with you. 1881463262

un jeu bizarre mais il avait toujours quelqu'un pour nous remettre à terre voire même des fois sous terre. « Trop sympathique serait plus approprié surtout venant de ta bouche, parce que bonne c'est pas très glamour quand même ... » Et voilà qu'il se lançait dans un épilogue sur la guerre entre Eiot et Mather qui a dire vrai était surement le pire invention de l'existence enfin surtout depuis que j'étais chez les Eliots, et oui je me devais de faire semblant alors qu'en réalité mon coeur battait pour les verts, pour mes amis Briony, Alexander ... Cependant quand j'étais présidente Mather j'étais surement la plus grande partisane de cette petite guerre, un moyen aussi de défier ma soeur Apple encore un peu plus, rivalité quand tu nous tiens. « Et oui une femme de la haute comme tu le dis si bien ... mais on va dire que j'ai des habitudes de petites minables quand même enfin de fille normale ... si on peut dire que Charline Kovalevski soit quelqu'un de normal, avec les neurones tous à la bonne place. » Un petit sourire et voilà que nous nous dirigions vers la porte pour sortir de cette maison qui me pesait malgré elle sur les bras, oui il fallait que je m'aère et que je reprennes mais folies avec mon homme enfin c'est vite dit. « Alors tu veux faire quoi ? Après tout depuis le temps que l'on s'est pas vu je suis prête à faire tout ce que tu voudras ... » Comme on dit le ridicule ne tue pas et tout ce qui ne tue pas rend plus fort, alors j'étais parée pour faire n'importe quoi, un peu une deuxième nature, folle un jour, folle toujours. « Effectivement tu peux pas et cela tombe plutôt bien d'ailleurs ! Et si tu as un emploi du temps tu pourrais me le passer comme cela j'écrirais Lundi : RDV avec Charlie, Mardi : Charlie ... et ce tous les jours de ta petite existence Toi dormir seul ? Genre tu as sauté toute la ville pour ne jamais être seul mon oeil tu veux ! »

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Bonne est un adjectif approprié. Je lui répliquais, arquant un sourcil. Je vais pas surveiller tout ce qui sort de ma bouche juste car tu as les idées mal placées ajoutais-je avec un haussement d'épaules. Non, sérieusement, je ne l'avais même pas fait exprès et de toute façon, je faisais partie de ces gens qui disent ce qui leur passe par la tête, encore plus quand je m'adresse à Charlie. Après ma révérence foireuse, les paroles de la brune me firent sourire. Encore heureux, je ne voulais pas qu'elle devienne comme sa soeur. Soit, j'étais mal placé pour juger les Kovalevski, enfin à l'exception de Charline, elle je la connaissais comme ma poche, mais je ne les portais pas tellement dans mon coeur. J'en dressais toujours un portrait caricatural, notamment car j'avais pas digérer l'accueil peu amical lors de ma venue chez eux. Bref. Si ma Charlie est encore là, alors tout va bien, je pourrais digérer ton changement de clan, même si je me demande si tu n'a pas pris un pet sur la tête pour rejoindre les Eliot. T'as toujours été légèrement perchée, de toute façon ouais, c'était pas franchement une surprise et le légèrement, c'était un euphémisme. Charlie était tarée. Elle était dûre à suivre, mais c'était une des choses que je préférais chez elle. On sortit de la résidence et je n'en étais pas mécontent. Elle avait l'air contente elle aussi. Tout ? Insistais-je en arquant les sourcils, un air de défi dans la voix. La proposition était franchement alléchante et il fallait que je trouve le moyen d'en profiter avant qu'elle décide d'inverser les rôles. Elle ne tarda pas à r'ouvrir la bouche et je fis la grimace. Il va vraiment falloir que je passe tout mon temps avec toi ? Demandais-je d'une voix geignarde comme un gamin rechignant à manger ses légumes. Je lui décocha un petit coup dans les côtés. Ca va profondément te déplaire, mais je ne suis pas devenu incroyablement sage et chaste en t'attendant. J'ai une vie et elle ne tourne pas autour de toi.

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Comme moi Charline Kovalevski j'avais les idées tordues mais il était vraiment tombé sur la tête ce matin, bon oui d'accord je l'avais pas mal aidé à être totalement ridicule dans le hall de la Eliot House et alors pour vivre heureux je me devais de faire la folle .. si on m'interne au moins on saura pourquoi. « Comme si j'avais habituellement les idées plus tordues que toi je te signale que de toute évidence un homme a des envies, des besoins qu'il ne peut réprimer or à la dernier nouvelle tu es un homme et voilà ! Et puis les hommes sont plus portés sur la question que les jeunes demoiselles de la haute. » Je lui tirais la langue tout en faisant la gamine genre et ben ouai ! Je l'aimais trop ce gars je savais même pas comment j'avais pu attendre aussi longtemps pour le revoir, bon certes j'avais eu des vacances pendant ce temps, il n'était pas sur mon dos mais peut être que j'étais totalement sado à aimer qu'il me rende la vie impossible, allez savoir ce que j'aimais chez lui, chez nous ! Genre voilà qu'il disait MA Charline, une petite idée d'appartenance qui me gênait un peu bien que tout le monde dirait que cela est strictement la vérité, mais quand on met des mots sur les choses cela me gêne, me fait totalement paniquer. « Et bien je sais pas si j'ai changé mais en tout cas j'espère que je ne suis pas devenue aussi insupportale qu'eux comment te dire que si c'est le cas je vais me faire une petite virée avec Bri' pour remédier à tout ça ... Et genre moi je suis perchée, je vois pas du tout de quoi tu parles. » Je commençais à siffler après la fin de ma phrase, comme pour montrer que j'étais blanche comme neige et que ce qu'il disait ne m'importait peu car cela était totalement faux -ou pas -. « Tout comme je viens de te le dire ... de toute façon tu ne me feras pas faire de choses horribles qui pourrait rendre ton petit coeur friable. » dis je en tapotant un peu sur son coeur tout en faisant un regard de biche MALINE ❖ I belong with you. 1881463262

genre des yeux de merlans frits. En tout cas j'espérais qu'il ne me ferait pas draguer le premier passant, ou alors des trucs débiles avec quelqu'un d'autre ... mais qui sait ! Un petit coup dans les côtes, j'étais prête à bondir pour me venger, ni une ni deux je lui sautais dessus genre les bras autour de son cou, mes jambes n'importe comment autour de lui tant que j'étais bien accrochée, et je commençais à lui faire des chatouilles tout en essayant avec mon poids et ma force de le faire tomber dans l'herbe, bon je me prendrais l'herbe en pleine face mais tant pis. « Et bien si tu ne veux pas tant pis j'essaierais de retrouver Lennox et Hermes au moins eux connaisse le plaisir d'être avec moi ... Parce que genre tu m'as attendu ... pourquoi faire ?! Enfin tu vis ta vie couche avec toute la planète même si tu veux, ou encore même sous mes yeux à te dandiner avec une potiche au bras ... tout ce que tu veux ! Car toi même tu sais que tu pourras jamais autant les aimer que tu m'aimes moi ! » S'était vrai après tout ... c'était un amour tellement inconditionnel que nul ni personne ne pourrait nous séparer, comme on dit ils ont déjà essayés mais personne n'a réussi ... mais une chose est sûre nous en couple jamais de la vie !

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