KOACE ✱ regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

Ces derniers temps ta vie avait bougé du tout au tout. Tu n'étais plus célibataire, tu ne vivais plus à la mather house et tu avais jeté tes affaires de pôle dance pour faire plaisir à ton homme. Mais, il n'était pas question que tu n'ailles tout de même pas faire l'essai qu'on t'avait proposé. Tu avais donc attendu que Konrad quitte l'appartement pour aller faire la fête avec ses copains pour à ton tour prendre la direction du bar où tu étais attendus. Tu avais racheter un ensemble ultra-sexy juste pour l'occasion. Si tu étais prise tu n'allais très certainement pas accepté mais, il fallait que tu sois sûre que tu n'es rien perdue et ces derniers temps tu avais envie de te faire plaisir malgré que ta tête te fasse une nouvelle fois souffrir. Tu arrivais donc dans ce bar et cherchais le patron du regard mais, c'est lui qui te remarqua et t'emmena dans les loges. Là-bas tu enfilais ton petit ensemble de sous-vêtement rouge passion mais, surtout légèrement transparent. Enfilant tes talons rouges, tu passais à la coiffure et au maquillage. La coiffeuse bouclé légèrement tes cheveux que là tu entendais le patron te présentait. « Nous avons pour la suite de la soirée une jeune et sexy demoiselle qui se produit pour la première fois dans notre bar. Je vous demande donc de faire un tonnerre d'applaudissement pour Grace! » Tu venais tout juste de terminer d'être coiffer et maquillais que déjà tes longues jambes se dirigeaient vers la scène. Une fois sur le podium, tu prenais de tes deux mains la barre et inspirait un bon coup alors que la musique commençait ton regard balayait la salle remplit d'hommes mais, aussi de femmes. Tu étais sifflé de tous les côtés et te voilà à commencer par un grand écart, tu te déhanchais ensuite avant de grimper sur la barre. Tu montais extrêmement haut pour ensuite réaliser toutes sortes de figure tout en gardant ta sensualité. Tu étais dans ton élément, tu étais bien.

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† koace †

regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

Elle me laissait aller m'éclater avec mes potes, j'avais carte blanche ce soir, boites de nuits, clubs de strips, je pouvais faire tout ce que je voulais avec mes potes, elle ne refusait rien. C'était juste une confiance totale entre nous, j'allais pas la tromper, je l'aimais elle et pas une autre et entre nous deux au lit, c’est le paradis de l'extase sexuelle alors j'ai pas à me plaindre, elle me comble cette fille. Je quitte l'appart, je rejoints mes potes au Hobo, ont rigolent, on boit, pas mal, puis après une petite heure, on quittent le hobo pour aller au Nirvana, Grace m'a dit que j'avais carte blanche, mater des girls quasi à poil en train de danser, je faisais rien de mal du moment que je ne touchais pas. Fin bref, nous voilà dans le club, on s'est assis à une table, on a recommandés des bières et après que quelques filles soient passées, qu'on les ai sifflés comme il fallait, l'annonce de la suivante était en train de se faire, et je crois que je tombais de court quand le type sortait le nom "Grace", pire que je voyais MA Grace entrer sur scène et commencer sa danse, elle s'était foutue de ma gueule, elle m'avait promis qu'elle n'y penserait plus, elle a même jeté ses affaires de pole dance à la poubelle, putain j'y crois pas. Je me lève, je la fixe, j'attends juste qu'elle me voit, qu'elle voit la gueule que je tire, cette gueule du mec peiné, manipulé, malheureux.

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Tu t'éclatais sur ce podium, sur cette barre à je ne sais combien de mètres du sol. Tu t'imaginais seule au monde, les hommes pouvaient te siffler tu ne les entendais pas enfait. Tu étais juste sensuelle, sublime et passionné. Changeant de position sur cette barre, tu te retrouvais la tête à l'envers, jetant un rapide coup d'oeil dans le public tu voyais Konrad, debout, bras croisé sur son torse avec un regard qui en disait long. Tu déglutissais doucement, te laissant glisser jusqu'au sol pour finir en grand écart faciale. Putain de merde! La suite allait encore moins lui plaire en effet, le patron t'avait demandé de retirer ton soutien-gorge sans pour autant montrer ta poitrine. Tu te relevais donc doucement et te voilà à faire un petit déhancher sensuelle jusqu'à ce que ton bras vienne recouvrir ta poitrine et que le bout de tissus rouge sois au sol. Le regard hantait ton esprit alors qu'un homme venait de crier qu'il voulait te voir à poil. Ni une, ni deux tu voyais les potes de Konrad se dirigeait vers lui d'un air plutôt agacé. Tu sortais donc du podium sous les sifflements des hommes mais, la déception de ton homme, celui que tu aimes plus que tout au monde. En sortant le patron te félicitait, te donnait ton argent et te disais de revenir quand tu le voulais. Tu partais ensuite te changeais pour enfiler ton pantalon moulant simili cuir que tu avais ainsi que ton haut blanc avec des signes aztèques rose qui t'arrivait à la moitié du ventre. En sortant, des coulisses tu rencontrais un des potes de Konrad qui te prit par le bras pour t'emmener dehors. Il commençait à te faire la morale comme quoi, tu venais de faire une grosse connerie. Que Konrad risquait d'être déçu. Tu baissais doucement la tête alors qu'il te secouait de toutes ses forces. Étant ivre, il ne devait pas se rendre compte qu'il te faisait mal. « Tu me fais mal! » Il te lâchait assez violemment contre le mur en te prévenant que si tu brisais Konrad, qui d'après lui était fou de toi, il n'hésiterait pas à te briser les côtes. Tu déglutissais, croisant son regard menaçant alors que Konrad vous rejoignez.

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† koace †

regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

Je passais une bonne soirée, j'étais avec quatre de mes potes, ils étaient en études de sports, j'étais pas le plus crevette d'entre eux mais au moins deux d'entre eux étaient de vraies armoires à glaces, j'étais pas non plus le leader de la bande, chacun était égal par rapport à l'autre, j'étais juste le plus vieux d'entre nous alors j'avais le dessus, et ce respect plus important, enfin bref. On avaient quitté le Lord Hobo pour venir ici, au Nirvana, voir des filles danser pour nous exciter, en légères tenues, parfois juste avec le bas, elle danse avec cette barre, on sifflent, on matent, on s'éclatent bien franchement, ça fait du bien une soirée comme ça, des bières, des filles, des potes, quoi de mieux ? Rien je pense. Mais quoi de pire ? Le mec qui annonce ma meuf, ma meuf qui arrive et qui fait un show presque à poil, elle danse sur cette barre, les mecs sifflent, tous sauf moi et mes potes, il savent que j'ai trouvé l'amour, ils peuvent la mater mais qu'ils ferment leurs gueules car là, j'ai plus ce sourire que j'avais, j'étais debout, les bras croisés, j'étais déçu, je la fixais, j'attendais juste qu'elle croise mon regard, qu'elle voit à quel point je lui en voulais et c'est après quelques secondes qu'elle pointait ses yeux vers moi, elle me voyait et elle continuait son show, pire elle enlevait son soutien gorge, les mecs sifflaient encore plus, j'étais dégouté, je me cassais avant même que le show soit terminé. J'étais dehors, trois de mes potes m'avaient rejoints, j'avais demandé au quatrième d'aller attendre Grace et de la ramener ici et c'est ce qu'il faisait quelques minutes après, elle était dehors avec lui, il la collait contre le mur du club, je m'approchais d'eux posant ma main sur son épaule Lâche là, j'prend le relais, attend moi avec les autres. Il lâchait Grace et rejoignait les autres plus loin, je la fixais Alors t'as pris ton pied en faisant bander tous ces mecs les seins à l'air ? qu'elle ne dise pas n'importe quoi, j'avais les nerfs et ma susceptibilité était très sensible ce soir, la faute à qui.

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Tu étais dans une merde noire. Konrad qui était totalement contre tout ce principe venait de voir quasiment nue devant un par terre assoiffé de types. Alors, que tu quittais les coulisses un de ses potes qui étaient dira-t-on immense venait te prendre par le bras, te tenant tellement fort que tu le sentais plus. Tu ne disais rien et te voilà dehors face à ton homme qui te regarde avec presque du dégoût. « Ne dis pas n'importe quoi, ils n'ont pas vus une seule surface de ma poitrine. Et tu sais très bien que quand je suis en haut, je ne vois personne, je n'entends personne je me fais juste plaisir à moi. » Tu levais doucement les yeux pour venir les plantaient dans les siens. « Je n'ai pas eu le courage d'annuler cet essai alors juste une dernière fois pour me faire plaisir je me suis dit que je pouvais le faire sans te dire vu qu'il n'y avait pas mort d'homme mais, tu étais là. » Tu te décollais doucement du mur, ne tentant aucun rapprochement au risque de te faire rejeter la seule chose que tu faisais été de prendre sa main. « Konrad tu sais que je t'aime, tu sais que c'est toi et personne d'autre. J'avais juste besoin de ça. Pas de tous ces hommes qui me regardent mais, de me faire plaisir sur cette barre. Et tu sais quoi ? J'aurais espéré que l'espace d'une seconde tu me trouves sexy sur cette barre que tu n'es d'yeux que pour moi et pas que je lise dans ton regard juste du dégoût. » Tu baissais doucement la tête, lâchais sa main, t'apprêtant à partir pour reprendre ta voiture et rentrais chez toi pour te mettre en pyjama dans ton canapé mais, un homme t'accostait pour te demander si tu étais la fameuse Grace, tu lui répondais un simple « ta gueule » et voilà qu'il se met à t'insulter. Tu soupirais doucement, c'était bien ta soirée.

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† koace †

regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

J evenais de voir ma copine danser quasment nu autour d'une barre de strip pour le plaisir des mecs, j'étais déçu, elle avait jetée ses fringues de pole dance, elle l'avait fait pour moi, je lui avais demandé de choisir, notre couple ou le pole dance, elle m'avait choisit moi et là, je me rend compte qu'elle s'est foutu de moi, elle m'a menti. J'ai même pas attendu la fin du show, je suis sortis dehors avec la majorité de mes potes, et le dernier amenait Grace dehors, je les rejoignais pour m'entretenir seul à seul avec elle. Arrête tes conneries. elle prenait ma main puis bavait encore son monologue, les mêmes arguments que la dernière fois mais j'en avais rien à foutre Change ton dico. T'as toujours les mêmes paroles, les même arguments. elle lâchait ma main elle se décalait pour aller à sa caisse mais sur le chemin, un mec l'accostait, je grimaçais, encore plus lorsque je l'entendais l'insulter Casse toi ! lui répondais-je m'approchant de lui avant de lui en décoller une J'vais t'apprendre )à respecter ma meuf sale fils de pute ! j'avais les nerfs, je ne me sentais plus, j'avais besoin de me défouler, je le cognais encore et encore, poings comme pieds, mes potes essayaient de me retenir mais je me débattais assez pour revenir à la charge mais un d'eux arrivait finalement à me retenir Lâche moi ! il ne me lâchait pas, je regardais le type, il pissait le sang, il avait oser l'insulter, je le permettais pas, mais Grace restait là, elle me fixait, elle ne m'avait jamais vu aussi violent et agressif, et j'avais fais ça parce que je l'aimais, parce que je la protégeais, elle n'avait pas à recevoir ce genre d'insultes, je lui en voulais mais putain qu'est-ce que je l'aimais cette salope.

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Konrad avait été cash avec toi. Ton baratin, il ne voulait plus l'entendre. C'est vrai que tu lui avais déjà sorti cela la dernière fois. A vrai dire tu n'avais aucun argument à pars « arrête la coke j'arrêterais le pole dance » mais, ceci était tellement petit et risquerait de briser votre couple donc tu préférais fermer ta bouche et marchait jusqu'à ta voiture, jusqu'à ce qu'un type vienne t'acoster. L'envoyant balader, tu traçais ta route mais, voilà qu'il venait à t'insulter. Tu ne voulais pas l'écouter de toute manière tu ne l'écoutais pas jusqu'à ce que la voix de Konrad parvenait à tes oreilles. Tu te retournais et le voyait se jeter avec violence sur cet homme pour l'asséner de coup, de tous les côtés. Ses potes tentaient de le retenir mais, toi tu ne bougeais pas. Tu ne savais pas quoi faire. Une fois que l'un d'entre eux venait le canaliser, tu t'approchais de lui, tournant doucement son visage vers le tien. « Calme-toi, tu es complètement fou. » Ta voix était douce. De toute manière ça ne servait à rien de t'énerver contre lui. Un des amis de Konrad te faisait remarquer que tout était de ta faute, que tu foutais la merde partout où tu passais. « Je le sais! Pas la peine de me le rappeler constamment. Je le sais que je suis une vraie fouteuse de merde. Je sais que je ne mérite pas Konrad et je sais que vous ne me portais pas spécialement dans votre coeur surtout ce soir, que vous avez peur que je le trompe, que je fasse la conne. Mais putain lâchez-moi! Arrêter de me faire chier! Je n'ai rien à apprendre de vous c'est clair. Je sais que je ne suis pas la plus droite des filles, je l'admets mais, je suis franche et sincère. Alors, peut-être que je ne le mériterais pas mais, je l'aime. Oui, je m'y prends mal, oui je lui fais du mal mais, vous croyez quoi ? Que je souffre pas ? Alors, maintenant lâchez-moi! » Tu tournais les talons, l'homme au sol se relever péniblement aider de ses amis qui venaient d'assister à la scène. Tu venais de péter un plomb contre les copains de Konrad. Tu n'en pouvais plus de toutes leurs remontrances, de toutes leurs morales. Tu te mettais contre ta voiture, allant une cigarette tu tenais doucement ta tête qui te faisait terriblement mal.

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† koace †

regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

Elle me répétait encore la même chose, elle me ressortait les mêmes arguments, j'en avais plus rien à foutre, j'avais les nerfs, j'étais en colère, j'étais peinée, elle s'en allait mais un mec venait l'accoster, elle l'envoyait chier mais il revenait à la charge en l'insultant, fallait pas du tout ça, je me jetais sur lui, des coups de tous les côtés, je ne m’arrêtais pas, mes potes essayaient de me retenir mais je me débâtais pour revenir à la charge mais un d'eux arrivait à me retenir, Grace s'approchait tournant mon visage vers le sien, je sais que j'étais fou, j'étais fou de rage et fou d'elle, c'est un très mauvais mélange et mes potes en rajoutaient une couche, lui en foutant plein la gueule, et sur le coup je la comprenais, elle disait ce qu'elle avait sur le cœur avant de partir à sa voiture et de fumer une clope se posant contre le capot de celle-ci, il me lâchait, je me calmais voyant le type entouré de ses potes Rentrez les gars, j'vais voir Grace, on s'capte, merci pour la soirée. je marchais vers Grace, j'avais des frissons dans les mains, je les sentais quasiment plus et près d'elle je m'exprimais Pendant deux secondes, je t'ai trouvé sexy, j'avais d'yeux que pour toi. je me calais à côté d'elle Mais tu t'es foutu de ma gueule. Je t'avais laissé un choix, nous ou tes fringues, tu m'as choisis moi, pourquoi tu as trahis ma confiance ? je parlais calmement, bizarrement elle avait su me calmer, elle avait ce pouvoir sur moi, c'était fou.

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Konrad était changé, il avait cette haine dans le regard. Et de voir ses poings venir frapper ce type qui gisait au sol autour de sa marre de sang te rendait faible. Tu aurais dû sauter au cou de Konrad pour l'en empêcher mais, tu ne faisais rien. Tu le voyais faire et tu pensais qu'il allait le tuer mais, ça ne te faisait rien. Tu étais égoïste, tu ne pensais qu'à toi, qu'à lui, qu'à votre bonheur. Une fois que le beau brun était canalisé, tu t'étais quand même jeté sur lui, le regardant, lui parlant doucement jusqu'à ce que ses amis viennent s'en mêler et là ce fût la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Tu les envoyais chier avec violence. Tu n'en pouvais plus de les entendre te rabaisser constamment, de te juger. D'après eux Konrad avait besoin d'une fille bien et pas d'une qui donne son cul à droite à gauche mais, ce qu'ils avaient du mal à comprendre c'est que tout ceci était fini, tu avais arrêté de faire la fille qui virevoltait d'hommes en hommes, de zizis en zizis enfin bref. Tu te dégageais de tout ça, calais contre le capot de ta voiture, tu te tenais la tête entre les mains, tirant sur ta cigarette. Elle te faisait terriblement mal, tu avais des migraines comme ça tous les jours maintenant tu n'en pouvais plus. Et puis, Konrad venait de rejoindre. Tu ne le regardais pas, il t'avouait que pendant quelques secondes il t'avait trouvé sexy, il n'avait eu d'yeux que pour toi. Ça te faisait plaisir de savoir que ton homme avait pu ressentir cela mais, tout retombait bien vite quand il parlait de confiance trahie. « J'ai été faible tout simplement. Lorsque j'ai appelé monsieur Morgan le patron, il m'a dit que je devais quand même venir essayer. Que même si je n'étais pas prise je me ferais plaisir. Alors, je me suis dit pourquoi pas remonter sur la barre une dernière fois avant de tout laisser tomber. Et je te promets Konrad, quand j'étais là-haut j'étais heureuse, j'ai été d'autant plus heureuse quand je t'ai vu. Quand j'ai vu que tu étais là. Pendant une seconde je me suis dit, tu lui montres que même si ce sport peut-être péjoratif il n'est pas vulgaire. J'en avais rien à foutre des autres mecs dans la salle. Enfin bref, je sais que c'est impardonnable ce que j'ai fait. Je sais que j'ai dépassé les limites ce soir et que j'ai gâcher ta soirée j'en suis désolée. Je suis désolée d'avoir été égoïste parce que dans l'histoire je n'ai pensé qu'à moi. » Tu venais de le regarder brièvement avant de reposer tes yeux sur le sol. Tes mains tremblaient alors que tu jetais doucement ta cigarette. Tu avais mal au crâne, tu étais crever, tu avais froid, tu avais peur, tu étais tout simplement tétanisé. Tu avais perdu la seule chose qui faisait marcher ton couple la confiance, Konrad n'avait plus confiance en toi. « Tu crois qu'on est fait pour être ensemble ou on est trop égoïste pour penser à l'autre ? » Cette question était sortie comme ça. Tu l'aimais, tu étais folle de lui mais, depuis que vous étiez ensemble c'était assez houleux entre vous et tu attendais qu'une seule chose c'est que Konrad te rassure.

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† koace †

regarde-moi, désire-moi, aime-moi.

J'avais pété un câble, Ce mec avait osé insulter ma copine, je m'étais rué sur lui, je l'enchainais de coups, je ne m'arrêtais pas, j'arrivais pas, j'avais la rage, j'étais en colère, je devais me défouler, et même si mes potes essayaient de me retenir je revenais quand même à la charge pour encore cogner, il était en sang mais je ne m'en rendais pas compte, j'avais besoin de sortir cette rage, de la sortir jusqu'à ce que le plus baraque des miens me retienne. Grace arrivait, elle tournait ma tête vers elle, me disant que j'étais fou, je l'étais, à la fois d'elle et de colère mais avant que j'ai pu sortir le moindre mot, mes potes lui en mettaient plus la gueule et elle disait le fond de ses pensées, leur en foutant aussi plein la gueule avant de se casser à sa voiture, les gars me lâchaient, je leur disais de rentrer, je les remerciais pour la soirée, ils allaient comprendre, ils n'avaient pas le choix de toute manière. Je rejoignais Grace, lui avouant que là-bas, pendant deux secondes, j'ai ressentis ce qu'elle voulait que je ressente mais j'en revenais vite au plus important, elle a trahie ma confiance. Ecoute, j'adore m'asseoir à cette table, mater des meufs en string, qu'elles dansent pour que je bande, c'est ce que j'aime, j'ai toujours aimer ça, et si je t'aurais pas connu, si tu avais été là-bas sur cette scène, danser à poil même, j'aurais kiffer, car je n'aurais pas été amoureux de toi hors là, je le suis ma vision des choses est complètement différente. Je ne te vois pas comme une danseuse qui prend du plaisir pour elle à danser sans se soucier des autres, les autres te vois comme une allumeuse, et je veux pas qu'ils pensent ça de toi, ce que ce mec t'as dis tout à l'heure, tu le méritais pas, oui t'a un statut de salope, et alors j'ai un statut de conard ? Mais t'es ma salope, pas celle d'un autre. Elle grimaçait, sa clope tombait au sol, je voyais bien qu'elle était perdue, et qu'elle se posait des questions sur nous. Je crois qu'on est trop égoïstes mais aussi qu'on est fait pour être ensemble car même si t'as pensée qu'a toi ce soir St-James, je t'aime. je venais me poster devant elle, relever sa tête et l'embrasser.

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